Le blog de vassilia-x-stories

Ma soumise, ma mère et son chien par Elian Lvekman
Spanking

 

Nous sommes samedi et c’est la fin de l’été.

Mon téléphone sonna. Je regardais la pendule, il était 16 h 30

– Je te téléphone comme convenu ? M’annonça une douce voix féminine.
– Oui !
– Je t’envoie quelques instructions par SMS. Tu devras être là à 18 heures précises, sinon tu seras punie.

Il y avait 12 mois que je connaissais ‘Bénédicte, une petite bourgeoise fraichement divorcée qui avait passé une annonce à la recherche d’un maître. La trentaine, brune aux cheveux longs, légèrement potelée, jolie poitrine. Au bout de 6 mois je pouvais lui demander pratiquement tout ce que je voulais, elle obéissait comme une bonne soumise. Ce soir, après s’être préparée selon mes volontés, elle devra prendre le bus qui 15 minutes plus tard la déposera au bas de chez moi.

Je l’attendais vêtu d’un simple robe de chambre. La pendule indiquait 18 h 02 quand j’entendis le bus s’arrêter. 3 minutes plus tard la sonnette m’avertit de la présence de mon invitée. j’entrouvris la porte et elle pénétra dans l’entrée. Elle était vêtue d’un imperméable fermé à l’aide d’une ceinture.

– Tu es en retard ! Salope !
– Oui.

Elle ne cherchais même pas d’excuse. Je la giflais plusieurs fois de suite, puis lui ayant ordonné d’ouvrir la bouche je lui crachais plusieurs fois à l’intérieur.

– Ce n’est qu’un avant-goût ! Tu le sais !
– Oui, je mérite d’être punie.
– En effet, mais avant, fais-moi voir si tu as bien suivi mes instructions.

Elle défit la ceinture de l’imperméable, les deux pans s’écartèrent laissant voir son corps nu, ses seins lourds pendaient, ses tétons portaient chacun une pince à linge.

– Retire-moi cet imper, lève les bras et tes cuisses de pute !

Sur chaque lèvre de son sexe qu’elle avait parfaitement épilé une pince à linge pendait.

– Mais, il manque la pince sur ton clito !
– Oui… je ne pouvais pas la supporter… alors je l’ai enlevée en attendant le bus.
– Soit ! Mets-toi au milieu de la salle ? Les mains au-dessus de la tête.
– Comme ceci ?
– Non ! Mets-toi à genoux. Et ouvre la bouche ! Tu sais ce que je vais faire ?
– Oui, tu vas me pisser dessus !
– Je me demande si c’est vraiment une punition ! Tu aimes boire ma pisse ?
– Oui, ta pisse est délicieuse !
– Et si je te chiais dessus ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien essayer !

Je ne sais pas si je ferais ça un jour, mais pour l’instant, il faut que je pisse.! Mon jet est dru, je vise ses seins qui se recouvrent de ma liqueur dorée, Bénédicte se tortille pour en recevoir dans la bouche. Manifestement elle se régale ! Quelle belle salope !

Je m’approchais d’elle et caressais ses fesses, elles étaient fermes, bien rebondies et sensibles. Je plaquais ma main sur une fesse que je pétris fermement cherchant le petit cri de douleur qu’elle allait émettre mais il ne vint pas. Elle était en forme ce soir !

– Ouvre les cuisses !

Passant une main par derrière je remontais vers les grandes lèvres écrasant au passage les deux pinces à linges, elle sursauta mais ce fut tout. Je plongeais mon index dans son intimité à la recherche d’une humidité suspecte.

– Tu mouilles déjà ?

Pinces2911De l’autre main je caressais ses seins effleurant les tétons prisonniers, je la retournais pour mieux lire son visage tandis que mes doigts pinçaient le bout des pinces accentuant ainsi la pression, un cri jaillit. Je plaquais ma bouche sur la sienne pour recueillir cette douleur tandis que je tripotais ses seins encore plus fort, je vis naître au coin de ses yeux deux larmes que du bout de la langue je léchais avant de relâcher mon étreinte.

– Reste comme ça, cuisses écartées et mains sur la tête.

Je défis une à une toutes les pinces, je lu dans ses yeux toute la violence qu’elle se faisait pour ne pas gigoter.

– Tu restes comme ça, défense de bouger ! Tu te souviens du mot de sécurité ?.

