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Martinov 22 – Univers parallèles – 5 – Mathilde, bourgeoise lubrique par Maud-Anne Amaro
Samedi 1er février
– Oh, merci de m’appeler, j’ai trouvé votre conférence et votre livre formidable… si, si… Je me suis régalée. Accepteriez-vous que nous nous rencontrions ? Proposa Mathilde
– Ma foi, pourquoi pas, mais je crains ne pas avoir grand-chose à ajouter à ce que j’ai écrit…
– Ça ne vous engage à rien, on trouve en général ma compagnie agréable !
« Elle veut me draguer ! » Cru deviner Beautilleux, du coup il accepta un rendez-vous.
– On peut se retrouver dans un café…
– Venez donc chez moi, je vous envoie un taxi, donnez-moi votre adresse !
La proposition était tellement insolite que l’homme ne la refusa pas.
Il fit arrêter le taxi devant un fleuriste car on ne répond pas à l’invitation d’une dame en arrivant les mains vides, mais il pesta contre cette dépense dont il se serait bien passé !
Mathilde était habillée de façon fort coquette : une petite robe noire légèrement décolletée et dévoilant de jolies épaules.
– Entrez, Monsieur Beautilleux, soyez le bienvenue. Oh, des fleurs, merci, c’est gentil !
« Quel radin, ! C’est quoi ce bouquet rachitique ! »
– Asseyez-vous, whisky, porto, jus de fruit ?
– Non merci, à moins que vous ayez une bière ?
– Fabienne ! Crie Mathilde.
Une blonde frisée comme un mouton en tenue de soubrette, un peu boulotte mais au visage agréable fait son apparition.
– Fabienne, descends chercher un pack de bière à l’épicerie ! Et occupe-toi des fleurs.
– Bien madame !
– C’est Fabienne, ma dame de compagnie, une belle salope ! N’est-ce pas Fabienne ?
– Oui madame !
Beautilleux n’en revient pas de cet échange surréaliste et commence à se demander où il est tombé, mais ce n’était que le début des surprises.
Mathilde croisa les jambes dévoilant le haut de sa cuisse.
– Bon allons-y, cher monsieur ! Je suppose que vous êtes satisfait de votre petite conférence ?
– Ma foi !
– Vous êtes très doué, vous feriez gober n’importe quoi à ces simples d’esprit.
La réflexion rendit Beautilleux pour le moins perplexe.
Sur ces entrefaites, Fabienne réapparut avec une bière.
– Mais Fabienne, ça ne va pas, la bière ça se boit frais, mets-moi ça dix minutes au congélateur et tu serviras après.
– Bien madame !
– Faut tout lui dire ! Elle est un peu nunuche, mais je l’adore. Je devrais la punir, mais ça ne sert à rien, elle adore qu’on la punisse ! Bon où en étions-nous ?
– Je ne sais plus trop, je suis là pour répondre à vos questions.
– Vous aimez mes jambes ?
– Pardon ?
– Vous étiez en train de les regardez, dites-moi ce que vous en pensez, ça me fera plaisir.
– Elles sont très belles !
– Merci, vous êtes un gentleman, je ne me plains pas, pour mon âge, je trouve que je ne suis pas mal conservée, non ?
– Vous êtes une belle femme !
– Et encore vous ne m’avez pas vu à poil !
Beautilleux esquissa un vague sourire un peu gêné.
– Vous aimeriez ? Reprit-elle.
– Je suis un homme, mais bon, vous vouliez me posez des questions.
Et voilà que Fabienne revient avec une bière
– C’est assez frais ça ? Demande Mathilde, oui on dirait, sers-moi un whisky.
Elle attendit que Fabienne soit partie pour poser sa question :
– Répondez-moi franchement, votre baratin sur les univers parallèles, vous y croyez ?
– Bien sûr !
– Ben pas moi ! Dans ce que vous avez écrit, il n’y a rien d’observable.
