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Martinov 21 – Sex-machines – 2 -Sonia n’est pas farouche par Maud-Anne Amaro
– Vous avez une chambre ? Demande Sonia.
– Bien sûr que j’ai une chambre, c’est très pratique pour dormir, je trouve ! Se gausse le professeur.
– Dormir ou autre chose, on y va ?
– On peut dire que vous êtes directe, vous ?
– Pourquoi s’embarrasser de protocole ? Allez montrez-moi votre chambrette, qu’on y fasse des galipettes.
– Vous faites des rimes en « ette »
– J’ai plein d’autres mots : levrette, quéquette, branlette, sucette, minette, salopette…
– Salopette ?
– Ben oui une salopette, c’est une petite salope !
– Vous n’êtes pas triste vous !
– Non, et vous n’avez pas tout vu !
C’est ainsi que sans le vouloir vraiment tout en le voulant un peu, on finit par ne plus savoir, le professeur Martinov se retrouva dans sa chambre avec la belle Sonia, qui sans autre préambule lui mit la main au paquet.
– Alors mon pépère, ça bande là-dedans ? Non, ça ne bande pas, mais ça ne va pas tarder, touche-moi mes seins.
Il y a des choses qu’il est inutile de répéter deux fois. Les mains du professeur sont aussitôt sur la poitrine de la jeune fille.
– Attends, je me déshabille, ce sera mieux, fous-toi à poil aussi.
Et le voilà tout nu ! La Sonia est très légèrement potelée mais ce n’est pas ça qui va déplaire à notre coquin de professeur. Elle possède une paire de seins propre à démentir les lois de la pesanteur, tout ronds et le téton arrogant.
Alors évidemment, il faut qu’il touche, qu’il pelote, qu’il caresse…
Sonia ne reste pas passive et de ses petits doigts agiles elle attrape les tétons de Martinov pour les tortiller dans ces doigts.
Double réaction, le professeur en miaule de plaisir tandis que sa bite devient raide comme un bout de bois.
– Eh ben dis donc, mon petit cochon, on te dirait que ça te fait de l’effet ?
– Ben, oui j’aime bien !
– Humm, tu m’as l’air d’aimer plein de trucs toi ? Je me trompe ?
– Non, c’est vrai j’aime plein de trucs, comme vous dites.
– Oh, tu peux me dire « tu » maintenant que j’ai vu ta bite… Plein de trucs… Laisse-moi deviner ? Des petites fessées peut-être ?
Et tout en parlant elle augmentait la pression de ses doigts sur les tétons du professeur.
– Oh, C’est bon ! Les fessées, oui, mais pas plus que ça !
– Alors un doigt dans le cul ?
– Oui, ça j’aime bien !
– Ben tourne-toi, je vais te le mettre.
Le professeur obtempéra, et la belle le contourna afin de lui écarter les fesses, mais ce n’est pas son doigt qu’il senti s’occuper de son anus, mais sa langue.
– Humm ! Il est trop bon ton trou du cul, j’adore lécher les culs, attention j’enfonce mon doigt ! C’est bon !
Sonia travailla ainsi le cul de Martinov plusieurs minutes.
– Les godes, t’as essayé ?
– Oui, j’en ai un dans le tiroir, là…
– Petit cachotier, sors-moi ça tout de suite que je t’encule avec.
Le professeur ne se fit pas prier et se retrouva rapidement avec le godemichet dans le cul que Sonia faisait aller et venir sans forcer la cadence..
– C’est bon, hein ?
– Génial !
– Et une vraie bite dans le cul t’as essayé ?
– T’es bien curieuse ?
– Comme toutes les femmes ! Allez, tu peux me le dire, quoi ! Je parie que tu as essayé ? J’ai bon ?
– Disons que quand l’occasion se présente, je ne me dérobe pas !
– Voilà qui est joliment dit ! Et tu suces aussi ?
– Eh oui !
– T’aimes ça sucer une bonne queue bien raide ?
– Ma foi, ce n’est pas désagréable !
– Finalement t’es un petit cochon !
– Si tu veux !
– Un enculé, un suceur de bites !
– Tout ça !
– Humm, ça m’a excité tout ça, tu veux m’enculer ? J’ai envie de ta bonne bite dans le cul !