Elle me regarda bien en face :

– « Ours bleu »… mais ne compte pas trop sur moi pour l’utiliser un jour.

Ce petit mot convenu entre nous était le signal d’arrêt de nos jeux, si un jour elle le prononçait j’arrêterais immédiatement la séance car à ce moment la douleur ou l’humiliation serait à la limite du supportable.

– Maintenant tu vas être punie pour ton retard, pour cinq minutes dix coups de martinet, devraient faire le compte ! Debout, chienne !

Je pris sur une desserte un martinet avec trois longues lanières de cuir de 2 centimètres de large. Je me plaçais derrière elle et les lanières vinrent s’enrouler sous son aisselle droite effleurant de l’extrémité la naissance du sein, je frappais de même sous l’aisselle gauche. Elle se plia sous le coup et poussa un petit cri.

– Silence !

J’attendis un moment, qui lui parut très long avant de faire un aller-retour : aisselle droite, aisselle gauche .Elle rabattit ses bras le long de son corps pour se protéger. Je lui fit faire demi-tour, elle gémissait.

– On se calme ! Je te signale que ta punition n’est pas terminée, mais tu peux te rhabiller et foutre le camp !
– Oh NON, NON ! Je suis à toi ! Dit-elle en mettant ses mains derrière sa tête.

Brave fille !

La regardant bien en face, je fouettais le dessous de ses deux seins; aux creux de ses aisselles des marques rouges naissaient, je marquais encore sa chair, quand les lanières vinrent s’enrouler autour des mamelons, elle chercha à se protéger en plaquant ses mains sur ses seins.

– Derrière la tête ! Morue !

Elle gémissait et des larmes coulaient sur ses joues.

– Offre-moi tes seins !

Elle hésita puis bomba sa poitrine, ses tétons érigés tendaient les pinces vers l’avant. je levais le martinet et avec une certaine douceur les lanières s’enroulèrent autour de la pince gauche, je relevais le bras et de nouveau le cuir lécha la pince droite. Elle partit dans un hurlement, se plia en deux, serra ses seins dans ses mains, ses cuisses se serrèrent et une houle s’empara de son ventre tandis qu’un liquide se répandait sur ses cuisses. Je la laissais récupérer contemplant son jolie corps maintenant strié de trainées rougeâtres.

– Bien, maintenant ta punition pour la pince que tu as oubliée sur ton clito… j

J’hésitais un moment lisant une frayeur feinte sur son visage.

– Que dirais-tu d’une masturbation avec les doigts de crin ?
– Oh ! NON ! Pas ça, ça fait trop mal !
– Si, on va faire ça et en plus je vais poser une pince sur ton clito ! Approche !

Elle avança de quelque pas, son sexe était à portée de main. J’écartais les grandes lèvres et dépliais les petits lèvres repliées. Je décapuchonnais le clito et le roulait entre pouce et index, son ventre se tendait sous cette caresse comme pour que je l’accentue. le clito gonflait et durcit quand je fis aller et venir le capuchon. De la main gauche je préparais une pince à linge, tirait le capuchon le plus en arrière et posais les mâchoires à la base du petit organe.

– Aie ! Aie ! Ah ! J’ai mal !
– Ta gueule !

J’observais le visage de Bénédicte , je pouvais lire toute la douleur qu’elle ressentait, elle se mordait les lèvres pour retenir le moindre cri.

– Enfile ce gant ! (un gant de crin avec cinq doigts.)

– Allez caresse toi, tu dois te faire mouiller sinon, ce ne sera pas une autopunition, je devrais t’attacher sur la table et je pense que mes caresses ne seront peut-être pas si douces que les tiennes. Commence par l’intérieur de tes cuisses !

Le gant glissa sur la peau douce, laissant derrière lui des traces rouges, elle se pencha guidant sa main vers ses fesses irritant son périnée avant de revenir sur ses cuisses.

– Ton ventre maintenant !

Elle remonta vers ses hanches pour revenir sur son pubis, sa chair se colorait de rose au fur et à mesure de ses attouchements.

– Pénètre toi !

Elle hésita, me regarda et sa main se posa sur ses lèvres; elle eut un mouvement de recul. Le gant écrasa sa vulve, écartant les grandes lèvres pour venir se poser sur l’intérieur. Un cri s’échappa de sa bouche quand le crin irrita le clito et écrasa la pince. Elle retira sa main brusquement. Je guettais cet instant depuis un moment, m’emparant de sa main je la guidais à l’intérieur de sa vulve, obligeant à enfoncer ses doigts de crin. Elle ne la retira pas et poursuivit sa caresse enfonçant son doigt gainé entre les petites lèvres remontant vers le clitoris qu’elle excitait avant de ressortir, de frotter ses grandes lèvres et replonger entre ses petites lèvres pour un nouveau voyage.