– Ce sont des supputations de bon sens.
– Le bon sens, c’est souvent n’importe quoi, c’est la personne qui donne un avis en cinq minutés au café d’en face sur un sujet qui demande cinq années d’études. Essayez donc de jouer de la trompette en n’utilisant que le bon sens !
– Vous m’avez fait venir pour me dire ça ?
– Non, pas tout à fait !
– Alors ?
– Alors on pourrait s’associer !
– J’ai du mal à suivre !
– Avec toutes ces rombières qui sont crédules on pourrait ramasser un paquet de fric.
La dame se mettait donc à parler gros sous, voilà qui changeait la donne. Beautilleux pensait se renflouer financièrement en écrivant n’importe quoi, mais il était bien évident que si une opportunité lui permettait de gagner plus d’argent, il n’allait pas cracher dessus.
– Bon, il faut que les choses soient bien claires entre nous ! Reprit Mathilde, avouez que vos prétendues théories sont de la fumisterie et après je vous dirais comment on va gagner des sous, tous les deux.
– Soit ! Je veux bien l’admettre.
– Super !
Et Mathilde remonta sa robe jusqu’à la taille dévoilant une charmante petite culotte bleu électrique.
– Ça vous plaît ?
– A quel jeu jouez-vous ?
– Au chat et à la souris !
– Et c’est moi la souris ?
– Exactement !
Beautilleux est en pleine confusion mentale.
« Elle veut quoi ? Un plan cul ? Une proposition d’escroquerie foireuse ? Cette femme doit être à moitié folle, je vais me barrer d’ici ! »
Oui, mais quand on a devant ses yeux une fine culotte en dentelle qui ne cache pas grand-chose, on a du mal à s’extraire de son fauteuil !
– Et si je vous demandais de me la retirer ? Lui suggère Mathilde.
« C’est donc bien un plan cul, je ne vois pas pourquoi je n’en profiterai pas. J’espère seulement qu’il n’y a pas de piège ! »
– Je veux bien entrer dans votre jeu, mais je risque de vous décevoir, je n’ai rien d’un apollon et je prends des médicaments pour le cœur.
– Je m’en fous, vous avez des beaux yeux et surtout vous avez une personnalité, c’est ça qui m’intéresse. Alors tu me la retires, ma culotte ou tu attends la révolution prolétarienne ?.
Comme un zombi, Beautilleux s’approcha de la belle mature et comme dans un rêve commença à faire glisser vers le bas le petit dessous féminin. Mathilde l’aida en soulevant son popotin.
Beautilleux se retrouve avec la chatte poilue de la dame sous les yeux, complètement tétanisé incapable de bouger.
– La culotte vous avez le droit de la sentir !
L’homme la porte à ses narines, la hume.
– L’odeur vous plait ?
– Oui bien sûr !
– Vous êtes un petit cochon !
– Mais…
– Rassurez-vous, j’aime bien les petits cochons. Venez donc sentir ma chatte, à présent.
Beautilleux y fourre son nez, renifle, l’odeur lui plait.
– Ça sent peut-être un peu le pipi ? Le taquine-t-elle
– Non, enfin, je ne sais pas.
– T’es troublé, toi ! Répond Mathilde passant au tutoiement.
– On le serait à moins.
– Et mon cul, tu voudrais sentir mon cul.
– Ben…
– Ben si, tu vas le sentir !
Mathilde exécute une légère glissade dans son fauteuil de façon à ce que son anus soit accessible par l’homme.
– Allez, renifle-moi le trou du cul !
Il le fait, de toute façon il n’est plus maître de ses réactions.
– Je ne te demande pas ce que ça sent, tu vas me répondre une bêtise.
– Euh…
– Mais tu as le droit de lécher
– Euh…
– Allez vas-y lèche-moi le trou du cul.
L’homme était peu coutumier de cette pratique, mais ne sut refuser, Sa langue s’approcha de l’œillet fripé et y virevolta quelques instants.
