Le blog de vassilia-x-stories
Les libertins d’Anvers par Boris Vasslan
Ce récit est une suite (très) tardive de Route d’Anvers, qu’il n’est pas forcément nécessaire de relire
Dans cet immeuble très bourgeois, c’est une jeune fille qui m’ouvre, elle est blonde, belle et charmante, frisée comme un mouton, le décolleté au raz des tétons et un sourire désarmant. Que voici un accueil prometteur !
– Je vous présente Gertrud notre fille, et Alexis, mon fils, ils participent régulièrement à nos petits jeux érotiques. Voulez-vous une bière bien fraiche ?
– Bien volontiers !
Me voila donc chez Florence et Hubert, le couple de quadragénaires rencontré cet après-midi dans cet étrange relais de route. Je n’imaginais cependant pas que je me retrouverais chez une famille « tuyau de poêle » ! Cela-dit ça ne me choque pas plus que ça, puisque ces jeunes gens sont adultes.
Petit rappel : Monsieur est plutôt quelconque, chauve et légèrement bedonnant, mais comme on dit, il a une bonne bouille. Madame est une grande blonde coiffé à la Greta Garbo, elle s’est habillée ce soir d’une petite robe bleue hyper décolletée
Cet après-midi j’ai eu le loisir de goûter au champagne naturel de Florence qui m’a ensuite fait une pipe pendant que son mari, bisexuel, se faisait vaillamment sodomiser par un autre client de l’établissement. Et comme je devais avoir une tronche qui leur plaisait, ils m’ont invité à passer chez eux en fin d’après-midi.
Le dénommé Alexis doit avoir une vingtaine d’années et est, ma foi, fort troublant, il n’a pour tout vêtement qu’une petite culotte de femme. Il a de longs blonds cheveux bouclés, un visage très fin, il est entièrement épilé, et a de gros tétons assez sombres avec des petits piercings en anneau.
Qu’est ce qu’il me prend de regarder un mec de cette façon ? Décidemment mes petites aventures de l’après-midi ont réveillé de vieux démons… Laissons-les donc se réveiller !
Bien sûr, Florence s’est aperçue de mon trouble.
– Humm ! Alexis, débarrasse-toi de cette culotte de travelo, je sens notre invité impatient de découvrir ta bite !
Je rougis, mais Alexis s’exécute bien volontiers en me faisant un embarrassant sourire, et le voila la bite à l’air. Une jolie chose mais qui le serait encore mieux si elle bandait ! Il se tourne, me montre ses fesses, de jolies fesses agréablement cambrées dont il écarte les globes afin que je puisse mater son joli petit trou du cul.
– Beau spécimen, n’est ce pas ! Commente Florence, il est aussi bien actif que passif, et il est très endurant, il nous encule divinement, n’est-ce pas Hubert ?
– Absolument !
Eh, bien, quelle famille !
– Si vous désirez goûter à sa bite, ne vous gênez surtout pas ! Me précise la maîtresse de maison.
Et pour supprimer mes éventuelles hésitations, Alexis s’approche très près de moi, et me fait signe de le faire.
Me voila donc avec la bite de l’androgyne dans la bouche, elle est douce et agréable et je la sens grossir dans mon palais, je me recule un moment pour regarder le résultat, elle bande désormais fort correctement, joli cylindre bien nervuré au gland violacé, un petit bijou que cette bite. Je la remets dans ma bouche.
– Gardez-en pour tout à l’heure ! Me conseille Florence. Et venez vous assoir ici, Gertrud vous a apporté votre bière.
On me place au milieu du canapé, entre Hubert et Alexis, tandis que Florence prend place dans un fauteuil nous faisant face. J’aurais préféré une autre disposition, mais bon, la soirée est à peine commencée. Hubert me caresse la braguette d’un air faussement distrait.
– Je ne sais pas trop ce qu’on va faire, nous improviserons… reprend Florence. Mais autant finir la journée en beauté. Avant de vous rencontrer au restaurant, nous nous étions déjà livrés à quelques fantaisies dans la matinée. Souhaitez-vous que je vous raconte ?
