Le blog de vassilia-x-stories
Je suis Ophélie, 35 ans divorcée et sans enfants. Grande brune, cheveux longs, yeux bleus. Je suis conseillère bancaire et je viens d’avoir une belle mutation en province.
C’est en faisant mon jogging dans le bois environnant que je suis tombée sur ce gros chien beige manifestement affamé et stressé, probablement un labrador croisé avec je ne sais pas quoi. Il est venu me renifler, je l’ai caressé, il n’a pas voulu me quitter, je l’ai adopté et bichonné, c’est une brave bête. Je l’ai baptisé Cookie.
Je le promène deux fois par jour, le matin de bonne heure et en fin d’après-midi après ma journée de travail. Je me rends pour se faire au « Parc des Anges ».
Bien sûr je ne suis pas la seule propriétaire de chien et les rencontres sont nombreuses, Simple échange de politesse, phrases convenues, quelques casse-pieds des deux sexes, les inévitables dragueurs, les mémères aux discours intarissables. Je reste polie mais réservée, je n’ai pas envie qu’on m’emmerde.
Ce jour-là, Cookie était manifestement pressé, je ne me suis pas changée et suis redescendu vêtue de mon tailleur pied de poule
– Mâle ou femelle ? Me demande une dame rousse dans la cinquantaine tenant en laisse un grand labrador noir.
– Bonjour madame ! Répondis-je simplement.
– Oh ! Pardonnez mon impolitesse !
– Pas grave !
– Mais je vois que c’est un mâle ! Il m’a l’air bien excité ! Vous avez vu sa bite ?
C’est qui cette cinglée ? Je m’apprête à filer mon chemin, mais quand même, je me demande… Je vérifie, mon chien a effectivement la pine en érection.
– Ben mon toutou, qu’est-ce qui t’a mis dans cette état ?
– C’est moi ! Répond la dame !
– Pardon ? Votre chien c’est une femelle ?
– Non c’est un mâle, la femelle, c’est moi !
Je vous dis, elle est frappée.
– Vous savez que vous êtes très belle ? Reprend la rousse.
– J’en suis fort aise, bonne fin de journée madame.
– C’est la première fois que je vous vois dans le coin !
– Il y a toujours une première fois !
– Accepteriez-vous que je vous paie un verre ?
– C’est gentil, mais en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, vous me paraissez très sympathique.
– Eh bien merci, je vous laisse !
– Et vous allez laisser votre chien avec sa bite en rut ?
– Mais enfin madame !
– Désolée pour la provocation, mais je pense que nous serons amenées à nous rencontrer de nouveau !
Ben oui, c’est bien ça qui me navre !
Et puis, sans savoir pourquoi, je lui balance :
– Vous tenez ce genre de discours à tous les habitués du parc ?
– Certainement pas, je tiens à ma réputation !
– J’ai peur de ne pas comprendre !
– J’ai été profileuse dans la police, ça laisse des traces !
Mytho en plus !
– Quel rapport ? Et des traces de quoi, d’abord ?
– Vous êtes célibataire, probablement suite à une déception, vous entendez le rester, mais votre sexualité n’est pas éteinte…
– Mais…
– Et c’est avec les femmes que vous vous consolez parfois ! J’ai bon ?
Une sorcière, j’ai rencontré une sorcière !
– Et si vous me foutiez la paix ?
– Je suis moi-même un peu goudou ! Ça vous dirait qu’on passe un petit moment ensemble ?
Du coup je la regarde différemment, Le visage est agréable, jolie peau (je devrais dire joli maquillage),. le sourire carnassier, jolies lèvres, les yeux dissimulés sous des verres légèrement teintés. Elle est vêtue d’une robe imprimée très légèrement décolletée par-dessus laquelle elle a enfilé un blouson de cuir qu’elle a laissé ouvert. Pendant quelques courts instants mon esprit vagabonde et je l’imagine en train de me sucer un téton. Je dois être complétement frappée !
– Vous voudriez me violer ?
– Je ne ferais rien sans votre permission.
Je reste là, figée comme une andouille, au lieu de la laisser planter là ! Je sens que je vais me faire avoir. L’autre n’est pas folle et a bien compris que je suis maintenant à deux doigts d’accepter de la suivre..
– Vous ne le regrettez pas, je sais être très douce et il parait que je lèche bien.
– Mais enfin, nous ne nous connaissons pas !
– Ce sera donc une excellente façon de faire connaissance, non ?
– Je vais peut-être me laisser tenter !
– Ben voilà !
– Mais j’ai quand même l’impression que je vais faire une bêtise…
– Il y a des bêtises qu’il est agréable de partager, allez viens ma grande, je vais te lécher bien comme il faut.
– Euh, mon chien ?
– Ben vous l’emmenez !
Elle n’habite pas très loin du parc, pendant le trajet, elle monopolise la parole en me parlant du temps qu’il fait et du temps qu’il va faire ! C’est fou comme c’est passionnant, mais ça m’empêche de réfléchir.