– Hum, c’est bon, continue un peu…Dis-moi, est-ce que tu bandes ?
– Oui.
– Montre-moi !
Beautilleux satisfait que l’on passe à autre chose fait glisser le curseur de sa braguette.
– Mais non pas comme ça, voyons tu n’es pas dans un urinoir mais devant une belle salope bourgeoise Alors tu me retires ce pantalon et le reste tu poses ça, euh tu poses ça… Fabienne, viens ici et pose délicatement les vêtements de monsieur quelque part.
La soubrette arrive, par réflexe, l’homme se cache la zigounette avec ses mains.
– Tu vas suivre Fabienne, elle va te laver la bite, j’ai envie de te sucer, mais j’aime bien les bites propres.
– Euh… On va peut-être en rester là !
– Comme tu veux, on en reste là, non seulement tu vas rater une bonne séance de baise, mais je vais être obligé de chercher quelqu’un d’autre pour monter une petite escroquerie qui va nous rapporter des millions.
– Des millions ?
– Si on se débrouille bien, oui ! Alors tu suis Fabienne et tu arrêtes de faire ton timide.
Comme un somnambule, il suit Fabienne dans la grande salle de bain de la bourgeoise.
– Si Monsieur veut bien approcher sa bite du lavabo !
Beautilleux à l’impression de se retrouver quarante ans en arrière, avant l’apparition du Sida, quand les prostituées travaillaient sans capote et procédait au lavage manuel des quéquettes de leur client.
– Si monsieur veut bien se décalotter !
Le monsieur se décalotte, Fabienne se mouille les mains à l’eau savonneuse et lui débarbouille le kiki en insistant sur le gland.
– Voilà, la bite de Monsieur est toute propre, je vais l’essuyer un peu.
Non seulement il est tout propre mais il bande comme un sapeur. Il réintègre le salon de Mathilde suivi de Fabienne
– Sa bite est-elle bonne, Fabienne ?
– Je ne l’ai pas sucé, madame !
– Eh bien, fais-le et dis-moi !
– Madame exagère, je n’ai nulle envie de sucer la bite de ce monsieur.
– Alors vas te mettre au coin, et les fesses à l’air et restes-y tant que je ne te dise pas le contraire
La soubrette obtempère, elle accroche le pan de sa jupette à sa taille et dévoile ses fesses, elle ne portait pas de culotte
« Mais c’est quoi cette maison de dingues ? » Ne cesse de se demander Beautilleux !
– On a vraiment des problèmes avec les gens de maison à notre époque, mon pauvre monsieur ! Déclare Mathilde.
– Je ne sais pas, je n’ai pas de domestique ! Répond bêtement l’homme.
– C’est terrible, je vais encore être obligé de la fouetter, mais le problème c’est qu’elle adore ça, alors je ne sais comment la punir ? Bon assez causé approche-toi que je mette tout ça dans ma bouche. J’adore sucer des bites, n’est-ce pas Fabienne ? Oh Fabienne, ce n’est pas parce que tu es au coin qu’il ne faut pas me répondre !
– Oui, madame, vous êtes une bonne suceuse de bites ! Répondit la soubrette.
Mathilde commença par déposer un petit bisou du bout des lèvres sur l’extrémité du gland, avant de le titiller un peu avec la langue, puis tout d’un coup elle emboucha complétement le membre pendant que sa main flattait les testicules.
Beautilleux était aux anges, regrettant simplement que la femme n’ait pas dégagé son haut. Il adorait les poitrines des femmes, mais n’osait pas lui demander.
Mathilde vivait seule en compagnie de Fabienne, depuis que son militaire de mari l’avait quitté pour un jeune lieutenant de cavalerie.
Elle passait des annonces genre « rencontre sans lendemain » sur des sites spécialisés et la plupart du temps, se faisait rétribuer, non pas pour gagner de l’argent, elle en avait plus qu’il lui en fallait, mais afin de lever les rapports de toute ambiguïté, et en plus ça lui permettait de diriger les opérations.
