Le blog de vassilia-x-stories
Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et
subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un
couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au
chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle.
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et
Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la
zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…
– Mais vous n’avez pas de chien ? S’étonne Katia
– Non, répond Monique, on aime bien les bêtes, mais c’est trop de contrainte, quand on sera en retraite on verra.
– Alors cette histoire ?
– Ah ! Ah ! En fait je n’avais aune expérience en la matière, tout juste avais-je été assez fascinée par des petites vidéos sur Internet, mais ça n’allait pas plus loin…
– Et toi Philippe ? Lui demande Katia.
– Un jour j’ai dit à Monique que ça ne me déplaira pas de la voir se faire lécher par un chien. Elle m’a répondu je ne sais plus quelle plaisanterie, mais j’ai bien senti qu’elle fantasmait un
peu
– Non ce n’était pas du fantasme, juste de la curiosité ! Corrige Monique. Bon vous voulez l’histoire ?
– Oui, oui ! Avons-nous tous répondu en chœur !
– Alors la voici :
Le récit de Monique à Luxembourg
On rencontre parfois dans les clubs échangistes, des types qui organisent des soirées privées très spéciales, la plupart du temps il s’agit d’assister et éventuellement de participer à des séances sado-masos ou d’humiliation publique, mais ce jour-là Monsieur Germain nous a soufflé, l’air de rien, dans la conversation que les ambiguïtés de la loi française feraient que la prochaine soirée à thème se déroulerait… au Luxembourg.
– Et qu’est-ce qu’elle aura de spéciale cette soirée ? Questionne Monique
– Disons que le thème sera « nos amis les bêtes »
– Oh !
– Mais rassurez-vous, tout cela se passera sans aucune maltraitance et dans la bonne humeur.
– Ça te dit ? demandais-je à mon compagnon
– Pourquoi pas ? Répond Philippe
Monsieur Germain nous demande alors une « participation aux frais » Ben oui il n’y a pas grand-chose de gratuit en ce bas monde ! Et nous communique les coordonnées du lieu, la date et l’heure.
Et une semaine plus tard nous étions à Luxembourg. La séance se déroulerait dans un théâtre de poche qui faisait relâche ce jour-là. La salle devait pouvoir tenir une quarantaine de personne, mais nous n’étions qu’une vingtaine, répartis sur les deux travées les plus proches de la scène. Coup d’œil sur le public, un couple assez jeune, sinon des hommes et des femmes d’âge murs. La scène est décorée avec des motifs floraux, une petite banquette matelassée et un guéridon y sont installés.
La lumière de la salle s’éteint, celle de la scène s’allume, une musique plus on moins jazzy se fait entendre, et voici qu’y apparaissent deux splendides jeunes femmes, l’une une peu rondelette, fausse blonde coiffée au bol et vêtue d’une semple petite robe noire. L’autre, une grande brune en culotte et soutien-gorge grenat.
– Bonjour, bande de petites cochons; je suis Britta ! Nous informe la rondelette. Ma copine c’est Jessica. J’espère que vous allez passer une bonne soirée ! Hum, j’aimerais que vous vous redisposiez un peu sur les sièges, un homme, une femme, un homme… et il faudrait aussi que les couples se séparent, vous êtes là pour faire des rencontres, non ?
Du coup Philippe se déplace et je me retrouve entouré de deux inconnus.
– Bien sûr vous avez le droit, Reprend Britta, je dirais même le devoir, de vous tripoter pendant le spectacle et tant qu’à faire, faites-vous tripoter par votre voisin ou par votre voisine, Le tripotage, c’est mieux à deux. Allez on commence !
Les deux nanas se tortillent, Britta qui n’a (évidemment) pas de culotte nous montre ses belles fesses puis elle se retourne et nous dévoile sa petite chatte, puis elle dégage sa jolie poitrine. Jessica enlève son soutien-gorge.
