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Professeur Martinov 20 – La vieille horloge – 7 – Monsieur et Madame Sarriette reçoivent par Maud-Anne Amaro
Eugène Sarriette fut ravi du coup de fil du professeur et lui proposa de venir diner le soir même en compagnie de Béatrice.
Cette dernière se montra réticente :
– Non, non, ça va encore se terminer en partouze cette affaire-là !
– On est jamais obligé.
– Et puis le père Sarriette, merci !
– Tu n’avais pas dit non, la dernière fois !
– J’étais prise dans l’ambiance et j’avais bu un coup et j’avais des raisons très particulières.
– Mais avec Fanny, ça ne c’était pas trop mal passé, non ?
– Oui, mais ce n’est pas une raison, vas-y tout seul !
– Tu ne veux pas me faire plaisir ?
– T’es chiant !
– Je te préviens, si Sarriette me touche, je prétexte une migraine.
– D’accord, d’accord.
Volontairement Béatrice n’avait fait aucun effort de toilette : Jeans délavés et gros pullover blanc pas moulant pour deux ronds.
Quand ils arrivent, Fanny Sarriette les reçut dans une tenue extravagante, en bas une minijupe imitation panthère qui lui arrive à mi-cuisses, en haut un cache cœur couleur de châtaigne révélant le sillon de sa jolie poitrine.
Martinov qui pourtant l’a fréquenté de très près s’en écarquille les yeux comme des boutons de bottine, tandis que Béatrice commence à se dire qu’elle n’aurait peut-être pas dû venir.
Tout le monde s’embrasse, y compris les messieurs…
– Comment tu la trouves ma femme, habillée comme ça, elle fait un peu pute, mais moi j’aime bien ! Commence Eugène Sarriette
Silence gêné de Martinov et de Béatrice.
– Tu sais Martinov, reprend l’homme, elle a un petit faible pour toi, alors si tu veux la baiser, moi ça ne me dérange pas du tout !
– Pour être très franc, Répond Martinov, nous ne sommes pas venus pour faire des galipettes.
– Et bien tant pis, prenons l’apéro ! Propose alors Sarriette. Fanny va donc nous chercher des glaçons ! Demande-t-il à cette dernière en lui administrant une grande claque sur les fesses.
– M’enfin ! Fait-elle semblant de s’offusquer.
Un ange passe, puis Fanny revient et fait le service. En servant le Martini de Béatrice, elle lui masse coquinement l’épaule à travers son pullover.
– C’est dommage qu’on ne puisse pas s’amuser cinq minutes ! Lui chuchote-t-elle.
– Ben…
– Ben quoi ? Embrasse-moi, ça ne prête pas à conséquence !
Béatrice est embarrassée, comment faire comprendre à Fanny qu’elle n’a rien contre ses avances, mais que celles-ci seront forcément le prélude à une partouze où elle sera de fait plus ou moins « obligée » de faire des trucs avec Sarriette
Mais le souci, c’est que pour l’instant Fanny est en train de lui rouler une pelle.
– On va peut-être s’arrêter là ! Lui dit Béatrice à contre cœur.
– C’est dommage, tu te souviens, la dernière fois comme on avait bien émoustillé ces messieurs ?
– Si on buvait l’apéro au lieu de dire des bêtises !
– Tiens je te donne un glaçon ! Dit soudain Fanny en prenant le petit cube glacé entre ses mains.
– Non merci je le prends sans glace.
Alors Fanny écarte légèrement son cache cœur et se passe le glaçon dans le sillon des seins, puis écarte encore un tout petit peu plus faisant apparaitre un téton. Le glaçon passe dessus érigeant l’endroit. L’œil de Fanny est de plus en plus coquin.
« Elle aurait pu se mettre un soutif, cette pétasse » Se dit Béatrice. Mais l’appel de la chair est le plus fort et ce qui devais arriver, arriva, notre coquine chimiste se jette sur le téton de la brune et le gobe.
