Le blog de vassilia-x-stories
Martinov 21 – Sex-machines – 8 – Quatre femmes pour Gérard par Maud-Anne Amaro
Tout le monde se présente et Gérard en joyeux obsédé qu’il est ne manque pas de flasher sur la jolie Sonia !
– Nous ferons les présentations complètes plus tard, je suis Gérard et voici Florentine, nous sommes de vieux amis du professeur Martinov et de Béatrice, j’ai été agent secret puis ministre, maintenant je peins des conneries qui ne se vendent pas trop mal, j’ai conservé quelques rares contacts par ci, par-là, bref je pense que vous pouvez avoir confiance en moi.
– Sonia, modèle pour peintres, sculpteurs et photographes et activités collatérales.
– Joliment dit ! Mais nous parlerons éventuellement de nous un peu plus tard,
– Du coup, est-ce bien nécessaire qu’on aille chez ce Rondeval ? Demanda Béatrice.
– Ben oui, on va enfoncer le clou, mais avec une petite variante, je vais vous expliquer, voici le petit scénario que je vous propose…
– Donc le but de l’opération c’est d’obtenir exactement le contraire de ce qu’espère ce Duplessis.
– Oui !
– Il risque de réagir violemment !
– Non, il va encore s’écraser, une fois la chose faite. Faites-moi confiance !
Il est 19 h 30 quand Béatrice et Sonia sonnent chez Rondeval-Blanquart.
Celui-ci est interloqué, il reconnaît les deux femmes qu’il a rencontré furtivement et séparément et se demande bien ce qu’elles font ensemble sur le pas de sa porte.
– Nous sommes est porteuse d’un message de la part de monsieur Amaury Duplessis.
– Dans ce cas, je suis désolé, mais je ne veux plus rien savoir au sujet de cette personne…
– Même si vous êtes directement concerné ? Insiste Béatrice
– Concerné en quoi ?
– On va vous expliquer, ce ne sera pas long, on peut entrer cinq minutes ?
– Alors vite fait, j’attends quelqu’un ! Mentit Rondeval
Ce dernier les fit entrer et les invita à s’asseoir sur un joli canapé en cuir qui avait dû coûter bonbon !
– Alors voilà, commence Sonia, vendredi matin Duplessis m’a bookée pour la soirée…
– Bookée ?
– Disons qu’il a loué mes services et mes charmes, je joue parfois les call-girls…
– Qu’est-ce que vous me racontez-là ? C’est impossible !
– Attendez, il a été très correct, et m’a indiqué qu’on ne ferait rien et que je lui servirais uniquement d’alibi. Il m’avait donné rendez-vous dans un hôtel près de la Gare de Lyon !
La tête de Rondeval !
– J’ai trouvé ça un peu bizarre et j’ai demandé à Béatrice ici présente de le suivre quand il sortirait de l’hôtel ! Vas-y Béa raconte la suite !
– Il a quitté l’hôtel avec une mallette et il s’est dirigé vers le hall de la Gare de Lyon, il a retrouvé un mec et ils ont échangé leurs mallettes, il a ensuite pris le métro jusqu’à Courcelles et s’est pointé devant l’ambassade d’Arabie Saoudite, le planton a appelé un bonhomme qui est sorti, le type avait l’air furieux et un moment il a secoué assez durement Duplessis, ils ont été à deux doigts de se battre, puis le type a pris la mallette et est rentré dans l’ambassade. Duplessis a appelé un taxi et je l’ai perdu de vue ! A toi Sonia !
– Quand il est revenu à l’hôtel, il était très énervé, il s’est envoyé plusieurs whiskies, moi je n’ai pas voulu boire, je ne bois jamais pendant le boulot, il m’a demandé d’attendre une heure avant de partir, c’est ce que j’ai fait.
– Et pourquoi venez-vous me raconter ça ? Demande Rondeval.
– C’est Duplessis qui m’a demandé de vous le raconter !
– Hein ?
– Oui, on s’est engueulé tout à l’heure au téléphone, je me demandais pourquoi il me rappelait, il m’a dit qu’il s’était disputé avec vous et que c’était un malentendu ! Il m’a alors proposé de témoigner en votre faveur contre un peu d’argent. Je lui ai répondu qu’il aille se faire foutre, que je n’avais aucune confiance en lui et que je savais pertinemment que quand il avait quitté l’hôtel, c’est pour se livrer à des activités louches et dangereuses, je lui ai expliqué comment je savais ça. Bizarrement, ça a eu l’air de l’arranger et du coup il m’a demandé de convaincre Béatrice de venir témoigner avec moi.
