Le blog de vassilia-x-stories

Chanette 25 – Football – 5 – Ingrid, le retour par ChanetteChanette

 

– Alors on y prend goût ? Demandais-je à Krupz avec un air de défi.

– A vrai dire, je ne sais pas trop où j’en suis, me confie-t-il. Voilà les sous !

– Si tu veux on en parlera tous les deux après, j’aurais un peu de temps… tu te mets à poil ?

Son attitude a changé, je l’intimide moins, et il se déshabille de façon très décontractée, je le regarde et me contente d’enlever mon kimono, en dessous je suis en bustier noir.

 

– Pas vous ? Me demande-t-il.

– Mais si rassure-toi, mais il n’y a pas le feu ! S’il il y a quelque chose de particulier qui te ferais plaisir tu peux me le demander, tu sais je n’ai pas de tabou !

– Non, enfin si…

– Dis-moi ?

– J’aime bien les pieds !

 

Allons donc ! Ce doit être la mode en ce moment ! C’est une petite fantaisie bien innocente, mais que je n’aime pas trop, je crains toujours qu’on me chatouille.

 

– Tu voudrais donc que je me déchausse ?

– Je demandais juste ça comme ça !

 

Alors allons-y puisque la fidélisation du monsieur passe par ce genre de choses… J’enlève donc mes escarpins, puis mes bas, je m’assieds dans le fauteuil, lève ma jambe droite en l’air et invite Jean-Marie à venir m’honorer mon petit peton.

 

Manifestement, ce doit être la première fois qu’il se trouve en situation de réaliser ce fantasme, il est là devant mon panard telle une poule devant un couteau !

 

– Ben vas-y ! Fais ce qui te fais envie ! Tu peux caresser, lécher, sucer, mais tu essaie de ne pas me chatouiller !

 

Il commence par le dessus du pied qu’il caresse du bout des lèvres, puis du bout de la langue, il essaie de faire ça avec une certaine délicatesse, comme s’il me faisait un baise-main sur le pied. J’ai une envie folle d’éclater de rire mais je me retiens, je ne voudrais surtout pas le vexer.

 

Le voilà qui maintenant s’intéresse à mes doigts de pieds, surtout le gros, il le lèche avant de comprendre qu’il serait plus pratique de le mettre entièrement en bouche. Et c’est parti, j’ai toujours été frappé de voir comment les fétichistes du pied suçaient les gros orteils à la façon d’une petite bite. Ne dit-on pas que ce fétichisme particulier chez l’homme n’est jamais que l’expression d’une homosexualité refoulée, mais on dit tellement de choses…

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Bref au bout de trois minutes j’ai le pouce du doigt de pied gauche complètement humecté de la salive du mec. Il reprend son souffle, semble se demander ce qu’il doit faire maintenant, alors je lui tends l’autre pied et « bis repetita placent » comme disait l’impératrice Messaline.

 

Après ces petites privautés, l’animal bande comme un malade, il convient donc de passer à autre chose.

 

Evidemment je pourrais rejouer le programme de la dernière fois : bonne pipe et position d’Andromaque, mais autant varier les plaisirs…

 

– Il y a autre chose qui te ferais plaisir ?

– Ben vos seins !

 

Ah ! C’est vrai pourquoi aller chercher des choses compliquées quand il y en a des simples. Je me dépoitraille et lui offre mes nénés qu’il pelote et suçote avec frénésie, voilà qui l’occupe bien au moins cinq minutes supplémentaires et il bande toujours comme un cochon.

 

Mais il fallut bien qu’il s’arrête.

 

– Tu sais que ma spécialité c’est la domination ?

– Oui !

– Ça ne t’intéresserait pas ?

– Non, non, je ne suis pas maso.

– Je ne fais pas que des trucs qui font mal, il y a aussi les petites perversions gentilles.

 

Il me regarde d’un air ahuri. Il faut que je lui explique mieux :

 

– Ben oui, les godes, l’uro

– Non, non je n’aime pas tout ça !

 

Je viens de faire une connerie, il va se braquer, mais je sais aussi faire des retours en arrière.