– Bien sûr !
– Eh bien ce matin vers 8 heures j’avais rendez-vous avec mon coiffeur pour juste une petite rectification, il vient à domicile, c’est un très bel homme, assez efféminé, il est à voile et à vapeur et il a une jolie bite. La séance se termine souvent dans le lit. J’en ai parlé souvent à mon mari, mais il n’avait jamais eu l’opportunité de le rencontrer, mais cette semaine il est en vacances.
Le récit de Florence
– Voilà Hubert, je te présente Dominique, mon coiffeur.
– Félicitations, ma femme ne m’a pas menti, vous êtes très sexy !
– Vous aimez les hommes ? Répond le coiffeur en se passant vicieusement la langue sur les lèvres.
– Les hommes et les femmes, je suis complètement bisexuel.
– On dirait que je vous fais de l’effet ! Répond-il en lorgnant la braguette de mon mari. Auriez-vous des intentions coquines ?
Il ne répond pas, du coup je passe derrière Hubert et lui caresse la braguette.
– Humm, c’est vrai que ça bande là-dedans, souhaitez-vous vérifier, Dominique ?
– Bien sûr, si monsieur m’y autorise.
– Je vous autorise, mais j’ose espérer que vous avez conscience de ce que vous allez déclencher ?
– Mais absolument, humm, c’est vrai que c’est bien dur tout ça !
Et après quelques caresses par dessus le tissu, Dominique dézipe la fermeture éclair, et entreprend d’extraire la bite de mon époux. Il la branle quelques instants.
– Hummm ! Joli bite !
Il se met à genoux et commence alors à sucer le joli membre offert avec gloutonnerie.
– Hummm ! Je me régale ! Commente-t-il pendant une courte pause.
– Régalez-vous mon ami, elle est faite pour ça.
– Je la prendrais volontiers dans mon cul !
– Cela me paraît en effet une intéressante suggestion.
– On va dans la chambre, alors ? Suggère le coiffeur.
– Non on va rester là, ça m’amuse, déshabillez-vous donc que je vois comment vous êtes fait.
Dominique se déshabille, son corps est glabre. Il a une jolie bite assez fine avec le gland bien dégagé, et en ce moment elle est raide comme un bambou.
Hubert appelle alors Gertrud. Le coiffeur ne comprend pas et par réflexe se cache ses attributs.
– Ne vous inquiétez pas, plus on est de fous plus on rit.
Gertrud connaissait Dominique mais ne l’avait jamais vu nu.
– Gertrud, ma fille, goute-moi le trou du cul de ce charmant jeune homme et tu me diras comment il est.
Les deux intéressés se prêtent alors à ce jeu, la jeune fille faisant une feuille de rose experte au coiffeur pour dames.
– Alors ?
– Il est à point, papa !
– A point, ça veut dire quoi, à point ?
– Il s’ouvre bien, il a bon goût, pas trop fort, juste un bon petit goût.
– Doigte-le un petit peu !
– Avec plaisir !
– Non avec ton doigt.
Plaisanterie qui fait rire tout le monde. Elle pénètre un premier doigt, puis un second dans l’anus du coiffeur, puis les fait aller et venir, il se pâme d’aise et pousse des petits cris.
– Ça devrait suffire ! Retire tes doigts et lèche-les.
– Mais papa, tu me fais faires choses dégoutantes !
– C’est juste une suggestion, tu n’es pas obligée.
Gertrud fait un peu la grimace, regarde l’état de ses doigts, et rassurée se les met en bouche.
– Je confirme, papa, juste un bon petit goût. Tu as encore besoin de moi ?
– Non, mais tu peux rester si tu veux !
– Viens donc sur mes genoux, Gertrud, on va les regardez faire, intervins-je, mais avant, retire ta culotte, cela me sera plus facile pour te tripoter.
– Ben sûr Maman !
