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Martinov 21 – Sex-machines – 3 – Mystérieuse Anne-Lise par Maud-Anne Amaro

 

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Dans le même temps, le professeur Martinov recevait une grande brune à lunettes, à peine la trentaine, peau très claire, yeux bleus et rouge à lèvres cerise. Elle se présenta : Anne-Lise Floquet. Très souriante, un sourire qu’on pouvait deviner forcé.

 

La demande était toute simple : une vieille pendule, probablement arrêtée depuis des décennies, qu’il fallait remettre en marche.

 

– Je verrais si je peux réparer, sinon il faudra changer le mécanisme.

– Faites pour le mieux !

 

Et après avoir signé un papelard et versé des arrhes elle quitta les lieux.

 

Un quart d’heure plus tard, le professeur Martinov constatait que le portable de cette Anne-Lise avait glissé de sa poche et était restée sur la chaise où elle s’était assise.

 

« Je vais l’appeler pour lui dire ! » se dit Martinov avant de réaliser qu’il est impossible d’appeler quelqu’un avec son portable oublié.

 

Il tripota néanmoins le portable par pure curiosité et se rendit compte qu’il s’était auto-bloqué.

 

« Elle reviendra bien le rechercher ! »

 

L’après-midi, Béatrice revint satisfaite de sa rencontre avec Sonia, satisfaite mais préoccupée. Elle rendit compte au professeur sans rentrer dans certains détails, mais ce dernier n’est point dupe et connais bien sa collaboratrice.

 

– Je parie que tu te l’es envoyée ?

– Oh, juste un peu… Si on pouvait faire quelque chose pour elle ? Se désola-t-elle..

– Quand on peut pas, on peut pas ! J’ai un peu réfléchi, j’ai rien trouvé !

– Elle m’a demandé le paiement de tes petites galipettes de l’autre jour et je lui ai filé 100 balles, faudra me les rendre…

– Bien sûr, ma bibiche.

 

A 17 h 30 Béatrice quittait les locaux. A 18 Heures Anne-Lise sonnait à la porte.

 

– Ah, vous venez récupérer votre portable ? Je vais vous le chercher !

– C’est gentil, je peux me permettre d’utiliser vos toilettes ?

– Je vous en prie, c’est là-bas au fond

 

Et alors que la grande brune était censée satisfaire son petit besoin naturel, le professeur entendit un cri déchirant.

 

Il fit donc ce que tout le monde eut fait en pareil cas, il accourut précipitamment, puis une fois devant la porte poussée mais non verrouillées il pose la question idiote d’usage :

 

– Vous vous êtes fait mal ?

– Oh là là ! Je me suis tordu le pied !

 

« Comment elle a fait pour se tordre un pied en pissant ? »

 

– Euh, vous avez besoin d’aide ?

– Je sais pas, je me reculotte !

 

Quelques secondes de silence, puis la voici qui ronchonne :

 

– Merde, mais c’est pas possible !

– Vous pouvez sortir ?

– Je vais essayer. Oh là ! Ça fait mal, je m’en suis foutu partout !

 

La porte s’ouvre, Anne-Lise sort en claudiquant, elle s’est pissée dessus et une belle tache humide orne son pantalon beige.

 

– Vous pouvez m’aider ?

 

Martinov l’aide à rejoindre le salon, elle ponctue sa marche d’incessants « aïe, aïe, aïe ».

 

– Installez-vous dans le fauteuil, là !

– Oh là là ! Ça fait mal !

– Comment vous vous êtes fait mal ?

– Mais j’en sais rien, j’ai dû faire un faux mouvement, aïe !

– Montrez-moi votre pied ! Enlevez votre chaussure, attendez je vais vous aider.

– Doucement, docilement !

 

Martinov libère son joli pied dont les ongles sont parfaitement vernis. Il ne voit aucune trace de choc.

 

– C’est où que vous avez mal ?

– Là !

– Ça m’a pas l’air bien grave, ce serait une entorse, ce serait déjà enflé !

– Oui, mais, j’ai mal.

– Je vais voir si j’ai un truc dans l’armoire à pharmacie.

 

Le professeur ne trouve rien, mais remplit un gant de toilette avec des glaçons et lui apporte.

