Le blog de vassilia-x-stories
Martinov 22 – Univers parallèles – 13 – Matures joyeuses par Maud-Anne Amaro
– Je m’en veux vraiment d’avoir eu cette conduite inqualifiable tout à l’heure, j’en suis désolé. S’excuse Romain
– Mais ce n’est pas grave, voyons ! Est-ce que j’ai l’air de vous en vouloir ?
– Je ne pense pas, non !
– Alors, vous venez avec nous coincer Beautilleux ?
– On va faire un effort.
– On se prévient quand le traceur commencera à bouger.
Afin de ne pas faire traîner l’affaire, Romain livra le cadran à Beautilleux bien avant les délais.
Beautilleux passa une annonce dans une feuille gratuite disponible chez les commerçants.
« Le mage Kuolacar a le pouvoir de faire revenir devant vous le spectre de l’être cher que vous avez perdu, ni trucage, ni arnaque, résultat garanti… »
Il fut surpris d’avoir dix réponses dès le lendemain, il en sélectionna une.
Odette, ancienne vedette de cinéma et veuve du général Polivert, décédé prématurément, avait eu son quart d’heure de célébrité quand elle avait été la maîtresse du milliardaire Jacky Dondelle dans les années 1970, l’extravagance de leur liaison avait défrayé la chronique, la femme n’hésitant pas à exhiber devant les photographes les somptueux présents que l’amant lui offrait : bijoux, rivière de diamants, fourrures, bagnoles… L’un des articles décrivait l’un des diamants sur deux pages entières, le « Chambalard », le nom amusa Beautilleux.
Et un jour on avait retrouvé le type dans sa baignoire, vidé de son sang. On soupçonna Odette, mais elle fût disculpée dans un premier temps, le coupable, un monte-en-l’air sans envergure fût vite appréhendé, ce dernier ne trouva rien de mieux que de déclarer qu’Odette était sa complice, ce qui fut infirmé mais entre-temps la presse à scandale en avait fait ses choux gras.
Beautilleux se rendit à la bibliothèque nationale et consulta tous les journaux d’époque, la matière ne manquait pas, il prit des tas de notes.
Après que la dame eut-été blanchi dans l’affaire du meurtre, il semblait qu’elle avait ensuite protégé sa vie privée, à ce point qu’elle tomba dans l’oubli, les gazettes trouvèrent facilement d’autres os à ronger.
Beautilleux fit une recherche dans les bases de données, mais ne trouva rien après ces événements, mais allez savoir pourquoi, il fit une autre recherche sur le nom du diamant, l’énigmatique « Chambalard ». Et là il trouva un compte rendu de vente aux enchères à l’hôtel Drouot indiquant que le diamant en question avait été acquis pour un prix faramineux par un émir moyen-oriental.
« Voilà de quoi déstabiliser la petite dame… »
Beautilleux avait choisi un hologramme d’un homme portant moustaches à la Clark Gable. Ça ne ressemblait que de très loin à son ancien amant mais avec le flou et la probable vue basse de la dame, ça pouvait le faire. Quant à la voix dont il n’avait aucun échantillon, le modificateur vocal devrait faire l’affaire en la jouant « outre-tombe ».
Un peu avant 20 heures, le traceur indiqua la direction de Neuilly
Mathilde prévient Romain et Inès.
Mathilde dirige les opérations de sa voiture en guidant celle d’Inès et la troisième dans laquelle se trouve Romain et Édith. Rien ne presse puisque c’est à la sortie que tout devrait se passer.
L’immeuble étant repéré, ils n’ont plus qu’à attendre. Et comme il fait beau, inutile d’aller encombrer l’escalier. Tout se passera dans la rue.
Quand Beautilleux se présenta devant la veuve, celle-ci ne fut pas particulièrement aimable et ouvrit de suite les hostilités :
– Des charlatans, j’en ai vu un certain nombre, ils ont voulu me gruger, je les ai foutus à la porte, je ne suis pas gâteuse et je sais me défendre.
