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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 12 – La fuite de madame la marquise par Chanette
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Yolande est dépitée, elle s’est rendue à Gouley-le-château, difficilement accessible par les transports en commun à ce point qu’elle du terminer le parcours en taxi.
– Bonjour. Je souhaitais rencontrer monsieur de la Villandière
– Vois aviez rendez-vous ? Lui demande Elodie en toisant l’inconnue.
– Non, c’est pour la place de cuisinière ou de femme de ménage !
– Ah ? Monsieur est allé à Paris, j’ignore à quelle heure il reviendra, laissez-moi votre numéro de téléphone, il vous rappellera.
« Et voilà ! Galère pour rentrer, et puis le petit refrain « laissez vos cordonnées, on vous rappellera », merci, j’ai déjà donné ! »
En fin de matinée Marie-Josèphe sonna Julien.
– Julien je voudrais vous parler franchement: Etes-vous satisfait de faire le domestique ?
– Pourquoi cette question la place est bonne et puis vous êtes là !
– Mais nous pourrions rester l’un près de l’autre tout en étant ailleurs, non ?
– Je ne comprends pas bien.
– On s’en va tous les deux, on peut faire ça rapidement, il me suffit d’appeler un taxi, à Paris nous prendrons une chambre d’hôtel, le temps de voir venir et de s’organiser un peu, ensuite, nous pourrions prendre un petit pied à terre, j’ai l’argent pour le faire…
– De l’argent ?
– Oui nous avons des comptes séparés, mais avant j’ai ce qu’il faut pour nous débrouiller, j’ai mon petit trésor secret.
Du coup Julien qui avait tendance à considérer la proposition de la marquise comme farfelue commençait à voir les choses
– J’ai une valise en haut de l’armoire, vous pouvez me l’attraper, je vais la remplir, et après j’appelle la taxi.
– C’est peut-être un peu précipité, non ?
– Non ! En ce moment j’ai le courage de partir, je ne l’aurais peut-être pas tout à l’heure, ni demain, profitions de l’opportunité.
Julien descendit la valise, dubitatif, il la regarda la remplir, vêtements, sous-vêtements, mais aussi un missel, un crucifix, un chapelet… Surréaliste !
– Allez faire la vôtre, Julien, on se retrouve en bas.
Les choses vont trop vite pour l’e cerveau de pauvre Julien pris dans des sentiments contradictoires, mais l’idée de vivre au crochet d’une vieille bourgeoise qui en pince pour lui le tente irrésistiblement, alors il rassemble ses propres affaires.
Un peu plus tard :
– Il y a là un taxi… Commence Elodie qui ne comprend rien, d’autant que Julien et Marie-Josèphe sont là à attendre.
– Ou c’est pour nous ! Que monsieur le marquis ne s’inquiète pas, nous quittons le château.
– Je… je…
– Oui, je sais vous ne comprenez rien, de toute façon vous ne comprenez jamais rien, nous partons, c’est un départ définitif, et si je reviens ce sera uniquement pour venir chercher mes affaires.
– Bien madame !
A 17 heures Honoré de la Villandière rentra :
– Bouh ! Je suis crevé, sers-moi donc un petit whisky, Elodie !
– Bien sûr, monsieur, mais il faut que je vous informe qu’il vient de se passer quelque chose d’extraordinaire !
– Quoi donc ?
– Madame a quitté le château avec Julien !
– Allons bon ? Ils sont allés se promener ?
– Non, ce n’est pas ça, je crains qu’ils soient partis définitivement
– Mais, enfin, ça n’a aucun sens !
– Monsieur ignorait sans doute que Madame et Julien avait des rapports, comment dire, un peu intimes ?
– N’importe quoi !
Par réflexe, Honoré monte dans la chambre de son épouse. Il y avait sur le lit un beau bordel, manifestement le reste d’un tri de vêtements sur le mode « j’emporte, j’emporte pas ». Il cherche une lettre, ou quelque chose qui motiverait cet inexplicable départ, mais ne trouve rien !
– Bon débarras ! Mais de quoi vont vivre ces deux idiots ?
