Le blog de vassilia-x-stories
Chanette 25 – Football – 12 – Dépucelage anal par Chanette
Le récit de Barelli.
Pour être tout à fait franc, je voulais lever toute ambiguïté au sujet de ce personnage, je craignais une sorte de traquenard que je n’arrivais pas bien à visualiser, les circonstances étant tout de même un peu bizarres.
J’ai consulté mon historique sur le net pour retrouver sa page Facebook. En fouillant j’ai réussi à dégoter son numéro de téléphone sur le net, je passe… Ensuite je me suis fait passer pour la sécurité sociale, le mec ne s’est même pas méfié, il n’est pas très malin, et m’a refilé son adresse.
J’arrive chez lui, je sonne !
– C’est qui ? Me crie-t-il à travers la porte.
– Police ! Bluffais-je.
Pour faire ouvrir une porte c’est radical !
– Une seconde, j’étais sous la douche !
Trois minutes après, il m’ouvrait ! Je m’attendais à tout sauf à ce que je découvrais devant mes yeux :
Le mec en robe de chambre blanche, était maquillé, du moins il avait essayé de se démaquiller vite fait sans y parvenir, je remarquais aussi ses ongles vernis en rouge cerise.
Il n’avait pas pensé aux ongles et devint rouge comme une tomate.
– Ne faites pas cette tête-là ! Balbutie-t-il. Je suis acteur de théâtre et je répétais mon rôle, c’est un rôle travesti, voyez-vous ?
– Je vois parfaitement, et vous jouez dans quelle pièce, dans quel théâtre ?
– Je pourrais vous répondre, mais je n’ai vu ni votre carte, ni votre mandat !
– Alors on joue cartes sur table, je ne suis pas flic, je suis collectionneur de culottes et il se trouve que j’ai eu en main la proposition que vous avez envoyé à Kévin Golfen.
Tout à l’heure il était rouge, mais là, le mec devient blanc comme une figurine de plâtre !
– Mais comment avez-vous trouvé mon adresse ?
– Trop facile, vous ne prenez aucune précaution, si on veut vous foutre en tôle, les flics vous dénichent en trois minutes.
– Vous voulez quoi ?
– Du point de vue légal, rien n’interdit de vendre une culotte qu’on vous a dédicacée, mais du point de vue des convenances, le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est indélicat.
– C’était un coup de folie ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Bredouille-t-il
– N’empêche que Chanette, elle n’est pas contente. Pas contente du tout même.
J’ai à ce moment-là acquis la certitude qu’il n’y avait pas de traquenard, ce mec étant vraiment trop zarbi !
Et puis l’autre certitude, c’est qu’il était probablement persuadé que j’étais missionné pour lui casser la gueule.
A ce moment-là, je pense que j’aurais pu lui demander n’importe quoi, par exemple de l’argent, il me l’aurait donné. L’idée de m’amuser un petit peu m’a effleuré l’esprit..
– T’as besoin de te faire les ongles pour répéter ton personnage ?
– Ben…
– Je sais ce que tu vas me répondre : c’est pour te sentir dans la peau du personnage, c’est ça ?
– Oui
– T’as raison, au théâtre, il faut toujours se mettre dans la peau du personnage, moi j’en a fait aussi, je jouais le rôle d’un tueur en série, donc avant d’entrer en scène je tuais deux ou trois personnes.
Je décidais alors d’arrêter de jouer dans ce registre ayant peur qu’il me tombe dans les pommes.
Je m’approche de lui, il est tétanisé et ne bouge pas d’un poil. Je tire sur la ceinture de sa robe de chambre, il est à poil en dessous, simplement vêtu d’une culotte de femme.
A ce moment-là, j’avais décidé de mettre un terme à ma visite, j’avais la réponse à mes questions et il n’entrait pas dans mes intentions de le traumatiser davantage.
Un dernier petit truc idiot avant de partir :
– Ta culotte tu me la donnes et après je m’en vais.
Le mec se tourne.
– Je ne t’ai pas demandé de te tourner !