 

– Sinon, je te propose un truc, je vais m’allonger sur le dos ou sur le ventre, c’est comme tu veux et je te laisse me caresser partout pendant dix minutes ! Ça te plairait ça ?

– Oui, oui, oui !

– Par contre tu n’as pas le droit d’enfoncer tes doigts dans mes petits trous, je n’aime pas ça, d’accord ?

 

Ben, oui, faut pas déconner, non plus !

 

Et c’est parti ! Si seulement il caressait bien, je veux dire c’est loin d’être une brute, mais il est là comme un gosse avec un nouveau jouet dont il n’a pas saisi tout le fonctionnement mais qui veut malgré tout en profiter de suite.

 

Tout y passe, les cuisses, les mollets, les bras, le ventre et le bas ventre et bien sûr les seins, toujours les seins. Au bout de cinq minutes, je lui présente mon verso, mon dos ne l’intéresse pas, mais il fait une fixette sur mes fesses, il ne me les caresse pas, il me le malaxe. Assez bizarrement je me laisse (un tout petit peu) prendre au jeu. J’adore qu’on me tripote les fesses.

 

Bon, il va être temps de conclure, j’ai une idée.

 

– Tu sais ce que c’est une cravate de notaire ?

– Je crois, oui !

– Tu veux qu’on finisse comme ça ?

– Je veux bien !

– Alors couche toi sur le ventre, c’est moi qui vais diriger les opérations.

 

Je me mets sur le côté, lui coince la bite entre mes seins que je rapproche avec les mains et je fais bouger tout ça !

 

Avec la bandaison qu’il se tape, ça ne devrait pas durer longtemps me dis-je ! Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il gicle au bout de trente secondes, j’ai juste eu le temps de me reculer pour ne pas en recevoir sur la tronche. Pour le reste, un coup de lingette et c’est propre !

 

Je le laisse souffler un peu.

 

– Vous êtes très gentille ! Me dit-il.

 

Bien sûr que je suis gentille !

 

Lundi

 

Je déjeune vite fait dans l’un des petits bistrots où j’ai mes habitudes, mon téléphone professionnel sonne. En principe, ici, je ne réponds jamais, les gens n’ayant nul besoin de savoir ce que je fabrique. Je regarde juste qui c’est : Ingrid ! La pétasse ! La grosse pétasse ! La salope !

 

Imaginez ma stupéfaction ! Je laisse sonner et une minute après elle me balance un message vocal que je consulte discrètement :

 

« Oui, ben c’est moi Ingrid, tu dois être surprise mais j’aimerais bien te rencontrer. Je t’embrasse ! Ah, je serais seule ! »

 

Drôlement gonflée, la nana de vouloir me rencontrer après le tour de cochon qu’elle m’a joué avec son bonhomme ! Je décide donc de ne pas la rappeler. Qu’elle aille se faire foutre !

 

Mais quand même, ça me turlupine, si elle m’a appelé, c’est qu’elle a une raison. J’ai d’abord l’idée de lui envoyer un texto très sec en lui demandant pourquoi elle veut me voir, mais j’y renonce ne trouvant pas le bon ton. Et puis je me dis que si vraiment elle veut me rencontrer, elle me rappellera et me laissera éventuellement un message davantage explicite.

 

Et sur ce, je terminais ma salade et m’en retournais bosser, j’avais deux rendez-vous, 13 heures et 14 heures. A 15 heures j’étais libre et me préparais pour rentrer.

 

Ce coup de fil d’Ingrid n’a cessé de m’intriguer tout le début de l’après-midi.

 

Marre de ne pas savoir ! Je décide d’en avoir le cœur net et rappelle la donzelle.

 

– Allô, c’est Chanette, tu m’as appelé ?

– Oui, on peut se voir quand ?

– Tu veux me voir pourquoi ? Si c’est pour une combine foireuse, j’ai déjà donné, merci !

– Non, j’ai des trucs à te raconter, je ne suis plus avec Laurent.

 

Qu’est-ce que j’en ai à foutre de ses problèmes de cul !

