Le blog de vassilia-x-stories

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 8 – La soumission d’Honoré par Chanette

Chanette

Ce même vendredi 22 mars

 

Le matin, à l’ouverture du magasin de cycles « La petite reine », Max le dur se rendit sur place sans s’encombrer de procédure :

 

– Francis Larive ?

– C’est bien moi !

– Ecoute pépère, tu es en possession d’une cassette qui ne t’appartient pas, alors tu me la rends gentiment, sinon, je m’énerve !

– Mais attendez, vous vous vous trompez de personne…

– Bon, c’est le denier avertissement, après je cogne !

– On peut peut-être s’expliquer… improvisa Larive sans trop savoir ce qu’il allait raconter.

 

Le poing de Max lui atterrit dans le ventre et le fit se plier en deux.

 

– Salaud !

– Alors cette cassette ?

– Elle ne vaut rien, le bijou est faux !

– Je continue de taper ou quoi ?

– Elle est chez moi !

– Alors on va aller la chercher !

– C’est que j’attends mon employé !

– On s’en fout, amène-toi !

 

Francis Larive ferma le rideau de fer du magasin et sortit avec Max, peu rassuré sur la suite des événements.

 

« Je lui dis ou je ne lui dis pas ? »

 

Prévoyant des complications, il préféra parler.

 

– Il y avait des trucs dedans que j’ai déjà vendu ?

– V’la autre chose ! A qui ?

– Un bijoutier et un libraire !

– Et bien, on va aller leur dire bonjour, ça nous fera une balade !

 

La récupération du bijou s’effectua sans problème, Max apprit cependant que celui-ci était en zirconium. En revanche chez le libraire :

 

– Ces manuscrits ont été repris par la personne qui me les avait confiés. Je commence en avoir marre de ces machins qui vont et qui viennent…

– Pardon ?

– Je suis en règle, si vous soupçonnez quoi que ce soit, voyez avec la police, moi je n’ai rien à me reprocher. Ça provient d’une vente aux enchères mais j’ignore si…

– Oui, bon, t’as l’identité de la personne !

– C’est confidentiel !

– Tu veux que je m’énerve ?

 

Et muni de l’identité de Marie-Josèphe, ils quittèrent le libraire et partirent récupérer la cassette quasiment vide.

– Et que je ne te retrouve pas dans mes pattes, connard !

 

« Ça se complique ! » se dit Max une fois seul.

 

En guise de coordonnées, Lamboley lui a uniquement communiqué le nom et le numéro de carte bancaire de sa cliente.

 

Un coup de fil à son patron et il obtient l’adresse de cette Marie-Josèphe de la Villandière à Gouley-le-Château, dans les Yvelines.

 

« Evidemment ça ne prouve rien, il peut y avoir usurpation d’identité, fausse carte… Et de toute façon il faut que je sache le fin mot de l’histoire, on va y aller au flan ! »

 

Samedi 23 mars

 

Max possède une petite collection de fausses cartes dont une d’inspecteur de la police judiciaire.

 

Il l’exhibe à l’entrée du château et demande à voir Marie-Josèphe.

 

– C’est à quel sujet ? Demande Honoré en voyant débarquer Max dans son salon.

– Police ! Je viens juste recueillir le témoignage de Madame, ne vous inquiétez pas, elle n’a rien fait de mal. Néanmoins il s’agit d’un entretien privé.

– Autrement dit, il faut que je dégage, vous avez un mandat je suppose ?

– Il n’est pas nécessaire d’avoir un mandat pour un simple témoignage…

– Certes, mais m’ordonner de quitter les lieux, n’est-ce pas un peu cavalier ?

– Je peux faire autrement, je demande au juge d’instruction un mandat d’amener et j’embarque Madame ! Vous préférez ?

– Pfff ! Proféra le marquis en quittant les lieux.

 

Et sur ce la marquise descendit peu rassurée par cette visite inattendue.

 

– Que se passe-t-il ?

– Ne craignez rien, simple enquête de routine…

– C’est mon mari ?

– Mais non…

– Les domestiques ?

– Laissez-moi en placer une, vous serez gentille. Il y en a juste pour cinq minutes, nous allons sortir et bavarder dans le jardin, cela évitera les oreilles indiscrètes.

 

Dans la grande allée bordée de rosiers méticuleusement entretenus, Max aborda le sujet :

 

– Vous avez acquit une collection de manuscrits écrits de la main de Sacha Guitry.

– Ils appartiennent à mon mari !

– Laissez-moi terminer, je vous en prie, il est possible que ces lettres soient le produit d’un recel…

– Mais c’est quoi cette histoire ? C’est le libraire qui se prend pour un redresseur de tort ?

– Calmez-vous madame, s’il vous plaît !

– Non, je ne me calme pas, mon mari les a achetés aux enchères à Drouot.