Sur son visage je pouvais lire à chaque instant la partie de son intimité qu’elle caressait, ses lèvres étaient gonflées par les morsures qu’elle s’imposait et ses yeux s’embuaient de larmes. Je jugeais qu’il fallait que la caresse cesse, je repris sa main et la retirais de son ventre, mes doigts se mirent à glisser sur la peau rouge, mon index s’enfonça entre ses lèvres déjà lubrifiées par une mouille abondante. Je pénétrais profondément. A peine l’avais-je effleuré que tout son ventre frémit, un flot de cyprine coula sur ma main, dans sa vulve dilatée j’enfonçais trois doigts, elle balança alors son corps de gauche à droite en un mouvement de toupie. Brusquement elle gémit, poussa de petits cris de plaisir mêlés de douleur. Je dû accompagner sa chute vers le sol tant la vague qui l’emportait était violente.

Tandis qu’elle continuait de s’agiter sur le plancher, je caressais ma bite dure comme du bois, ce corps m’excitait, ces seins me donnaient des envies folles, ses fesses dures et rondes ne demandaient qu’à rougir davantage, à l’idée des extrêmes que je pouvais lui imposer ma branlette se fit plus violente. Ses gémissements me sortirent de ma rêverie. Je l’aidais à se relever.

– C’était horrible, mais je n’ai jamais joui ainsi ! Tu recommencera, dis ?
– On verra, pour l’instant viens te mettre à genoux et tu me suceras

Elle aimait sucer, mais pas comme je le désirais. Si elle préférait agir sur le gland et se livrer à des allers et retour rapides, je préférais quant à moi qu’elle me prenne la bite entière dans sa bouche.

Je m’emparais de deux pinces à vis terminées par une poignée. Je posais les mâchoires à la base de chaque téton, serrait la vis, le téton devenait alors gros comme une noisette. Une fois à genoux je prenais une poignée dans chaque main et tandis que sa langue glissait sur mon gland je tirais plus ou moins fort sur ses tétons pour la forcer à engober davantage. Quand le plaisir approcha du point de non-retour je la repoussais. Je pris la laisse qui la reliais à moi par la pince sur le clito.

– Mets-toi à quatre pattes !

Je fis passer la lanière entre ses cuisses remontant ainsi entre ses fesses.

– Ouvre tes fesses !

Elle écarta ses deux monts dévoilant son petit trou et sa rondelle.

– Pousse !

Comme elle ne s’ouvrait pas assez rapidement je tirais sur la laisse

– Aie !

Je poussais mon index dans son petit trou lui imprimant un mouvement de rotation, peu à peu elle s’ouvrit. A genoux derrière elle, tenant ma queue d’une main je retirais mon index que je remplaçais par mon gland .A peine dut-elle le sentir qu’elle propulsa son cul en arrière s’empalant elle-même. De la main je caressais sa vulve excitant son clito, de l’autre main j’excitais ses tétons. Elle animait son cul d’avant en arrière ce qui nous amena à une jouissance violente quasi simultanée.

Allongée sur la moquette, sa tête posée au creux de mon bras je caressais son sein excité par les gémissements qu’elle émettait quand je pinçais son bout.

– Tu recommenceras ! J’adore ce que tu me fais !
– On va se reposer un peu, ce n’est pas tout à fait terminé. J’ai une petite surprise.
– Je suis épuisée…
– Je sais mais je vais te présenter quelqu’un.
– Non, on avait convenu qu’il n’y aurait jamais de tierce personne. Est-ce que je dois dire le mot de sécurité ?
– Tu fais ce que tu veux, mais je serais à ta place j’attendrais un petit peu.

Et le carillon de la porte d’entrée retentit. (On apprécier le timing !)

– Tu te mets à genoux et tu ne bouges pas !

Je craignais qu’elle utilise le mot de sécurité d’un moment à l’autre, mais apparemment elle avait décidé d’attendre.

Je fis entrer ma mère qui tenait en laisse Kogal, son grand labrador.

– Je te présente ma mère !
– Ta mère ? Quoi ? Mais tu es complètement malade !