– Rassurez-vous…
– Je n’ai pas fini, il est bien évident que je ne vous paierai qu’après et que si le résultat me satisfait !
– Mais certainement !
Beautilleux déballe son matériel.
– C’est quoi ça ?
– L’interface.
– Hum.
– Je vais vous demandez de déplacer votre siège dans le fond de la pièce, derrière moi, de vous y installer et de vous concentrer sur la personne que vous voulez invoquer.
– J’ai oublié de vous dire, reprit la veuve. Si vous en avez après mon argent, c’est au coffre, il est sous alarme et relié à une société de sécurité.
– Mais enfin madame…
– Autant que vous soyez prévenu. Maintenant je me tais.
Après qu’il eut demandé à sa future victime d’éteindre la lumière, il commença la séance
– Qui voulez-vous invoquez, madame Polivert ?
– Jacky !
Le risque existait qu’elle invoqua quelqu’un d’autre, auquel cas, Beautilleux aurait trouvé un prétexte pour remballer ses outils, mais la chance avait l’air de lui sourire.
– Jacky, veux-tu répondre à Odette ?
Beautilleux active le projecteur faisant apparaître un ectoplasme flou à moustaches. Puis émet un grognement incompréhensible dans le modificateur vocal.
– C’est quoi ce cirque ? Rouspète Odette
– Qu’as-tu fais du « Chambalard », Odette ? Demande la voix caverneuse, tandis que Beautilleux fait dodeliner l’hologramme.
Et du coup, Odette devient blanche comme une craie.
– J’ai été obligé de le vendre ?
– Pourquoi as-tu vendu le « Chambalard » ?
– Mais j’étais ruinée, il me fallait de l’argent
– Alors tu as bien fait !
Odette se met à pleurnicher.
– Et aujourd’hui, tu es ruinée ?
– Non, je me suis remariée… arrêtez-ça Monsieur le mage !
– L’argent qui est dans ton coffre, tu dois le destiner à ma famille, le mage s’en chargera.
– Non ! Arrêtez ça monsieur le mage !
– Je ne peux pas, j’ai libéré une force qui me dépasse.
– Ouvrez votre coffre et vous pourrez dormir en paix ! reprend la voix de l’hologramme.
Comme un zombie, Odette ouvre son coffre.
– Je fais quoi maintenant ? demande-t-elle
– Eloignez-vous je vais me servir.
– Ne prenez pas tout !
– Ne vous inquiétez pas !
Beautilleux emplit sa mallette de billets et de bijoux.
– Jacky, tu ne veux plus parler à Odette ?
– Odette, je t’aime ! Merci de ce que tu viens de faire !
Et Beautilleux éteint le projecteur.
– On peut rallumer s’il vous plait ?
– C’est diabolique, c’est diabolique !
Odette a la tremblote
« Pourvu qu’elle ne me claque pas dans les doigts ! »
– Je vais vous payer, mais je ne veux plus vous revoir !
– Ce n’est pas nécessaire, je crois que je viens de faire une bonne action !
– Alors tout va bien !
Sur le trottoir la petite bande à tout entendu. Inès et Mathilde exultent !
Il est 21 heures quand Beautilleux, gai comme un pinson sort de l’immeuble et se dirige en direction du métro. Sur un signe de Mathilde, il se retrouve entouré sans comprendre ce qui se passe.
– Tu l’as mis où le fric de la vieille ?
– Quelle vieille ? Qu’est-ce que vous faites ici ?
– Donne le fric ou on va s’énerver !
– Quel fric ?Je n’ai pas de fric. De quoi parlez-vous ?
– Ce ne serait pas dans sa petite mallette, là?
– Laissez ma petite mallette tranquille !
On lui arrache des mains. L’argent est bien dedans, les bijoux aussi.
– Escroquer les personnes âgées, tu n’as pas honte ?
– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Fous le camp ! Lui dit Mathilde.
– Vous lui laissez son cadran ? S’étonne Edith ?
– Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ?
Beautilleux, son sac contenant le cadran sous le bras, prend au hasard la première rue à gauche et disparaît aux yeux de ses « agresseurs ».
– Il va continuer ses escroqueries ! Dit Edith qui ne comprend toujours pas.
– Oui, mais ce n’est plus mon problème, on a récupéré le fric et même davantage. Beautilleux, cadran ou pas, est un escroc dans l’âme, un jour il se fera pincer, il n’a pas une vue assez intelligente des choses pour éviter les erreurs. On vous paie le restau ?
– Pourquoi pas ?
– D’ailleurs c’est l’argent de Beautilleux qui va payer.
Le restau se passa dans une bonne ambiance, mais chacun avait envie de terminer la soirée de façon conviviale, c’est donc d’un commun accord que les trois voitures se dirigèrent vers Montmartre là où réside Inès afin de boire le traditionnel dernier verre..
– Nous n’avons pas eu le temps de faire les présentations dans les règles ! Voici donc Inès Kermaillard, ancienne vedette de cinéma, Romain, chef d’entreprise dans l’électronique et sa charmante femme Edith. C’est Romain qui a bricolé le traceur qui nous a permis de localiser et de coincer Beautilleux.
Du coup tout le monde se fait des bisous, puis Inès va chercher une bouteille de champagne au frigo et le verse dans des coupes sur une table basse. On trinque joyeusement après avoir pris place sur les deux luxueux canapés qui se font face.
– Inès est aussi salope que moi ! Tient à préciser Mathilde histoire d’ouvrir les festivités. Mais je dis ça comme ça, si parfois la chose vous tente, sinon on peut se contenter de boire un verre entre amis.
– Mais enfin Mathilde ! Fait mine de s’offusquer Inès.
– Ben quoi, je n’ai rien dit de méchant !
– Salope, moi ? Non mais dès fois ? Franchement est-ce que j’ai l’air d’une salope, Monsieur Framboisert.?
– Vous m’embarrassez, je ne vous connais pas ! Répond l’intéressé qui prend ça à la rigolade. Mais je ne demande qu’à faire connaissance.
– Quel cochon ! Commente Edith.
– Mais on les aime nos petits cochons ! Précise Mathilde.
Et sans plus attendre, Inès porte la main sur la braguette de Romain.
– Oh, excusez-moi, je ne sais plus ce que je fais, ni pourquoi je mets la main à cet endroit ! Plaisante-t-elle. Faut-il que je la retire ?
Et tout en disant cela, elle accentue sa pression sur l’endroit sentant la chose grossir sous l’action de ses petits doigts agiles.
– Vous êtes une rapide, vous ?
– Nous ne sommes que de passage sur terre, notre temps est précieux.
– Philosophe en plus !
– En fait je suis davantage calée pour sucer des bites que pour faire de la philo
En face, Mathilde et Edith s’amuse du spectacle et s’amuse à de petits jeux de langues tout en se pelotant allégrement .
– Je peux ! Demande Inès en dézippant la braguette.
– C’est déjà fait !
– Suis-je bête, voyons ce qu’il y a là-dedans ! Dit-elle en laissant sa main farfouiller dans le caleçon de l’homme.
Elle en teste l’état et ayant constaté sa bonne rigidité, l’extrait de sa cachette.
– Oh ! une bite !
– Vous pensiez trouver quoi ? Un hélicoptère ?
– Grand sot ! Laisse-moi un peu branler tout ça ! Mais baisse-moi ton pantalon ce sera plus pratique… Ou alors met-toi carrément à poil,… au point où on en est.
Excité comme une puce, Romain obtempère, gardant uniquement ses chaussettes. Et pour ne pas être en reste, Inès en fait de même, dévoilant son corps bronzé.
Romain en reste baba, il avait bien deviné que la dame avait de beaux restants, mais pas à ce point-là !
– Pas mal ! Hein ? Dit-elle et regardez mes fesses ! Pas mal non plus ? Hein ? Tâtez-les !