– Et c’est tout ? Parce que la coupe est pleine, là !
– Non, il nous a dit de vous dire qu’il se savait repéré par la Sécurité du Territoire et qu’il avait la trouille de se prendre une balle, ce sont ses propres termes ! Il s’inquiétait aussi pour ses proches !
– Ses proches ? Quels proches ?
– Je l’ignore.
– Et cette fois c’est tout ?
– Oui !
Rondeval, blanc comme un linge se leva de son siège, signifiant par-là que l’entretien étant terminé, il ne retenait pas ses visiteuses. Voilà qui tombait bien ces demoiselles n’ayant aucunement l’intention de s’éterniser.
Rondeval-Blanquart se servit un Porto et tenta de mettre de l’ordre dans ses pensées.
Ainsi, se dit-il, ce con de Duplessis avait accepté, dieu sait à la suite de quelles circonstances, de jouer au porteur de valises au profit de gens surveillés par les services du contre-espionnage ! Sans doute des dangereux terroristes. Il s’était évidemment fait repérer, et par réaction en chaine, ses proches devenaient suspects, ce qui expliquait la visite de ce couple de flicaillons chez lui ! Il aurait aimé savoir ce que Duplessis fabriquait réellement, qui était ses contacts ? Pourquoi avoir besoin d’un alibi ? Pourquoi cette engueulade avec un type de l’ambassade ? Qui était cette Anne-Lise que les filles n’avaient pas évoquées ? Que de questions dont certaines réponses pouvaient être des bombes à retardement. Dans certaines circonstances il faut mieux ne pas trop chercher à savoir !
Rétrospectivement, les silences téléphoniques d’Amaury pendant cette soirée trouvaient leur explication toute simple : il voulait éviter qu’on le trace. Il ne l’avait donc pas trompé, du moins sexuellement parlant, il avait fait pire, il avait trahi sa confiance et l’avait mis en danger de par ses actes dénués de tout sens des responsabilités l
« Et il voudrait que je passe l’éponge ? Qu’il aille se faire foutre ! »
Il se dit qu’il a peut-être intérêt à disparaître de la circulation. Demain il descendra dans une agence de voyage et se prendra un vol pour il ne sait pas encore où !
Puis en ayant assez de ruminer et de tourner en rond dans son appartement il s’en va faire un tour dans les rues de Paris mais toujours en ruminant.
Sonia et Béatrice ont attendu d’être hors de portée des fenêtres de Rondeval pour se laisser aller à un fou rire nerveux
– Oh, la tronche qu’il nous a fait !
– Il a tout gobé ce con, même pas posé une question !
Elles rejoignent ensuite Gérard et Florentine qui d’emblée les invitent au restaurant. Et après avoir bien rigolé du récit des deux filles, Gérard change de sujet :
– Ainsi, m’avez-vous dit, vous posez !
– Je pose ! Répond Sonia.
– Poseriez-vous pour moi ?
– Oui !
– Vous dites oui, comme ça, sans demander de précision !
– J’ai confiance !
– Et si je vous propose une activité collatérale pour reprendre vos propos ?
– Vous pouvez toujours, mais cela me surprendrait que Madame soit d’accord ! Répond Sonia
– Madame a les idées larges ! Répond Florentine avec un grand sourire
– Ah ? Alors d’accord ! Rapports protégés, je n’ai pas de tabous, je refuse uniquement d’être attachée.
– Et en plus, ajoute Florentine, sachez que je suis un peu bisexuelle sur les bords.
– Autrement dit : vous me proposez une partouze !
– Si vous y consentez !
– J’y consens ! On sera trois, alors ! répond Sonia en jetant un regard complice sur Béatrice.
– Béatrice est la bienvenue, si elle le désire !
– Ben voyons, répond l’intéressée, mais c’est vrai que je me lasse pas de te lécher la moule, Florentine.
– Ce sera un plaisir, j’en mouille déjà d’avance !
– Ah, il y aura peut-être aussi Anne-Lise à moins qu’elle soit partie faire un tour ! Tient à préciser Gérard.
– Vous êtes sûr de n’avoir oublié personnes ? Il n’y a pas d’autres invités-surprise ? Je ne sais pas moi : les trois petits cochons ou alors Blanche Neige et les sept nains ?
– Non, on ne sera que quatre ou cinq, quelque chose d’intime, quoi !
– Vous ne me demandez pas mes tarifs ? Intervient Sonia
– Votre prix sera le mien !
– Sauf que je ne veux pas d’argent !
– Alors ?