Elle aimait aussi la compagnie des femmes, mais les rencontres par Internet l’avaient déçu, ni les rombières décaties, ni les camionneuses de caricatures, ni les féministes bavardes ne l’intéressaient et puis il y avait Fabienne qui n’était pas trop farouche.
Bref, on digresse, revenons à notre petite séance, Mathilde se régale, elle aurait été capable de sucer des bites pendant des heures, c’était d’ailleurs l’un de ces fantasmes, aligner quinze bonhommes bien bandés devant elle et les sucer les uns après les autres…
Elle sentit une goutte de liqueur séminale perler sur le gland de Beautilleux. Elle ralentit son action, son but n’étant pas de la faire jouir par la bouche.
Sa main passa derrière l’homme, atteignit les fesses, les tritura un peu, puis le doigt pris la route du sillon jusqu’au petit trou qu’elle massa négligemment.
Cela l’amusait toujours de pratiquer ainsi, les réactions des hommes étaient alors diverses, allant du refus outré, somme toute assez rare, jusqu’à l’acceptation complice en passant l’indifférence polie.
Présentement, de refus, il n’y en en pas, mais pas d’enthousiasme non plus. Qu’à cela ne tienne, le doigt s’enfonce.
– Tu aimes ?
– Comme ça…
– On te l’a déjà fait ?
– Dès fois.
– Et un gode tu as essayé ?
Beautilleux est gêné, il n’a vraiment pas envie de lui raconter qu’un jour l’une de ses maîtresses occasionnelles, complètement nymphomane lui avait montré sa collection de godemichets, les avait introduits devant lui dans ses deux orifices et l’avait persuadé d’essayer à son tour. Ne voulant pas perdre la face, il l’avait fait, et en conservait un souvenir trouble mais n’avait pas renouvelé l’expérience.
– Oui, une fois, mais ce n’est pas mon truc ! Dit-il croyant cette formule suffisante pour clore le sujet.
– Parce que la fille qui te l’a fait n’a pas su faire, laisse-moi essayer.
– Peut-être pas ?
– Tu n’as pas confiance en moi ?
– Ce n’est pas ça…
– C’est quoi alors, on essaie, ça ne va pas te tuer, et si tu ne supportes pas, je n’insisterais pas. Fabienne va me chercher un gode, un petit, tu l’encapotes et tu mets du gel.
– Oui madame ! Est-ce que je me remets au coin après ?
– Non, après tu retournes bosser, apporte-moi une grande serviette.
Fabienne revient avec une serviette de bain qu’elle étale sur le canapé, Mathilde invite l’homme à se coucher dessus, sur le dos.
– Lève une jambe que j’introduise le machin. N’ai pas peur, je ne suis pas une brute.
Le gode entre facilement dans le trou du cul masculin, sans réaction particulière de l’intéressé. Elle active le vibrateur intégré et enfonce plus profondément l’objet avant de le faire aller et venir.
– Alors c’est bon ?
– Oui mais on peut peut-être arrêter.
– Tu viens de dire que c’était bon, alors je le bouge encore un peu.
Beautilleux se laisse faire encore quelques minutes, puis retire l’objet.
– C’est bon de se faire enculer, non ?
– C’est pas très normal pour un homme.
– Et pourquoi ce serait normal pour une femme et pas pour un homme ?
– C’est les pédés qui font ça !
– Tu en as encore beaucoup des arguments débiles dans ce genre.
– Je disais ça comme ça.
– Et maintenant tu vas me sucer, je suis toute excitée.
Beautilleux, ravi que l’on change de registre plongea sa langue dans les chairs intimes de sa partenaire qui mouillait comme une soupe. Il ne déteste pas ce goût et lape à qui mieux-mieux
Mathilde commence à être atteinte de spasmes significatifs
– Plus haut la langue.