Les deux belle créatures jouent avec leurs seins, se les caressent d’abord seules puis réciproquement,
Britta fait se retourner Jessica, lui baisse sa culotte et l’envoie dans l’assistance. Mais la surprise est ailleurs ! Elle est entre les jambes de Jessica, où s’exhibe une très jolie bite. Jessica est donc une transsexuelle, une magnifique transsexuelle !
Britta lui masturbe la bite quelques instants, puis la prend dans sa bouche avant de narguer l’assistance.
– Hum, elle est trop bonne sa bite ! Quelqu’un voudrait gouter ?
Hésitation dans l’assistance, il y a probablement des volontaires potentiels, mais personne s’ose se dévoiler.
– Toi ! Indique-t-elle alors en désignant un petit chauve. Je suis sûre que tu en meurs d’envie !
– Euh !
– Allez monte sur scène, tu ne vas pas le regretter.
Le bonhomme hésite encore un peu
– Bon, tu te décides ? Rends-toi compte de la chance que tu as, si tu te dégonfles je vais être obligé de désigner un autre volontaire.
Britta finit par venir le chercher en le prenant par la main et l’entrainer sur la scène.
– Voilà, mets-toi à genoux devant elle, et pour le moment tu lui branles un peu la bite. Mais dis-moi : tu as déjà sucer des bites ?
– Euh, y’a longtemps !
– C’est vrai ça ? T’es venu avec un copine ce soir ?
– Oui !
– Comment elle s’appelle ?
– Gisèle !
– Gisèle, vous êtes là ?
– C’est moi ! Annonce une belle brune à lunettes en se levant de son siège.
– Vous êtes très belle Gisèle, montrez-nous vos seins.
Pas gênée pour deux sous la jolie mature se dépoitraille dévoilant une belle paire de nénés.
– Tu savais que ton mari suçait des bites ?
– Bien sûr, c’est un gros cochon !
– Bon toi, le petit chauve, t’attends quoi pour le sucer ?
– J’y vais !
Et le mec après avoir léché la colonne et le gland, fourre tout le paquet dans sa bouche avant de se livrer à une série de va-et-vient.
– Bon ça va, laisses-en pour les autres, t’aurais bien voulu qu’il t’encule, hein ?
– Pourquoi pas ?
– Gros gourmand ! Je parie que tu bandes comme un porc ! Lui dit Britta en lui touchant la braguette. Oh, mais oui, tu bandes ! Baisse ton pantalon que tout le monde puisse bien voir ta bite et
des fesses de pédé.
– Euh !
– Euh quoi ? Tu ne veux plus jouer ?
– Si, si ! Répond-il en baissant pantalon et boxer.
C’est alors que Jessica intervient :
– Mais il nous a menti tout à l’heure, en nous disant qu’il ne suçait pas si souvent.
– Elle a raison ma copine ! Reprit Britta, ça mérite une punition.
– 10 coups de martinet peut-être ? Propose Jessica
– Non…
– Laisse toi faire, tu l’as bien mérité ! Lui crie sa compagne
– Bon ben allez-y, je me laisse faire.
– Mais ce sera 15 coups au lieu de 10, ça t’apprendra à rouspéter.
Britta s’empare d’un martinet mais avant de commencer s’adresse à l’assistance.
– Bien, messieurs-dames on va compter les coups tous ensemble ! On y va !
– Un…
L’ambiance est déchainée, on compte les coups. Mes deux voisins ont la bite sortie de leur braguette, je m’en empare et les branle, mais pas trop vite, la soirée n’est pas terminée
– Quatorze, quinze.
Le bonhomme a maintenant les fesses rouges comme des tomates. Il se reculotte et regagne sa place sous les acclamations du public en délire.
Les deux femmes déplacent la petite banquette de 90 degrés ! Pourquoi donc ? Eh bien pour que les spectateurs puissent mieux voir, car, Jessica et Britta s’y installent en soixante-neuf, La transsexuelle en dessous et Britta au-dessus, son magnifique fessier tournée vers le public.