– Oui ! Tu ne veux pas me sucer un tout petit peu avant ?
– J’allais te le proposer ! Mentit-elle.
Pourtant Sonia adorait sucer des bonnes bites, mais elle était parfois un peu étourdie. Toujours est-il qu’elle ne bâcla pas la pipe qu’elle prodigua au professeur, lui chatouillant le gland du bout de la langue avant de procéder en de longs va-et-vient buccaux.
Puis, elle se mit en levrette, et après s’être assuré que notre homme se fut correctement encapoté elle lui offrit son joli cul rebondi.
Mais Martinov ne put rester insensible à la vision de ce postérieur magnifique au centre duquel nichait un magnifique œillet brun parfaitement ourlée. Ce trou du cul, il fallait qu’il le lèche.
– Ben alors pépère, on s’offre un petit supplément ? Lui lança la jeune fille.
– Pardonne-moi, je n’ai pas pu résister !
– On pardonne, mais maintenant encule-moi !
La professeur introduisit sa bite dans l’anus accueillant de la belle Sonia laquelle y allait ses commentaires salaces.
– Oh, que c’est bon de sentir une bonne bite dans mon cul de salope ! Vas-y pépère, continue comme ça, c’est trop bon.
Excité comme il était, le professeur déchargea au bout de quelques courtes minutes. Sonia qui pensait à autre chose ne jugea pas utile de simuler quoique ce soit, mais gratifia notre Martinov d’un petit bisou sur le bord des lèvres qui le rendit tout chose.
– Alors, vous allez faire quoi maintenant ? Demanda Sonia en se rhabillant
– Je vais réfléchir, si je ne trouve rien, je vous dédommagerais.
On remarquera que nos deux coquins repartent dans le vouvoiement.
– J’en serais très déçue !
– Je n’en doute pas !
– Au fait votre collaboratrice ne va pas se poser de questions ?
– Je pense qu’elle a déjà la réponse ! Mais bon elle en a vu d’autres ! Je vous offre un café, un jus de fruit ?
– Un café, oui volontiers. Vous avez donc une collaboratrice coquine ?
– Chut, faut pas le dire !
– Je note quand même !
– C’est cela, notez !
Redescendu, Martinov s’en alla préparer des cafés et proposa à Béatrice de venir le boire avec eux, tandis que Sonia attendait dans le salon.
– Vous vous êtes bien amusés tous les deux ? Vanna Béatrice.
– On ne peut décidément rien te cacher !
– Fallait être plus discret, mon petit professeur !
– En fait, ne me suis fait piéger, je lui ai promis un truc et je ne sais pas comment faire pour tenir ma professe.
– Tu lui a promis quoi ?
– De ne pas honorer le contrat avec Laviron.
– C’est malin ! Voilà ce que c’est de raisonner avec ta bite ! Un jour ça te perdra !
– Bof, on ne vit qu’une fois, viens avec nous on va essayer d’en discuter.
Les deux femmes se regardent bizarrement, se jaugent.
– Je partage tout avec Béatrice qui est aussi ma confidente et pour ainsi dire ma complice. Elle est au courant de tout. Tient à préciser Martinov.
– Bravo, belle ouverture d’esprit, je vous félicite, répondit Sonia.
– Y’a pas de quoi !
– Bon soyons francs, je suis embêté, je ne peux pas dénoncer le contrat et…
– Monsieur Martinov, je comprends que cela vous chagrine de perdre un contrat qui est sans doute intéressant mais vous en avez tacitement accepté le principe et n’avez pas craché sur le petit acompte que je vous ai fourni…
– Mais…
– Je termine, ce sera à vous de me dire combien de séances seront nécessaires afin que le dédommagement soit complet. Trois ? Quatre ? Cinq ?
– Mais la question n’est pas là, je suis dans l’impossibilité de me rétracter !
– Ne me prenez pas pour une andouille, vous avez un délai de rétractation, non ?
– Ben non, justement !
– Vous vous foutez de moi ou quoi ? Là ?
– Non, Béatrice : va nous chercher le contrat, s’il te plaît.
– Pour tout contrat, il y a un délai de rétractation, c’est la loi ! Insiste Sonia
Béatrice revint rapidement avec le contrat signé par les deux parties.
– Regardez le contrat, vous allez comprendre !