Hubert fait alors signe au coiffeur de se positionner de telle façon qu’il puisse le sodomiser, puis après s’être protégé comme il se doit, il approche sa bite de son trou du cul et force l’entrée. En fait c’est entré facilement du premier coup. Le coiffeur pousse un cri de contentement, puis mon mari se met à coulisser dans son conduit, d’abord de façon raisonnable, puis par saccades de plus en plus vives, à ce point que notre sodomisé se met à avancer à chaque nouveau coup de boutoir et finit par se retrouver face au mur où il reste calé, Hubert accélère encore, son visage tourne au rouge et il jouit avec une rare violence, laissant notre coiffeur pantelant.
Moi pendant ce temps, excitée par ce spectacle, je pelote et j’embrasse Gertrud, puis je lui fais quitter mes genoux pour lui demander de s’installer entrer mes cuisses afin qu’elle me fasse une minette. La coquine, elle m’a fait bien jouir, après elle a voulu se lever, je l’en ai dissuadé et je lui ai pissé dessus. J’avais trop envie !
Fin du récit de Florence
– N’était-ce pas un beau début de journée ?
– Je vois qu’on s’amuse bien chez vous ?
– Ça vous a fait bander au moins ? demande Florence.
– En effet !
– Oui, mais voyez vous reprend la bourgeoise, nous sommes ici un peu comme Saint-Thomas, nous ne croyons que ce que nous voyons. Vous nous feriez donc grand plaisir en nous montrant votre bite, d’autant que Gertrud et Alexis ne la connaissent pas.
– Bonne idée je m’en occupe ! Intervient Hubert qui avait toujours sa main sur ma braguette.
Bon, ben, après tout je suis venu pour ça, non ? Alors je me laisse faire, pendant qu’Hubert extrait ma bite de sa braguette et la masturbe un peu pour en affirmer sa raideur, puis se la met dans la bouche ! Quel gros coquin cet Hubert !
Il me suce ainsi quelques minutes, puis se redresse, son but n’étant pas de me faire jouir trop vite.
– Nous aimons parfois être un peu directifs, un peu dominateur, ça vous pose un problème ! Me demande Florence.
– Pourquoi pas, je suis très joueur ? Mais si quelque chose ne me plait pas ?
– Ça ne devrait pas arriver, mais si ça arrivait, ce n’est qu’un jeu, alors d’accord ?
– D’accord !
– Alors met-toi à poil espèce de petite salope.
Glups ! Florence, la bourgeoise classieuse qui se meut en dominatrice vulgaire avec son impossible accent flamand ! C’est si inattendu que ça en serait presque comique. Mais j’obéis. Hubert se déshabille aussi de son côté. J’aimerais bien que notre hôtesse se débarrasse elle aussi de ses vêtements. Je l’ai honoré cet après-midi mais sans qu’elle ne me dévoile tous ses charmes. Cela n’a hélas pas l’air de faire partie des ses intentions immédiates.
– Allez Gertrud, goûte le cul de notre invité ! Ordonne Florence.
Cela semble donc une des habitudes de la maison ! Mais Alexis s’interpose !
– Maman, laisse-moi ce plaisir !
– D’accord, régale-toi et Gertrud va s’occuper du devant.
– Tu ne te déshabilles pas ? Lui demandais.
– Pourquoi, tu voudrais voir mes gros nichons, c’est ça ?
– Si ce n’est pas trop demander ?
– Tu serais pas un peu vicieux toi ?
Elle se fout de moi ! Mais elle se déshabille, sa poitrine est magnifique et ses tétons pointent fièrement, je les tripote et les suçote quelques instants.
Puis, Gertrud prend mon sexe en bouche et commence par me sucer de façon experte, tandis que le biquet me prodigue une feuille de rose diabolique. Si c’est ça les dominations de madame Florence, je veux bien être le roi des soumis. S’ils continuent je risque d’éclater prématurément. Mais, il ne fallait pas rêver, non plus !
– Stop, il est prêt ! Annonce la bourgeoise !
Alexis me contourne et vérifie l’état de ma queue :
– Effectivement ! Confirme-t-il les yeux plein de concupiscence.
– Je la verrai bien dans mon cul ! Annonce Florence.
– Non moi d’abord ! Intervient Alexis.
