Le blog de vassilia-x-stories
Un soir que nous parlions, je proposais à Sophie d’aller revoir notre pâtissière et sa forêt noire. Sophie appela :
– Allô, bonjour c’est Sophie…. , je ne sais pas si vous vous souvenez, mais nous sommes venus avec mon ami, déguster une forêt noire il y a une dizaine de jour, – oui je m’en souviens très bien,
d’ailleurs mon mari a adoré la petite culotte que vous m’avez laissée
– Ah ! monsieur aime les parfums intimes – Oui beaucoup, moi aussi d’ailleurs, par contre je suis désolée vous ne pourrez pas la récupérer, mon mari est en voyage, et la porte sur lui.
– Mais c’était un cadeau, j’appelais pour savoir si nous pouvions passer, dans 20 minutes ne sachant pas l’heure de la fermeture
– La pâtisserie sera close, mais sonnez et je me ferais un plaisir de vous accueillir, en plus nous ne serons pas dérangés.
– Bon habillons-nous, me dis Sophie !
Elle mis un chemisier blanc transparent, retira sa culotte me la tendis. Aussitôt, je humais les parfums subtils de cyprine et de pisse qui s’en dégageait.
– Enfile la chéri, je suis sûre que tu préfèrera porter des sous-vêtements féminins que tes slips en coton.
Elle mis des bas noirs et un porte jarretelle noir, et chercha dans la panière à linge sale une petite culotte noire en dentelle, à travers laquelle elle avait uriné debout dans une file
d’attente.
Nous prîmes nos manteaux et après dix minutes de voiture, nous nous garâmes en face de la pâtisserie.
Arrivés devant la porte, il ne fut pas nécessaire de sonner, la porte s’ouvrit.
– Bonsoir, Sophie moi c’est Solange, installez-vous j’arrive, juste le temps de ranger quelques bricoles.
Une table nous attendait avec deux assiettes Solange revins avec deux flûtes à champagne.
-Je pense que vous apprécierez les serviettes. Bertrand, la vôtre est encore chaude
En fait de serviettes il s’agissait de deux petites culottes blanches. Je pris la mienne elle était toute chaude et humide. Je l’ouvris découvrant de larges auréoles et quelques poils noirs frisés. Solange m’observait et je pris un grand plaisir à lécher le fond de sa culotte.
– Ah ! j’ai oublié de vous dire, nous dit Solange, mon mari excité par votre aventure de l’autre jour m’a autorisé à faire visiter ma forêt noire, mais il m’a interdit que vous y pénétriez
– Pas de problème répondit Sophie, je porte garant de la queue de Bertrand.
– Bon je reviens dans 5 minutes.
Sophie ouvrit à son tour la serviette surprise de son verre, et mon montra le fond taché de jaune de la culotte.
– Eh bien, je crois qu’elle ne s’essuie pas la chatte après le pipi la cochonne
– Dis-moi Sophie et si on remplissait les verres
– Tu ne veux quand même pas que je pisse dedans
– Oh ! si je veux voir un liquide jaune d’or dans ces flûtes
– Ok, de toute façon, elle n’est pas obligée de boire
Lorsque Solange revint avec une bouteille de champagne et un plateau bourré de gâteaux au chocolat, nous vîmes qu’elle s’était changée. Notre brune de 45 ans avait mis un tablier de soubrette noir avec son surtablier blanc en dentelle qui partait des hanches. Elle ne portait rien en haut en dessous, et ses deux grosses mamelles bougeaient librement en dessous, ballottées par la marche de Solange. Ses bras légèrement écartés pour tenir le plateau découvraient deux touffes noires abondantes sous ses aisselles. Pour le bas, on découvrait des jambes rondes et gainées de noir.
Solange surprise :
– Vous aviez amené une bouteille ?
– Pas vraiment lui répondit Sophie avec un grand sourire
– C’est une fabrication maison, précisait-je, un grand cru classé Rousse-Sophie Ça ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non dit Solange,
– Bertrand, montre comme tu apprécies ma liqueur dorée.
