Le blog de vassilia-x-stories
Martinov 22 – Univers parallèles - 1 – Béatrice en trio par Maud-Anne Amaro
Mercredi 19 février
– T’as besoin de moi pour le rendez-vous de 10 heures ? Demande Béatrice.
– Je sais pas, c’est quoi ? Répond le professeur Martinov.
– Un mec qui veut une espèce de cabine futuriste pour une attraction foraine.
– Comme tu veux ! Mais autant que tu sois là, tu aurais peut-être des idées, t’as toujours des bonnes idées…
– Bien, mon petit professeur.
Un petit rappel pour ceux qui n’ont pas lu les précédentes (et passionnantes) aventures du professeur Martinov. Ce dernier est un chercheur indépendant, sexagénaire, sorte de Géo Trouvetout. Un jour on lui demanda de trouver un produit augmentant la fertilité des lapins, (voir Martinov et le Lapin dur) Débordé, et un peu juste sur les questions de biologie, il embaucha Béatrice une jeune diplômée sortant tout droit de l’école de chimie et de plus de trente ans sa cadette. Vraie blonde, souriante et bien faite. En testant le produit sur eux-mêmes, ils furent tous deux atteint d’une frénésie sexuelle imprévue qui eut plusieurs conséquences : la première fut que le produit fut commercialisé en sex-shop comme une bon substitut au Viagra, la seconde fut qu’ils firent fortune, la troisième fut que la complicité sexuelle entre eux deux s’installa sans qu’ils ne se considèrent pour autant comme amant et maîtresse. L’action se passe à Louveciennes, localité cossue des Yvelines, non loin de Paris.
On entre maintenant dans le vif du sujet :
– Jean-Louis Beautilleux, physicien retraité ! S’annonce l’individu, costume gris clair élimé, polo Lacoste blanc, grosses lunettes et pas un poil sur le caillou.
– André Martinov, et voici ma collaboratrice Béatrice Clerc-Fontaine ! Alors expliquez-nous un peu tout ça !:
– Comme je vous l’ai dit, c’est une attraction foraine. La personne entre dans une cabine, et à la sortie elle est censée se retrouver dans un monde parallèle, alors évidement faut que ce soit ludique, je veux juste que la cabine soit remplie de boutons, de cadrans lumineux, il devra y avoir aussi des messages vocaux, je vous en laisse les textes, et je vous ai dessiné un petit schéma, le voilà. Ah, il me faudrait aussi un casque, un casque futuriste genre bande dessinée des années 30 avec des fils métalliques qui sortent en tortillons.
Le professeur jeta un coup d’œil d’un air perplexe, en fait la chose s’avérait relativement complexe, il ne s’agissait pas seulement d’allumer où d’étreindre des cadrans à l’aide de boutons, mais de programmer des messages lumineux ou vocaux en fonction des instructions des utilisateurs.
– Je suis désolé, mais l’électronique ce n’est pas trop mon fort, nous ne ferons malheureusement pas affaire ! Annonça Martinov en se levant déjà de son siège afin de mettre un terme à l’entretien.
– Ecoutez, je suis pressé et je ne souhaite pas avoir affaire à trente-six interlocuteurs.
– Mais…
– Je vous propose 5 000 euros, avec ça vous serez maître d’œuvre, ce que vous ne savez pas faire, sous-traitez-le. Puis vous finaliserez la chose en fixant les cadrans et en me faisant quelque chose de joli !
– Hum !
Béatrice griffonne un nom sur un papier et le tend à Martinov :
« Framboisert »
Evidemment l’idée est bonne, l’homme ainsi désigné est ingénieur en électronique, lui et son épouse sont devenus de joyeux complices de Martinov et de Béatrice. Encore faudrait-il qu’il accepte !
– Je réserve ma décision, je vous appelle demain.
– Je n’ai pas de portable, je suis allergique à ces machins-là, je passerais en vitesse demain pour avoir votre réponse.
– Comme vous voulez, si je prends l’affaire, il faudra que je me déplace où ça pour travailler dans votre cabine ?
– Eh bien, dans votre atelier, non ? Je vous la ferais livrer dès que j’aurais votre accord.