Ça devient compliqué d’autant que j’ai l’impression que Gertrud et Hubert ne dirait pas « non » non plus. Toujours est-il que je ne peux pas enculer tout le monde, je ne suis pas le dieu Priape.
– C’est moi qui ai postulé la première ! Fait remarquer Florence.
– On a qu’à tirer au sort ! Propose Alexis. Qui a une pièce de monnaie.
Il lance la pièce
– Pile c’est un garçon, face c’est une fille !
C’est face…
– Alors maintenant pile c’est Maman, face, c’est ma sœur !
C’est encore face !
La Gertrud est toute contente de m’exhiber son joli petit cul. Je m’empresse de lubrifier tout cela de ma langue coquine. Ça sent un peu fort mais ça ne me dérange pas plus que ça. L’anus s’ouvre, je m’encapote, j’avance ma bite, je l’encule.
Hubert vient présenter sa bite devant le visage de sa fille qui n’hésite pas une seconde à mettre dans sa bouche la virilité de son père.
Et pendant ce temps, Florence ne voulant pas être en reste, entreprend une joli fellation sur le membre viril et tendu de son fils.
Quelle famille ! Je n’en reviens pas ! Tout cela est trop excitant et j’ai du mal à me contrôler. Mais qu’importe la Gertrud miaule de plaisir, alors tout va bien, j’accélère et je lâche ma purée, puis me retire.
Gertrud continue à sucer son père qui lui jouit dans la bouche.
– Hum, qu’elle est bonne la bite à papa ! Clame-t-elle alors que le sperme lui dégouline sur le menton.
Alexis décharge à son tour dans la bouche de sa mère.. Gertrud ne lui laisse pas le temps d’avaler et les deux femmes s’échangent un long baiser baveux. Quelles belles cochonnes !
Hubert d’avance vers moi bite en avant, encore gluante de son sperme, je comprends qu’il me propose sans me le dire que je lui prédique un petit nettoyage.
Voilà qui tombe très bien, j’adore sucer des bites et la sienne est délicieuse. Du coup nous rebandons tous les deux. Alexis vient nous rejoindre, lui non plus ne s’est pas rincé la biroute. Alors je suce alternativement le Père et le Fils. (J’aurais bien sucé aussi le Saint-Esprit mais j’ignore où il se cache !) Et histoire de faire bonne mesure mon index s’égare dans le troufignon de ces messieurs.
Où sont les dames pendant ce temps ?
Florence s’est enfin déshabillée ! Quelle belle femme, quelle jolie poitrine ! Elle entraîne sa fille sur le tapis, elles se mettent en soixante-neuf, la fille broute la mère et la mère broute la fille. Quelle famille (comment ça je me répète ?)
Et c’est très excité que je demande à mes partenaires si l’un des deux ne voudrait pas m’enculer.
Hubert propose à son fils d’œuvrer ! Je me mets en levrette et tandis que je continue à sucer le père, le fils vient me pénétrer de son dard puissant.
Qu’est-ce qu’il encule bien ce salaud, ça coulisse dans mon trou du cul me provoquant des frissons de plaisirs inouïs. Je râle de bonheur, ma bite se couvre de sperme, je n’en peux plus je m’écroule, Alexis s’écroule sur moi, Hubert me lâche quelques gouttes de sperme dans la bouche.
Les deux femmes se relèvent, vont vers la salle de bain, je les suis aussi ayant une petite envie.
– Veux tu qu’on te pisse dessus, une fois ? Me demande Florence !
– Même plusieurs fois.
J’ai donc avalé la bonne pisse de ces dames, je me rince sommairement à l’aide d’un gant de toilette et reviens à côté.
Il va être temps pour moi de prendre congé, je me rhabille sans me presser.
Ne pars pas, nous avons encore une surprise ! Me dit Florence.
Ils sont bien gentils mais moi je suis épuisé, j’ai les couilles douloureuses et j’ai plus envie de me reposer qu’autre chose.
Et voilà Gertrud, toujours à poil qui se ramène avec la surprise.
– C’est une tarte flamande, tu ne vas pas partir avant d’y avoir gouté !
Fin