« Me voilà piégée, si je dois sucer Sarriette, après tout je n’en mourrais pas »
Fanny est désormais complètement dépoitraillée et Béatrice passe du téton droit au téton gauche et du téton aux lèvres avec une belle frénésie. Dans le mouvement elle a retiré son gros pullover et c’est sa partenaire qui s’est chargée de lui dégrafer son soutien-gorge.
– Si on allait chauffer les garçons ? Propose Fanny.
– Pourquoi faire ? Avec ce qu’on est en train de faire devant eux, ils vont bien se chauffer tous seuls.
Effectivement, Sarriette pas gêné pour un rond, s’est sorti le zigouigoui et se l’astique en cadence. Martinov hésite encore un peu à entrer dans la danse.
– Allez, Martinov, lâche-toi, ce soir c’est la fête !
– Y’a pas le feu !
Mais Martinov ne sait plus où donner de la tête, entre les deux coquines qui n’arrêtent pas de se lécher les nénés à qui mieux mieux et la bite de Sarriette droite comme un gourdin qui sort malicieusement de sa braguette.
Il sait que dans un moment cette belle bite va atterrir dans sa bouche, mais allez donc savoir pourquoi, il temporise.
Sarriette, lui, ne perd pas une minute, il retire son pantalon et son caleçon, dévoilant ses grosses couilles poilues, puis s’avance vers le professeur. Ce dernier n’a plus qu’à ouvrir la bouche, comme quoi, parfois les choses deviennent simples !
– Regarde-moi ces deux pédés ! Plaisante Fanny.
– Quels cochons ! Renchérit Béa.
– Oui, mais on les aime bien, nos vieux cochons !
– Et nous on est des cochonnes ?
– Un peu salopes, même !
– Si tu le dis ! Oh ! Mais tu n’as mis de culotte !
– Non, à la maison, j’aime bien avoir la chatte à l’air !
– Enlève ta jupette que je vois ta minette.
Non seulement elle l’enlève, mais la voilà maintenant complètement nue. Elle entraine Béatrice sur le canapé et s’y couche, s’y offre.
Ne voulant pas être en reste, Béatrice finit de se déshabiller avant de venir prendre place entre les douces cuisses de la belle Fanny.
– Whah ! Tu mouille comme une soupe !
– T’as raison je vais chercher une serviette de bain !
Elle s’en va vers la salle de bain en faisant tortiller son popotin.
– Elle va où, elle est fâchée ? Demande Eugène, surpris de la voir quitter le champ de bataille.
– Elle est parti chercher un parapluie ! Plaisante Béa. Et arrêtez de regarder mes nichons, vous allez me faire rougir.
– Un parapluie ! Répète bêtement Eugène qui n’a rien compris.
Mais Fanny est vite revenue, elle se met la serviette de bain sous les fesses et reprend la position.
La langue de Béa s’agite sur les chairs intimes de sa partenaire, tandis que ses doigts vont et viennent dans sa chatte en faisant un étrange bruit de floc-floc.
– Humm, c’est bon tout ça ! Je me régale !
– Tu voudrais que je te fasse un petit pipi tout à l’heure.
– Bien sûr que je veux !
– Attends, écarte ta bouche, je vais essayer de te faire une petite goutte tout de suite.
Quelques secondes d’attente et un mince filet d’urine vient remplir la bouche de Béatrice, toujours gourmande de ce genre de chose.
– Humm, délicieuse ta pisse !
Elle reprend son travail de langue sur la jolie chatte humide de Fanny, tout en portant ses mains en avant afin de titiller les jolis tétons bruns de sa partenaire.
De son côté, Martinov se régale de la bonne bite d’Eugène Sarriette.
– Elle est bonne ta bite ! Commente-t-il dans un bel élan d’originalité et en reprenant son souffle.
– Tu voudrais que je te la foute dans le cul, hein ?
– Avec plaisir !
– Mais pour l’instant je voudrais te sucer à mon tour. On va se mettre à poil on sera mieux.
Les deux hommes se font face, Martinov fait signe à Sarriette qu’il aimerait bien qu’on lui tortille les tétons. Ils le font donc mutuellement, ce qui consolide leur érection. Puis Sarriette se baisse et engloutit la bite du professeur dans sa bouche.