– Elle est grande comment votre cabine ?
– C’est une cabine d’ascenseur que j’ai acheté en brocante !
– On trouve des cabines d’ascenseur en brocante ?
– Eh oui !
– Je n’ai pas la place, pourquoi ne pas faire ça chez vous ?
– Pour des raisons personnelles ! Avec la somme que je vais vous verser, vois pouvez bien trouver un hangar ou un garage…
– C’est que justement, j’ai peur que la somme soit un peu juste.
– 7 000 ? Je ne peux pas plus !
– Ça ira !
Le type parti, Martinov et Béatrice décidèrent de se répartir les rôles : Béa se rendrait chez les époux Framboisert, le professeur pour sa part essaiera de convaincre la Marianne de lui prêter son garage pour quelques jours.
Il nous faut donc parler un peu de cette Marianne. C’est la veuve du grainetier et plus ou moins la maîtresse de Martinov lequel se rend chez elle le vendredi soir ou le samedi soir. Elle lui mitonne un bon petit repas et ça se termine dans le plumard. Le problème de Marianne c’est qu’elle est jalouse comme une tigresse, et à ce propos ne peut pas encadrer Béatrice ce qui fait que les deux femmes s’évitent et ne se sont rencontrées que fort rarement. Elle soupçonne évidemment la jeune chimiste de coucher avec le professeur. Pourtant Béa et Martinov sont discrets, mais que voulez-vous, la rumeur publique…
« – Vous vous rendez compte, ce pourrait être sa fille !
– Même sa petite-fille !
– C’est de la pédophilie ! »
Que voulez-vous, personne n’empêchera jamais les gens de jaser, et on n’empêchera jamais les gens d’être cons !
Romain et Edith Framboisert constitue un couple de joyeux partouzeurs. En annonçant sa venue, Béatrice savait pertinemment que sa visite risquait de tourner en trio lubrique. Cela ne la dérangeait pas outre mesure, ces gens étant aussi sympathiques que corrects, et elle appréciait tout particulièrement le charme mature de la belle Edith.
Celle-ci avait dépassé la quarantaine. Très brune, cheveux frisottant en cascade, joli visage, yeux bleu vif, lunettes à montures noires, sourire carnassier, belle silhouette.
Romain, directeur d’une entreprise d’électronique, la branchait moins, ce sont des choses qui ne se commandent pas, mais que voulez-vous parfois pour avoir la femme, il faut se farcir le mari, ainsi va la vie.
Elle arrive, bisous, bisous ! Edith lui roule quasiment un patin, celle-ci a peaufiné son maquillage et revêtu un chemisier quasi transparent sur sa poitrine nue ! C’est ce qui s’appelle afficher la couleur.
– Qu’as-tu fait de Martinov ? Lui demande Romain.
– Il avait quelqu’un à voir ce soir ! Il vous transmet ses amitiés. Alors voilà ce qui m’amène, un client veut nous faire travailler sur une attraction foraine, on n’a pas dit oui, on n’a pas dit non, le souci c’est qu’il y a beaucoup d’électronique…
Bref, elle raconte toute l’histoire et présente les schémas à Framboisert.
– Ça m’a pas l’air si compliqué que ça, je peux vous bricoler ça à temps perdu, il n’est pas pressé votre gars au moins ?
– Ben si justement, mais il paye bien, tu fais un petit devis et tu peux le multiplier par deux !
– Je peux demander 1 000 balles ?
– Oui et tu mettrais combien de temps ?
– Une petite journée, je peux m’arranger pour faire faire ça par un de mes gars à l’usine…
Bref l’affaire fut conclue
– Euh les messages vocaux, ils sont où?
– Nulle part, on a juste les textes, il faut les enregistrer !
– Qui va faire ça ?
– Pourquoi pas Edith ?
– C’est quoi les textes ?
– Essaie de lire celui-là ! Lui dit son mari, prends un ton d’hôtesse de l’air :
– « Dans un instant, la porte va s’ouvrir sur un monde parallèle. Soyez sans crainte, votre sécurité est assurée ». C’est n’importe quoi ?