 

– Gardez ça dix minutes ça va vous faire du bien, et après je vous accompagnerais à votre voiture.

– J’espère que ça sera sec ! Dit-elle en montrant sa tache de pisse.

– Sinon on attendra un peu !

 

A ce moment Anne-Lise regarde le professeur d’un air bizarre avant de déclarer.

 

– Je vous trouve vraiment très sympathique !

– Pourquoi ? Parce que je vous ai apporté de la glace ?

– Non, c’est bien plus compliqué que ça ! Je ne vais pas y arriver !

 

Et la voilà qui se met à chialer, la grosse crise de larmes. Impossible de la calmer.

 

– Mais, qu’est-ce qui vous arrive ?

– Je peux pas faire ça, pas à vous ! Et en plus vous n’êtes pas mon genre d’homme.

– Mais vous racontez quoi, là ?

– Je vais tout vous dire ! Z’avez un kleenex ?

 

La fille s’essuie le visage, le Rimmel a foutu le camp, elle est pathétique.

 

– Je n’aurais jamais dû accepter ce truc, je croyais que ce serait facile, maintenant je suis dans une belle merde.

– Ecoutez, je ne comprends rien du tout à ce que vous me dites.

– Comment voulez-vous que je vous le dise ?

– J’en sais rien, moi ! On dirait que vous avez un problème, je veux bien vous écoutez, mais tâchez d’être cohérente.

– Si au moins vous pouviez m’aider à me sortir de ce merdier.

– Ecoutez, je vais aller vous chercher un verre d’eau, vous allez le boire tranquillement et essayer de m’expliquer.

– Mais vous aller m’aider ou pas ?

– Je ne peux pas vous aider sans savoir de quoi il s’agit !

 

Et le professeur Martinov s’en alla tirer un verre d’eau au robinet en se demandant comment se débarrasser de cette folle sans trop la brusquer.

 

– Alors ?

– Alors, puisque vous voulez savoir : on m’a filé du fric pour que je couche avec vous ! Et j’ai pas envie de coucher avec vous !

 

Du coup notre brave professeur « tombe du placard » !

 

– Et coucher avec moi dans quel but ?

– Ça, on ne me l’a pas dit ! C’est justement ça le problème !

– Mais c’est quoi cette salade ?

– C’est pas une salade, je devais vous séduire, réaliser une relation de confiance comme on dit.

– Et ensuite ?

– Ensuite on devait m’expliquer la suite, pour le moment je ne la connais pas !

– C’est votre métier de faire ça ? Vous êtes call-girl ?

– Appelez ça comme vous voulez, je m’en fous.

– Et vous avez déjà accompli ce genre de mission ?

– C’est même ma spécialité, je fais surtout de l’espionnage industriel, les trucs politiques je les refuse systématiquement, c’est trop dangereux.

– Et ça ne vous a jamais posé de problèmes ?

– Non, parce qu’on me demande pas des choses trop compliquées non plus : des noms, des dates, des trucs comme ça, les mecs me donnent des renseignements qui leur semblent anodins, c’est souvent amusant et facile !

– Et vous réussissez toujours ?

– Non, parfois j’ai eu affaire à des tombes, mais c’est rare.

– Et pourquoi vous avez craqué ici, alors ! Je suis si moche que ça ?

– La question n’est pas là, vous n’êtes pas mon genre mais j’ai déjà couché avec des plus moches, j’ai même un baratin tout prêt pour ce genre de rencontres.

– Alors ?

– Alors, en fait c’est un peu compliqué, d’habitude on me dit tout de suite ce qu’il faut que j’obtienne. Là on me l’a pas dit, on m’a juste dit que ce n’était pas politique. Et puis le mec qui m’a contacté était bizarre, pas comme ceux que je vois d’habitude, un jeune peigne cul suffisant, j’ai tout de suite pensé à un truc foireux voire dangereux, mais disons que l’argent m’a motivé. On est vénale ou on ne l’est pas ! J’ai commencé à baliser quand j’ai vu où je fourrais mes pieds, d’habitude je drague des ingénieurs, des commerciaux, des jeunes loups en costard cravate. Là j’ai pas compris ce qu’on voulait vous faire. On m’a expliqué que vous étiez un vieil obsédé à moitié cinglé…

– Eh bien bravo !