– Qu’est-ce qu’il a ce contrat ?
– La date !
– Quoi la date ? Mais vous l’avez signé quand ?
– Hier ! Mais Laviron m’a proposé de l’antidater en échange d’un petit dessous de table.
– Mais quel intérêt ?
– Ben justement, c’est pour éviter la rétractation !
– C’est illégal.
– Mais ça se fait ! Toutes les lois sont faites pour être détournées ! Et ça permet au client d’être certain que la prestation sera effectuée !
– Quel enfoiré ce Laviron ! Dans l’hypothèse où vous n’honoriez pas ce contrat, qu’est ce qui se passera ?
– Dépôt de plainte, tribunal de commerce, amende, dommages et intérêts, un beau bordel quoi !
– Alors on fait quoi ?
– Je vais vous indemniser pour la prestation et… ?
– Il y a peut-être une solution ! Coupa Béatrice !
– Dites !
– Si on trouvait le moyen de saboter les machines ?
Sonia fut emballée par l’idée, mais le professeur semblait dubitatif.
– On honore le contrat, on fait les tests, on empoche le fric, puis on explique à mademoiselle comment saboter les machines sans qu’on puisse la soupçonner, c’est ça l’idée ! Précisa Béatrice.
– Mais concrètement ? Demanda Martinov.
– Concrètement, on va réfléchir.
– Hum ! Sonia, votre rôle s’arrête quand ? Demanda Martinov.
– A la fin de l’expo !
– Vous allez faire ça en public ?
– Non, je vous explique, les machines seront exposées sous tente pendant la journée et l’entrée sera interdite aux mineurs, à ce moment-là je ne serais pas présente, je serais remplacée par un mannequin d’artiste peintre ou par une poupée gonflable, Laviron n’est pas encore décidé et je m’en fous pas mal !
– Mais vous alors ?
– Le soir il y aura des soirées privées sur invitation, et là il est prévu que je participe !
– Et vous n’êtes pas d’accord ?
– Ça ne m’a pas posé de problème particulier quand on m’a expliqué le truc. Mon unique souci, c’est Laviron, je ne peux plus souffrir ce type !
Et Sonia quitta nos deux joyeux chercheurs avec leur promesse de trouver « quelque chose ».
Lundi 11 février
Au lendemain du week-end, le professeur Martinov recevait un visiteur d’un tout autre genre :
Imper mastic, cheveux bruns collés sur le côté, vilaines verrues sur le visage, lunettes démodées et gueule d’enterrement.
– Pierre-Jean Rondeval-Blancard, directeur de le revue « Retours », se présenta-t-il.
– Je n’ai pas eu l’occasion de connaître cette publication, répondit le professeur.
– Qu’importe, vous n’aimeriez pas ! Répondit le « croque-mort », mais nous ne sommes pas là pour philosopher mais pour parler affaires.
« Il me prend pour un con, ou quoi ? » Enrage le professeur.
Martinov s’efforce de rester calme, mais l’individu l’énerve déjà, quant à Béatrice, agacée, elle aussi, elle adopte la stratégie du chat, attendre que la proie soit le plus accessible.
Le professeur ouvre le dossier du client potentiel. Dossier est un bien grand mot, il comprend uniquement une simple feuille comprenant les coordonnées du bonhomme et l’objet : « intervention sur machine complexe » et une annotation de Béatrice : « pas tout compris la communication était pourrie ».
– Qu’est-ce donc que cette machine complexe ? Demanda-t-il.
– Les machines d’un cinglé qui s’apprête à exposer ses saloperies pornographiques en plein milieu du jardin des Tuileries.
Tilt !
– S’agit-il des œuvres de monsieur Laviron ?
– Vous appelez ça des œuvres, vous ? Bien sûr qu’il s’agit de ce pornocrate, puisqu’il a sollicité votre concours !
– Les nouvelles vont vites ! Bon ! Venons-en à l’objet de votre visite.
– Moi et mes amis refusons que ces saloperies soient exposées…
– Mais de quel droit ?
– Au nom de la décence, monsieur !
– Professeur si vous voulez bien ! Rectifia Martinov, non pas par amour propre mais uniquement pour contrarier son interlocuteur. Le « droit de la décence » ? J’avoue ma perplexité ! Personne ne vous oblige à aller voir ce que vous n’appréciez pas, à ce que je sache !