Il me file sa culotte, et cache sa bite avec sa main.
– Enlève-moi cette main ! Oh ! T’en a une belle queue !
– Mais…
– Je vais te dire un truc, je n’ai rien contre les travelos, à la limite ça m’excite, c’est simplement dommage que ton maquillage soit un peu destroy !
– Vous ne partez pas ? Parvint-il à dire.
– J’aurais bien aimé te voir maquillé correctement !
– Ben…
– Tu ne veux pas me faire plaisir ? On ne va pas se quitter fâchés, non ?
– Et après vous allez me laisser tranquille ?
– Evidemment, je ne vais pas te violer.
Et là, incroyable mais vrai le mec est allé se refaire une beauté ! Je le surveille discrètement, on ne sait jamais dès fois qu’il prenne un couteau ou un autre objet contondant !
Cinq minutes après il se pointe devant moi !
– Voilà, ça y est vous êtes content ?
– T’as pas une perruque, ça serait plus cool !
Le gars se perruque, ça n’a rien d’une beauté fatale, mais c’est néanmoins assez troublant !
– Retire-moi cette robe de chambre !
– Ça devient pénible ! Ose-t-il me répondre.
– De quoi tu te plains, t’as un admirateur ! T’es pas content d’avoir un admirateur ?
– Vous n’admirez rien du tout, vous vous foutez de ma gueule.
– Retire-moi cette robe de chambre ! Sinon c’est moi qui vais le faire !
– Vous n’êtes qu’un vieux pervers !
– C’est une opinion et je respecte toutes les opinions. Bon tu veux que je parte ou pas ?
– Ça n’a pas de cesse votre petit jeu !
– Ben si ça aura une cesse, je ne vais pas rester jusqu’à demain ! J’ai juste envie de te voir à poil !
Le mec enlève sa robe de chambre avec un soupir d’agacement.
– Voilà, vous êtes content ? Vous savez comment ça s’appelle ce que vous êtes en train de faire ? C’est du harcèlement sexuel ! il y a des lois maintenant…
– Tu ne serais pas légèrement mal placé pour me faire la morale !
– Parce que c’est immoral de se travestir ?
– Non, ce qui est immoral c’est revendre une culotte qu’on t’a dédicacé.
– Je vais commencer à le savoir, j’ai fait une grosse bêtise, je le regrette, vous n’en faites jamais de conneries, vous ?
– Tourne-toi !
– Quoi ?
– Je t’ai demandé de te tourner !
– Et pourquoi donc ?
– Parce que j’ai envie de voir ton cul !
– Bon on arrête ! J’en ai marre de vos conneries, je vois demande maintenant de foutre le camp !
– Ben dis-moi tu en as mis du temps à te rebeller, tu sais que tu es beau quand t’es en colère.
– Sortez !
Paradoxalement ce mec commençait à me troubler grave… Sa bite, son torse intégralement rasé, ses gros tétons bruns. J’enrageais de ne pas pouvoir voir son cul. Bizarre non ?
– Bon, je m’en vais ! Tu ne sauras jamais pourquoi je suis venu, mais ça occupera tes nuits quand tu n’arriveras pas à dormir. C’est dommage parce que tu aurais été gentil, je te l’aurais dit !
– Mais…
– J’ai pas fini ! Dis-moi : il y a longtemps que tu te travestis ?
– Ça ne vous regarde pas ! Maintenant sortez !
Il dit ça, mais il sait très bien que je ne vais pas le faire. En plus je suis persuadé qu’il voudrait bien savoir pourquoi je suis venu. A ce propos je ne peux quand même pas lui dire la vérité, il faut que j’invente un gros mensonge, mais là tout de suite, je n’ai rien de prêt !
– Tu ne réponds pas, mais moi, je sais, tu débutes, et le fait de te travestir, ça t’excite grave, alors tu fantasmes, tu t’imagines baiser avec un homme qui te considère comme une vraie femme, c’est ça ?
– Sortez ou j’appelle au secours !
