Le blog de vassilia-x-stories
Confessions candaulistes - 1
Au parc par Karine
Je m’appelle Karine. J’ai 28 ans. On me trouve jolie. J’adore faire l’amour et j’aime m’exhiber. Mon copain me laisse vivre mes petits fantasme…L’été dernier nous avions décidés d’aller nous promener dans un parc près de Québec. Cette journée étant très chaude je m’habille de façon très provocante. Petit short moulant mes parties intimes avec un petit débardeur tout blanc laissant deviner l’aréole de mes seins.
Après une demi-heure de marche sous un soleil suffocant nous nous arrêtons près de la rivière. Il y avait là un homme d’une soixante d’année, d’une belle prestance comme je les aime… Je décide avec l’approbation de mon copain de me baigner. Je souris à l’homme assis. Tout excitée je me baigne sachant très bien que mon débardeur deviendrait complètement transparent. L’homme me regardait intensément ce qui m’excitait d’autant plus. Mon copain quant à lui avait retiré son short pour ne garder que son petit maillotmoulant sa verge gonflée et très apparente. J’étais au bord de l’orgasme. Je décidai alors de retirer mon débardeur et de sucer mon copain devant cet homme. Alors que je pompait l’homme s’approcha et avec le sourire approbateur de mon copain, il me caressa les seins. Mon copain ne tarda pas à éjaculer. Je pris tout ce bon nectar dans ma bouche et alla embrasser notre visiteur sur la bouche. Il sembla apprécier. Je me penche alors et avale sa verge plus petite que celle de mon copain je réussis à tout prendre jusqu’au bourses. Mon copain se plaça alors sous moi et me l’écha la chatte et l’anus (J’adore ça).Le gars éjacula dans ma bouche Je gardai tout et recrachai le tout sur mes seins. Quel spectacle ! J’étais inondée Je fus secouée alors d’un puissant orgasme. Je décidai de remettre mon débardeur par-dessus mes seins tout mouillé de sperme et de salive. J’embrassai le vieil homme et nous sommes partis. Mon copain dit :
– Tu es vraiment une petite salope !
– Oui, je suis ta salope et j’aime ça !
Vacances au Mexique par Fred
Bonjour je m’appelle Fred, je suis marié à une belle femme châtaine et très bien faite avec de gros seins que j’aime tripoter. Comme beaucoup d’hommes j’avais le fantasme de voir ma femme se faire toucher par d’autres hommes, mais ce n’est pas si facile, elle et très cochonne avec moi mais plutôt prude ailleurs. J’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de soutien-gorge pour aller dans un petit bar que l’on avait repéré dans la journée. La veille j’avais parlé à un Mexicain assez gentil sans que ma copine nous voie et lui avait proposé un jeu de rôle.
Il s’est caché dans une petite ruelle sombre où l’on devait passer pour revenir à notre hôtel. Après notre soirée, on était pas mal fatigués, on est parti à pied, ma copine et moi quand nous sommes passés par la petite rue, le Mexicain nous a barré la route avec un grand sourire, ma copine a crié
– N’ai pas peur ma chérie, ce jeune homme ne nous veut aucun mal !
– C’est vrai, je ne suis pas méchant, je vous trouve très belle mademoiselle, cela me ferait beaucoup du plaisir si je pouvais vous caresser.
– Non mais ça ne va pas, non ? Proteste-t-elle
– Laisse-toi faire ma chérie, ça peut être amusant et même très excitant !
– Mais vous êtes de mèche tous les deux ou quoi?
– Non, non pas du tout, Mentis-je dans grande conviction
– Je vais juste vous toucher les seins ! Dit le Mexicain
– Laisse toi faire chérie
– C’est un traquenard, tu ne perds rien pour attendre.
J’ai maintenu les poignets de ma copine, ce qui a permis au Mexicain de lui déboutonner sa chemise. Puis il a commencé à lui prendre les seins, lui tirant sur les bouts tout en la traitant de petite pute. Elle s’est rapidement prise au jeu, elle a pris ses mains dans son dos pour me prendre ma queue qui bandait très fort.
Le Mexicain a entré une main sous sa jupe et lui a baissé sa culotte, il a relevé la jupe et a admiré sa chatte rasée et mouillée. il lui a entrer deux doigt dans la chatte et les a fait entrer et sortir, elle se trémoussait devant lui pendant qu’il riait et la traitait de salope. Elle jouissait très fort alors il la fait se mettre à genoux et lui a demandé de le sucer ce quel fit sans hésiter et bien à fond jusqu’à l’éjaculation, puis elle avala tout son sperme.
– Si vous avez encore besoin de moi, je suis à votre service ! Nous dis le Mexicain avant de disparaître. .
La nuit de la Saint-Jean par Kevin
Il commençait à faire noir et nous attendions le début du spectacle, il y avait un millier de personnes au moins. Je vis soudain une jeune fille blonde, avec une poitrine superbe. Je commençai à bander aussitôt et à rougir aussi, tellement je fus pris par surprise, d’autant plus qu’elle remarqua la bosse dans mon pantalon que je cherchais à cacher tant bien que mal. Elle fit un sourire, ce qui me détendit et je m’approchai d’elle au point de la toucher avec mon épaule, elle ne broncha pas, au contraire elle frôla son épaule contre la mienne comme une caresse invitante. Je lui passai la main derrière le dos et le lui caressai, elle ferma les yeux à moitié. Je continuai de plus belle et je descendis jusqu’à ses fesses, elle me releva la main et elle vint se mettre derrière moi et me plaça ma main sur son jeans à la hauteur de sa chatte. J’eu une énorme frisson qui me parcourut le corps. Je lui flattait la sexe sur son pantalon et elle dégageait tout ce qu’elle pouvait d’énergie sexuelle. Je n’en pouvais plus, je la pris par la main pour l’emmener à l’écart derrière un bâtiment et nous nous embrassâmes comme deux bêtes, à s’en peter les babines. Je parcourrai la rondeur de ses seins et j’y introduis une main je ne sais comment et mon autre main alla directement dans sa petite culotte, jamais avant je n’avais eu un tel désir pour une fille, si violent et si puissant. Je sortit mon pénis qu’elle s’empressa de mettre dans sa bouche. Elle me suça comme une furie a m’en pèter les couilles, elle ne se contrôlait plus et moi non plus, je jouissait comme jamais avant, je la relevai pour lui descendre son jeans et sa culotte, mais elle enleva tout au risque d’être vu, je lui enfilai ma queue dans son vagin mouillé comme une mare et je la baisai au plus profond d’elle-même farouchement, sauvagement, elle criait à chaque coup que je lui donnait et plus elle criait plus je lui plantais mon dard au plus profond de son sexe. Dans un geste, je la retournai de bord et je la penchai en avant pour l’enculer, mon pénis entra d’un coup dans son petit trou brun et comme un coup de canon nous sommes venus comme des bêtes fauves, criant et gémissant. Je sortis ma queue et je finis d’éjaculer sur elle, je lui en mis partout où je pus, je voulais l’asperger de mon jus.
Quand j’ai voulu lui proposer de boire un verre elle m’a dit qu’elle n’était pas seule, et que son copain s’était bien excité en nous regardant baiser. Il s’est approché de nous, m’a félicité pour ce que j’avais fait et ils m’ont proposé de me payer le restau. J’ai refusé, envahi par des sentiments partagés, je l’ai ensuite regretté, on est con parfois.