– N’empêche que c’est impressionnant, on s’y croirait !
– Et toi Béatrice, qu’en penses-tu ?
– Tu as fait ça très bien !
– Alors viens m’embrasser !
Evidemment, Béatrice ne saurait refuser, reste à savoir comment va être ce bisou ? Un petit poutou amical ou bien un roulage de pelle ? Dans ce dernier cas la chose risquait de se terminer sur le canapé et Romain viendrait y ajouter son grain de sel, ou plutôt sa virilité.
En fait Edith enlace si fortement Béatrice qu’elles basculent toutes deux sur le canapé en se tordant de rire.
– Tu t’accroches à quoi, exactement, là ? Lui demande Edith.
– A tes nichons, on dirait ! Je ne t’ai pas fait mal au moins ?
– Non mais pour te faire pardonner, tu vas me les caresser.
– Devant ce vilain monsieur ? Se gausse-t-elle en narguant Romain.
– Ce vilain monsieur a le droit de nous regarder, mais c’est tout pour l’instant !
– Et est-ce que j’ai le droit de me branler ? Demande l’homme entrant volontiers dans le jeu de ces dames.
– Qu’est-ce que tu en penses, Béatrice ? Demande Edith.
– Ne soyons pas vache, on va dire oui ! Mais qu’il recule d’un mètre.
Après avoir retiré leurs pantalons, les deux femmes s’embrassent tendrement, Edith s’attardant sur les jolies cuisses de sa partenaire, puis la faisant se coucher sur le dos, elle lui dégage les seins en faisant sauter les bonnets du soutien-gorge et se met à lécher les tétons avec frénésie.
Au bout d’un moment, Edith enlève son haut et invite sa complice à lui rendre la politesse en lui offrant ses seins. Mais la brune est gourmande et c’est la chatte de Béatrice qu’elle veut, elle plonge entre ses cuisses et commence à laper tandis que Béa se tire les bouts de seins. Elle procède par de longs, savants et rapides balayages sur les chairs intimes s’imprégnant de leur jus.
Un jus de chatte qu’elle garde en bouche pour le partager avec sa partenaire en un fougueux baiser.
Il vient ensuite à Béatrice l’idée un peu perverse de lécher les doigts de pieds d’Edith. Elle s’en régale, joignant les deux pieds l’un près de l’autre avec ses mains, elle a pour s’occuper dix orteils qu’elle suce et lèche les uns après les autres, mais en s’attardant plus particulièrement sur les pouces qu’elle travaille en bouche comme elle le ferait d’une petite bite trapue.
Et après les pieds c’est la minouche, c’est donc au tour de Béatrice de faire de l’entrecuisse avec sa langue, tandis qu’Edith a relevé ses jambes sur elle afin de lui faciliter la tâche.
Béatrice est coquine et descend sa langue un peu plus bas de façon à s’occuper de l’anus de sa complice.
– Il est comment mon cul ?
– Il est beau, pourquoi ?
– Oui, mais il ne sent pas un peu fort ?
– Si, mais justement, c’est encore meilleur, c’est aphrodisiaque !
– Alors continue, ma petite chérie
Bien sûr qu’elle continue, s’amusant à faire aller et venir sa petite langue sur ce mignon petit trou étoilé qui semble la narguer
– Mets un doigt ! Implore Edith.
– Je vais même t’en mettre deux.
Béatrice s’en mouille deux et les enfonce dans le troufignon de la brune où ça entre comme dans du beurre.
– Ça glisse tout seul !
– Hé, hé ! Continue c’est bon !
Et pendant ce temps-là, Romain qui a retiré boxer et pantalon, s’approche à pas feutrés, se prenant pour un gros matou !
– Toi, tu restes à ta place, on t’appellera si on a besoin de toi ! Lui dit son épouse.
– C’est trop cruel !
– Justement, j’aime bien !
Béatrice continue de doigter le dargeot de sa partenaire, mais que voulez-vous, les doigts fatiguent aussi !
Elle les retire.
– Suce-les! Lui dit Edith.
– Non mais dis donc ?
– Tu te dégonfles ?