« Putain, qu’est-ce qu’il suce bien, ce con, mais je ne vais pas lui dire, il va avoir les chevilles qui vont enfler ! »
– Ne jouis pas ! Lui demande Eugène, moi aussi je voudrais que tu m’encules ! Ça lui plait tellement à Fanny quand je me fais enculer devant-elle !
Un cri strident envahit, la pièce, c’est Fanny qui vient de prendre son pied fort peu discrètement après que Béatrice lui ait bien léchouillé le clitounet.
Les deux filles s’embrassent, Béatrice est maintenant aussi trempée que sa partenaire et réclamant son dû, elle s’apprête à prendre la position qui était jusqu’ici celle de sa partenaire, laquelle a un autre plan.
– Donne-moi ton cul, un petit peu !
Béatrice se met en levrette, le cul relevé, les cuisses écartées, dans une position volontairement obscène, tous ces trésors bien en vue.
– Oh que c’est beau ! S’exclame Fanny.
– Vas-y régale-toi ma bibiche !
La « bibiche » n’y va pas, elle fonce ! Et sa langue vient de suite butiner l’œillet brun qui semble la narguer. Elle se régale de cette saveur acre et du léger fumet qu’il dégage, avant de se décider à lui enfoncer un doigt qu’elle fait ensuite aller et venir en cadence.
Béatrice miaule de plaisir !
– T’aime ça, hein, ma belle salope !
– Oui, mets deux doigts !
En fait elle en mit trois, mais Béatrice complètement déchainée en voulait encore plus :
– T’a pas un gode ?
– Si ! Mais je peux te proposer la bite d’Eugène, ce sera encore mieux ! Tu veux ?
Voilà qui n’était pas, mais alors pas du tout dans les intentions de départ de Béatrice, mais ne dit-on pas que l’excitation fait parfois voir les choses différemment.
« Et puis se dit Béatrice, qu’est-ce que ça peut foutre, s’il m’encule, je ne verrai pas sa tronche ! »
– Oui, oui, je veux qu’il m’encule ! S’entendit-elle supplier.
Du coup Eugène abandonne la bite de Martinov et s’en va on ne sait trop où chercher des préservatifs.
– Ne t’inquiète pas je vais revenir ! Précise-t-il à son camarade de débauche.
Béatrice ne bouge pas, attendant l’assaut !
– Merci Béatrice de m’accorder cette faveur ! Lui dit l’homme qui connait les bonnes manières.
– C’est bien naturel ! Encule-moi comme une salope !
– C’est parti !
Sarriette pilonne à tout va, tandis que Béatrice gémit de plus en plus fort !
Pendant ce temps Fanny s’est approché de Martinov et joue négligemment avec sa bite.
– Il ne sait pas qu’on se voit ! Lui dit-elle, ne lui en parle surtout pas !
– J’ai du mal à suivre ! Répond-il en lui pelotant les nichons.
– Il est comme ça, les partouzes, il aime bien et me permet de tout faire, mais ça ne l’empêche pas d’être jaloux !
– Tu crois qu’il se gêne lui !
– Peu importe ! Il est comme ça ! Je te suce un peu ?
– Je vais pas dire non.
Incapable de se retenir plus longtemps, Eugène jouit comme une bête au bout de cinq minutes, et se retire du cul de la belle Béatrice en soufflant comme un bœuf.
Il retire s’en va se faire une mini toilette dans la salle de bain en disant à Martinov :
– C’est la mi-temps ! On va attendre un peu pour repartir. Elle te suce bien, Fanny ?
– Super !
– Normal, c’est une bonne pute !
Petit temps calme pendant lequel on boit un peu l’apéro en grignotant des cacahuètes. On convient tacitement de ne parler d’hypnose que plus tard. Puis au bout d’un quart d’heure Eugène se lève de son siège.
– Dis-moi, Martinov, elle ne t’a pas sucé à fond, Fanny ?
– Non !
– Alors vas-y Fanny, fais-le rebander, et quand il sera bien raide il va m’enculer.