Elle tente de cacher sa nudité, se lève, enfile ses chaussures et son imperméable, prend son sac à main et se dirige vers la porte.

– On peut peut-être discuter ? Tentais-je.
– Non mais tu t’es vu, espèce de dépravé, tu reçois ta mère, la bite à l’air et tu n’as même pas honte !
– Tu te crois bien placée pour parler de dépravation ?
– Ça n’a rien à voir !

Elle ouvre la porte, elle va la franchir, je ne la verrais sans doute plus. Elle n’a pas prononcé le mot de sécurité, mais qu’importe, j’ai joué et j’ai perdu.

Elle semble hésiter à sortir, et là elle me bluffe, elle ne sort pas, referme la porte, revient, retire ses chaussures, enlève son imper et se remet à genoux.

– O.K. j’ai juste envie de voir jusqu’où tu oseras aller !

– Elle est bien jolie, ta soumise, mais qu’est ce qui lui a pris ? Je lui ai fait peur.? Me dit ma mère.
– Disons qu’elle a été un peu surprise !
– Mais dis donc, tu bandes comme un cochon !

Ma mère me prend la bite avec sa main et me la branle quelques instants.

– Je vais te sucer un peu, Mademoiselle, ça ne vous dérange pas que je suce mon fils devant vous, je ne voudrais pas que vous soyez jalouse.
– Je vous en prie, faites comme bon vous semble, je ne suis qu’une esclave. Mon avis n’a aucune importance.

Ma mère se baissa et me prit en bouche après m’avoir bien décalotté, puis commença une série d’allers et retours rapides qui me provoquèrent de délicieux frissons.

– Viens-là toi, l’esclave, on va le sucer à deux.

Bénédicte s’approcha et c’est donc deux bouches vicieuses qui s’occupèrent de mon chibre, le léchant, se le repassant en un ballet torride.

A ce rythme,, je ne pu me retenir longtemps et laissais jaillir mon foutre en un jet puissant maculant le visage de ces deux débauchées.

Les deux femmes s’échangèrent ensuite un baiser profond, un baiser au gout de sperme.

– Humm ! Ça m’a trop excité, tout ça ! Dit ma mère. Dit à ton esclave de venir me lécher la moule !
– Tu as entendu, esclave !

Ma mère se déshabille. A 50 ans c’est encore une très belle femme, le visage n’est pas abimé éclairé par ses beaux yeux bleus et encadré par une chevelure blond cendré.

Elle se déshabille prestement, dévoilant sa jolie poitrine aux tétons arrogants. Je ne peux m’empêcher de venir y poser ma bouche vicieuse.

– Du calme, mon fils, si tu es sage, tout à l’heure tu pourras m’enculer. D’ailleurs il conviendra sans doute de vérifier les lieux, esclave, passe derrière moi et vient me renifler le trou de mon cul.

Bénédicte obtempère et vint humer l’anus de la mère.

– Alors il sent comment, mon trou du cul ?
– Un peu fort, madame !
– Parfait, au moins tu es franche, passe devant, attends, je vais m’allonger sur le canapé et toi tu vas venir entre mes cuisses. Et tu as intérêt à me faire jouir.
– Oui madame !
-Tu as déjà léché beaucoup de chattes ?
– Non, madame !
– Ce ne sera pas la première fois, tout de même ?
– Si, madame !
– Bien, il faut bien commencer un jour ! Alors vas-y et si tu te débrouilles mal, tu sera punie, on est d’accord ?
– Oui, madame.

Quelque chose me dit que quel que soit le résultat, Bénédicte écopera d’une punition.

– Tu me lèches bien la chatte et quand je te le dirais tu t’occuperas de mon clito.

Je n’ai pas vu si souvent ma mère se faire gouiner, mais j’avoue que le spectacle est fascinant, et la différence d’âge entre les deux femmes ajoute à l’excitation.

– Caresse moi les nichons en même temps, non pas comme ça, pince-les,… Plus long tes coups de langues… comme ça oui, un peu plus vite… Aaah, tu vas me faire jouir, salope ! Le clito, le clito…

Une minute plus tard, ma mère jouissait libérant un geyser de mouille. Bénédicte se redresse se demandant ce qu’elle doit maintenant faire.

– Reste assise sur le bord et écarte les jambes, il va peut-être se passer quelque chose

Ma mère prélève un peu de sa mouille qui dégouline pour la déposer sur la chatte de Bénédicte qui se laisse faire, passive.