– Mais pas du tout ! Répond-elle en les portant en bouche.
– Il a bon goût aujourd’hui mon cul ?
– Il est délicieux, ma chère !
– On se met un peu comme ça ? Propose Edith en faisant un curieux geste des mains, voulant signifier par-là qu’un soixante-neuf serait le bienvenu.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Béatrice en dessous, Edith au-dessus, les deux filles alternent les léchages et les frotti-frotta avec les mains.
Et bientôt ça geint, les respirations deviennent haletantes, les corps transpirent, sans se concerter les deux femmes titillent le clitoris qu’elles ont à portée de langue, et c’est bientôt l’explosion.
Moment calme, gros bisous, cigarette.
– Et moi, je fais quoi ? Demande Romain
– On fume notre clope, après on verra…
– Mais je ne tiens plus, moi !
– Branle toi à fond, si tu ne peux plus tenir !
– Méchantes !
– Et d’abord, faut que j’aille pisser ! Déclare Edith, tu viens Béa ?
Les deux femmes ont déjà joué à ces jeux plusieurs fois, mais elles ne s’en lassent pas et d’ailleurs c’est le péché mignon de Béatrice.
– On fait comment ? Demande Béa.
– Allonge toi par terre, je vais mettre une serviette.
Edith s’accroupit alors de façon à ce que sa chatte soit à dix centimètres de la bouche ouverte de Béatrice.
Le pipi jaillit, Béa en boit un peu, le reste coule sur sa poitrine et sur la serviette.
– Alors ?
– Délicieux !
– T’as envie toi ?
– Je peux essayer de t’en faire une goutte
– Alors allons y pour la goutte !
Les deux femmes permutent leur position, Bea parvient à offrir quelques gouttelettes à sa partenaire.
– Je ne peux pas plus, je suis désolée !
– Pas grave, il n’y avait pas la quantité, mais il y avait la qualité !
Les deux femmes se redressent et s’embrassent, un baiser au gout bien particulier comme vous vous en doutez !
Sur le pas de la porte, Romain mate, la queue superbement bandée.
– Qu’est-ce qu’il fout là, celui-ci ? Fait mine de s’indigner Edith, retourne à côté et attend-nous.
Une mini douche, vraiment mini et les deux femmes nues comme des grenouilles reviennent au salon.
– Qu’est-ce qu’on lui fait à lui ! Demande Edith.
– Je sais pas, on le suce à deux ?
– Oui, mais on pourrait l’enculer avant ? Je vais chercher le gode ceinture.
Elle revient avec l’objet, le passe à Béatrice qui s’harnache. Romain qui en fait n’est pas un homme compliqué se positionne spontanément en levrette sur le tapis. On recouvre le gode d’un préservatif et d’une noisette de gel intime.
Béatrice s’approche du fessier dressé et écarté, un coup de rein, et hop, ça entre, il ne reste plus qu’à pistonner. Romain pousse des hi et des han.
– Insulte-le, il adore ! Dit Edith
– Ça te plait de te faire enculer, vieille pédale !
– J’adore !
Et pendant ce temps-là Edith insatiable vient se régaler une fois encore des seins de la jeune chimiste.
Au bout de dix minutes, peut-être plus, peut-être moins le temps s’écoule bizarrement quand on baise, Béatrice qui fatigue un peu sort le toy du cul de Romain.
– Fais lui une pipe, ça lui fera plaisir ! Lui dit Edith.
– Je ne peux pas t’enculer ? Rétorque l’homme.
– Mais c’est qu’il est gourmand, pépère ! S’exclame son épouse
– Allez vas-y.! Concède Béatrice qui a son tour se met en levrette.
L’assaut est bref, forcément, avec tant d’excitation accumulée, la jouissance ne demandait qu’à venir.
– Ah ! Ça fait du bien dit-il en ressortant du cul de la blonde.
Béatrice se garda bien de lui dire qu’elle n’avait pas senti grand-chose.
– Tu restes diner avec nous, on peut commander des pizzas ! Propose Edith.
– D’accord, mais je boirais bien un petit coup d’abord.
à suivre