– C’est ça, ils vont dire quoi les voisins quand ils vont découvrir que tu fais le travelo ?
Touché !
Et puis je décide de faire dans la grosse provoc :
– Je t’aurais bien enculé, mais puisque tu ne veux pas me montrer ton cul…
Il ne répond pas, ne sachant manifestement comment s’en sortir ! Je me dirige vers la porte d’entrée. Krupz me regarde, semble persuadé que je vais faire une fausse sortie. Il n’a pas tout à fait tort.
– Un dernier truc, pour concrétiser ton fantasme, tu risques de devoir attendre longtemps, parce que, comment tu vas faire ? Les clubs, faut déjà avoir le courage d’y aller, ensuite, il y a la concurrence, t’es pas trop mal en travelo, mais tu ne feras jamais partie des canons. Sinon il te reste quoi ? Les petites annonces, c’est jamais complètement discret et puis ce n’est pas sans risque. Alors je te souhaite bien du courage. C’est dommage parce que l’occasion tu l’avais devant toi ! Je sais : tu n’es pas prêt, tout ça… on se donne toujours de bonnes raisons ! Et quand je serais parti tu te diras : merde j’avais une opportunité et comme un con, je ne l’ai pas saisie ! Une occasion qui ne se représentera pas de sitôt ! Allez ciao ma poule !
Et là le mec m’a bluffé :
– Vous voulez un verre d’eau ? Me demande-t-il
– Pardon ?
– Oui, parce qu’après une tirade pareille, vous devez avoir soif !
– Allons-y pour le verre d’eau !
Alors évidemment, pour aller le chercher, il se tourne et me montre son cul. Je bande comme un malade.
– Alors, t’es décidé ?
– Je sais pas !
– Si tu dis pas non, c’est que c’est presque oui !
– Vous ne me ferez pas mal ?
– Moi ? Je suis doux comme un agneau !
Et sans autre transition, je me suis déshabillé. Le mec me regardait complètement dépassé par la situation, et la bite molle.
Je craignais un retour en arrière, et c’est exactement ce qui s’est passé.
– Restons-en là, je ne suis pas prêt… Balbutie-t-il
– Faudrait savoir !
Je me plante devant lui, je lui attrape les tétons et je serre, très fort. C’est magique : le mec soupire d’aise et se met à bander.
Il a une belle bite, standard, mais belle ! Du coup je me penche pour la lui sucer ! Ce n’est sans doute pas ce qu’il souhaitait, mais moi j’aime bien m’en sucer une de temps en temps.
Je m’oblige à m’arrêter parce que je ne voudrais pas qu’il me fasse une éjaculation précoce.
– A toi, suce-moi la bite !
– Je… je…
Le revoilà en train de bafouiller.
– Bon écoute Marie-Jeanne, tu ne vas pas nous casser les pieds, on est là tous les deux pour baiser un quart d’heure, alors tu assumes et arrête de faire ta jeune fille.
– Vous m’avez appelé Marie-Jeanne ?
– Ben oui, Jean-Marie au féminin, ça fait Marie-Jeanne, non ?
– C’est une super idée, ça, je n’y avais pensé !
– Ben tu vois, je ne serais pas venu pour rien, bon tu me suces ou tu attends la révolution prolétarienne.
Bon alors soyons franc, sa pipe était nulle, nulle de chez nulle, mais bon, je n’étais pas là pour lui donner des cours, alors je lui ai fait arrêter les frais.
– Tu sais ce que tu vas faire quand je serais parti, tu vas aller acheter un godemichet, un bien réaliste, qui ressemble à une bite, puis tu iras sur internet et tu fais une recherche Google « Comment bien sucer une bite » et tu t’exerces, tu verras c’est pas si compliqué…
– Mais…
– En attendant tourne toi, je vais m’occuper de ton cul !
– Vous n’allez tout de même pas !
– Si !
– Bon, je me laisse faire alors ?
– C’est ça, laisse-toi faire !
Je réalise alors que ce mec devait être puceau du cul. Un dépucelage anal c’est pas évident d’autant que je n’ai jamais fait ça, moi !