 

Mon incurable curiosité va-t-elle encore me faire accepter, alors que d’un autre côté j’ai une envie folle de l’envoyer promener ? Je temporise.

 

– Oui, ben moi, je n’ai pas envie qu’on se rencontre !

– Je te paierai une séance, bien entendu !

 

De mieux en mieux ! Elle est complètement inconsciente !

 

– N’insiste pas !

– Tu es au courant des saloperies que Laurent t’as fait ?

– Oh, oui, complètement ! Sauf que ce n’est pas Laurent. C’est Laurent et toi !

– Tu te goures, tu ne sais pas tout !

– Eh bien, dis-moi !

– Pas par téléphone !

– C’est si important que ça ?

– Oui, quand même !

– Bon je suis au studio, je n’ai plus de rendez-vous, tu peux être là à quelle heure ?

– Dans une demi-heure !

 

Qu’est-ce qu’elle va me sortir que je ne suis pas au courant ? (comment je cause ?) Je ne vois vraiment pas ! A moins que ce soit une ruse de guerre… J’ai intérêt à rester sur mes gardes.

 

Et la voilà qui déboule, jolie robe bleue, tout sourire. Elle va pour m’embrasser, je me recule !

 

– Faut peut-être pas pousser ! Lui dis-je.

– T’as raison, tu dois me prendre pour la reine des salopes ?

– La reine ! Quand même pas, ce serait te faire trop d’honneur !

– O.K. ! Je voudrais juste que tu m’écoutes, j’ai besoin de parler et après je te demanderai quelque chose…

 

Ah, je savais bien !

 

– Non, ta demande c’est tout de suite !

– Moi je veux bien, mais c’est pas très logique.

– On s’en fout, c’est quoi ta demande ?

– Je voudrais que tu me punisses !

– Hein ?

– Ben oui !

– C’est ça, ta demande ? C’est tout ?

– Oui !

 

J’ai l’impression qu’elle a pété un câble, ou alors il y du louche, mais j’ai cependant hâte de l’écouter.

 

– Et tu voudrais que je te punisse comment ?

– Tout ce que tu veux ! Me fouetter jusqu’au sang, me chier dessus…

– Oh ! C’est tout oui ? Bon t’avais des choses à me raconter

– Oui ! Je suppose que tu avais compris que le viol, c’était un coup monté ?

– Ben oui, je ne suis pas complètement neuneu.

– Tu sais qui c’est le violeur ?

– Je l’ai appris !

– Donc tu sais que c’est Kévin Golfen, le truc c’était de faire une mise en scène photographiée de façon à démolir sa réputation et à l’écarter de l’équipe de France de football.

– Je sais ça aussi ! C’est tout ?

– Non le mec devait te laisser une enveloppe.

 

C’est vrai qu’il y avait une enveloppe ! J’avais complétement zappé ce truc

 

– C’était pour toi ! Reprend Ingrid, il y avait du fric dedans, beaucoup de fric, on avait conseillé à Golfen de faire ça, ce devait être le prix de ton silence.

– Y’avait beaucoup ?

– Pas mal ! Laurent s’est acheté une bagnole avec le fric !

– Oui, bon, ben je ne vais pas lui courir après, tu me l’aurais pas dit, je ne l’aurais jamais su !

 

Est-ce que c’est vrai au moins ? Je veux dire, oui, il y avait une enveloppe, mais y avait-il autant d’argent ? Avec l’identité complète de Laurent, je peux me renseigner… Je l’ai quand même un peu mauvaise sur ce coup-là, mais je n’en montre rien.

 

– Ça m’a embêté qu’il te pique de l’argent, mais j’ai laissé faire, je suis un peu vénale. Ce qui m’a plus fait chier c’est qu’il a claqué tout ça en achetant une bagnole, moi je m’en fous de sa bagnole d’autant qu’on en avait une pas mal. J’aurais préféré qu’on partage. Donc ça s’est terminé en engueulade.

 

C’est fabuleux, elle est en train de me raconter qu’elle est très en colère après son jules parce qu’elle n’a pas pu profiter à sa guise de l’argent qui m’était destiné ! Je sens que je ne vais pas le la supporter longtemps, la pétasse !