– Et vous avez le certificat de vente ?

– Vous lui demanderez, je ne fouille pas dans ses affaires !

– D’accord ! Le libraire m’a affirmé que vous les lui aviez vendus dans un premier temps pour les racheter ensuite, est-ce exact ?

– Et il est où le problème ? Ces trucs sont à moi, j’en fais ce que je veux !

– Vous êtes sûre qu’ils ne sont pas à votre mari plutôt ?

– Oui ! Bon ! Si c’est lui qui a porté plainte, je veux bien continuer à vous répondre sinon je me tais.

– Alors restons-en là !

 

Max ne demanda pas le certificat de vente, mais demanda à son patron de vérifier auprès de Drouot l’authenticité de la transaction.

 

Nous avons assez peu parlé de moi jusqu’ici, cela va venir à présent.

 

Petits flashbacks

 

Pendant toute cette période pendant laquelle le marquis soupçonnait ses domestiques, il cessa toute activité sexuelle avec eux. On ne baise pas avec ses voleurs, que diable ! Il fut longtemps client, avons-nous dit, d’une Karita, une domina qui lui donnait toute satisfaction et qui lui permettait d’assouvir ses fantasmes préférés et secrets.

 

Oui mais voilà, Karita avait quitté le job. Honoré chercha donc une autre dominatrice et le lecteur devinera aisément qu’il tomba sur ma modeste personne !

 

Il est amusant ce type, pas timide, ni honteux comme certains, un peu hautain sans qu’il soit désagréable, il me regarde sans aucune gêne.

 

– Comme tu t’appelles ?

– Honoré !

– Et qu’est ce qui te ferais plaisir ?

 

J’aurais pu lui faire renseigner mon petit questionnaire mais j’ai oublié d’en imprimer.

 

– Une domination sans exagération, un peu de martinet, des pinces, j’aime bien les godes aussi.

– T’aimes bien faire l’esclave ? T’aimes qu’on insulte ?

– Modérément !

 

Chanette26HUn esclave modéré ! Ce doit être un nouveau concept !

 

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?

– Non, j’avais une maîtresse régulière, mais apparemment, elle n’exerce plus.

– Tu veux me dire qui c’est, je la connais peut-être.

– Karita, près de l’Opéra.

 

Il me raconte que depuis il a essayé plusieurs dominas, mais qu’il a été déçu… Autrement dit, si je veux le fidéliser, il faut que je me surpasse, mais j’ai confiance, la façon dont il me regarde me semble un bon présage.

 

– Bon, passons aux choses sérieuses, tu me donnes un peu de sous et tu te fous à poil.

 

Il me tend une enveloppe.

 

– Excuse-moi de vérifier, mais on ne se connait pas.

 

Il me fait un sourire idiot, ça va, il est généreux ! Je vais le gâter pépère !

 

A poil il est quelconque, avec une bite quelconque, il a cependant des tétons assez développés.

 

Je commence par lui mettre un collier de chien autour du cou, un joli collier tout rose, marqué « Médor » auquel est attachée une laisse et l’emmène dans le donjon.

 

Je me place devant lui, me passe vicieusement la langue sur mes lèvres, puis lui attrape ses bouts de seins que je pince et que je tortille. L’effet est immédiat, le mec bande comme un sapeur.

 

– T’aimes ça, hein, salope ?

– Oui, je suis une salope !

 

O.K. s’il aime les noms d’oiseaux, il va être servi

 

– Je vais te mettre des pinces, ça va te faire encore plus mal !

– Oui, maîtresse !

 

J’accroche une pince à droite, une autre à gauche, il serre les dents mais supporte.

 

– Je ne t’ai pas autorisé à faire la grimace !

– Pardon, maîtresse !

 

Je le gifle, pas trop fort, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse, je n’aurais peut-être pas dû, tout le monde n’aime pas ça !

 

– Merci maîtresse !

 

– Ouvre ta bouche ! Tu sais ce qui va t’arriver, poufiasse ?

– Vous allez me cracher dessus, maîtresse !

– Bonne réponse !

 

Je le fis, et en même temps je tirais sur les pinces, lui provoquant des soupirs où la douleur se mélangeait au plaisir. Après quelques minutes de torture des seins, je décidais de passer à autre chose, à l’aide d’un long lacet je lui attachais ses grosses couilles et lui demandais de se tourner afin qu’il me présente son cul.

 

– On t’a déjà dit que tu avais un cul de pédale ?

 

Phrase bateau, je dis ça à tout le monde !

 

– Oui, maîtresse ?

– Et c’était qui ?

– Maîtresse Karita.