Je lui écarte les globes afin de dégager le trou du cul, je lèche un peu, je ne suis pas bégueule, mais je n’insiste pas trop et je remplace ma langue par mon doigt que j’humecte correctement. Et vas-y ! J’entre, je sors, je vais et je viens.
– Arrêtez !
– Ferme les yeux et respire fort, dans deux minutes tu en redemanderas !
– Non, non !
– Je vais faire moins vite. Ça va mieux ?
– Peut-être !
Je continue, il ne rouspète plus et quand je lui ai ajouté un deuxième puis un troisième doigt, je ne sais même pas s’il s’en est aperçu !
Après cinq minutes de ce traitement, son anus ballait pas mal, mais peut-être pas assez, j’aurais eu un gode je lui aurais fait une introduction intermédiaire, mais faute de gode il aura ma bite !
En homme prévenant j’ai toujours une capote sur moi, en revanche, je n’ai pas de gel. Lui non plus.
– De la vaseline ?
– Non !
– De l’huile ?
– D’olives ?
Allons-y pour l’huile d’olives, je t’imbibe tout ça bien comme il faut, et j’essaie de rentrer. Horreur, ça ripe, deuxième tentative : raté, troisième tentative on y était presque mais c’est pas encore ça… Bref alors que je commençais à m’énerver, la quatrième tentative fut le bonne, le gland et passé, j’attends la réaction de mon partenaire. Pas de réaction ! Alors un grand coup de rein et j’entre tout.
– Whouf ! Me dit-il
– Ça va !
– Sais pas !
Mais comme tout bon enculeur devrait se faire enculer, je sais comment ça se passe au début, un sentiment de gêne devant ce machin qui nous est rentré dans le cul et dont on voudrait se débarrasser. Il faut attendre peut-être deux minutes avant que l’on ressente du plaisir.
Alors en attendant il faut comme dit l’autre « être doux », bouger lentement. Je repose la question :
– Ça va !
– Euh, oui !
Il n’est pas sûr ! Mais j’ai confiance, et cette fois je m’active, je l’encule pour de vrai en le pilonnant avec de longs mouvements de bites. Il râle et ce sont des râles de plaisir.
La situation m’a tellement excité que je sais que je ne vais pas tenir longtemps, je finis par lui jouir dans le cul et je ressors avec ma capote toute pleine de sperme.
– Et bien te voilà dépucelé du cul ! J’espère t’avoir rendu service.
Il me fait un sourire idiot que je n’ai pas su interpréter. Il n’a pas joui, ce n’est pas mon problème, il est assez grand pour se branler si ça lui dit.
Fin du récit de Barelli
– Et vous vous êtes quittés comment ?
– Très vite ! Il m’a demandé si je voulais boire un truc, je lui ai taxé une bière et je suis parti. Il m’a demandé si on allait se revoir, je n’ai pas répondu, mais je ne vois vraiment pas pourquoi j’y retournerais.
– Il ne t’a pas demandé ce que tu cherchais ?
– En fait je lui ai dit une partie de la vérité, que je craignais qu’il y ait un traquenard derrière tout ça, et que je venais voir.
– T’as parlé de moi !
– Hum !
– Ben oui, puisque tu lui as dit que je n’étais pas contente !
– J’ai sorti ça comme ça sans réfléchir et après je me suis dit que ce n’était pas à moi de régler le compte qu’il avait avec toi !
– On n’est pas en compte ! Je crois l’avoir fait évoluer, mais il a déconné. C’est un instable, je ne le connais plus et point barre.
Une semaine plus tard, je recevais un message de Barelli avec ces simples mots « merci pour tout », il y était joint le scan d’une coupure de presse relatant que Kévin Golfen avait retrouvé la forme et avait marqué quatre buts à lui tout seul contre je ne sais plus quelle équipe.
– Qu’est-ce que j’en ai à foutre ! Dis-je à Ingrid avant de lui rouler un patin.
Fin de l’épisode