– En fait j’ai découvert que vous étiez un brave pépère, j’ai pas envie qu’il vous arrive du mal !

– C’est trop d’honneur et de sollicitude ! Se gaussa le professeur.

– Mais surtout mes craintes du début sont revenues, j’ai vraiment peur de participer à un truc moche et dangereux, pas seulement pour vous mais aussi pour moi !

– Je ne comprends pas bien !

– Il y a certaines affaires comme ça, où la call-girl devient un témoin gênant, vous voulez un dessin ?

 

Le professeur réfléchit, l’hypothèse selon laquelle l’attitude de la jeune femme relèverait d’un plan machiavélique lui paraît farfelue mais non impossible. Reste à savoir comment gérer tout ça !

 

– Et vous allez le revoir quand votre commanditaire ?

– Il doit m’appeler !

– Avec un numéro caché, je suppose !

– Y’a des chances ! Mais maintenant je suis dans la merde.

– Vous n’avez qu’à dire que ça n’a pas marché ?

– On va pas me croire ! Et j’ai peur qu’on fasse monter la pression, en fait j’ai la trouille. Je repense à ce mec que j’ai rencontré, ce regard, quelle horreur…

 

Martinov trouve l’explication vaseuse, on peut toujours foirer une mission, mais sans doute la fille avait dû être payée grassement et n’avait pas envie de perdre son fric.

 

Mais quelque part la réponse d’Anne-Lise l’arrangeait, puisqu’il avait envie de savoir qui lui cherchait des noises.

 

– Admettons que je me sois laissé séduire, mais comme je suis un grand romantique, avant de conclure je vous ai payé le restaurant et après dernier verre à la maison comme le veut la tradition.

– Tu veux me payer le restau ? Répond Anne-Lise passant de ce fait au tutoiement.

– Pourquoi pas, je suppose que tu avais bloqué ta soirée, non ?

– J’ai pas trop faim !

– L’appétit vient en mangeant, tu prendras une salade ou alors des huîtres, c’est bon les huîtres et c’est très peu nourrissant, c’est de la flotte.

 

Pendant le repas, le professeur Martinov usa de la bonne vieille méthode consistant à laisser parler l’autre. Il espérait que si la fille jouait un jeu complexe, le vin aidant, elle finirait par se dévoiler. Mais Anne-Lise resta sur ces positons, c’était donc soit une comédienne exceptionnelle, soit une personne sincère, le professeur opta pour cette seconde hypothèse somme toute infiniment plus plausible.

 

– Ça va nous faire du bien de marcher un peu à pied ! Dit Anne-Lise en sortant du restaurant, ma voiture est garée devant chez vous…

– Est-ce bien raisonnable de prendre le volant… Si tu as un contrôle…

– Si tu pouvais me faire un café fort après, ça devrait aller.

– Le café ça aide à rester éveillé, mais ça ne diminuera pas le taux d’alcool !

– Tu m’en feras un quand même ?

– Oui ma biche ! Répondit Martinov, devenant familier.

 

Et c’est en sirotant son café qu’Anne-Lise lui fit cette proposition.

 

– Tu sais, si tu veux coucher avec moi, c’est possible, après tout j’ai été payé pour ça !

– Non, non !

– Pourquoi ? Je ne te plais pas ?

– Si, mais je croyais que je n’étais pas ton genre ?

– Tu n’étais pas mon genre pour que je tente de te séduire, mais pour coucher comme ça, ça n’a plus aucune importance et puis en plus t’es sympa, ça compense !

– Pourquoi le faire, puisque tu n’es pas obligée ?

– Ça te ferait plaisir ou pas ?

– Tu me tentes !

– Et puis je vais te dire, si on me demande si j’ai couché avec toi, ça m’évitera de mentir !

– Alors allons-y !

 

Et ils montèrent tous deux dans la chambre du professeur.

 

– Tu prends ton sac avec toi ! S’étonna Martinov.

– Oui, j’ai deux ou trois gadgets, si on a besoin, ça m’évitera de redescendre…

– Ah ?