 

Je n’ai pas pris le martinet, mais une badine, il ne faut pas toujours faire la même chose, et je commence à lui rougir les fesses Premier coup modéré comme je le fais habituellement, le second un plus fort, le troisième encore plus fort. J’augmente encore l’intensité pour le quatrième. Petit cri du soumis, j’ai trouvé la bonne frappe et continue ainsi sans compter, mais il s’est bien ramassé une bonne vingtaine de coups.

 

Je le fais de nouveau se retourner, il bande décidemment très bien, je rejoue un petit peu avec les pinces, il affiche un sourire ravi.

 

Avec la laisse, je le tire vers le cheval d’arçon et fais s’arcbouter dessus.

 

– Tu sais ce qu’il va t’arriver, esclave ?

– Heuh ?

 

Il manque d’imagination, pépère, mais quand il me voit m’harnacher avec le gode ceinture, il comprend mieux.

 

– Vous aller m’enculer, maîtresse !

– T’es très perspicace, toi ! Mais avant, tu vas me sucer ce gode.

 

Il ne se fait pas prier et prend manifestement grand plaisir à sucer cette bite en plastique.

 

– Dis donc, toi, on dirait que t’aimes ça, sucer de la bite ?

– Oui, maîtresse !

– Tu en as déjà sucé des vraies ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu t’es déjà fait enculer, aussi ?

– Oui, maîtresse !

– Tu aimes ça ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu n’as pas honte ?

– Non, maîtresse !

– Tu sais parfois, je garde dans mon donjon des mecs qui aiment la bite, je les fais se sucer, s’enculer…

– Ça doit être génial !

– On en reparle après, pour le moment je vais t’enculer avec le gode.

 

J’en possède de plusieurs tailles, j’avais choisi un moyen, je le recouvre d’une capote, je le tartine d’un peu de gel, lui écarte les fesses. Et, hop, ça s’enfonce dans le trou du cul ! J’active le vibrateur et le pilonne en cadence. Et c’est qu’il apprécie. Après quelques minutes de ce traitement, je me retire lui laissant le trou du cul béant.

 

Je vais pour ranger mon joujou, mais Honoré le regarde d’un air bizarre. Je crois deviner ce qu’il veut, sans en être trop sûr. Je tente le coup.

 

– Suce moi encore ce gode !

– Je ne sais pas !

– Arrête de faire ta jeune fille, tu en meurs d’envie.

– Je ne sais pas, maîtresse !

– Tu es une petite salope ?

– Oui !

– Non dis-le !

– Je suis une petite salope !

– Et les petites salopes, elles lèchent les godes et les doigts qui sortent de leur cul, alors tu vas faire pareil.

 

Le gode n’est pas trop pollué, mais bon, il sort d’un cul tout de même, il y a quelques traces douteuses et il y a l’odeur. Qu’à cela ne tienne, le bonhomme suce et il a l’air de se régaler.

 

– T’aime ça lécher un gode plein de merde, hein, esclave ?

– Oui, mais j’ai peu honte, je ne dois pas être tout à fait normal.

– Comment ça, t’es pas normal ? Ça ne fait de mal à personne ! Si tu veux un jour on pourra aller plus loin, tu aimerais me regarder en train de chier ?

– Oui, maîtresse.

– Et tu me serviras de papier à cul !

– Pourquoi pas, maîtresse !

 

Le mec est à fond dans ses fantasmes et il bande comme un cerf. N’empêche que je viens peut-être de faire une connerie en lui promettant des choses que je ne pourrais peut-être pas tenir. Je m’explique, j’ai assez peu de clients scatos, même si certains manifestent des tendances. Le souci c’est que contrairement à l’uro qui ne me pose aucun problème parce que je suis une bonne pisseuse, le caca sur commande, je ne sais pas faire.

 

– Bon allonge-toi, je vais te donner à boire !

– Oh merci, maîtresse.

 

Je me suis accroupie, chatte contre bouche et j’ai ouvert les vannes du pipi, il a fait comme les autres il en a bu pas mal, le reste dégoulinant à côté. Du coup il va me demander une douche, je ne vais pas lui refuser, si je veux le fidéliser…

 

Mais avant, je vais lui ne foutre plein la vue, le mec il va repartir avec une belle image !

 

– Maintenant il faut finir, je vais te montrer mes seins, tu vas te branler en les regardant et en guise de cadeau de bienvenue tu as même le droit de m’asperger.

 

Je lui montre mes nénés, il a l’air d’apprécier, je suis sûre qu’il aimerait les caresser, mais faut peut-être pas charrier non plus, ce n’est pas Noël !

 

Il s’est astiqué la bite avec une frénésie qui faisait plaisir à voir. Je me suis essuyée avec du Sopalin, merci monsieur Sopalin

 

En revenant de sa mini douche, le client était tellement content de ma prestation qu’il me demanda si je pouvais organiser un petit trio bisex la fois suivante. Opération fidélisation, réussie !

 

A suivre

Jeu 22 jui 2021 Aucun commentaire