Je fixais Solange, pris mon verre et dégustais une première gorgée. Puis je décidais de boire tout cul-sec et me léchais les lèvres que Sophie venais d’embrasser. Sophie pris son verre et le
tendit
– Solange vous voulez peut-être goûter ?
– J’allais vous le demander, c’est la première fois que je goutte un cru de rousse –
– Vous aussi vous aimez la liqueur dorée
– Disons qu’il nous arrive avec mon mari de boire à la source.
Solange était vraiment surprenante, nous qui pensions être les seuls à pratiquer l’Uro, nous découvrions une véritable complice. Solange nous sourit, pris un doigt le trempa dans le verre et le suça. Puis elle le retrempa et déposa une goutte d’urine sur son cou. Nous vîmes la goutte couler jusqu’au sillon vertigineux de ses gros seins. Puis elle porta le verre à ses lèvres et entreprit de boire son contenu gorgée après gorgée. Lorsqu’elle eut la dernière gorgée dans la bouche, elle ouvrit celle-ci et nous montra sa langue et ses dents baignant dans l’urine de Sophie. Et elle avala la dernière Gorgée et nous dit
– Un vrai nectar, mais vous n’avez plus rien à boire ; Que diriez-vous d’un château brune sauvage ?
– Avec plaisir répondis-je
– Mettons plus à l’aise dit Sophie, je crois que nos vêtements sont ridicules –
– Effectivement j’en meurrrrrre d’envie, Bertrand viens défaire le nœud de mon tablier
– Vas-y cochon, me dit Sophie, tu meures d’envie de toucher cette grosse salope.
– Parce que, tu te crois une oie blanche, la grosse rousse, dit Solange
– Je n’ai jamais dit que je n’étais pas une grosse truie
Je me collais derrière Solange et défie le nœud derrière son cou, tandis qu’elle soulevait ses cheveux. J’en profitais pour glisser sur le côté et embrasser son aisselle poilue. Elle était toute humide et sentait fort
– Allez lèche Bertrand, obéi à Solange
– Tout de suite Solange,
Pendant ce temps, j’avais détaché le haut de son tablier, découvrant ainsi de gros seins bien lourds et bronzés, qui pendaient sur son ventre. Je laissais son aisselle et entrepris de détacher le tablier tenu par une ficelle au niveau des hanches. De son côté Sophie était en petite tenue et écartait les cuisses, montrant à Solange sa touffe abondante et rousse qui dépassait de sa petite culotte en dentelle noire. Solange n’avait pas remis de culotte et une forêt sauvage brune nous apparut, lorsque le tablier glissa au sol.
Je bandais comme un âne et Sophie vint me déshabiller. En baissant mon pantalon, elle dit
Solange tu m’as donné une idée tout à l’heure, à partir d’aujourd’hui Bertrand ne portera plus que mes petites culottes
– Regarde ma chérie comme il bande dans ta culotte ton mec
– Oh ouiii ça t’excite salaud !
– Oui vos chattes luxuriantes me donnent soif
Solange monta sur la table et me demanda de tendre les verres. Elle s’accroupit et lâcha sa vessie Je remplis un verre, puis le deuxième, mais cela déborda, alors je plaquai ma main sur sa moule et la frottai pendant que les dernières gouttes sortaient. Puis Solange demanda à Sophie de la nettoyer. Sophie fit descendre Solange l’installa dans un fauteuil les cuisses sur les accoudoirs, se mis à quatre pattes et lui lécha la fente.
– MMM ça sent la marée, Solange, tu es une vraie truie
– Oh oui je suis une grosse truie, mon mari m’interdit de m’essuyer aux toilettes quand je fais pipi, et la douche m’est permise que le dimanche soir
– Mmmm tu mouilles comme une fontaine, viens Bertrand goutte-moi cette touffe
Elle dégageait un parfum différent de Sophie, elle sentait fort comme ma rouquine mais avec d’autres effluves. J’étais très excité et Sophie me caressait les couilles, je lui fit signe d’arrêter
ne voulant pas exploser trop tôt. Sophie proposa un 69 à Solange, qui accepta avec empressement. Solange qui avait eu un avant-goût des parfums de la chatte rousse de Sophie à, travers la culotte
que nous lui avions laissée se plongea avec ivresse dans la forêt de poils humides de Sophie.