Vous pensez bien que l’homme n’allait pas refuser, il caresse le cul d’Inès.
– Mieux que ça, j’adore qu’on me tripote les fesses ! Oui comme ça, continue, écarte-les maintenant. Tu vois mon petit trou ?
– Oui !
– Tu le trouves comment mon petit trou ?
– Charmant, absolument charmant.
– T’as le droit de le lécher.
Encore une instruction qu’il n’est nullement nécessaire de dire deux fois à Romain Framboisert, qui si penche langue en avant vers le trou mignon et vient le déguster.
– Ça va ? Il a bon goût mon cul ?
– Un goût exquis !
– On me l’a dit souvent, mais je n’ai jamais pu y gouter, je ne suis pas contorsionniste.
Sur le canapé d’en face Mathilde et Edith complètement débraillées en sont déjà au soixante-neuf et pousse des cris qui ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elles y prennent.
– Mettez-moi un doigt ? Demande Inès.
– Bien volontiers ! Répondit Romain en humectant son index avant de l’enfoncer dans le trou de balle de la dame.
– Hum, c’est bon, j’adore qu’on me foute un doigt dans le trou du cul. Essayez d’aller plus vite, mettez un deuxième doigt.
– Comme ça ?
– Oui c’est bon, j’aime qu’on s’occupe de mon cul, continuez avec vos doigts et après vous pourrez m’enculer !
– Mais avec plaisir !
– J’aime me faire enculer !
– Je vais essayer de vous faire ça bien !
– Les hommes ne savent pas ce qu’ils perdent ! Ce genre de plaisir est divin ! Ça ne vous a jamais tenté d’essayer, Romain ?
– D’essayer quoi, chère madame ?
– De vous faire sodomiser !
– Et si je vous disais que ça m’arrive de temps en temps et que j’apprécie beaucoup.
– Et vous sucez aussi ?
– Ça m’arrive.
– Oh ! Mais c’est formidable ce que vous me dites, retirez vos doigts, je reviens tout de suite.
Et voici qu’Inès se lève et s’en va farfouiller dans le tiroir inférieur d’un grand vaisselier, elle en sort une boite de préservatifs et un gode ceinture.
– Voilà, regarde un peu comme il est beau ! On peut se tutoyer n’est-ce pas ? Il y a une éternité que je ne l’ai pas utilisé, beaucoup d’hommes quand on leur parle de ça, ils se sauvent en courant… c’est vraiment con, ceux qui y ont gouté, ils en redemandent ! Moi j’aime bien me servir d’un gode, j’en ai un autre avec des piles, il ressemble vraiment à une vraie bite, je l’appelle Firmin, hi, hi ! Bouge pas je vais te le montrer tu vas voir comme il est beau.
« Ce n’est pas possible, elle a avalé un magnétophone ! »
Elle revient donc avec « Firmin » et le fout sous le nez de Romain.
– Comme tu le trouves ?
– Il est attendrissant ! se moque l’homme.
– Montre-moi comment tu suces les bites
– Je préfèrerais une vraie…
– Je veux juste voir, fais-moi plaisir.
Inès lui demande alors de s’agenouiller entre ses cuisses, elle lui introduit le gode dans la bouche, puis lui pince ses bouts de sein, d’abord doucement puis de plus en plus fort, Romain se pâme tout en léchant la bite factice.
– T’aimes ça, qu’on te pinces, allez suce, oui comme ça, tourne bien ta langue autour du gland et maintenant tu l’enfonces bien dans ta bouche, voilà t’es un bon suceur de bite.
Mathilde et Edith se sont approchées.
– Ben dis donc ton mari, il aime ça la bite ! Lance Inès à Edith.
– Ben, oui c’est un petit cochon !
– Et ça ne te gêne pas ?
– Pourquoi ça me générait ? Encule-le donc avec ton engin, il n’attend que ça !
– C’est vrai ça Romain, tu veux que je t’encule ?