– J’aimerais que vous me rendiez un petit service…
Et là Sonia explique ses relations difficiles et conflictuelles avec Laviron, son désir de lui faire une vacherie, son intervention avortée auprès de Martinov… Tout ça !
– C’est délicat, j’ai cassé bien comme il faut Duplessis parce qu’il avait chié dans mes bottes, mais Laviron ne m’a rien fait, il est con, c’est un fait, mais s’il fallait s’en prendre à tous les cons on ne serait jamais couché !
– Je ne vous demande pas de le casser, j’aimeras juste qu’on lui fasse une vacherie, le ridiculiser par exemple !
– Sonia serait si contente ! Renchérit Béatrice.
– Oui, mais là j’ai pas d’idée !
– Ça va venir, tu es un homme imaginatif, au besoin on se mettra à plusieurs pour trouver ! Intervient Florentine.
– Je suis au pied du mur alors ! Bon on ne prend pas de café ici, on file à la maison et on va s’amuser un peu.
Anne-Lise était là et regardait la télévision en baillant, elle ne connaissait pas Sonia, elles se présentent
– Anne-Lise, escort girl ! Mais ce soir je ne suis pas en mode business.
– Sonia ! A peu près la même activité et mêmes dispositions
Le courant passe bien, bisous, bisous entre la brune et la blonde.
– Quatre femmes pour un seul homme ! Je crois que je n’ai jamais connu une telle situation ! Remarque Gérard.
– T’as peur qu’on te viole ? Lui demande Florentine
– Si c’est son fantasme on peut éventuellement s’arranger ! Propose Anne-Lise.
– Je suis à votre disposition, les filles, je me laisse faire ! Répondit l’homme.
– Hum, et si on lui faisait une petite domination. J’aime bien les petits esclaves, bien soumis ! D’accord Gérard ?
– Dominé par quatre femmes ! Je veux bien, mais ne me brutalisez pas, j’ai des tendances masos, mais juste des petites tendances.
– Non, non pas quatre femmes, ça risque c’être un peu compliqué, seulement trois !
Tout le monde s’interroge sur ce qu’Anne-Lise entend par là.
– Il y en a une qui va faire banquette ? Demande Florentine.
– Non, pas banquette, tu vas faire l’esclave toi aussi ! Répond Anne-Lise. Tu veux bien ?
– Ah, oui ? Pourquoi pas ?
– Bon, vous-voulez bien que ce soit moi qui dirige un peu les opérations ? Reprend l’escort-girl.
Pas d’objection et elle demande donc au couple de se déshabiller.
– On se met tous à poil alors ? Intervient Gérard
– Non vous d’abord, nous ce sera quand on voudra !
C’est que Gérard piaffe d’impatience de voir Sonia dans le plus simple appareil. Mais bon puisque c’est le jeu, il patientera. Le sage n’a-t-il pas dit qu’il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !
– On aura peut-être besoin de quelques accessoires ! Suggère Béatrice.
– T’as raison, je vais chercher ma boite à malices.
La boite en question est un grand carton que Florentine s’empresse d’ouvrir. Curieuses comme des chattes, Béatrice, Anne-Lise et Sonia l’inventorise : un martinet, des pinces à seins, des poids pour accrocher aux pinces, des menottes, trois godes de différentes dimensions, un anus-picket, des boules de geisha… et bien évidemment les capotes et le gel lubrifiant. On ne s’embête pas chez les Petit-Couture !
– Vous êtes vraiment un couple de gros pervers ! Se moque Anne-Lise
– Oui, mais on assume ! Répond crânement Florentine.
– Impertinente avec ça ! Mettez-vous en levrette tous les deux que je vous fasse rougir les fesses.
Anne Lise distribue au couple quelques coups de martinets bien ajustés, puis les fait remettre debout et accroche des pinces à leurs tétons. Ces messieurs dames font la grimace, mais ils grimacent encore davantage quand elle leur accroche des poids.
– Et maintenant à quatre pattes et vous allez nous faire une petite balade.
– Attends, j’ai une idée ! dit Béatrice qui se débarrasse prestement de ses vêtements et monte à cheval sur le dos de Florentine.
Du coup Sonia qu’on n’avait pas trop entendu jusqu’ici se déshabille, à son tour et grimpe sur le dos de Gérard.
Et c’est parti pour un quart d’heure de folie, les filles font avancer leur monture, des montures peu rapides d’autant que chacun de leurs mouvements fait douloureusement bouger les poids accrochés aux tétons.
Anne-Lise a beau flageller tout ce petit monde, ça n’avance pas assez vite.
Le jeu trouve vite ses limites, Anna leur retire les pinces et en récompense, se déshabille et leur offre ses jolis seins à sucer.
