Le blog de vassilia-x-stories

Confessions bitophiles - 4

BiteFlag

Les rencontres de Norbert

J'ai découvert votre site il y a peu de temps et je l'ai trouvé très ouvert et très diversifié.

Je voudrais apporter mon témoignage sur la 'bitophilie' car elle existe bien et j'en suis un exemple.

 

En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m'excitent et que je respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie hétérosexuelle.

Toutefois, je dois l'avouer, j'ai une attirance illimitée pour les bites et uniquement cet attribut masculin que j'adore. 

La vue d'une sexe d'homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la personne qui en ai le propriétaire ne m'intéresse absolument pas.

 

J'ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.

 

Ma première aventure je l'ai eu au lycée dans le vestiaire du gymnase. J'étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d'une partie de Hand.

J'étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets quand Antoine, un camarade de classe m'a rejoint.

De nature surexcité, Antoine gesticulait et chantait "on a gagné, on a gagné, il va me sucer.."' etc.

Je le connaissais et n'étais pas étonné de ses propos mais je n'envisageais pas qu'il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short libérant son sexe épais, mou et décalotté.

La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un effet qui me mit dans un état second.

Je pense qu'Antoine s'en était aperçu, et c'est pour cela qu'il est allé plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche. 

Allez savoir pourquoi, mais ce jour-là je n'ai pu le repousser et j'ai englouti son membre.

Je ne l'ai sucé que quelques secondes , juste assez pour sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous nous sommes arrêtés.

 

Ma seconde aventure je l'ai eu dans un cinéma porno vers l'âge de 20 ans.

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Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me suis assis à côté d'un homme que je ne voyais pas.

Après quelques instants, avec les lueurs du film, j'ai compris qu'il se branlait ce qui m'excita en un quart de tour et je crois même m'être caressé au travers de mon jeans. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin, j'étais bien trop poltron pour cela, mais au bout de quelques minutes j'ai senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s'en rapprocher. Paralysé je n'ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.

Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement sur ma cuisse.

Je pensais qu'il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était tendu, brulant et au bord de l'éclatement. Mais non, il prit ma main et la mit sur son sexe.

C'était la première fois que je prenais la queue d'un autre homme. Je me souviens vaguement de cette chaleur que j'ai ressentie dans ma paume au contact de ce membre pas très long mais épais.

Il m'a incité à le branler ce que j'ai fait jusqu'à sentir quelque chose de brulant couler le long de ma main. J'ai compris qu'il avait joui et , pour la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j'ai éjaculé dans mon slip presque instantanément sans même me toucher.

Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une odeur caractéristique de foutre.

 

Ma troisième aventure s'est déroulée dans les urinoirs d'une grande galerie marchande.

Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé chercher une place au fond.

Au fond c'était dans un recoin, une sorte de petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.

Je me suis installé face au mon urinoir et j'ai sorti ma queue pour uriner.

Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme au cinéma, j'ai constaté qu'il se masturbait et qu'il tournait son visage vers ma bite.

Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et j'ai commencé à sentir mon sexe grossir.

Mon voisin s'en est vite aperçu je crois car il passa, sans gêne, sa main devant moi et attrapa ma queue sans ménagement. 

Il me dit d'un ton sec de prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.

Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m'a branlé violemment jusqu'à me faire jouir. 

Hélas il ne fut pas satisfait de ma prestation car je n'avais pas atteint le même résultat avec lui.

Il me demanda alors de le rejoindre dans une cabine.

J'ai attendu qu'il y rentre et je me suis sauvé.

Après je me suis repassé le film et me suis dit qu'il était dommage que ce type n'était pas trop sympa parce que j'aurais bien aimé sucer.

Merci et continuez, votre site est génial et innovant.

 

Norbert

Rencontres nocturnes par Loïc

Bravo pour ce site que je consulte depuis que je l'ai découvert au début de l'année. Le concept de bitophile me plait bien puisqu'il correspond bien à mes errances. De plus la philosophie du lieu qui est à la fois une ode au respect de l'autre et à la liberté individuelle me plait bien tout comme vos piques contre quelques féministes déphasées.

J'ai tenté plusieurs fois de coucher sur le " papier " quelques-unes unes de mes plus intéressantes rencontres nocturnes, voici un exercice qui me plait bien, mais pour l'instant je garde ça pour moi, il n'y a rien de vraiment original là-dedans. Alors faut-il parler du reste ? Je pense qu'effectivement que ceux qui se lancent dans certaines quêtes doivent savoir que parfois ça ne le fait pas toujours. Ainsi ce dernier mardi, je me rendis comme souvent dans un des clubs parisiens on l'on peut faire des rencontres bitophiles. Il faut savoir que ces visites sont un pari, parfois on ne trouve personne. Je rentre, il y a deux hommes dans la grande salle en train de se masturber mutuellement, ils ne m'inspirent pas trop, je descends dans la petite salle gay, deux hommes se contentent de regarder la vidéo. Je pense donc ne pas m'éterniser dans le lieu, je remonte, un nouveau vient d'arriver, il entre dans une cabine, mais ne la ferme pas.

