Le blog de vassilia-x-stories

Confessions de clients (prostitution) – 3

 

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Les maréchaux par Gilbert

 

Ayant particulièrement apprécié vos prises de positions sur la prostitution; je me permets d’apporter ma modeste contribution au « débat ». J’ai longtemps considéré qu’il était dégradant (sic) d’aller voir des prostituées, qu’il fallait être un pauvre mec pour payer une fille, en fait, je cumulais, et sûrement « cultivais » les clichés que l’on peut avoir sur le sujet. Et puis, arrivé à la trentaine, j’ai eu l’occasion de tester… Peut-être qu’il fallait que je mûrisse, peut être que je suis devenu un pauvre mec, toujours est-il qu’un soir, j’accompagnais un ami à Paris, et le voilà qui me branche sur les prostituées, il voulait que l’on fasse « les maréchaux » pour voir… Here we go et nous voilà en train de tourner sur le périph, de sortir à différentes portes pour voir…

 

De plus en plus excité par ses charmantes créatures, il me demande de le laisser marcher un peu, il souhaitait voir de plus près et plus si affinité. On convient d’un rendez-vous une demi-heure plus tard et me voilà seul, en voiture et en train de tourner. J’avais mal au ventre et aux couilles depuis un petit moment, l’excitation étant montée depuis un bout de temps.

 

Et puis, après avoir hésité un bon moment, je m’arrête à côté d’une fille, une jolie blackette avec un décolleté impossible et des seins comme des obus. Alors que je me demandais ce que j’allais lui dire, j’étais prêt à lui assener un superbe et terrible, « c’est combien ? ». Cette beauté s’approche de la fenêtre et me dit : « 15 euro la pipe, 30 l’amour ». Je ne l’écoute même pas, je lui ouvre la portière, et là le choc, elle me parle anglais, c’est con mais je ne m’y attendais pas, je me sens un peu déstabilisé, c’est une première ce soir ! Je lui demande où aller, elle m’indique une entrée de parking privé. Je m’y dirige et là, contre toute attente, elle me dit que l’on arrivait. Je reste sur le cul, je suis garé sur le trottoir, sous un lampadaire, à 3 ou 4 mètres d’une sortie de parking. Je la paie, elle me demande de virer mes vêtements (remarquez c’est plus pratique)

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Première surprise, je me déshabille et me retrouve le pantalon sur les chevilles comme un rien, alors que je suis du genre pudique (je ne rigole pas) elle commence à me « masser », prépare sa capote. Je ne suis pas bien installé, j’ai la musique qui m’agace, dans la précipitation je n’ai pas coupé le radio, et là,.. .rien impossible de bander, la fille fait ce qu’elle peut mais rien n’y fait, je lui demande si je peux la toucher et elle me répond qu’il faut payer plus, je rallonge 20 euro, et commence à la caresser. J’aperçois quelqu’un qui s’approche, c’est une de ses collègues, j’hallucine, la musique, la lumière, l’emplacement et maintenant ça, les deux commencent à discuter, je ne comprends pas ce qu’elles disent., mon anglais était très rudimentaire. C’en est trop pour moi, elle me signifie que cela fait 10 minutes qu’elle s’active et qu’elle a d’autres choses à faire… J’abandonne, elle s’en va et j’ai une impression de malaise, non pas que je regrette d’avoir vu une prostituée, mais mon orgueil en a pris un coup. J’ai pas pu bander ! Et ça, ça fait mal. Mais je me console en me disant que j’ai franchi un cap, je suis allée voir ailleurs, c’est ma copine qui serait pas contente !!!

 

Une réplique du « bonheur est dans le pré » parle des « infirmières de l’âme » et c’est bien de ça dont il s’agit, c’est simple, c’est facile et ça fait du bien. Depuis j’y suis retourné et merci pour Popaul, tout à très bien fonctionné. Sans être un accroc, je retourne de temps en temps et j’adore ça. Pourvoir changer de filles, aller voir ailleurs, c’est purement physique. Je ne connaissais rien à ce milieu, je me suis renseigné et j’ai appris que les filles des Maréchaux étaient toutes maquées. Ça m’a contrarié et j’ai préféré choisir des filles par Internet. J’ai ainsi trouvé l’occasion de changer de partenaire sans changer de femme, femme que j’aime par ailleurs, il ne s’agit pas d’amour, je paye un service, ces filles me font découvrir d’autres choses, me permette de m’évader et de découvrir de nouvelles peaux, de nouveaux corps, de nouvelles pratiques et je les en remercie.

      Olivia par Zach

Rencontré pour la première fois Olivia hier midi. Accueil agréable, tenu sexy, joli visage assez atypique. Me propose un verre, je décline, je préféré après. On va dans la chambre, l'appartement est sur deux niveaux.
Déshabillée, c'est une vrai MILF, la poitrine est modeste mais pas les tétons ! Whaouh ! Oh, ma mère !
Fellation capotée bien maitrisée, puis une levrette. Je me suis retenu de jouir parce que je voulais jouir entre ses pieds. Il a fallu trouver le bon rythme et la bonne position, ce qui nous a provoqué une bonne rigolade.
Ejac, lingette rafraichissante. La demi-heure a passé trop vite et j'en ai oublié mon coup à boire. La prochaine fois je ferais un heure.

Sylvia par Jean-Yves

 

Je m’appelle Jean-Yves et j’ai 30 ans, marié et fidèle. Un soir après avoir fait des heures sup, je rentrais chez moi avec le dernier bus. Le chauffeur nous prévient qu’à cause d’une déviation, le terminus est reporté. Je sors et essaie de retrouver le chemin de la maison, je passe par une rue très sombre où jusque quelques bistrots sont ouverts. J’entends des pas derrière moi, des talons. Je ne me retourne pas mais je ralentis un peu jusqu’à ce que la personne me dépasse. C’était une superbe blonde en minijupe. Elle me dépassait et commença à marcher lentement. Je m’approcha d’elle par curiosité, et elle fit tomber son sac. Je le lui ramassai son sac qui s’était ouvert et vit qu’elle avait plein de capotes. En me baissant pour le je vis sa superbe chatte, elle n’avait pas de culotte. Voyant mon œil lubrique, elle m’a proposé de la suivre… » pour 50 euros seulement ». Elle m’emmena dans sa voiture. Une fois installé dans le véhicule elle a soulevé son haut et m’a fait voir ses beaux nichons. Elle m’a baissé mon pantalon et mon caleçon. Elle a pris en main ma bite dure et longue, et a commencé à me sucer. Après un moment, j’ai commencé à sentir le jus venir et je lui ai demandé de me mettre la capote, ce qu’elle fit très bien. Je lui demande d’écarter les jambes et de s’asseoir sur moi. « Ce sera 50 euros de plus, mon chéri « . Après un bon moment assise sur moi je lui dit de se mettre à quatre pattes afin de la prendre par derrière. « Dans le cul, c’est 50 euros de plus mon biquet  » Je n’avais plus de liquide, je l’ai prise « normalement » et j’ai juté comme un malade. « Je suis toujours là à cette heure-là, si tu ne vois pas tu me demandes au café « le Miranda », je m’appelle Sylvia. » Et c’est que j’ai un budget, moi, mais le mois prochain, c’est décidé je reviendrais voir cette beauté !.

 

Ven 31 jui 2020 Aucun commentaire