Et soudain, pris d’une impulsion subite, il se précipite à sa bibliothèque
– Les manuscrits, cette salope a embarqué les manuscrits de Sacha Guitry ! Bon pas de panique, mon whisky, Elodie !
– Tout de suite, Monsieur !
– Et servez-vous à boire, on va trinquer !
Elodie revint avec un whisky pour Honoré et un jus d’orange pour elle.
– Vous en pensez quoi de tout ça, Elodie ?
– C’est surprenant ! Julien m’avait laissé entendre qu’il avait une liaison avec Madame, mais je pensais pas qu’ils iraient jusqu’à partir ensemble. Et puis le vol dont vous me parlez… J’ai vu plusieurs fois Julien en présence d’objet de valeurs qu’il aurait pu subtiliser facilement, ben non, il n’y touchait pas. Je me sens un peu coupable, après tout c’est moi qui vous l’ai recommandé.
– Bof, on ne connaît jamais les gens !
– Mais quand même comment une femme complètement sexophobe a pu se transformer à ce point ?
– Il parait que ça arrive.
« Cette fille est honnête ! Quand je pense qu’elle va me quitter, je ne trouverais jamais l’équivalent. »
– Elodie, si je vous augmentai de 50 %, vois resteriez ?
– Oui, monsieur et avec grand plaisir !
– Alors affaire conclue !
– Monsieur souhaite-t-il que je le détende un peu ?
– Je ne sais pas, peut-être, mais il faut que je vérifie quelque chose !
Honoré se dirige vers son coffre, un modèle ancien, dénué de sophistication, il l’ouvre et ne constate aucun manque. Il jette ensuite un regard circulaire sur les étagères de la bibliothèque où trône quelques petits bronzes du 18ème siècle et d’autres bricoles. Apparemment tout est en place.
– Pourquoi n’avoir pris que les manuscrits de Guitry ? Ça n’a aucun sens !
Et puis il se souvint que son épouse conservait dans sa chambre une cassette d’argent liquide, probablement des fonds en rapport à ses anciennes activités paroissiales, Honoré remonte, trouve facilement la cassette qui se ferme avec une serrure « bas de gamme », genre boite aux lettres. Mais là elle est ouverte… Et vide !
– Bien joué, elle est partie avec son fric à elle, je ne peux pas porter plainte !
– Les manuscrits quand même ! Objecte Elodie.
– Les flics ne vont pas se bouger pour ça !
– Bon, on l’a fait cette petite détente ?
– T’as le droit d’essayer !
– Alors si Monsieur veut bien se mettre à poil !
– Attends, on ne va pas faire ça sur le lit de madame ? Ça sent l’eau bénite et l’hypocrisie !
– Alors on redescend !
Elodie s’assoit sur le canapé, enlève tout son haut et fait signe à son patron de venir le rejoindre
– Venez Monsieur, je vais bien vous sucer la bite et après vous pourrez me prendre par le petit trou.
Les nichons d’Elodie, Honoré les connait par cœur, mais il y a des choses dont on ne se lasse jamais
Il vient à ses côtés et lui lèche le téton droit avec une telle frénésie que bientôt sa braguette devient trop étroite pour sa bite. Du coup il se déshabille à l’arrache.
Elodie en profite pour faire de même et se met en levrette, en cambrant bien le popotin.
– Holà, jeune fille, serais-tu pressée de recevoir ma bite dans le cul ?
– Pas du tout, mais puis-je suggérer à Monsieur de me lécher le troufignon, il est possible que je me sois mal essuyé tout à l’heure !
– Mais tu es vraiment une salope !
– Oui, monsieur !
Le marquis approcha son visage du cul de la belle, effectivement quelques très légères traces de merde décoraient son anus.
– Vous êtes dégueulasse, Elodie !
– Oui, monsieur !
– Et tu crois vraiment que je vais te lécher le cul ans cet état ?
– C’est comme monsieur voudra !
– Alors je vais dire, tu m’excites tellement avec ton joli cul que je m’en voudrais te le laisser dans cet état.
Et Honoré lécha les petites tâches.
– Mais c’est délicieux tout ça !
– Je suis content que Monsieur apprécie !
