Le blog de vassilia-x-stories
Chaude Marie par James
Je me prénomme James, j’ai 25 ans et suis marié avec Isabelle
Nous possédons une fermette à la campagne et suite à un accident, ma mère, Marie est en convalescence chez nous pour un mois ou deux, elle a 55 ans, c’est une femme sans histoire et bien conservée
Elle a été brûlée aux deux mains et à une jambe.
C’est ma femme qui lui prodigue les soins.
En rentrant un soir à l’avance de mon travail, je suis allé vers la pièce où l’on s’occupe de faire ces soins et j’ai entendu ma mère dire :
– Quand tu auras fini de me soigner, j’aimerais bien que tu me fasses comme la dernière fois !
– Pas de soucis ! A répondu mon épouse.
– Quelque chose de plus gros, ce serait bien !
Je me suis approché et j’ai regardé par l’entrebâillement de la porte, ma mère était assise sur le fauteuil, la jambe brûlée posée sur une chaise.
Quand sa belle-fille eut fini les soins, elle a déboutonné le chemisier de ma mère pour en sortir les nichons et a commencé à pincer les bouts en tirant, elle a ensuite remonté la robe de ma mère et lui a posé la jambe valide sur l’accoudoir du fauteuil, j’ai vu qu’elle ne portait pas de slip.
Elle avait le sexe béant et mon épouse a écarté les lèvres de son vagin pour y faire pénétrer trois doigts, elle a commencé un mouvement de va-et-vient de plus en plus vite et ma mère a poussé son cul en avant pour se faire pénétrer plus loin.
Isabelle a alors pris dans un tiroir, une petit stick de déodorant qu’elle lui a aussitôt enfoncé dans le vagin, ma mère râlait de plaisir et lui a demandé de tenir sa promesse de lui mettre quelque chose de plus gros, mon épouse s’est alors dirigée vers la cuisine et est revenue avec une bouteille de bière vide, elle a fait pénétrer la bouteille dans la vulve, le goulot en avant et a enfoncé la bouteille jusqu’à mi-longueur, ma mère se trémoussait de plus en plus et criait de l’enfoncer encore plus loin, mon épouse a alors retiré la bouteille et l’a retourné pour lui mettre par l’autre bout. J’ai vu son vagin se dilater sous la pression mais la bouteille est entrée sur presque toute la longueur, ma mère n’arrêtait pas de crier, elle a dû jouir plusieurs fois, elle a remercié sa belle-fille de l’avoir rendue heureuse et les deux femmes se sont roulé une pelle bien baveuse.
Je savais que ma femme était une cochonne, mais ma mère….
Je me suis éloigné et j’ai fait comme si je venais de rentrer à la maison. Je bandais comme un dingue.
Quelques jours plus tard mon épouse est partie passer deux jours de vacances chez une copine, j’étais donc chargé de faire les soins de ma mère, le matin j’ai commencé à m’occuper d’elle, elle était encore en chemise de nuit. Après avoir soigné ses mains je suis passé à la jambe, elle m’a dit de la poser sur la chaise afin que ce soit plus facile, en relevant sa jambe j’ai vu qu’elle ne portait rien en dessous.
En soignant sa jambe je lorgnais sur son entrejambes, elle a dû s’en douter car elle a écarté légèrement l’autre jambe, je devais masser la jambe et je montais de plus en plus haut, elle me demanda de masser sa cuisse pour la circulation du sang, en la massant le bout de mes doigts touchaient sa toison ce qui la fit écarter les jambes encore plus fort, je voyais ses yeux se fermer et sa respiration s’accélérer, me sentant encouragé, j’en profitais pour caresser son sexe plus fortement.
Je fut étonné quand elle me demanda si je pourrais garder le silence sur ce que elle allait me dire, je répondis » oui « , elle me demanda alors de continuer et de faire pénétrer deux doigts dans sa vulve qui été déjà toute trempée, j’ai rentré les deux doigts et je les ai fait aller et venir, son sexe venait à la rencontre de mes doigts.
Elle m’a alors demandé de déboutonner sa chemise de nuit pour jouer avec ses seins et de lui pincer les mamelons, elle était excitée à mort.
D’elle-même elle écarta ses cuisses en grand pour me montrer l’intérieur de son vagin et me dit de lui mettre quelque chose dedans, je bandais et elle s’en était aperçue, j’ai pris la bouteille dans le tiroir et je lui ai enfoncé d’un seul coup, elle hurlait qu’elle en voulait plus, alors j’ai commencé à la branler de toutes mes forces mais elle n’arrêtait pas de crier qu’elle en voulait plus.
Je l’ai retourné et j’ai enfoncé deux doigts dans son cul, elle été comme folle, elle frottait les bouts de ses nichons sur le coussin, elle a hurlé qu’elle voulait voir ma bite, je me suis mis à poil et je lui ait montré, elle a ouvert sa bouche au maximum et j’ai rentré ma queue jusqu’au fond de sa gorge pour la faire taire, elle m’a sucé comme une salope.
La bouteille étant toujours dans son vagin, elle me dit de l’enlever et d’essayer de la mettre dans son cul, j’ai présenté la bouteille par le goulot et j’ai commencé à l’enfoncer, elle a crié de cracher pour la faire glisser, elle est rentrée de cinq centimètres, quand son cul a été bien dilaté j’ai retourné la bouteille et je lui ai rentré dedans, elle transpirait et jouissait comme une malade.
Après j’ai remis ma bite dans sa bouche et je me suis branlé pour éjaculer, elle a avalé mon sperme et m’a nettoyé la queue avec sa langue.
Je lui ai alors dit qu’il fallait que j’aille pisser, elle m’a demandé de faire sur elle et elle a ouvert la bouche pour recevoir mon urine.
Nous nous sommes ensuite embrassé, un curieux baiser avec des arrière-goûts d’urine et de sperme.
– C’est promis je n’en parlerais à personne ! Lui-confirmais-je.
– Sauf à ta femme, elle comprendra !
Ben voyons…
JAMES