J'ouvre, le type a sorti son engin et se le masturbe, pas trop joli l'engin, assez long mais pourvu d'un prépuce envahissant. Mais bon faute de mieux. Je sors donc mon propre sexe et le masturbe à mon tour afin que mes intentions soit claires. L'homme enlève sa chemise, baisse son pantalon. J'aime pas trop son corps, il est rare que je flashe sur le corps d'un homme, Il ne lâche pas sa queue, je lui tripote donc les couilles, lui fait les seins et lui donne même des petites tapes sur les fesses. Il a l'air d'apprécier, mais au niveau interactivité c'est nul. Ce petit jeu ne m'apportant pas grand chose, je décide au bout de cinq bonnes minutes de mettre les voiles, et je me reculotte. Voyant cela notre homme se met alors à genoux devant moi, commence par dégrafer ma ceinture, ouvre la fermeture de ma braguette, mais semble avoir des problèmes avec les deux boutons du haut, du coup il tire comme un malade et les fait craquer tous les deux. Je n'ai rien à faire avec un mec capable de tels actes de violence, je prends ma sacoche tandis que l'autre qui parle pour la première fois (et en anglais) me dit qu'il est sorry, sorry . Il ira jusqu'à me proposer 10 euros, je ne saurais jamais si cette proposition visait à louer mon corps ou à couvrir les frais de réparation de mon pantalon, mais je l'ai planté là, allant plus loin dans la rue m'offrir d'autres plaisirs qui n'ont rien ceux là de bitophiles. Pourquoi raconte-je ça : Comme ça ! Je crois qu'il ne faut pas se décourager, certaines rencontres dans ces lieux sont nulles, mais d'autres sont tellement merveilleuses. Je vous remercie de votre attention

Découverte pas Henri

 

Avant de lire les histoires vécues de certains auteurs, je me croyais bisexuel. A présent, je sais que je suis hétéro, et bitophile.

Voici comment je me suis rendu compte de la " chose ".

 

J'ai aujourd'hui 38 ans, divorcé. A l'époque, j'étais encore marié, je travaillais dans une petite commune située à peu près au centre de la France.  Souvent, après le déjeuner, il m'arrivait de partir une petite demi-heure avant le début de mon travail de bureau, histoire de marcher un peu. Un jour, en promenade, j'ai été pris d'une envie d'uriner. Cette envie était suffisamment forte pour ne pas pouvoir attendre d'aller aux toilettes de mon lieu de travail. Aussi, je décide donc de me rendre dans les toilettes publiques, situées sous un kiosque au centre d'une place. Là, je rejoins une pissotière et me soulage de cette grosse envie. Je croyais au début être seul dans ces toilettes. Pourtant, au bout de quelques secondes, j'entends du bruit dans la cabine fermée située juste à côté de la pissotière que j'occupais. Et en écoutant attentivement ce bruit, il n'y avait pas de doute possible : une personne était à l'intérieur en train de se masturber.

Ayant terminé d'uriner mais un peu curieux, j'attendais de voir qui allait bien sortir de la cabine. Occupant ce petit laps de temps à me laver les mains au lavabo situé près des cabines, je vois alors un homme sortir assez rapidement. Je me rends alors dans le lieu qu'il occupait et voit au sol ce qui ne pouvait être que des petites flaques de sperme. J'avais donc parfaitement bien interprété le bruit que j'avais entendu. Je me rends compte alors que le mur séparant cette cabine de celle d'à côté, était percé d'un trou, à hauteur de la ceinture, et d'un diamètre d'environ 7 ou 8 centimètres.

Je suis ressorti des toilettes, un peu troublé par ce que je venais de voir et entendre.

 

Quelques jours plus tard, à l'occasion d'une promenade telle que je les pratiquais comme expliqué plus haut, instinctivement mes pas m'ont dirigé vers les toilettes publiques, alors que je n'éprouvais aucune envie d'uriner, cette fois. En entrant, je me suis aperçu que l'une des cabines, la première, était verrouillée. Quelqu'un était donc à l'intérieur. Je suis entré dans la deuxième et ai refermé le verrou derrière moi. J'ai glissé un œil par le trou dans le mur, et j'ai vu ce spectacle : un homme était en train de se masturber, pantalon et slip complètement baissés. Son sexe était de belle taille, mais son érection n'était pas encore complète. J'ai alors senti mon pénis prendre du volume, à ma plus grande surprise. Si je ne regardais jamais les mecs dans la rue (je préfère de loin mater les filles), en revanche j'aimais contempler leur sexe. Quelle révélation !

Au bout de quelques minutes, le type s'est rapproché du mur et a passé son sexe par le trou. J'étais un peu surpris, et me sentais un peu idiot dans cette situation. Je n'avais jamais touché d'autre pénis que le mien ! Et pourtant celui-la se présentait à moi. Je l'ai pris dans ma main et ai commencé à lui donner un mouvement de masturbation. Le sexe s'est alors immédiatement redressé fièrement. Et j'ai senti le mien devenir tout raide dans mon pantalon. J'ai masturbé le sexe de cette homme pendant quelques minutes, jusqu'à entendre de sa part une sorte de gémissement. J'ai compris qu'il allait jouir et me suis reculé un peu pour ne pas avoir de sperme sur mes vêtements. Et j'ai bien fait : il a éjaculé, par longues saccades qui se sont écrasées sur le sol. Une fois terminé, il a retiré son sexe. Je l'ai entendu se rhabiller et sortir de la cabine.

Je me suis donc retrouvé tout seul, mon pénis dur comme un roc dans mon pantalon, devant de belles traînées de sperme par terre. J'ai alors sorti mon sexe et me suis masturbé à mon tour, en me remémorant les instants que je venais de vivre. Ma jouissance n'a pas tardé : j'ai éjaculé longuement, avec un plaisir d'une rare intensité.

 

Quand je suis ressorti de la cabine, je me suis dit que le prochain qui s'y rendra ne sera pas déçu : il y trouvera une bonne partie du sol maculée de sperme !

 

Mar 7 sep 2021 Aucun commentaire