 

– Mais il t’a fait encore une autre vacherie ! Reprend-elle

– Et c’est quoi ?

– Il avait été convenu que dans cette histoire, ton identité resterait secrète.

– Je crois comprendre…

– Non pas tout ! Laurent était d’accord avec ça, sauf que quand une nana lui a proposé une enveloppe pour avoir tes coordonnées, il a accepté sans même me demander mon avis.

– Je me doutais bien que ça venait de lui, mais j’ignorais qu’il l’avait fait pour du fric…

– Je n’ai pas admis qu’il fasse ça. Alors on s’est encore engueulé, le ton a monté, un mot en a entraîné un autre, il m’a dit que s’il t’arrivait quelque chose ce n’était pas grave puisque tu n’étais qu’une pute. Il a commencé à devenir violent, alors j’ai pris mes cliques et mes claques, et voilà !

– Attends, t’es quand même pas en train de me raconter que tu as quitté ce mec à cause de moi ?

– Bien sûr que non ! Ça a simplement été l’étincelle qui a fait déborder le vase.

– La goutte d’eau, je dirais !

– Hein ?

– Laisse tomber ! Et tu voudrais que je t’aide à te venger de ce mec, j’ai bon ?

 

Parce que si c’est ça, elle se fout le doigt dans l’œil !

 

– Ben non, t’as tout faux ! Ce serait plutôt le contraire, d’une part parce que on ne sait pas où on met les pieds, Laurent a déjà fait de la prison et il a quelques fréquentions douteuses. Et puis surtout, je l’aime encore ce salopard, j’aimerais pas qu’il lui arrive quelque chose.

– Ça tombe bien, je n’avais pas envie de me bouger pour ça !

 

Quoi que… Mais bon…

 

– En fait je me sens coupable, je veux expier ! C’est tout ce que je te demande ! Reprend-elle.

– Je vais te donner une pénitence et après je vais te donner l’absolution, c’est ça que tu veux ?

– Euh…

– Tu t’es trompé d’adresse, c’est pas un confessionnal ici, et d’abord, je n’aime pas les curés !

– Je ne te demande pas de me pardonner, je te demande de me punir, je t’ai apporté une enveloppe avec des sous, je ne pourrais jamais te rendre ce que Laurent t’a piqué, mais ça te dédommagera un peu ! Euh, je me mets à poil ?

– Je ne t’ai jamais dit que j’étais d’accord !

– Je m’en veux de t’avoir fait du mal ! Tu ne méritais pas ça !

– Je n’en suis pas morte ! Et d’ailleurs dans cette histoire je m’en suis plutôt bien sortie, enfin, j’espère ?

– Ah, oui ? Tu me racontes ?

 

N’importe quoi !

 

– Redescends sur terre, tu ne crois pas qu’on va se mettre à papoter comme deux vieilles copines ? Tu n’es pas ma copine, je te signale !

 

Je l’ai vexé, la nana, ses yeux se mouillent, elle ne va pas se mettre à chialer, tout de même ? Ben si ! Et c’est parti pour la crise de larmes ! Je fais quoi, moi ? Je n’aime pas voir les gens malheureux, mais d’un autre côté, c’est quand même une salope !

 

Ça y est, la crise est passée ! Elle sèche ses larmes !

 

– Je fais quoi, je m’en vais ?

 

J’ai pris la décision de façon subite, après tout elle m’a payé et si j’ai bien compris elle a même rajouté du fric et puis quelque part ça va me distraire de lui rougir son cul, et même qu’elle ne pourra plus s’asseoir pendant huit jours ! Mais avant je vais m’amuser !

 

– Casse-toi !

– Bon tant pis pour moi ! Je me casse ! Garde l’enveloppe, ça te fera un souvenir !

– J’en veux pas de ton fric !

– Je te le mettrais dans ta boite aux lettres.

– Fous moi le camp !

– Je peux pisser avant de partir !

 

La pauvre, elle essaie de gagner du temps ! C’est pathétique.