Fanny s’approche de nouveau du professeur, les doigts sur les tétons qu’elle tortille, la bouche sur la bite qu’elle fait aller et venir quelques instants dans son palais. A ce régime-là, Martinov est vite raide (du moins sa bite).
Eugène se met en levrette sur la moquette après avoir passé une capote au professeur.
L’introduction se déroule sans problème. Notre coquin de Martinov aurait aimé qu’on commence par le contraire, s’il jouit dans le fondement de son collègue, il va se trouver démotivé pour se faire sodomiser à son tour. Que voulez-vous, on ne fait pas toujours ce qu’on veut ! Evidemment il pourrait toujours se retenir, mais c’est parfois plus facile à dire qu’à faire… Et pour l’instant il pilonne tandis que le père Eugène paraît ravi comme un pape.
Les deux filles tendrement enlacées, jouissent du spectacle en se caressant voluptueusement.
Eugène ne peut s’empêcher de se branler pendant qu’il se fait mettre. Incapable de se retenir il explose de la bite et du cul dans un grognement indescriptible.
Fanny se précipite pour lui nettoyer la queue, se régalant de son sperme
Du coup voilà Eugène hors service ! Il a joui deux fois, il serait étonnant qu’il le fasse une troisième fois. Martinov en est fort marri, si seulement il avait apporté ses petites pilules miracles, mais à l’origine il n’était pas venu pour partouzer.
– Bon, ben si je comprends bien, tu m’enculeras une autre fois ! Dit-il à son partenaire.
– Ben oui, on n’a plus 18 ans !
– Je vais peut-être arranger ça ! Intervient Fanny qui disparaît de la pièce quelques instants.
Et la voilà qui revient harnachée d’un magnifique gode ceinture.
– Amène ton cul, Martinov, j’ai apporté ce qu’il faut, et c’est du bon plastique, ça ne débande pas !
« C’est quand même pas tout à fait la même chose, surtout sur le plan psychologique, mais ça compense bien ! » Se dit le professeur tandis que Fanny lui bourre le cul avec une énergie qui fait plaisir à voir.
Après ce moment de folie, on passa à table, Martinov expliqua à Eugène Sarriette ce qu’il souhaitait faire sans toutefois entrer dans les détails.de l’affaire.
– Pour la première partie c’est assez simple, le plus difficile sera selon moi d’obtenir l’accord du sujet, en principe on n’hypnotise pas quelqu’un s’il n’en est pas d’accord, du moins c’est compliqué et sans garantie. On ne peut pas non plus lui faire faire des choses qui en temps normal le révulserait ou le révolterait, mais si c’est juste des photos à effacer, ça devrait le faire.
– Mais la seconde partie ?
– C’est plus compliqué parce que à ce moment-là intervient la notion du temps, le mieux serait d’aller chez ces personnes…
– Ça me paraît compliqué !
– Parce que sinon, le temps de trajet c’est quoi ?
– Une demi-heure maximum.
– Ça reste jouable…
Jeudi 18 avril
Martinov se demandait quand et comment contacter les filles. A la limite il pourrait toujours demander leurs coordonnées à Després en lui téléphonant sur sa ligne fixe, puisque ce monsieur n’avait pas de portable.
Mais parfois, l’offre et la demande se rejoignent. C’est ainsi que ce jour-là, le professeur Martinov reçu un coup de fil qui tombait à pic :
– Bonjour Monsieur Martinov, on est dans le coin, ça vous dirait qu’on vienne vous faire un bisou.
– Mais très certainement ! Je m’en réjouis d’avance
– Vous nous donnerez un peu de sous ?
– Cela va de soi !
Le professeur Martinov se concerte avec Béatrice.
– On va essayer de faire ça tout de suite, il faut que tu m’aides, elles sont un peu goudou, ça ne devrait pas être trop compliqué.
Une demi-heure plus tard les deux aventurières étaient là.
– Ah, je suis content de vous voir, je ne pense pas vous avoir présenté Béatrice, mon assistante, vous l’avez juste aperçu comme ça… je lui ai parlé de vous, ça vous dirait qu’elle participe ?