Ça dure un certain temps mais pendant ce temps-là le spectacle est aussi dans la salle. Mon voisin de gauche a trouvé le moyen de se faufiler entre mes cuisses et me lèche divinement la chatte, tandis que celui de droite s’amuse à me tripoter les nichons.
Du bruit sur la scène, les deux « artistes » remettent la banquette dans sa position initiale et s’y assoient côte à côte, elle s’échangent des pinces à linges qu’elles se fixent mutuellement sur les tétons. Britta s’est saisie d’un joli gode bleu avec lequel elle s’astique la chatte. Ne voulant pas être en reste Jessica en fait de même avec un gode rouge qu’elle fait aller et venir dans son trou du cul accueillant.
Et voici que quelqu’un sort des coulisses côté cour, c’est une belle femme mature aux cheveux blond vénitien coupés assez courts, elle est complètement nue et tient en laisse deux labradors, un beige et un noir..
Pas difficile de deviner ce qui va se passer.
– Bonsoir tout le monde, je suis Laurence ! Nous indique la dame. Et j’adore baiser avec mes chiens.
Britta et Jessica remettent la banquette à 90 degrés, puis cette dernière disparaît en coulisse pour revenir avec une chaise qu’elle place devant la banquette et sur laquelle Laurence s’assied.
On a donc si tout le monde a bien suivi, Laurence et Britta devant le public, de profil.
Rapidement les chiens viennent immiscer leur museau entre les cuisses des deux femmes, et c’est partie pour une partie de léchouille que ces dames semblent apprécier en se tortillant les tétons.
L’affaire dure cinq ou dix minutes, difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances.
Puis, Jessica fait coucher les chiens, Laurence se relève et s’adresse au public :
– Si vous saviez comme c’est agréable de se faire lécher la moule par un chien ! N’est-ce pas madame ?
Je n’ai pas réalisé immédiatement que c’était à moi qu’elle s’adressait.
– Ben alors, vous ne voulez pas me répondre ? Insiste la belle mature.
– Je vous crois sur parole, ça doit être très agréable ?
– Vous l’avez déjà fait ?
– Ah, non !
– Eh bien venez sur scène, on va combler cette lacune.
– Non, non, moi je regarde !
– C’est quoi ton prénom ?
– Monique !
– Mais c’est qu’elle veut se faire prier, Monique ! Mesdames, messieurs encouragez-là !
Je n’y crois pas, l’assistance se met à scander « Monique, Monique ». Je cherche secours du côté de mon compagnon. Je t’en fous, il hurle avec les autres.
Je suis coincée, enfin, façon de parler, je peux toujours m’en aller, on ne me retiendra pas de force ! Mais comment va réagir Philippe ? Après tout je m’en fous. Toutes ces réflexions se déroule à 100 à l’heure dans ma pauvre tête, à ce point que je me suis à peine aperçu que Laurence était descendue dans la salle, m’avait pris la main et me tirait vers la scène.
Le public applaudit ! C’est moi la vedette. Laurence approche sa bouche de la mienne, on se roule un patin d’enfer puis elle me demande de me déshabiller.
On m’invite à m’assoir sur la chaise. Je ferme les yeux, le chien arrive ! Il me lèche, Quelles sensations ! Laurence ne mentait pas, cette langue est diabolique, à moins que ce soit la perversité de la situation, mais je me mets à mouiller comme une fontaine.
Quelques minutes plus tard, Laurence dégage le chien et me dit :
– Reste là un moment, pour la suite, tu vas être aux premières loges.
Ben oui, la suite est devant moi, Jessica et Britta ont fait coucher le chien noir sur le flanc, sa bite est sortie par l’arrière, un machin rouge, tout raide.