On arrive, immeuble cossu, appartement qui pue le fric, encombré d’une myriade d’objets, Après m’avoir libéré de ma veste de tailleur, elle m’invite à m’assoir sur le canapé du salon u milieu d’une imposante bibliothèque.
– J’ai un excellent Porto, ça vous dit ?
– Pourquoi pas ?
Je me demande ce que je fous là, elle arrive avec la bouteille et deux verres qu’elle remplit. Elle s’assoit à ma gauche, on boit…
– On se tutoie ? Je m’appelle Sonia.
– Pas de problème, moi c’est Ophélie.
– Tiens regarde ! Me dit-elle en soulevant sa robe ! Je n’ai pas mis de culotte ! Précise-t-elle au cas où je ne m’en serais pas aperçu.
Je me demande que faire ! Je suppose qu’il faudrait que je me lève et que je m’approche d’elle…Mais les choses se passèrent tout à fait différemment.
Tango le chien de Sonia vint intercaler son museau entre les cuisses de sa maîtresse.
– Attend, mon chien, ne soit pas pressé ! Oui tu me lèches bien, mais fous le camp maintenant, allez couché. !
Le chien s’en va comme à regret, mais voilà que Cookie tout content de trouver la place vacante s’en vient le remplacer en frétillant de la queue.
– Oh, o, dirait bien que ton chien est aussi vicieux que le mien !
– Cookie, arrête d’embêter la dame ! Me crus-je obligé de dire.
– Il ne m’embête pas, si tu savais comme c’est agréable ! Il te fais ça aussi ?
– Euh, il voudrait bien, mais je l’ai toujours empêché.
– Tu devrais essayer !
– Non, non !
– Arrête ! Je vois bien que tu en meurs d’envie !
– Mais non !
– Mais si !
Et à ce moment Sonia approche son visage du mien. Son odeur me fascine, j’entrouvre la bouche, j’accepte sa langue et c’est parti pour un baiser fougueux. J’étais déjà troublée par cette rencontre, mais maintenant je fonds, me voilà en train de mouiller ma culotte..
Elle me pelote les seins à travers mon chemisier, cherche le téton, le trouve, le pince. Et c’est instinctivement que je porte ma main vers sa chatte, mouillée elle aussi, sa chatte que le chien vient de lécher !
– On va peut-être se mettre à l’aise ! Me propose Sonia.
Et hop, elle enlève sa robe en-dessous de laquelle nichait un joli soutien-gorge en dentelle rose qu’elle conserve pour le moment.
Une belle femme, bien foutue, de belles cuisses, j’ai toujours aimé les jolies cuisses !
Je ne peux faire autrement que de l’imiter ayant trop envie de de mettre à poil afin que cette belle bourgeoise puisse s’occuper de moi, et contrairement à elle j’enlève tout, y compris le soutif
Je me rassois, Sonia vient me lécher les tétons ! Mon dieu quelle langue ! Je mouille de plus en plus et j’écarte les jambes voulant par-là lui signifier que j’aimerais bien qu’elle vienne s’occuper de mon minou !
Mais voilà que justement une langue râpeuse vient s’en occuper ! Je réalise alors que cette langue est celle de Tango.
– Non !
– Laisse-toi faire ! Me dit Sonia, il ne va pas te faire du mal… au contraire.
Alors je me suis laissé faire, une langue de vieille gouine sur mes nichons, une langue de clébard sur ma chatte. Je me sens salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excite ! Allez y comprendre quelque chose ?
Mon chien Coolie n’est pas resté inactif et s’occupe de la chatte de Sonia.
On se pelote, on se caresse, je lui dégrafe son soutien-gorge dégageant deux belles mamelles laiteuses au tétons durcis que j’honore de ma bouche.
– Bon le chien, tu fais quoi ? T’as envie de me prendre, c’est ça ! Dit-elle à l’adresse de Cookie. Attends, couche-toi un peu, je vais te sucer la bite ! Tu permets, Ophélie que je suce la bite de
ton chien ?
– Tu ne vas pas faire ça ?
– Ben quo ? Je ne vais pas lui faire de mal.
– Mais quand même…
– Quand même quoi ?
– Je ne sais pas, je ne sais plus où j’en suis, vas-y ,je te regarde.
Et la voilà qui attrape la bite du chien, la fait passer sous son arrière-train et commence à lécher. En même temps, elle me regarde, un regard extatique.
– Comment… comment tu peux faire une chose pareille ? Balbutiais-je.
– Ben tu vois, je me sers de ma bouche !
La question était un peu idiote, je le conçois !
– Viens essayer !
– Non, non, je regarde, c’est tout !
– Alors approche-toi mieux !
– Pour quoi faire ?
– Donne juste un petit coup de langue ! Un tout petit, pendant une seconde !
Ben oui, une seconde ce n’est pas beaucoup ! Est-ce que je suis capable de faire ça ? Je reprends ma respiration ! Je me lance, ma bouche s’approche, je recule, je recommence, je ne sors pas ma langue mais mes lèvres touchent la bite du chien.