– Tu sais, si tu aimes des trucs un peu particuliers, ne te gênes surtout pas, je fais un peu de tout.

– Ah, oui quoi donc ?

– Fessées, gode, pipi, tout ça…

– Humm !

– Ça t’intéresse on dirait !

– J’aime beaucoup de choses…

– Bon, mets-toi d’abord à poil et après je vais me déshabiller devant toi ! D’accord ?

 

Le professeur fit comme demandé, puis la belle se débarrassa de ses vêtements à son tour commençant par libérer une magnifique et généreuse paire de seins terminée par d’arrogants tétons.

 

– Ils te plaisent, on dirait ! Tu vas pouvoir les caresser mais attends un peu, c’est moi qui mène les débats d’accord ? Regarde les bien… Tu sais, j’en ai fait jouir des bites entre mes nichons ! Il paraît que je suis une bonne pute !

– Tu fais ça depuis longtemps ?

– Secret professionnel !

 

Et tandis que la bite de Martinov commençait à monter au ciel, l’escort-girl se débarrassa de son string et vint s’approcher de l’homme.

 

– Sens ma chatte, sens comme elle sent bon !

 

Le professeur approcha son nez et huma la chatte de la fille qui en écartait les lèvres.

 

– Non, non pas ta langue, tu me lécheras après, pour l’instant renifle.

– C’est divin !

– Je ne te le fais pas dire ! Ça doit sentir un peu la pisse, non, je ne me suis pas essuyée après mon petit accident tout à l’heure !

– C’était vraiment un accident ?

– Bien sûr que non, c’est un de mes trucs… mais ne parlons plus de ça ! Tu me lécherais bien, n’est-ce pas ?

– Ça c’est sûr !

– Est-ce que tu veux renifler mon cul ?

– Bien sûr !

 

Anne-Lise se retourne, présentant son popotin bien rebondi après en avoir écarté les globes, au professeur.

 

– Allez renifle, sans toucher, sans lécher !

– C’est divin !

 

La fille se replace face à Martinov.

 

– Ça t’as bien fait bander, tout ça, on dirait !

– Ben, oui ! répond-il bêtement

– Et ça, tu aimes ? Lui demande-t-elle en s’emparant des tétons de l’homme et en les serrant fort entre ses doigts.

– Oh, là là !

– Il paraît que j’ai des doigts de fée

– Encore !

– Gourmand ! Comme ça ?

– Oui !

– Voyons voir un peu cette queue ! Dit-elle en la prenant en main !

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Délicatement, Anne-Lise décalotte la bite du professeur, lui imprime quelques mouvements masturbatoires, puis vient donner un petit coup de langue sur le gland. Sa main passe ensuite vient lui flatter les couilles, mais c’était juste une étape, elle va plus loin, son doigt s’approche du petit trou et le presse, en quémandant l’entrée.

 

– Tu aimes ?

– Beaucoup !

– Tourne-toi, je vais te gâter !

– Oui bien sûr, mais j’aurais aimé te caresser un peu avant !

– Ne t’inquiètes pas, tu vas bientôt pouvoir faire tout ça, mais souviens toi, c’est moi qui mène la barque, c’est moi la chef !

 

Le professeur n’insista pas et présenta son cul à la belle aventurière qui mouilla son doigt avant de l’introduire délicatement dans le trou du cul professoral et de le faire aller et venir.

 

– Tu aimes ça, on dirait ,

– Oui, j’adore !

– T’aimerais un petit gode ?

– Oui !

 

La belle sortit alors de son sac à malice un joli gode très réaliste.

 

– Ça va la taille ? Sinon, j’ai plus gros ou plus petit !

– Non c’est bien !

– Comment tu le trouves ?

– Il est bien !

– Tu veux le sucer un peu avant que je te le foute dans le cul !

– Oui !

– T’es pas contrariant, toi au moins !

– Non !

– Vas-y lèche ! Lèche cette bonne bite !

 

Martinov se prend au jeu et simule une vraie fellation avec titillement du gland sur le bout dugland, léchage latéral de la verge et évidemment va-et-vient en bouche.

 

– T’as déjà sucé une vraie bite ?