– Bien sûr : Répondit Stéphanie, ça sera juste un tout petit peu plus cher.
– Bien sûr, bien sûr, on est à vous tout de suite, le temps de ranger un truc… J’étais en train de faire une répétition pour ce soir, j’ai une séance d’hypnose.
– Ah ? Répond Stéphanie
– Ça vous dirait de me servir de cobaye, juste cinq minutes, pour voir si je suis au point ?
– Hi ! Hi ! Ce n’est pas dangereux au moins ?
– L’hypnose n’est jamais dangereuse.
– Ça doit être marrant d’essayer ! Dit Stéphanie à sa compagne.
– Vas-y, je te regarde !
« Trop facile ! » se dit Martinov qui la fait assoir, lui fait le baratin habituel et l’endort.
– Voilà dit-il à Agnès, votre amie est sous hypnose, on lui fait faire quoi ?
– Je sais pas, moi, retirer sa petite culotte par exemple.
– Stéphanie, retirez votre petite culotte et donnez-là moi.
Stéphanie est donc obligée de retirer son pantalon, puis peut alors enlever sa culotte et la donner au professeur qui la porte à ses narines afin d’en humer les bonnes senteurs.
– Martinov, t’es un cochon ! Commente Béatrice
– Vous pouvez remettre votre pantalon maintenant, la culotte je la garde en souvenir !
– C’est magique, hein ! Voulez-vous essayez à votre tour Agnès ?
– Pourquoi, vous faites collection de culottes ?
– C’est rigolo, non ?
– Allez-y, je me laisse faire !
– Je vous hypnotise, puis je vais réveiller Stéphanie afin qu’elle vous regarde.
Evidemment, le professeur se garda bien de réveiller Stéphanie.
– Stéphanie, dites-moi où vous conservez les photos qui compromettent Achille Després.
– Sur mon téléphone !
– Vous en avez fait des copies ?
– Oui !
– Elles sont stockées où ?
– Il y a une copie sur le portable d’Agnès et une autre sur notre ordinateur.
– Pas d’autres copies ?
– Non !
Il interroge ensuite Agnès qui lui confirme qu’il n’y a pas d’autres copies.
– Pourquoi ne les avez-vous pas détruites ?
– Je ne sais pas !
Il repose la même question à Stéphanie
– Parce qu’on peut en avoir besoin un jour.
– O.K. Maintenant donnez-moi les clés de votre voiture, on va tous monter dedans, vous à l’arrière, c’est Béatrice qui va conduire. Donnez-nous votre adresse.
Une fois chez elles, Martinov, ordonna :
A présent détruisez toutes les copies des photos impliquant Achille Després.
Moment surréaliste, Stéphanie sort son téléphone portable et supprime de sa galerie les quatre photos compromettantes. Agnès qui avait des copies de sauvegardes en fait autant sur son appareil. Stéphanie allume ensuite son ordinateur sur lequel existe aussi une sauvegarde et place les fichiers dans la corbeille. Puis les deux femmes restent figées, attendant probablement une nouvelle instruction.
– Ça ne suffit pas ! dit Béatrice qui intervenant à son tour sur l’ordinateur procède au vidage complet de la corbeille.
A présent tout ce petit monde pouvait retourner à Louveciennes.
Clac clac
– Stéphanie réveillez-vous, je vous ai fait retirer votre culotte. Je vais maintenant demander à Agnès de me donner la sienne.
Une fois Agnès réveillée à son tour, le professeur invita les deux filoutes à monter dans sa chambre.
– Je ne sais pas ce que j’ai, je suis toute bizarre, on dirait que je viens de me réveiller ! Déclara cette dernière en baillant comme une truite.
– Forcement, c’est l’hypnose ! Répondit Martinov !
– Vous ne nous avez pas fait faire des choses bizarres, j’espère ?
– Devant Béatrice, pensez-vous, ce n’est pas mon genre, j’ai juste confisqué vos culottes.
– Bon, on vous suit !
– Tu montes aussi, Béatrice ? Lui demande le professeur.
– Yes !
« Evidemment puisque c’est payé… »
A suivre