– Ma chatte ! Ma chatte ! Léchez-moi la chatte !
On ne sait si cette invective s’adresse à Gérard ou à Florentine, mais c’est cette dernière qui s’en acquitte et qui lui procure un orgasme aussi rapide que fulgurant !
On fait une petite pause, boissons fraiches et cigarettes.
Gérard s’est approché de Sonia.
– Aurais-je le plaisir de te baiser ?
– Au moins, voilà une demande qui ne s’embarrasse pas de protocole !
– N’est-ce pas ! Mais je n’ai pas entendu la réponse ?
– Ça a l’air de vous faire tellement envie, et pour moi ce ne sera pas une corvée.
– Maintenant ?
– Le canapé est occupé !
– Il y a une chambre à côté !
– Alors allons-y
Et les voilà qui sortent de la pièce !
– Ben, on fait bande à part ! S’étonne Florentine.
– Ben quoi, on ne va tout de même pas baiser par terre ! Répond Sonia.
Anne-Lise à l’air épuisée et somnole à moitié, tandis que Florentine vient aux renseignements auprès de Béatrice :
– Elle est bien jolie cette Sonia, tu sais si elle est bi ?
– Oui, elle est bi, douce et coquine !
– Alors je vais patienter, en attendant ma chatte est à toi ! Reprend Florentine en écartant les cuisses.
– Je vais te la bouffer ! Répond Béa en y plongeant son visage.
Sa langue vint aussitôt butiner la chatte trempée de la belle mature, tandis que ses doigts titillaient ses gros tétons érigés.
– Oh, là ! Mais qu’est-ce que tu me fais !
Béatrice qui avait la bouche occupée ne répondit que par un borborygme inaudible, mais les miaulements que Florentine commençait à emmètre sortirent Anne-Lise de sa torpeur.
Celle-ci se lève, se dirige vers la mallette de sex-toys et s’empare un joli gode tout rose qu’elle amène sous le nez de la mature !
– Tiens suce, ma salope, suce la bonne bite !
Florentine se prend au jeu et se met à lécher l’olisbos tout en continuant de gémir.
Béatrice lui porte l’estocade en suçotant le clitoris qui ne demandait que ça. La mature explose en criant et en déchargeant une quantité impressionnante de mouille.
– Ben, dis donc, quand tu jouis, toi… Commente Anne-Lise.
– Le gode, le gode !
– Quoi, « le gode »
– Fous le moi dans le cul !
Puisque c’est demandé si gentiment, Anne-Lise s’exécute et lui introduit la bite en latex dans le trou du cul non sans avoir activé le vibreur, puis le fait aller et venir en cadence. Et pendant qu’on lui pilonne l’anus, Florentine s’est emparé de la bouche de Béatrice afin d’échanger un baiser aussi profond que baveux, tandis que quelques doigts coquins lui pénètrent la chatte.
Que voilà donc un joli trio ! Florentine ne tarde pas à jouir pour la seconde fois, tandis que Béatrice n’en pouvant plus de se faire doigter, part à son tour.
Les deux femmes sont épuisées, mais Anne-Lise qui a donc bien retrouvée la forme ne peux s’empêcher d’aller gouter ce qui a coulé sur les cuisses des deux coquines et leur chatte trempée, ceci tout en se paluchant allégrement.
Et sur ces entrefaites, Gérard réapparaît dans la pièce, suivi de Sonia complétement hilare qui apostrophe Florentine.
– Dis donc ! Il est terrible ton mec, il m’a superbement enculé, c’était géant !.
– T’as pas honte ? Vieux cochon ! Rétorque Florentine à l’intéressé.
– Pas du tout !
– Tu sais Sonia, que Gérard est à moitié pédé, il aime bien sucer des bites !
– Oh ! J’aimerais bien voir ça ! Répond la belle. Ça doit être génial !
– Il se fait même enculer !
– W?h !
Si Florentine essayait de choquer Sonia, c’était raté ! Et celle-ci se saisissant d’un gode très réaliste le met sous le nez de Gérard.
– Montre-nous comment tu suces des bites !
Gérard ne se dérobe pas et mime une fellation sur le gode, en le faisant aller et venir dans sa bouche après avoir bien léché le gland.
– Hum ! Impressionnant ! Et si je te le mettais dans le cul ?
– Pourquoi pas ?
– Alors tourne-toi ! Oh les jolies fesses ! Tu as vraiment un cul d’enculé !
Elle lui écarte les globes.
– Je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul pour la sodo.