– Quel est votre prix ?
– Le prix pour quoi faire ?
– Vous rétracter, et le faire juste au dernier moment afin que Laviron n’ait pas le temps de dénicher un autre expert.
– Ecoutez monsieur, je n’ai pas l’habitude de traiter avec les ligues de vertus, aussi je vous demanderais de débarrasser le plancher, la sortie c’est par là !
– Vous avez des principes que je n’approuve pas, mais vous êtes corruptible comme tout le monde. Venez pas me dire le contraire !
– Oui mais je suis très cher ! Foutez-moi le camp !
Mais l’individu ne décolle pas de son siège.
– 200 000 euros !
– Dehors !
– Ne me dites pas que vous crachez sur une telle somme !
Béatrice se lève et s’empare d’une bombe au poivre.
– Si tu dégages pas, connard, je te gaze.
Le type se décide à se lever et se dirige sans se presser vers la porte.
– Merci de votre accueil, mes amis sauront s’en souvenir, à moins que vous décidiez à changer d’avis, mon offre court toujours. Monsieur Martinov, je dis bien « monsieur » car vous n’avez jamais été professeur, nous nous sommes renseignés.
– Si j’avais vingt ans de moins, je te flanquerais un pain dans ta tronche de raté ! Hurle le professeur, perdant tout contrôle.
– Essaie un peu, grabataire dépravé ! Répond le sale type en se faisant menaçant.
– Pas un pas de plus où t’en prends plein la gueule ! Intervient Béatrice, le menaçant de nouveau de sa bombe au poivre.
– Si la pute s’en mêle, je vais être contraint de quitter ce lieu de perdition…
Et il disparaît.
– Quand même, 200 000 euros ! On aurait pu l’entortiller ! Remarque Béatrice.
– Allons ! On n’en aurait jamais vu la couleur de son fric !
– Et ses menaces ?
– On verra bien ! N’empêche que nous voilà dans une situation embarrassante.
– Parce que ?
– Parce que si on rend service à Sonia, on rend aussi service à ce connard et gratuitement en plus !
– C’est cornélien !
– A tout point de vue !
– Mais dis-donc, qui l’a mis au courant ce type ? Demande Béatrice
– A part la Sonia, je ne vois pas bien !
– Elle joue à quoi ?
– On n’a qu’à lui demander, je vais l’appeler.
– Non, propose Béatrice, je vais me pointer chez elle à l’improviste.
– On n’a pas l’adresse.
– Je vais me débrouiller.
Béatrice au cours de ses aventures a eu l’occasion de « travailler » au moins deux fois avec Brigitte, la directrice de l’agence Zampano, une officine de détectives privés. Ces gens-là peuvent avoir accès à une partie des fichiers des opérateurs téléphoniques.
Mardi 12 février
Brigitte ne lui refusa pas ce service et le lendemain matin, Béatrice sonnait à l’Interphone de l’immeuble de son immeuble dans le quartier Montparnasse
– C’est Béatrice Clerc-Fontaine, la collaboratrice du professeur Martinov ! Vous pouvez m’ouvrir, c’est important.
Sonia se pointe en robe de chambre, les cheveux ébouriffés. L’appartement est modeste mais propret, à ce stade, il est impossible pour Béatrice de savoir si la fille habite seule.
– Qu’est-ce qui se passe, vous m’avez réveillé. Qui c’est qui vous a donné mon adresse ?
– Y’s’passe qu’un événement imprévu risque de remettre en cause notre petit arrangement.
– Pardon ?
– Pierre-Jean Rondeval-Blancard, ça vous cause ?
– Ben non, ça me cause pas !
– Sûr ?
– Avec un blaze pareil j’m’en souviendrais !
– Alors explique-moi comment ce mec a fait pour savoir ce qui se fabriquait chez Laviron pour ensuite se pointer chez Martinov comme une fleur ?
– Ah ! C’est ça ?
– Et c’est quoi « ça » ?
– J’ai peut-être fait une connerie !
– Tout le monde fait des conneries, raconte-moi.
– Oh, ça n’a rien d’extraordinaire, j’ai été abordé un jour par un mec alors que je quittais l’atelier de Laviron, le type s’est présenté comme journaliste et il m’a refilé une belle enveloppe.
