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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 11 – Partouze au château par Chanette

soubrette stamp

Julien se pointe, Elodie a bien sûr eut le temps de lui souffler ce qui risquait de se passer. Il serait faux de dire que Julien flashe sur Max, non pas du tout, mais il sait qu’il y a une bonne prime à la clé, alors il incline protocolairement la tête.

 

– Je suis à la disposition de Monsieur.

– Cher Monsieur, si vous désirez bénéficier des largesses d’Elodie et de Julien… Considérez cela comme un cadeau. Ajoute le marquis

– Vous m’embarrassez !

– Je ne vous embarrasse pas, puisque vous ne dites pas non ! Amusons-nous, Elodie va s’assoir sur vos genoux, nous verrons bien comment la chose évoluera !

– Sera-t-elle d’accord ?

– Si elle n’invoque pas je ne sais quelque migraine, c’est qu’elle sera d’accord, n’est-ce pas Elodie ?

– Monsieur suggère-t-il que je chauffe Monsieur.

– C’est cela, Elodie, chauffez, comme vous dites !

 

Elodie grimpe sur les genoux de Max et sans autre préambule, lui tripote la braguette de telle façon que la bite ne tarde pas à devenir dure comme du bambou.

 

Les doigts agiles dézippent la fermeture éclair, pénètrent dans le pantalon et finissent par sortir la jolie bite du faux détective.

 

Et tandis qu’Elodie imprime, au mâle organe quelques mouvements de masturbation, pour le fun, les mains de Max sont parties à l’assaut du décolleté de la soubrette et ont tôt fait de lui dégager les seins.

 

– Peut-être pourrions-nous mettre à l’aise ? Suggère Elodie qui sans attendre une quelconque approbations se relève et entreprend de se dévêtir.

 

Max après quelques secondes d’hésitation se déshabille à son tour. Sur un signe de son patron, Julien retire le bas et exhibe fièrement son chibre puis s’approche de Max.

 

Celui-ci ne sait où donner de la tête, la plastique splendide d’Elodie versus la bite de Julien. Que choisir ? Non la question est mal posée, il n’a pas besoin de choisir, il sait qu’il aura les deux, mais la bonne question est donc : Par qui commencer ?

 

Ses réflexions sont brutalement interrompues par Elodie qui le pousse dans le fauteuil en rigolant, se positionne devant lui et lui pinces les tétons. Julien s’avance, sa bite est désormais à quelques centimètres de la bouche de Max.

 

Max ouvre la bouche, l’instant d’après il suce le domestique pendant qu’Elodie sans lâcher la pression sur ses tétons embouche la sienne.

 

Le marquis ne perd pas une miette du spectacle, s’est levé, a sorti popaul de sa cachette et se masturbe sans précipitation.

 

Les doigts d’Elodie ont maintenant quitté les tétons, et l’index gauche entame une petite visite très près de l’anus. La suite va de soi, on mouille le doigt, on le pose sur l’œillet, on fait entrer et on bouge.

 

– T’aimes mon doigt ?

– Foufouf ! Répond Max qui n’entend pas lâcher la bite de Julien.

 

Alors elle en met un deuxième.

 

– Si tu aimes, je peux aller chercher un petit gode… à moins que tu préfères la bite de Julien.

– Mais vous êtes une bande de pervers ! Répond Max en rigolant comme un bossu.

– Ça vous dit ? Demande Julien

– Soyons fou !

– Elodie, où sont les préservatifs ? demande Juline

– Sur la table, binoclard !

– Cher monsieur, si vous voulez bien vous déplacer sur le canapé, ce sera plus commode pour vous sodomiser.

 

Eh oui, depuis son embauche, Honoré a appris les bonnes manières à Julien !

 

Max se positionne en levrette à l’endroit indiqué, Julien le pénètre facilement et commence à le pilonner, Elodie vient devant et lui donne sa petite chatte à lécher, il se régale.

 

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Mais voici que le marquis prend la place d’Elodie et présente sa bite à sucer. Max failli protester, mais les règles de la politesse étant ce qu’elles sont, il se contente d’emboucher cette bite qu’il ne trouve pas déplaisante même si elle ne vaut pas celle de Julien.

 

Et puis tout se termina très vite, trop vite diront d’aucuns, Honoré se retira de la bouche de Max pour éjaculer dans ses mains, Elodie proposa aux sodomites de changer de position, donc Max sur le dos et jambes relevées, ceci afin qu’elle puisse avoir un accès facile à sa bite qu’elle reprit en bouche à grand coups de langue et de lèvres. A ce régime notre bon Max ne tarda pas à jouir, la bite douloureuse et le cul béant.

