Le blog de vassilia-x-stories
Le coin de Cathy par Pasteque
Il y avait cette année-là un championnat ou une coupe de quelque chose. Cathy et son mari nous invitèrent le dimanche suivant à profiter dans leur jardin du beau temps revenu autour d’un barbecue en attendant l’heure du saint office footballistique. Jean-Pierre et Kevin ayant entretenu la flamme de leur humeur sportive et du barbecue à grand renfort de canettes, s’effondrèrent à 15 heures devant les types en short.
Cathy semblait désireuse de reprendre notre conversation là où elle en était quinze jours auparavant. Elle me fit visiter ce qu’elle nommait » son » coin, c’est à dire le grenier du pavillon dont elle avait fait sa » salle de jeu « .
C’était assez puéril : un sofa profond, une chaine hifi, des spots de couleur, on aurait dit le rêve érotique d’une gamine de quinze ans.
En minaudant dans son short et son cache cœur de poupée Barbie elle mit en route un programme disco à l’eau de rose et commença à se trémousser sur ses talons au milieu de la pièce. Comment avais-je pu tomber amoureuse de cette bimbo égocentrique deux semaines auparavant ?
En cavalier très macho je la pris brutalement dans mes bras pour une salsa endiablée. Je danse très bien et j’adore ça.
Pliée dans tous les sens, soumise à une autorité qui m’étonnait moi-même, elle se liquéfia en quelques secondes. A la fin de la danse, elle ne savait plus qui elle était.
Je lui enfonçai dix centimètres de langue jusqu’aux amygdales en lui pétrissant les seins et les fesses. Sur le sofa elle nous déshabilla religieusement puis se pencha sur ma toison en brandissant ses fesses à portée de ma main.
– Parle-moi mal me dit-elle.
– J’aimerais avoir une pine de cheval pour te l’enfoncer dans le gosier et t’enculer avec, lui murmurai-je à l’oreille tout en fourrant deux doigts dans son anus élastique.
– Mais v’ai egvactement fe qu’il faut pour fa, susurra-t-elle la bouche pleine de mes poils.
Vêtue de ses seuls talons aiguille, elle traversa la pièce pour fouiller dans un meuble bas d’où elle sorti un amas de sangles et de bites qui m’intrigua.
– Tu vas me baiser avec ça dit-elle avec un air presque timide.
– Je vais te baiser comme une chienne, lui dis-je.
– Oui, dit-elle
Après quelques minutes de mise en place d’un harnais compliqué mais efficace, j’avais dans le vagin quinze centimètres de zob en plastique et je brandissais vers elle un braquemard rubicond long comme un fantasme et gros comme mon bras.
Je me vengeai sur elle de tout ce que le photographe ne m’avait pas fait dans la grange, la violai debout contre un poteau, giflai ses fesses à les rendre écarlates, tordis ses seins à la faire gémir, défonçai son cul avec méthode et enthousiasme et pour finir, pissai sur elle pendant qu’elle me léchait le cul.
La douche n’était pas loin et nous nous y refîmes une beauté.
– J’ai adoré ça, me dit-elle. On le refera ?
– Oui petite pute, lui dis-je, si tu fais des clients…
– Je ferai ce que tu voudras.
Dans le salon, Kevin et Jean-Pierre crièrent ensemble. Pensant à l’instant à la même chose, nous nous précipitâmes en bas pour assister à la scène. Mais non, le PSG venait seulement de prendre un but.
fin