 

La question est récurrente, à chaque fois qu’il s’amuse avec un gode pendant une rencontre avec une nouvelle partenaire, il faut que celle-ci lui pose la question ! Ce doit être de la curiosité féminine… ou plutôt le plaisir d’entendre de vive voix une réponse dont elle se doute un peu.

 

– Oui, ça m’arrive de temps en temps !

– Tu es bi ?

– Je ne sais pas trop ce que je suis, mais j’aime bien les bites !

– Et tu te fais prendre aussi ?

– Ça m’arrive aussi !

– T’es un petit cochon !

– Oui !

– Allez, mets-toi en levrette, je suis la reine du gode, je vais te gâter !

 

Effectivement, Anne-Lise avait l’art et la manière, après avoir encapuchonné le sex-toy avec une capote et l’avoir enduit de gel intime, elle l’introduit peu profondément, puis en actionna le vibrateur avant de l’enfoncer davantage, puis elle commença de lents allers et retours qui comblèrent d’aise notre coquin de professeur.

 

– C’est bon, hein, mon petit cochon ?

– C’est super !

– Attend, je vais te le retirer !

 

Le retrait fut sec, provoquant des ondes de plaisir dans le corps du professeur. Et alors que ce dernier ne s’y attendait pas du tout, elle le réintroduit, exécuta quelques mouvements lents et le retira définitivement.

 

– Allez, viens me voir, maintenant ! Dit Anne-Lise en se couchant sur le dos, maintenant je suis à toi, tu peux me faire tout ce que tu veux, enfin presque… tu ne m’embrasses pas sur la bouche, j’aime pas trop, sinon tu peux me caresser, me lécher… me baiser, et quand tu en auras envie je t’offrirai mon petit pipi ! On marche comme ça ?

– Oui ! Répondit Martinov décidemment peu disert en cette fin d’après-midi.

 

Et que croyez-vous qu’il fit ? Il fait ce que font presque tous les hommes quand une belle femme s’offre à eux, il commença par jeter son dévolu sur ses nichons, les caressant, les léchant, aspirant les tétons de ses lèvres…

 

– Eh bien quelle fougue !

– Tu m’as trop excité.

 

Après quelques minutes d’adoration mammaire, le professeur Martinov descendit à l’étage inférieur où la belle chatte de la fille l’attendait.

 

Il fut un moment étonné de ne pas trouver l’endroit plus humide, avant de réaliser que la relation était biaisée. Anne-Lise était une prostituée et pour elle le professeur Martinov n’avait rien d’un partenaire de désir, elle faisait du sexe avec lui parce que c’était son boulot, avec conscience professionnelle, mais pour ce qui était de jouir, les ingrédients n’étaient pas réunis.

 

Après s’être régalée du gout de sa chatte, le professeur n’insista donc pas, cela l’aurait gêné quelque part de la voir simuler.

 

Alors il estima qu’il était temps de calmer son trop plein d’excitation.

 

– Je peux te sodomiser ?

– Si tu me promets de ne pas faire ça comme une brute, tu peux y aller, tiens voilà une capote. Tu veux que je me mette en levrette ?

– Je préférerai pouvoir te regarder, si ça ne te dérange pas !

– T’a raison, fous en toi plein la vue, on va faire comme ça !

 

La belle souleva ses jolies cuisses pour faciliter l’introduction. Trois minutes plus tard, notre vert professeur incapable de tenir la distance lâchait son sperme dans un spasme.

 

– Ça a été fulgurant ! Commenta la fille.

– C’était super !

– Je t’avais gardé un peu de pipi, tu le veux ?

– Juste pour le fun !

 

Alors ils se rendirent dans la salle de bain, Martinov se coucha sur le carrelage et reçut en bouche l’urine de sa partenaire, il apprécia, mais ne rebanda pas ! Pas grave !

 

Après une boisson rafraichissante, le professeur Martinov proposa à sa visiteuse de rester coucher étant donné l’heure tardive l

 

– Tu ne ronfles pas au moins ?

– Si, mais je te laisse le lit, moi, je dormirai sur le canapé.

 

A suivre

Ven 23 jui 2021 Aucun commentaire