– Kogal, viens mon chien !

Il arrive à toute vitesse, pose son museau entre les jambes de sa maîtresse et se met à lui lécher l’entre-cuisse sans autre préambule.

– Oh ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Bénédicte.
– Ben quoi ! Il y a un souci ? Demande ma mère avec une moue malicieuse.
– Je ne sais pas…
– Eh bien, regarde bien, parce qu’après ça va être ton tour.
– Non pas ça !
-Il ne va pas te mordre, il est très gentil !
– Mais…c’et un chien !
– Ben oui, c’est un chien , tu es très observatrice.
– Je ne peux pas faire ça !
– Laisse-toi faire ! Et d’ailleurs c’est un ordre ! Intervins-je.
– Si c’est un ordre, je veux bien essayer !

Ma mère fit alors en sorte que le chien change de partenaire, et celui-ci se mit à laper d’abondance la foufoune de Bénédicte.

– Oh, la la ! Qu’est ce vous me faites faire ! Je suis vraiment une trainée.
– Ça ne fait de mal à personne ! Répondit ma mère. Couche le chien ! Me demanda-t-elle, que je puisse lui sucer la bite !

Bénédicte ouvre la bouche, stupéfaite, mais incapable de sortir un son. Ma mère branle quelques instants la bite du chien qui ne tarde pas à sortir droite de son fourreau, puis l’embouche avec une expression de défi.

– Vous n’allez pas me demander de faire ça ? Bredouille Bénédicte.
– Tu nous as bien dit que tu étais une trainée ?

Elle ne répond pas, mais je crois qu’elle devine à peu près ce que je vais lui dire.

– Eh bien ! Repris-je, si tu es une trainée, tu dois sucer la bite du chien !
– Est-ce un ordre ?
– Oui !

Bénédicte prend une profonde aspiration, puis se baisse pour venir à côté de ma mère. Elle est maintenant toute proche de la bite, elle hésite croise mon regard en sachant bien que je ne lui serais d’aucun secours. Alors quand ma mère lui tend l’organe, elle ferme les yeux et l’embouche. C’est comme on dit le premier pas qui compte, les deux femmes se repasse le membre viril à tour de rôle, font quelques pauses pour s’embrasser à pleine bouche.

Ma mère se relève, puis s’installe en levrette sur la canapé, les cuisses écartées, les fesses offertes ! Qu’elle est belle ma mère offrant ainsi tous ses trésors. Je bande de nouveau comme un cerf, je m’approche pour l’enculer.

– Non d’abord le chien !.

Bénédicte m’a demandé la permission d’aller boire un verre d’eau. Quand elle revient elle a devant ses yeux le spectacle de ma mère se faisant couvrir par le labrador.

Je crains une réaction négative, et il n’entre pas dans mes intentions de demander à ma soumise de l’imiter. Mais non, elle paraît subjuguée par le spectacle de ce vit qui entre et qui sort du vagin de ma mère à une cadence infernale.

Ce fut à mon tour d’âtre subjugué, Bénédicte vint se placer à côté de ma mère dans la même position qu’elle. Du coup le chien sans que je sache pourquoi se décolla de ma mère pour venir saillir ma soumise. Du coup, je m’approchais une nouvelle fois de ma mère et je l’enculais.

Bientôt le salon s’emplit de nos cris de jouissance tandis que flottait dans l’atmosphère une odeur de foutre.

– Ça va, j’ai été assez salope ? Me demande Bénédicte.
– Tu es formidable, je t’adore.
– Je l’ai fait pour toi, j’espère que tu me garderas longtemps comme soumise.
– Ne t’inquiètes pas ! J’avais plus ou moins prévu qu’on fasse une petite bouffe tous les trois, je peux commander des pizzas, ça te dis ?
– Pourquoi pas, ça donne faim, tout ça !
– Tu n’as que ton imper pour t’habiller, je vais te prêter un peignoir.
– Je peux lui embrasser le seins avant qu’elle ne les planque ? demande ma mère.
– Mais c’est à elle qu’il fait le demander, pour l’instant le jeu est fini, ce n’est plus ma soumise… jusqu’à la prochaine fois.
– Bien sûr que tu peux me lécher les seins, mordille-les un peu, j’aime bien qu’on me fasse un peu mal.

Et les deux femmes d’étreignirent avec infiniment de tendresse

Fin

Sam 21 mai 2022 Aucun commentaire