La langue de Sonia vient alors titiller l’œillet fripé de Gerard Petit-Couture qui en en gémit de bonheur. Quand l’anus fut convenablement imprégné de salive, elle enfonça deux doigts dans l’accueillant orifice et les fit aller et venir avec frénésie. Quand elle les ressortit, ils étaient très légèrement pollués.
– Mais dis donc, gros cochon, tu m’as saligoté mes jolis petits doigts. Je devrais te le faire lécher pour la peine ?
– Pourquoi pas ?
– T’es vraiment un gros cochon !
Gérard s’acquitta de cette tâche sans réticence, puis Sonia après avoir encapoté le gode et enduit l’extrémité d’une noisette de gel intime, en actionna le vibrateur puis l’introduisit dans le foncement de l’homme, avant de le faire aller et venir en cadence.
Pendant ce temps sur le canapé, les trois femmes ne restaient pas inactives : Florentine au centre se faisait tripoter la chatte par Anne-Lise tandis que Béatrice lui suçait les tétons., tout cela en se régalant du spectacle.
– C’était bon ? Demanda Sonia en retirant le gode au bout de quelques minutes.
Demande de pure politesse car elle savait la réponse !
– Si tu es sage, on te donnera l’occasion d’en voir plus ! Tu savais que ce bon professeur Martinov était un peu à voile et à vapeur ? Intervint Florentine
– Il me l’a laisser entendre !
– Au fait tu as un gage ! Déclara Gérard en se relevant.
– Un gage, un gage de quoi ?
– Je ne me souviens plus, mais je sais que tu as droit à un gage.
– Et ce serait quoi le gage ?
– Te faire sauter par ces trois coquines !
– Et toi tu vas mater ? Ta femme a raison, t’es un vieux cochon !
– Bien sûr que je vais mater ! Mesdames, elle est à vous !
– Hé ! J’ai pas dit oui !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, je veux bien ! Venez les filles, ce sera la première fois que je fais des trucs avec trois filles !
Béatrice et Anne-Lise se précipitent, la première vient l’embrasser et lui tripoter les nichons, la seconde s’intéresse à ses fesses.
Florentine se pointe à son tour, un peu déçue qu’elle ne puisse pas profiter seule de Sonia comme elle l’avait projeté.
Sonia est caressée, pelotée, doigtée, godée et léchée de partout et commence à vibrer d’aise.
Spontanément ces dames ont pensé qu’elles seraient plus à l’aise sur le canapé, elles en dégagèrent donc Gérard qui venait de s’y assoir en se branlant la bite, et s’y installent un peu n’importe comment.
Mais très vite chacune trouve sa place, Béatrice lui lèche la chatte avec énergie, tandis que Florentine lui titille le trou du cul de sa langue, Anne-Lise s’occupe de sa bouche qu’elle embrasse goulument et de ses nichons dont elle agace les pointes.
A ce régime, Sonia ne résiste pas longtemps et se met à crier et à dégouliner son plaisir.
On se décolle, on souffle un peu, on boit un peu, les fumeuses allument une clope.
Mais revoilà Gérard qui se pointe, égrillard en se tenant sa bite demi molle.
– Attention , les filles je vais pisser !
Béatrice qui est toujours partante pour ce genre de chose ouvre la bouche en signe d’assentiment, et c’est elle qui reçoit le premier jet et l’avale avec gourmandise. Sonia réclame sa part et l’obtient à son tour. Quant à Anne-Lise elle est en la matière plus donneuse que receveuse, mais étant donné l’ambiance, elle ne refuse pas de gouter au bon pipi de Gérard.
– Humm, ce n’est pas mauvais, j’en reprendrais bien une goutte ! Commente-t-elle
– C’est que j’ai fini ! Déplora Gérard.
– Tu veux gouter au mien ? Proposa alors Florentine.
Elle accepta et apprécia, mais ce fut comme un signal, la chose devait être contagieuse, Sonia et Béatrice eurent à leur tour envie de pipi, et on se pissa allégrement dessus, on s’aspergea et on s’en donna à boire, tout cela dans une ambiance de franche rigolade.
– Putain le carrelage, il va falloir éponger tout ça ! Déplora Gérard.
– T’énerve pas je vais le faire ! Proposa Florentine.
– J’ai une idée, intervint Anne-Lise, on tire à la courte-paille pour savoir qui c’est qui s’en charge, et si elle ne fait pas ça comme il faut, on la fouette !
L’idée est acceptée avec enthousiasme par le petit groupe… mais Anne-Lise n’aurait pas dû faire cette proposition, c’est elle qui tira la mauvaise paille !
Pas bien grave, elle est très joueuse !
A suivre