– Suce-moi un peu et après je vais t’enculer !
Elodie s’empara de la bite du marquis, la caressa quelques instants car elle en appréciait la douce texture, puis lui imprima quelques mouvements de masturbation avant de la pendre en bouche. Elle la fit entrer complètement, mais n’ayant pas effectué de stage d’avaleuse de sabre, ce n’est point dans sa gorge qu’elle la logea, mais plus prosaïquement au fond des joues.
Elle procéda ensuite à plusieurs mouvements de va-et-vient en prenant soin de bien presser l’organe entre ses lèvres purpurines, puis s’amusa à faire courir la pointe de sa langue sur le gland turgescent.
– Arrête, Elodie tu vas me faire jouir !
– Monsieur désire-t-il que je m’occupe un peu de son trou du cul, cela lui reposera la bite !
Le marquis acquiesça et se positionna en levrette.
– Oh, le joli cul ! S’écria Elodie ! Monsieur désire-t-il que je me lâche ?
– Lâche-toi, vas-y !
La soubrette appréciait tout particulièrement ce moment où elle devenait la domina du marquis.
– Tiens pédale ! T’es bon qu’à montrer ton gros cul à tout le monde ! Commença-t-elle en lui giflant fermement le postérieur de ses petites mains.
Elle lui introduit ensuite un doigt dans le cul qu’elle fit aller et venir frénétiquement.
– T’aimes ça qu’on te ramone le cul, hein pédé ?
– Bien sûr que j’aime ça ! Mets-moi le gode !
– Monsieur est gourmand, dommage qu’on ait plus de vraie bite pour pouvoir t’enculer ! Il est où le gode ?
– Ben dans le tiroir !
– Je le trouve pas !
– Bizarre !
– Il est peut-être sous le lit, je n’ai pas passé l’aspirateur, ce matin.
Effectivement il était sus le lit !
– Bon reprenons ! Un peu de gel, une capote et j’encule la pédale. Attention !
Le gode de taille modeste entra facilement dans le fondement du marquis.
– C’est bon, hein ma salope ?
– Oh oui, oh oui !
Elodie le ramona pendant plusieurs minutes avant de trouver la chose un peu monotone. Et puis, – ce n’était pas toujours le cas dans ses séances avec son patron, mais ça l’était aujourd’hui – elle était tout excitée.
– Monsieur désire-t-il finir dans ma bouche ?
– Ça me paraît une très bonne idée !
– A moins que monsieur veuille m’enculer ? Je me sens très salope aujourd’hui et avoir votre bonne bite dans mon trou du cul me comblerais d’aise.
– Tu causes bien pour une salope !
– Je suis une salope avec un bac plus trois.
– Alors en position, j’arrive.
Une capote lubrifiée, la bite s’approche du trou de balle et y pénètre hardiment.
Elodie se sent remplie et ne tarde pas à commencer par haleter de plus en plus bruyamment, à ce point qu’Honoré excité par ce joli bruit de fond accélère la cadence et décharge un peu prématurément.
– Ne t’arrête pas, ne t’arrête pas ! Braille Elodie, oubliant toute convenance.
Mais le marquis n’est pas chien , il s’efforce de continuer un peu, permettant ainsi à sa soubrette de le rejoindre dans la jouissance.
– Je suis désolée, Monsieur le marquis je vous ai tutoyé de façon inopportune.
– Faut pas t’inquiéter pour ça, viens me faire un bisou !
– Vu les circonstances, j’ai omis de dire à Monsieur, qu’une personne s’est présentée en postulant un poste de femme de chambre , sans doute pour me remplacer !
– Hein ? Et comment cette personne a-t-elle pu savoir qu’il y avait une place vacante ?
– Je n’en sais rien ! Ici, seul Julien était au courant !
– Ça devient le « Château de tous les mystères » ici ! S’il y avait un rapport entre cette nana et la fuite de Madame ?
– Allez savoir !
– Convoque-la moi pour demain, on verra bien ! Au fait elle est comment ?
– Canon !