– Oui, oui, vas-y !
Pendant que l’homme se met en levrette, prêt à l’assaut, Inès s’harnache avec le gode ceinture, et le recouvre d’un préservatif.
– Faut’y mettre du gel ? S’interroge-t-elle.
– Lèche moi un peu le trou, ça devrait le faire.
– Tu voudrais que je te lèche ta rondelle ?
– Ce n’est qu’une suggestion !
Inès se mit donc à faire feuille de rose à Framboisert, sa langue était d’une telle agilité que le petit œillet brun ne tarda pas à bailler de plaisir.
– Et maintenant, fini la rigolade, attention à ton cul, j’arrive !
Ça entre tout seul, Inès pilonne à grand coups de rein le trou du cul de Romain, celui-ci apprécie même s’il préfère quand c’est sa femme qui lui fait ce genre de choses à la maison. Et puis c’est vrai que ça ne vaut pas une vraie bite…
Mathilde vient devant lui afin de se faire lécher la foufoune, ainsi le plaisir est-il double. Elle devait être super excitée puisqu’elle prend son deuxième pied de la journée en moins de trois minutes.
– J’ai envie de pisser, tu viens avec moi ? demande-t-elle à Edith.
– Au fond à gauche ! La deuxième porte ! Lui précise Inès tout en continuant à besogner .le cul de l’homme.
Edith cru d’abord que cette proposition d’accompagnement était innocente.
– Tu veux me regarder ? Osa Mathilde en s’installant sur la cuvette.
– C’est comme tu veux, moi je veux bien !
– Je peux t’offrir une belle vue, si tu veux ! Reprend la mature en se redressant.
– Tu aimes les jeux de pipi ?
– Disons que ça m’amuse.
– Tu veux m’asperger ?
– Hum, bien sûr !
Du coup Mathilde rectifie une nouvelle fois la position, elle se rassied sur la cuvette mais s’avance sur le bord, mettant ainsi sa chatte devant Edith qui s’agenouille devant elle.
Et soudain, le jet fuse, Edith en reçoit plein sur les seins et se l’étale, elle ouvre ensuite une large bouche, Mathilde comprend évidemment le message et lui donne à boire.
La miction terminée, les deux femmes s’embrasent spontanément.
– On fait une belle paire de salopes ! Commente Mathilde.
– Oui, mais on assume !
Au bout d’un moment Inès commence à fatiguer et se retire laissant Romain exténué mais ravi.
– A toi de m’enculer, mon grand !
– Mais avec grand plaisir, ma chère !
– Et traite-moi de tous les noms, ça me stimule.
Romain s’encapote et pénètre facilement la belle sexagénaire.
– T’aime ça qu’on t’encule, hein vielle salope, trainée, morue, radasse !
– Ils sont mignons tous les deux ! Commente Mathilde en jouant avec les tétons d’Edith.
Et tandis qu’Inès se met à jouir rapidement du cul en poussant des hurlements, Romain excité comme un pou et incapable de se contrôler davantage jouit dans la capote et se retire.
Moment calme, on se rince, on se rhabille, puis Inès propose d’emmener tout ce petit monde dans un petit piano bar du quartier.
Bonne ambiance, on boit, on rigole… Mathilde profite du fait qu’Edith soit partie aux toilettes (oui toute seule cette fois !) pour entreprendre Romain.
– Téléphonez-moi discrètement dès que vous pourrez, j’ai une petite proposition coquine à vous présenter.
Mercredi 20 avril
Et le lendemain elle lui expliqua.
– J’aimerais que vous m’aidiez à réaliser un petit fantasme.
– Moi, je veux bien, mais lequel ?
– Voyez-vous, il y a un certain temps que je n’ai pas vu deux hommes bisexuels se faire des trucs ensemble…
– Vous savez, je ne fais ça que de temps en temps, mais disons que c’est l’occasion qui fait le larron.
– C’est un refus ?
– Oui, je regrette…
– Cela m’aurait fait plaisir !
