Le blog de vassilia-x-stories
Le Pervers par Marie-Paule Perez
Qui n’a pas un jour ou l’autre flirter dans un bar pour quitter à la fin de la soirée avec une connaissance ou un parfait inconnu même?? Cette nuit-là, à la fermeture du bar. c’est en pleine nature que je me suis retrouvée avec Le Pervers. C’est à Fort-Chambly que nous nous sommes arrêtés. Avec pour seul tapis l’herbe fraiche et humide, pour musique de fond le ruissellement de l’eau coulant à proximité.
Ses yeux me regardent m’examinent, me transpercent. Et ses paroles parfois crues et vulgaires m’excitent. Le Pervers possède ce côté brute que j’aime et qui me fait mouiller la chatte :
– Déshabille-toi, salope ! Qu’est-ce que t’attends?? C’est pour te faire fourrer que tu es venue ici? !?
Mal à l’aise. Je m’exécute. Ne portant volontairement pas de sous-vêtements ce soir-là. il me suffit de laisser glisser ma robe sur le sol pour me retrouver en toute nudité. Le Pervers m’observe et sourit.
Je m’agenouille devant lui et défait son pantalon. Son sexe est dur et gonflé. je le caresse doucement, je le regarde sourire en coin et j’approche mes lèvres tranquillement. ma langue s’attarde sur son gland puis se promène sur son sexe en entier. Je lèche un moment ses testicules poilues avant d’enfoncer son sexe totalement dans ma bouche, mes lèvres montent et descendent sur sa jolie queue toute raide. Je le pompe avec ardeur et d’une main je caresse mon entre cuisses qui ruisselle déjà.
Je le suce pendant un long moment. Je lèche sa raie aussi, ma langue curieuse fouille son trou merdeux. puis ma bouche affamée revient engloutir son sexe dans sa totalité.??
– T’es vraiment cochonne?! J’ai envie de te pisser dans le visage, salope??
Je me suis retirée, j’ai pris son sexe dans ma main et l’ai porté à mes lèvres. J’ai attendu quelques secondes, puis le chaud liquide est venu se déverser dans ma bouche, liquide amer que j’avalais, que je buvais. Et puis le jet est devenu plus fort, j’avais peine à avaler sans m’étouffer. Un mouvement de recul. et voilà le jet qui m’éclabousse en pleine figure, qui dégouline sur mon menton, mes seins.
Le Pervers me saute littéralement dessus, me renversant par terre. et me fourrant à grands coups sans trop de minutie. J’aime être prise violemment. Je sens mes fesses qui glissent sur l’herbe humide. Je sens ses mains qui empoignent mes seins fermement, presque douloureusement. je sens surtout sa queue gonflée et prête à exploser qui me lime l’intérieur. L’odeur de l’urine mélangée à celle du sperme me rend chienne de par son parfum aphrodisiaque, je jouis et je crie, ici aucun voisin. aucune oreille pour entendre, alors je crie mon plaisir, avant d’entendre le grognement qu’émet Le Pervers.
Le silence prend place, je profite de l’immobilité du Pervers pour venir lécher son sexe doucement. Ma langue voyage lentement sur ses parties. ma bouche embrasse cette queue mi tendue, mes doigts explorent son entre fesses. puis tranquillement glissent vers son trou. J’insère un doigt avec d’infinies précautions, ma bouche se fait plus insistante sur sa queue, je le fouille et je le suce, je sens son sexe durcir dans ma bouche.
Je m’installe à quatre pattes et je lui dit :
– Viens fouiller mon cul toi aussi??
Le Pervers s’approche et d’un coup de reins m’enfonce sa queue dans le cul. Je laisse échapper un cri.??
– Ta gueule p’tite enculée?!??
Je me mords les lèvres. Le seul bruit qu’on entend est celui du bas-ventre du Pervers qui vient frapper contre mes fesses. Je me fais enculer et j’aime me faire remplir le cul. Je jouis encore une fois, tandis qu’il me fait nettoyer sa bite maculée de merde et sperme.
C’est le lever du soleil et quelques promeneurs matinaux qui ont mis terme à nos jeux. Prenant le chemin du retour au volant de ma voiture. j’ai le sentiment d’être sale. l’odeur de l’urine, l’odeur de cul. les brins d’herbes collés sur ma peau et la terre sous mes ongles en témoignent. je suis vraiment sale?! Et je souris à cette pensée?!
Arrivées avenue Bourgogne, Le Pervers demande à descendre. Pas d’aurevoir, pas de bisou, mais il me jette deux billets.
– Tu les as bien mérités, jolie pute !
– Merci m’sieur !
Je reprends la route, celui-là, je sais déjà que je le reverrai la semaine prochaine.
FIN