– Une enveloppe ?
– Ben oui ! Je n’y ai rien vu de méchant, le type avait lu sur un magazine qui parle d’art, de peinture, d’expos, tout ça, que Laviron préparait des installations « à scandales ». Donc le gars m’a expliqué qu’il travaillait pour un magazine conçurent, m’a dit vouloir faire un article et avait besoin de renseignements.
– Mais tu n’avais pas besoin de…
– Attends que je finisse. Après, la conversation est devenue plus cool, il m’a demandé comment ça se passait, si ça me plaisait… Quand je me sens en confiance, j’ai tendance à parler beaucoup. Je lui ai donc dit que Laviron avait des problèmes de réglages avec ses machines et qu’il envisageait de faire appel à un prestataire. Le lendemain il m’a redonné des sous et m’a demandé de lui communiquer les coordonnées du prestataire. C’est ce que j’ai fait ! J’ai vraiment pas l’impression d’avoir fait quelque chose de mal !
– Evidement, vu comme ça… concéda Béatrice.
– Tu veux un café ?
Béatrice raconta ensuite à Sonia, la visite de Rondeval-Blancard à Louveciennes
– Donc maintenant on est coincé ! Conclut-elle.
– Je ne vois pas pourquoi ?
– Le professeur Martinov et moi-même refusons de satisfaire aux exigences des ligues de vertus.
– Autrement dit, tant pis pour moi !
– Si tu as une solution qui puisse arranger tout le monde, on est preneur.
– Laisse tomber, de toute façon, je ne participerai pas aux soirées privées, je vais me mettre en arrêt de travail, mais j’aurais voulu ridiculiser Laviron, ça aurait été ma petite vengeance personnelle. Bon on n’en parle plus Tu diras à Martinov qu’il me doit 100 balles.
– Je vais te les donner. Je peux te poser une question indiscrète ?
– Pose toujours !
– C’est quoi ton activité ?
– Je suis inscrite à une agence de modèles pour peintres et photographes. Mais on m’a innocemment proposé d’ajouter sur ma fiche « soirées privées » alors je fais pas mal de sexe, de l’escorting chiant qui se termine au lit, des enterrements débiles de vie de garçon, enfin tu vois !
– Je vois !
– Des fois, je tombe sur des trucs de dingue, l’autre fois, une bourge de soixante ans mais bien conservée à loué mes services pour que je lui fasse de la lecture. J’ai pas bien compris, une fois arrivé chez elle, elle m’a précisé que je devais lui lire un livre érotique en étant à poil, j’ai commencé à lire, elle s’est déshabillé, bref, madame était super excitée et ça s’est terminé dans le plumard, elle a été très généreuse !
– T’es bi ?
– A mes heures, oui, je n’ai pas beaucoup de tabou !
– Moi non plus ! Répondit Béatrice par réflexe.
– C’est un appel du pied ?
– Non, je disais ça comme ça !
– Parce que si ça t’intéresse, je te fais un prix symbolique, allez, juste 50 euros.
– T’es gonflée, toi !
– Je disais ça comme ça, pour reprendre ton expression.
– Et si je me laissais tenter ?
– Tu ne le regretteras pas !
En fait Béatrice tente un coup de poker : elle sait bien que souvent les étreintes sexuelles sont propices aux confidences. Et comme la Sonia est absolument charmante, la manœuvre ne devrait rien avoir d’une corvée.
Béatrice prend un billet dans son portefeuille, le tend à Sonia.
– Voilà 50 euros et j’ajoute les 100 euros que Martinov te doit.
– Merci, ma belle, pose ça sur la table et viens me voir.
Les deux femmes se font face !
– Bisou ? Propose Sonia.
Ça n’a rien d’une question, ni même d’une invitation, c’est juste un commentaire parce que la bouche de Sonia est déjà sur celle de Béatrice avant que cette dernière ait pu dire quoique ce soit.
Et c’est qu’elle embrasse bougrement bien, la Sonia, une véritable experte en langue vivante à ce point que Béatrice commence à mouiller sévère.
Sonia finit par relâcher son étreinte, mais c’est pour s’emparer des seins de la jeune chimiste et les peloter au travers du tee-shirt au point d’en faire darder les pointes.