Jessica suce le bite baveuse en prodiguant des grand sourires complices à un peu tout le monde, puis Britta prend le relais
Le spectacle est fascinant, il y a là-dedans quelque chose d’absolument pervers, esthétiquement ça n’a rien de génial, mais qu’on puisse faire ça en toute décontraction me sidère.
Et tandis que les deux belles complices continuent de se repasser la bite du chien noir, Laurence s’est mise à sucer le chien blanc.
Je savais où je mettais les pieds en me rendant avec Philippe à cette soirée luxembourgeoise, Mais jamais je n’aurais imaginé que je serais là sur une scène, le pubis encore humide de la bave du chien.
On va maintenant me demander de sucer à mon tour ! C’est inévitable, sinon on ne m’aurait pas demandé de rester sur ma chaise. Et je vais faire quoi, je vais dire quoi ? En attendant je reste prostrée sur mon siège, incapable de détacher mes yeux de ce spectacle tabou.
Britta se relève, le visage dégoulinant de la mouille du chien
– Mesdames, messieurs, je fatigue un peu si quelqu’un veut me remplacer ?
Pas de réponse !
– Qu’est ce que tu en penses, toi, la salope à lunettes ?
– Moi ? Demande Gisèle, la compagne du petit chauve de tout à l’heure.
– Ça te dirait de sucer la bite d’un chien ?
– Je veux bien essayer, mais juste essayer.
– Alors fous-toi à poil et viens sur scène.
Elle n’avait plus grand-chose à enlever, elle le fait et rejoint la scène sous les applaudissements.
Décontractée, la nana, elle n’a même pas hésité, elle s’est baissée et hop, la bite baveuse dans la bouche.
Britta vient alors me rejoindre en m’offrant ses lèvres. on se caresse on se pelote, cette fille est la douceur même.
– Maintenant va aider Gisèle à sucer le chien.
Je l’attendais celle-là. J’y suis allé comme un zombie, j’ai embouché la bite du chien sans réfléchir, comme ça d’un coup d’un seul. Je me suis sentie salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excitait.
Un coup de gong. Laurence se relève !
– Et maintenant le final ! Il va être grandiose annonce-t-elle.
Britta et Jessica se positionne en levrette, le cul bien cambré, les cuisses bien écartées.
– Vous deux, pour l’instant vous regardez !
Je m’assois sur la banquette, Gisèle me rejoint et sans me demander quoique ce soit se met à me caresser mes nichons. Là ou il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !
Et sur un signe de Laurence, c’est l’assaut, les deux bestioles montent sur leurs partenaires humains, Jessica se fait enculer par le chien, le spectacle est inouï, le chien la baise comme un métronome, on le dirait monté sur piles tellement il s’agite sans s’épuiser !
Et du côté de Britta c’est à peu près la même chose, sauf que j’ignore dans quel orifice le chien opère, d’où je suis-je ne vois pas bien.
– Tu vas le faire ? me demande Gisèle.
– Je ne sais pas trop… et toi?!
– Ah, oui, faut que j’essaie ça !
Les chiens se sont momentanément calmés, Britta et Jessica se sont relevées.
– Mesdames si ça vous tente ? Nous demande Laurence.
– Pour moi c’est d’accord ! Répond Gisèle qui est invitée à se mettre en levrette sur le tapis.
Je l’ai imité et le chien est venu me baiser me provoquant une jouissance aussi intense qu’imprévue tandis que le public applaudissait à tout rompre.
Et ensuite comme nous étions au théâtre, je suis venue saluer le public en compagnie de Gisèle, de Britta, de Jessica et de Laurence.
L’orgie s’est poursuivie dans la salle, mais j’étais crevée, j’ai demandé à Philippe les clés de la voiture, il m’a rejoint un quart d’heure plus tard après avoir baisé je ne sais plus qui.
Fin du récit de Monique
Et ainsi s’achève (provisoirement ?) mes aventures partouzardes et celles de nos amis.
FIN