– Non, n’insistez pas, et puis c’est qui l’autre ?
– Quelqu’un que vous connaissez.
– Martinov ?
– Eh, oui !
– Dans ce cas on peut s’arranger.
Samedi 23 avril
Le professeur Martinov est très ponctuel, Fabienne en tenue de soubrette lui a servi un whisky, Mathilde s’est habillée, si on peut appeler ça « habiller » d’un extravagant corset à bretelles rouge carmin avec le string assorti. Notre vert professeur en bave d’émotion.
Romain Framboisert arrive dix minutes plus tard, se confond en excuse. Les embouteillages… Il embrasse Mathilde puis interpelle le professeur.
– Alors, toi aussi tu t’es fait débaucher ?
– Que veut-tu la chair est faible.
Fabienne vient s’enquérir de ce que souhaite boire le nouvel arrivant.
– Je veux bien un whisky.
Puis une fois Fabienne sorti de la pièce.
– Votre servante est charmante !
– Charmante et peu farouche, d’ailleurs elle restera à mes côté pendant que vous allez m’offrir votre petit spectacle
On trinque, on boit, puis Mathilde fait signe au deux hommes qu’elle voudrait bien que ça commence. Fabienne vient s’assoir à droite de sa patronne, les deux hommes se déshabillent. C’est parti !
Romain et Martinov sont face à face.
– On gère ça comment ? demande le professeur mezzo voce.
– On se laisse aller, on verra bien !
Et Romain attrape les tétons de Martinov et les serre entre ses doigts, du coup ce dernier lui rend la politesse. Et c’est magique les bites se mettent à grossir et à indiquer la direction du ciel.
– Tu as vu des deux cochons, Fabienne comme ils bandent bien.
– Hum c’est excitant !
– Et attend il vont se sucer et s’enculer !
– Super !
– Tu vas me caresser pendant que je les regarde.
– Oui madame !
Qui sucera l’autre ? Petit accord tacite entre les deux hommes, Martinov s’accroupit en engloutit la bite de Romain. C’est qu’il aime ça, Martinov sucer de la bite, et celle de Romain il la connait bien, alors il s’applique, Il lèche, il suce, il pompe…
Puis Romain s’en va se coucher sur le dos sur le canapé, Martinov a compris la manœuvre et se positionne tête bêche avec son camarade de débauche de façon à ce qu’ils se sucent mutuellement la queue.
– Oh, le joli soixante-neuf ! Commente Mathilde à présent bien débraillée par Fabienne, le string a disparu on ne sait où, les bonnets du corset ont sautés, exhibant ainsi sa jolie poitrine. D’une main Fabienne lui trifouille la chatte tandis que ses lèvres butine un téton fripon.
Fabienne avait prévu sur la table basse, quelques préservatifs joliment présentés dans une coupelle en porcelaine de Sèvres.
Romain s’encapote, le professeur se positionne en levrette et s’écarte les fesses. L’instant d’après il se faisait proprement enculer.
L’affaire dura bien plusieurs minutes, on a du mal évoluer le temps quand on baise, mais Romain finit par prendre son pied, alors qu’au même moment Mathilde éclatait son plaisir sous l’action de la langue de Fabienne qui lui faisait minette.
Romain s’est retiré, fait signe à Mathilde qu’il est momentanément hors service, ce que la mature avait aisément compris.
– C’était très bien, un peu court, mais je ne vais pas faire la difficile ! Cher professeur, vous n’avez pas joui ! Je vous confie Fabienne, elle est à vous. D’ailleurs je crois bien que vous avez déjà fait des choses ensemble
– Oui, madame, répondit Fabienne
– Enculez-là, cher professeur.
– Vous voulez-bien, Fabienne ? demande Martinov.
– Oui dit-elle, en se mettant en position et en dégageant d’autant plus facilement son joli derrière qu’elle n’avait pas de culotte.
Et c’est ainsi que ce termina cette rocambolesque histoire d’univers parallèles !
Fin