– Je vais te dire un truc, Elodie, la fuite de ma femme je m’en fous, l’attitude de Julien, j’en ai rien à cirer, d’autant qu’apparemment il ne m’a rien volé, mais la disparition des manuscrits c’est de la vacherie pure et simple, ça a été fait uniquement pour m’emmerder, et je ne vais pas laisser passer ça !
– Mais comment allez-vous faire ?
– J’ai une petite idée, mais je verrais ça après avoir reçu ton canon !
Marie-Josèphe avant de partir a subtilisé une fois de plus les manuscrits de Sacha Guitry, un peu parce que cela lui procurera un supplémente d’argent de poche, mais surtout pour énerver son époux.
Elle a fait arrêter le taxi devant le libraire, rue de Vaugirard.
– Ah, il y a un hôtel qui l’air correct là-bas, attend moi devant la porte, nous irons y louer une chambre, en attendant j’ai une petite corse à faire dans cette boutique.
Daniel Lamboley affichait déjà une grosse stupéfaction quand il vit entrer dans sa librairie Marie-Josèphe de la Villandière, mais quand elle lui déballa les manuscrits de Sacha Guitry, il devint rouge comme une tomate, proche de l’apoplexie.
– Mais vous vous foutez de ma gueule : Vous allez me les vendre combien de fois vos merdes ? Disparaissez de mon magasin et ne revenez plus y remettre vos pieds, pauvre cinglée !
Un peu surprise de cette violence verbale, la marquise s’en alla sans demander son reste.
Mu par on ne sait quel réflexe, à moins qu’il ne crû flairer une embrouille, Lamboley sortit sur le pas de sa porte. Il y vit la marquise rejoindre un jeune homme, s’éloigner avec lui sur la droite, puis cent mètres plus loin pénétrer à « l’hôtel des deux trèfles ».
En chambre, la marquise embrassa longuement son jeune amant
– C’est la première fois que vais baiser dans une chambre d’hôtel, mon amour ! J’ai l’impression d’être une pute, mais ça n’a aucune importance, je suis avec toi et plus rien ne nous séparera. Je vais prendre une petite douche et je te rejoins. A tout de suite mon amour !
Julien n’est pas un voleur, tout simplement parce que ce n’est pas son truc. Mais parfois, on devrait dire souvent, c’est l’occasion qui fait le larron.
Pendant que Marie-Josèphe se douche, il regarde dans son sac, il y a une grosse somme d’argent, il ne la compte pas, mais sait qu’il y a de quoi vivre peinard un bon moment, il s’empare de tout ça à l’exception de quelques billets et sort discrètement de la chambre.
Il s’en veut un peu, conscient de la peine qu’il va faire à la marquise, mais d’un autre coté il sait très bien que cette liaison n’a aucun avenir, alors un peu plus tôt, un peu plus tard, autant sauter sur l’occasion.
Marie-Josèphe ressort toute guillerette de la salle de bain, et ne comprend pas l’absence de Julien. Elle pense qu’il est peut-être aller chercher quelque chose au bar, mais au bout d’un quart d’heure il n’est toujours pas revenu, elle descend donc à la réception.
– Je cherche le monsieur qui a loué la chambre avec moi !
– Je l’ai vu sortir il y a vingt minutes !
– Il n’a rien dit !
– Non !
Elle remonte, déboussolée, puis saisie d’un horrible doute vérifie son sac !
« Le salaud ! Dieu vient de me châtier pour mes turpitudes ! »
Et très vite c’est la crise de larmes et elle dure un certain temps
« Et maintenant que vais-je faire ? Comme disait Gilbert Bécaud » Revenir, fermer cette parenthèse qui s’est transformé en fiasco ? »
Mais comment va-t-elle supporter le regard de son mari ? Elle a beau se dire qu’il est particulièrement mal placé pour la juger, l’idée la panique.
Elle se dit qu’il lui faudrait parler à quelqu’un. Mais à qui ? Ses anciennes collègues de l’amicale paroissiale seront assurément incapables de la comprendre ! Alors un prêtre ? Oui pourquoi pas ? Elle s’habilla, chercha une église et s’installa dans un confessionnal.
– Mon père, j’ai commis le péché d’adultère.