– MMM c’est tout poisseux, salope fit Solange
– Bertrand aime beaucoup mes sécrétions abondantes
– Il a raison et de la chance, mmmmm c’est vraiment bon
– Bertrand Prend moi par derrière pendant que Solange me bouffe ma grosse moule.
Je m’approchais des fesses rebondies de Sophie et Solange les écarta pour me faciliter le passage. Sous les caresses de Sophie, Solange fut la première à jouir.
– Oh oui , ouiii mm vas-y plus fooooort , aaaaaah OOOOUUUUUUIIIIIIIII
-Bertrand je viens aussiiiiii- cria Sophie avant de s’écrouler sur le corps de Solange.
J’étais sur le point de craquer, lorsque Solange me dit
– Donne-moi ta crème
Et joignant le geste à la parole, elle retira ma bite du cul de Sophie et l’avala, il ne me fallut pas 30 seconde pour lécher mon sperme gras dans la bouche de Solange la goulue. Solange ouvrit la bouche pour me montrer le sperme qui la remplissait et avala. Sophie se redressa la touffe au-dessus du visage de Solange et lui dit ouvre la bouche
– Salope, je vais te rincer les dents.
Je vis le visage de Sophie se crisper, signe qu’elle essayait de pisser, puis j’entendit le jet magique sortir et vis Solange qui essayait d’en avaler le maximum, pendant que ses mains caressaient les cuisses velues de Sophie.
– Et moi on m’oublie dis-je
-T’en fait pas dit Solange
Elle s’assit sur une chaise écarta ses grosses cuisses se pencha en arrière. Je me mis à genou entre ses cuisses à 30 cm de sa grosse moule poilue je vis ses grosses lèvres bouger s’écarter lentement et un jet dru sortir et venir éclabousser mon ventre. J’ouvris la bouche et vins me coller à sa chatte pour boire un maximum de pipi chaud.
Nous étions passablement trempés et Solange nous amena à sa salle de bain pour prendre une douche. J’étais le seul à ne pas avoir encore vidé ma vessie. Sophie et Solange se mirent à genoux dans la baignoire et je commençais une douche dorée passant d’une bouche à l’autre. La pisse dégoulinait de leur menton sur leurs gros nibards avant de couler sur leur touffes sauvages. Sophie trempa ses fesses dans la flaque d’urine de la baignoire et me les tendis à lécher. Mon sexe repris de la vigueur je fis mettre Sophie debout jambes écartées, les mains en appuis sur la baignoire.
Solange se mis sur le côté une jambe sur un rebord de la baignoire et tout en se masturbant dirigea la manœuvre :
– Vas-y Bertrand, fourre ta grosse bite dans la moule de cette salope
– Tu aimes ça Sophie t’exhiber en train de te faire mettre, hein ?
– Oui j’aime que tu nous observes
– Vas-y plus fort ramone-lui le conduit à cette grosse vache ! t’aimes ça la rouquine te faire défoncer
– Oui c’est bon un gros sexe qui me laboure la chatte
– Vas-y plus fort Bertrand je veux entendre gueuler ta grosse truie, ce sac à pisse, mmmm oui continue, je jouiiis ohh ouiiiiiiiiii
Son explosion déclencha la nôtre et nous nous retrouvâmes, je ne sais comment tous les trois enchevêtré au fond de la baignoire. J’étais en dessous, un peu écrasé. J’avais le nez entre les fesses de Solange. Un vrai plaisir d’autant qu’elle écrasa son gros cul sur mon visage. Elle se redressa et sans prévenir laissa un filet d’urine couler sur mon visage. Après une bonne douche, nous nous rhabillâmes
Sophie offrit sa culotte à Solange
– Pour ton mari !
Solange nous donna un paquet de pâtisserie et nous nous quittâmes, non sans se promettre de remettre ça mais avec son mari cette fois.
FIN