 

– C’était bien agréable, ça mérite un petit pourboire ! Déclara Max en sortant deux billets de son portefeuille.

 

Julien remercia Max et ne s’éternisa pas.

 

– Monsieur est trop gentil, mais laissez, cela n’a pas été une corvée ! Répondit pour sa part très hypocritement la belle Elodie en espérant qu’il ne reprendrait pas ses sous.

– Si, si, j’insiste !

 

– Elle est adorable, dommage qu’elle me quitte à la fin de ce mois. Répéta Honoré, Je vais la regretter, j’aurais sans doute du mal à retrouver quelqu’un ayant ses qualités.

 

Anna ayant des obligations professionnelles ce jour-là, Max devait passer chez moi pour me rendre « une visite de politesse ». Je supposais qu’il me faudrait satisfaire ses envies sexuelles, mais il m’expliqua qu’il avait déjà donné beaucoup chez Honoré et qu’il était un peu crevé. Je me faisais fort de le remettre en forme, mais non… Il préféra me faire la causette et me raconter tout ça.

 

– Dommage que cette Elodie s’en aille je ne sais où à la fin du mois sinon j’aurai bien trouvé un prétexte pour y retourner ! Me confia-t-il avec une pointe de nostalgie dans la voix

 

Lundi 8 avril

 

J’ai reçu un message de Yolande, elle me demande si ça ne me dérange pas si elle passe chez moi cinq minutes en fin d’après-midi.

 

Ben si ça me dérange, mais comment lui dire ? On aurait pu se rencontrer au bistrot, le lieu permettant d’écourter les entretiens, mais bon puisqu’elle écrit que ce ne sera que cinq minutes.

 

Bisous, bisous, elle s’amène avec une bouteille de vin rosé. Est-ce qu’on apporte du vin rosé pour une visite de cinq minutes ?

 

– J’ai des angoisses ! J’ai peur que Francis me retrouve…

– Ça m’étonnerait, il a essayé de piquer une nouvelle fois le contenu du coffre d’Anna, elle s’est fait aider par un copain un peu costaud pour les récupérer, le gars lui a flanqué une trouille bleue, il va être sage maintenant.

– Il sera sage avec Anna, pas avec moi. Tu sais Paris est un village, on rencontre toujours des gens qu’on ne voudrait pas rencontrer, alors je n’ose pas sortir, je n’ai plus de vie sociale, je ne sors plus, ça ne va plus du tout.

– Il ne faut pas rester toute seule, tu ne vas pas me dire que foutue comme tu es, tu ne peux pas te trouver un mec ?

– Me remettre en couple ? Non merci ? J’aimais Francis, mais il cachait bien son jeu, sa vraie nature, elle n’est pas belle à voir ! Alors les mecs, j’ai déjà donné, merci !

– Faut pas généraliser, non plus !

– Pas de mec !

– Une femme alors ?

– Je ne suis pas gouine, avec les femmes c’est juste des passades. Et puis faudrait que je trouve du travail ! Dans la restauration ils cherchent toujours du monde, j’ai été serveuse il y a quelques années ! Mais comment je fais puisque je n’ose pas sortir de chez moi ?

– Pars en Province !

– Je ne connais personne !

– Et ici tu connais qui ?

– Toi !

 

Evidemment

 

Et puis soudain l’idée ! Mais comment elle va prendre ça.

 

– Je connais un mec, en fait c’est un client, il est plein aux as, il a un château dans les Yvelines, il emploie du personnel de maison…

– Attends, t’as rien d’autre…

– Laisse-moi finir, c’est très bien payé et tu sais pourquoi c’est bien payé ?

– Non !

– Parce qu’en plus du ménage, de la cuisine, il faut satisfaire à ses caprices sexuels.

– N’importe quoi !

– Tu pourrais faire ça cinq, six mois, le temps de voir venir…

– Non merci… Euh il est comment ce mec ?

– C’est loin d’être un Appolon, mais il est correct, respectueux, gentil.

– Il baise bien ?

– Ça je n’en sais rien.

– Tu ne l’as même pas sucé ?

– Non, mais je l’ai fait sucer par un autre de mes clients.

– C’est un cochon alors ?

– Il aime le sexe, on va dire.

– Je peux toujours allez voir !

– Ben voilà, tu vas voir !

– On débouche la bouteille que j’ai apporté ?

– Il est pas frais !

– T’as bien des glaçons !

 

Ben oui j’ai des glaçons, alors on a bu un premier verre, puis comme j’avais un petit creux, je lui ai proposé un en-cas.