Béatrice tente de reprendre l’initiative en rendant la pareil à sa partenaire, mais il faut avant s’occuper d’une urgence.
– Stop, on fait un break ! Dit-elle.
– Déjà ? On a à peine commencé.
– Faut que je fasse pipi !
– Ah, je vais te montrer où c’est…
Puis arrivé sur place, Sonia demande avec un air innocent :
– Je peux regarder?!
– Si tu veux, lui répond Béatrice.
– Hum, tu vas me trouver vicieuse !
– Pas du tout ! C’est rigolo le pipi !
– Y’a des filles que ça dégoute !
– Ben pas moi, pas du tout !
– Tu aimerais que je te lèche ta chatte quand tu auras pissé ? Demande Sonia
– Bien sûr ! Tu vas te régaler !
La jeune chimiste se positionne sur la cuvette de façon à ce que Sonia puisse bien voir. Mais celle-ci encouragé par les propos de sa partenaire du moment en veut plus et n’hésite pas à s’accroupir devant elle, sa bouche ouverte à portée de chatte.
– Humm, on dirait que t’as soif, toi ?
– J’adore ça ! Et je n’ai pas toujours l’occasion de le faire, rien que d’y penser, ça m’excite… Alors il vient ce gentil pipi ?
– C’est parti !
La puissance du jet étonna Sonia qui en avala de travers, elle recueillit ensuite dans sa bouche ce qu’elle put, le reste ruisselant sur sa jolie poitrine.
Une fois la miction terminée, Sonia se jeta sur la chatte de Béatrice et la lapa en de grands mouvements de langues, avant de s’attaquer au clitoris qui n’attendait que ça ! La jouissance fut fulgurante.
– Maintenant, j’aimerais bien goûter au tien ! Suggéra Béatrice après avoir repris ses esprits.
– Je l’aurais parié ! Mais viens, on va faire ça sous la douche, je dégouline.
Sur place, Sonia ne fit pas couler l’eau de suite, mais s’accroupit derrière Béa afin de lui lécher l’anus.
– J’adore lécher un joli trou du cul ! Commenta-t-elle
– Vas-y, moi j’aime bien qu’on me le lèche.
– Il est joli ton trou du cul, il est attendrissant !
– C’est bien la première fois qu’on me dit ça !
La langue de Sonia virevoltait si bien sur l’œillet brun que celui-ci finit par en bailler d’aise.
– Hum, je peux mettre un doigt ?
– Bien sûr !
Et hop, le doigt s’enfonce, il va, il vient et lui fait du bien.
– J’ai un petit gode, tu veux que j’aille le chercher ?
– Si tu veux, mais tu ne m’avais pas promis un petit pipi ?
– Ha, ha, tu ne perds pas le nord, toi, accroupis toi, je vais t’asperger.
– Vas-y donne-moi à boire !
Sonia n’avait pas une grosse envie, ce qui fait que Béatrice put tout boire sans s’en mettre partout.
Et après une petite douche pendant laquelle les deux filles n’arrêtaient pas de s’embrasser et de se peloter, elles décidèrent de jouer une petite prolongation sur le lit.
Comme promis, Sonia sortit son gode et l’enfonça dans le conduit rectal de la belle chimiste et se mit à le faire aller venir avec frénésie tant et si bien que la belle ne tarda pas à jouir du cul comme la dernière des damnées.
– Viens, viens me lécher l’abricot, implora Sonia en s’étalant de tout son long sir le lit, les jambes écartées.
Voilà qui n’était pas une corvée pour Béatrice qui vient donner de larges coups de langue sur la chatte humide de sa partenaire, et tout en léchant elle tend ses bras afin que les doigts atteignent les tétons et qu’elle puisse les triturer.
Sonia ne tarde pas à se pâmer d’aise, Bea fait alors bouger le bout de sa langue sur le clitoris de sa camarade de jeu, l’emmenant de ce fait vers l’extase.
Les deux femmes repues de plaisir s’embrassent avec passion avant un moment calme, verre d’eau fraiche et cigarette.
Béatrice avait désormais la conviction que Sonia s’était fait naïvement manipuler. Autant par empathie que par compassion elle se dit qu’il serait bien de trouver une solution à cette situation débile.
A suivre