Et voilà que l’ensoutané lui débite un refrain convenu et standard qu’elle n’écoute même pas.
– C’est plus compliqué que ça… Commence-t-elle
– Ne vous cherchez pas de fausses excuses, ma fille, un adultère est un adultère et n’est jamais excusable.
– Je suis profondément croyante et j’ai aidé ma paroisse pendant des années…
– Dieu vous a mis à l’épreuve…
– Et pourquoi me mettre à l’épreuve ?
– Les desseins de dieu sont impénétrables.
– C’est ça, au revoir !
– Mais ma fille !
Mais Marie-Josèphe est déjà dehors, encore plus désemparée qu’auparavant. Elle cherche une autre église non pas pour faire une tentative avec un autre prêtre, mais simplement pour prier.
Mais la prière ne l’aide pas, elle ne parvient pas à se concentrer, la réflexion du curé sur la « mise à l’épreuve » lui paressant à la fois débile et injuste. Elle ressort et déambule dans les rues parisiennes .
– Je vais attendre d’être prête à affronter mon époux, puis je rentrerai .
Et en attendant je fais quoi ?
On peut toujours s’occuper à Paris, les musées, les balades, les cinémas… Elle s’achète des bouquins, des polars pas trop compliqués où il faut chercher le coupable.
En voyant son visage se refléter dans le miroir d’une vitrine, elle se trouve affreuse. C’est vrai que le stress et les larmes n’ont jamais embelli personne.
Avant sa liaison avec Julien, elle négligeait son apparence, depuis elle s’efforçait d’y faire un peu attention, mais aujourd’hui c’était la cata.
En passant devant un institut d’esthétique elle surprit une affiche : « relookez-vous ! »
Deux heures après, elle ressortait avec des cheveux blonds ondulés et un maquillage de star.
– Je deviens folle !
Elle chemina jusqu’au jardin du Luxembourg et s’assois sur un banc dans une petite allée ombragée et peu fréquentée. Sans doute par acte manqué, elle ne s’assit pas en plein milieu mais complètement à gauche, laissant ainsi la place à un éventuel péquin.
Et justement un péquin s’installa. Bien propre sur lui et rasé de près, costume cravate.
– Bonjour ! Dit-il en posant son cul
– Bonjour !
– Je ne vous dérange pas ?
– Pas pour le moment.
– Recherchez-vous une aventure ?
– Non ! Répondit Marie-Josèphe après avoir dévisagé l’individu.
– C’est dommage, je suis très doux ! Et j’aime procurer du plaisir aux femmes.
– Bon ça va ! Répond-elle sèchement.
– Et puis j’ai une belle bite ! Ajouta le malotru, qui pensant sa tentative de drague échouée, la jouait maintenant « provoc ».
– Eh bien montrez-là moi, ça me fera une distraction.
Le type se demande si c’est du lard ou du cochon, il se lève, jette un regard circulaire sur l’environnement où il n’y a pas un chat. Il se lève, se poste devant Marie-Josèphe, se débraguette et sort son engin qu’il masturbe un peu pour le rendre raide.
La marquise est tétanisée, incassable du moindre geste et de la moindre parole.
– T’aimerais bien la sucer, hein salope !
La bite est maintenant à vingt centimètres de son visage, elle ne saurait dire comment elle s’est retrouvée dans sa bouche mais toujours est-il qu’elle y est bel et bien..
Elle sent fort, beaucoup plus que celle de Julien. La voilà qui repense à Julien. Du coup elle lâche l’affaire, se relève et s’éloigne du lieu tandis que l’inconnu la couvre d’injures
– Je deviens folle, il faut que je me calme !
Laissons la marquise pour l’instant car mon portable sonne, c’est Honoré, je décroche.
– Chère Chanette, je vous ai rendu un grand service et je l’ai fait bien volontiers. Puis-je à mon tour vous solliciter afin que vous m’en rendiez un ?
Je n’aime pas trop ça mais je l’écoute.
– Figurez-vous que ma femme a quitté le château avec l’un de mes domestiques. ça m’aurait fait une belle jambe si elle n’avait pas embarqué les manuscrits que vous savez.
Je le sens venir…
A suivre