– Un peu mieux que ça ! Me dit Sonia.
Elle m’énerve ! Elle a vraiment besoin de me regarder ? je recommence, sors un petit bout de langue, Je lèche un peu, c’est doux, c’est agréable, je me recule pour reprendre mon souffle et j’y retourne et cette fois je n’hésite plus, je lèche la bite du chien ! Je ne me serais jamais cru capable de faire une telle chose !
On n’arrête pas, on est déchaîné, on suce, on lèche alternativement ou ensemble, juste une petite pose pour se rouler une pelle. Je me sens chienne, c’est le cas de le dire.
Et soudain, Sonia se relève.
– Viens me brouter la chatte !
Elle se dirige vers le canapé et s’y allonge de tout son long, après avoir envoyé les chiens se coucher. Je la rejoins. Bien sûr que je vais lui lécher la chatte, mais moi aussi je veux jouir. Je me couche sur elle en position de soixante-neuf, et c’est parti.
Sa chatte est charnue, visqueuse à force d’être imbibée de mouille, je lèche, c’est délicieux. Elle me rend la pareille en agitant sa langue comme une forcenée.
– Un doigt ! Fous-moi un doigt dans le cul ! Me demande-elle en soulevant légèrement son bassin.
Pourquoi pas ? J’ai le nez sur son anus, la peau y est légèrement plus brune qu’ailleurs il sent un peu fort, il sent le cul, quoi ! Il est attendrissant. Je le lui embrasse, je sors ma petite langue, j’aime bien, mais puisque c’est le doigt qu’elle veut, je me mouille l’index et le lui enfonce dans le cul.
Sonia pousse des petits cris et me fait la même chose. Elle est bien gentille, et j’apprécie la chose mais j’aurais préféré qu’elle continue à s’occuper de mon minou..
Au bout de quelques minutes, je commence à fatiguer du doigt et reprends mon léchage de chatte. Miracle de la spontanéité elle fait pareil et cible mon clito avec sa langue diabolique.
Je ne vais pas tenir longtemps et fais à mon tour virevolter ma petite langue sur son gros clito fièrement érigé.
Elle m’a fait jouir la première ! Une jouissance intense qui m’a lessivée, mais je m’en serais voulu de ne pas rendre la pareille à cette charmante personne et reprenant mes coups de langue je l’emmenais à son tour vers le jouissance.
Moment calme assorti de quelques petits câlins. Elle me propose un autre Porto, je lui répond que je préférai un grand verre d’eau.
– Ça va te faire pisser ! Me dit-elle en m’apportant un verre.
– Justement il faut que j’y aille, c’est où ?
– Je vais te montrer !
Elle m’accompagne jusqu’à la porte des toilettes.
– Ça t’embête si je te regarde pisser ? Me demande-t-elle.
– Ah ? Non !
Je pisse en me positionnant de façon à ce qu’elle puisse bien voir. Son doigt vient rencontrer la trajectoire du jet de mon pipi. Elle le porte à la bouche.
– Hum, il est délicieux ton pipi !
– Ah bon ? Répondis-je bêtement.
– Tu as déjà joué a des jeux de pipi ?
– Ma foi non !
– Et tu aimerais essayer ?
– On a déjà fait beaucoup de choses…
– Mais tu n’es pas contre ?
– On verra !
– O.K on verra,! Tu veux que je t’étonne encore ?
– Il va falloir que je rentre…
– Tu n’es pas à un quart d’heure près quand même ?
– Non !
Nous nous dirigeons de nouveau vers le canapé. Et au lieu de s’y assoir, Sonia se pose à genoux, le jambes écartées, le cul offert. Elle ne va tout de même pas…
Ben si !
– Tango ! Viens mon chien ! Vien sauter ta maîtresse.
L’assaut fut rapide, le chien a déboulé à toute vitesse et s’est mis à niquer sa maîtresse à une fréquence infernale. La scène devait interpeller Cookie qui se mit à nous tourner autour, comme attendant son tour. Le spectacle me fascinait.
– Il ne te fais pas mal, au moins ? Demandais-je !
– Oh, non que du plaisir, c’est trop bon ! Aaahhh !
Serais-je capable de faire une chose pareille ? Au point ou j’en suis… J’adopte la même position que Sonia. L’instant d’après Cookie me couvrait ! Quelle sensation un vraie mécanique infernale. Je me suis mise à gueuler, Sonia gueulait aussi ! J’espère que ses murs sont insonorisés ! On a joui comme des malades, On s’est libéré des chiens mais ne souhaitant les laisser dans cet état, nous les avons sucés. J’y prends gout, savez-vous !
Les meilleures choses ont une fin ! Cette expérience m’a beaucoup plus ! Et puis cette Sonia est charmante, j’aimerais faire quelque chose qui lui fasse plaisir.
Je crois que j’ai trouvé
– Sonia avant de partir, je voudrais goûter à ton pipi !
FIN