 

Yolande est redevenue calme ! Calme et belle ! Si je lui propose un gros câlin, je pense qu’elle ne défilera pas.

 

– Tu m’embrasses ? Lui demandais-je.

– Petit bisou ou gros bisou ?

 

Je ne réponds pas, j’approche mes lèvres des siennes, elle ouvre la bouche, on se roule un patin magistral. En même temps je lui pelote les seins par-dessus son petit haut.

 

– Je t’excite, hein ? Balbutie-t-elle

– On dirait !

– Tu veux que je me déshabille ?

– J’aimerais bien, oui.!

 

Elle le fait en tournoyant sur elle-même ! Qu’est-ce qu’elle est belle. Je mets à poil aussi un peu jalouse ne pas être aussi canon qu’elle.

 

– J’ai pas un peu grossi ? demande-t-elle

– Mais non !

– Faut que j’aille pisser, on fait comme l’autre jour ?

 

J’adore, mes lecteurs le savent bien, les jeux uros, mais bizarrement sa proposition me gêne, tout simplement parce que je ne souhaite pas que ce soit elle qui mène la barque… et puis il y a ses tendances un peu scatos qui ne me branchent pas trop… Mais comment dire non ?

 

Elle m’attrape la main et m’emmène vers les toilettes…

 

– Tu vas te régaler, j’ai bu du thé au jasmin ! M’indique-t-elle.

 

Comme l’autre fois, elle se positionne, les pieds sur la cuvette. Je me place devant sa chatte, ça dégouline de suite et j’avale ce que je peux. Elle avait raison, son urine est excellente.

 

Evidemment je m’en fous partout, sur les seins, le ventre et même les cuisses.

 

J’avise une serviette, mais la voilà qui se radine langue en avant et qui me lèche, les tétons bien sûr, le cou, elle m’embrasse goulument se fichant de l’arrière-goût de pisse qui persiste dans ma bouche.

 

Mon excitation est maintenant terrible, je mouille comme une fuite d’eau.

 

Yolande se relève, tout sourire, les jambes écartées comme si elle me défiait.

 

– Tu me lèches ?

 

Bien sûr que je la lèche, je me précipite entre ses cuisses, lape les dernières gouttes de pipi puis je continue à me régaler de son sexe en le balayant de ma langue.

 

– Vicieuse ! Me dit-elle.

– Ta gueule ! Répondis-je sans réfléchir.

– T’es qu’une goudou vicelarde !

 

Je ne réponds, je crois savoir comment gérer la suite, l’extrémité de ma langue vient titiller son clito. Bingo, elle se laisse faire, sa respiration change de rythme, son corps se tétanise, je lèche de plus en plus vite.

 

La voilà qui retombe le cul sur la cuvette des chiottes, m’obligeant à m’interrompre.

 

Qu’est-ce qu’elle fout ?

 

– Viens, viens, continue !

 

Ah, c’est donc ça, mademoiselle ne veut pas jouir debout et veut son petit confort ! Quelle chochotte !

 

Je reprends donc ce que je faisais, j’ai à peine le temps de m’installer que la voilà qui prend son pied en faisant un barouf du diable.

 

Bon j’aimerais bien jouir à mon tour…

 

– Viens sur le plumard !

 

Elle me suit sans discuter.

 

– Lèche-moi le cul ! Me demande-t-elle, à peine installée

– Après ! Fais-moi jouir, je n’en peux plus !

 

Elle n’insiste pas, rampe jusqu’au milieu de mes cuisses.

 

– Ben dit donc, y’a de quoi lécher ! Commente- t-elle.

 

Ben oui, moi quand je mouille, je mouille ,je ne fais pas semblant.

 

– La langue, les doigts, un gode ? Demande-t-elle.

– Comme tu veux, mais fait moi jouir je t’en prie, sinon je vais me démerder toute seule !

 

Elle ouvre le tiroir de mon chevet, faut surtout pas se gêner ! Elle en ressort mon godemiché et va pas pour me le faire sucer.

 

– Non, pas là !

 

Elle farfouille encore, trouve une capote et du gel et m’enfonce le machin dans le trou du cul, puis en actionne le vibrateur.

 

C’est terrible, je ne vais pas tenir longtemps d’autant que devant elle me lèche tout en introduisant ses doigts dans ma grotte, c’est tellement mouillé là-dedans que ça fait floc-floc.

Ma jouissance a été fulgurante.

 

Moment calme, on se caresse sensuellement en fumant une clope. Je m’amuse à lui tripoter les tétons, cette fille est trop belle.

 

– Alors ma proposition ?

– Je t’ai dit, je vais aller voir

 

A suivre

Jeu 22 jui 2021 Aucun commentaire