L’homme est un peu maladroit, la femme vient l’aider en portant le doigt sur son clitoris érigé, avant d’exploser sa jouissance.
– Ah ! Ça fait du bien. Tu aimes qu’une femme te domine, on dirait ?
– Ça ne me dérange pas !
– T’es marié ?
– Je ne le suis plus !
– Ça t’amuserais d’être mon petit esclave ?
– Comment ça ?
– Admettons qu’on s’associe un peu, ça veut dire que ce sera toujours moi qui mènerai la barque, que ce soit pour le sexe ou pour le business.
– Faut voir !
– Faut voir quoi ? Je vois bien que t’es tenté. De toute façon tu n’es pas enchaîné, le jour ou t’en as marre, tu reprendras tes billes.
– Et ce serait quoi le business ?
– On va envoyer des gens dans un faux monde parallèle, évidemment ils ne reviendront pas et on leur piquera tout leur fric.
Beautilleux, interloqué ne s’attendait pas vraiment à ça
– On ne va pas faire disparaître des gens, tout de même !
– Non, parce que si quelqu’un s’inquiète ils réapparaitront !
– Et ils porteront plainte pour vol !
– Mais non pas du tout ! Mais fais-moi donc confiance au lieu de me prendre la tête avec tes questions ! Je te rappelle que c’est moi la chef, toi t’es mon esclave, t’es là pour l’intendance.
– Quand même !
– Ça va très bien se passer, ne t’inquiètes surtout pas !
– Mais concrètement on ferait quoi ?
– On se met en stand-by quelques jours, je te rappelle très vite.
Beautilleux quitta Mathilde, circonspect. Il était quasiment persuadé d’être tombé sur une cinglée nymphomane et que cette étrange rencontre ne connaîtrait aucune suite.
L’homme parti, Mathilde rappela Fabienne.
– Je ne sais pas comment il a réussi à me faire jouir, en fait il était tellement emprunté que ça a dû m’exciter…
– Hi : Hi !
– Mais je ne suis pas rassasiée ! Viens me lécher l’abricot !
Fabienne approche sa petite langue.
– Un peu l’anus d’abord, voyons !
– Bien sûr, madame !
– Hum c’est trop bon ! Ne bouge pas je crois que je vais péter !
Elle le fait ! Instinctivement Fabienne se recule
– Oh, la la !
– Tais-toi et lèche, je vais peut-être en faire un autre. Prout !
– Whah !
– Ça va, tu en a pris plein les narines !
– Oui, Madame est dégueulasse.
– Mieux que ça ! Dis-moi ce que je suis, tu sais bien que ça m’excite !
– Madame est une bourgeoise salope, une morue, un garage à bites !
– Et toi tu es quoi ?
– Oh, moi….
– Allez, occupe-toi de ma chatte, je crois que je ne vais pas tarder à venir !
Fabienne excellait dans l’art du broutage de minou, et elle adorait ça, elle commença par laper toute la mouille dont le sexe de sa patronne était imbibé, puis elle titilla de la pointe de sa langue le gros clito qui n’attendait que ça. Quelques secondes après Mathilde jouissait pour la seconde fois en aspergeant ses douces cuisses de ses sucs.
– C’était bon, va chercher un grand verre.
La soubrette comprit ce que cela sous-entendait. Quand elle revint avec un verre à soda, Mathilde pissa dedans et le remplit au trois-quarts avant d’ordonner à Fabienne d’en boire la moitié, ce qu’elle fit sans problème, elle adorait la pisse. Quant à l’autre moitié, ce fut la bourgeoise qui la siffla, N’est-on jamais mieux servi que par soi-même ?
-Tu jetteras les fleurs de l’autre abruti à la poubelle, elles sont moches !
– Je peux les garder pour moi ?
– Si tu veux, tu peux même te les foutre dans le cul si tu veux !
A suivre