 

– T’iras pisser au bistrot !

 

Ça y est, elle ouvre la porte !

 

– Ferme la porte et reviens !

 

Elle le fait avec un mélange d’appréhension et de craintes

 

– Mets-toi à genoux !

 

Elle ne discute pas et obtempère. Je lui retourne deux baffes qu’elle encaisse sans broncher.

 

– Ouvre la bouche ! Pétasse !

 

Je lui crache dessus… deux fois !

 

– Et maintenant tu vas te mettre à poil, on va passer à des choses plus hard !

 

Elle veut de la punition sévère, elle n’a pas peur que je la marque, j’ai l’article en réserve, je sens que je vais me défouler.

 

J’ai une botte secrète que j’ai utilisé de nombreuses fois et ceux qui ont lu mes autres aventures la connaissent, je l’appelle la valse des pinces. La môme Ingrid elle va y avoir droit en version longue, mais avant je vais commencer par quelques amuse-gueules.

 

Je commence donc par l’emmener dans le donjon en la faisant marcher à quatre pattes.

 

– Allez, morue, dépêche-toi !

 

Une fois dans la place je lui clipse les poignets dans une chaine relié au plafond par une poulie, et je tends bien. En bas je lui pose une barre d’écartement entre les chevilles. Ainsi mademoiselle est bien immobilisée ! Je la toise, lui envoie quelques gifles au passage, lui pince les mamelons et lui crache dessus.

 

Je prends le martinet dans mes mains, la nargue, puis passant derrière elle, je lui en assène un coup magistral sur les fesses.

 

Ça lui a vraiment fait mal, elle pousse un cri de douleur qui n’a rien d’un chiqué.

 

– C’est des comme ça que tu voulais ?

 

Elle me répond « oui » avec des trémolos dans la voix, mais elle ne me demande pas d’arrêter. Quelque part, elle a confiance, elle doit bien s’imaginer que je ne vais pas m’amuser à l’envoyer à l’hôpital. Elle me laisse donc maîtresse (c’est le cas de le dire) de la situation.

 

Je ne suis pas sadique, pour moi la domination est un échange, le soumis repartant avec ce qu’il est venu chercher. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, je suis là pour donner du plaisir à mes esclaves du moment. Mais en ce moment je me reconnais mal, cette salope, j’ai vraiment envie de la faire souffrir, elle m’a trop pourrie la vie !

 

Alors je fouette, et fouette encore et quand j’estime que son cul en a eu assez pour le moment, je passe de l’autre côté. Elle hurle quand elle comprend que je lui vise les seins, mais supporte les coups avec un certain courage.

 

Je me rends compte avec surprise que la situation me fait mouiller. Ce n’est pourtant pas le moment.

 

Et maintenant le clou du spectacle : Je vais chercher quelques jolies petites pinces métalliques. J’en accroche d’abord une à chaque téton.

 

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Oh, la vilaine grimace qu’elle me fait ! Mais elle grimace encore davantage quand je me mets à les bouger, les tirer, les tourner. Je m’amuse ainsi quelques minutes avant de reprendre deux nouvelles pinces, celle-ci seront pour les grandes lèvres vaginales. Des larmes coulent sur le visage d’Ingrid destroyant son maquillage ! C’est attendrissant !

 

Mais l’affaire est loin d’être terminée, j’ajoute maintenant sur chaque pince un poids de 200 grammes. Ingrid se mord les lèvres, mais elle n’a encore rien vu, je fais un peu bouger tout ça, puis je la libère de ses chaînes. Elle souffle un peu se demande ce qui peut maintenant lui arriver, elle ne va pas tarder à le savoir

 

– A quatre pattes, morue !

 

Et une fois dans cette position, je la fais avancer et circuler de long en large dans la pièce, reprenant le martinet pour la faire activer. C’est pour elle un vrai supplice, à chacun de ses pas, les poids brinqueballent en tous sens, multipliant la douleur.

 

Et moi, je mouille toujours ! Il va falloir que je fasse quelque chose !

 

Mais en attendant je prépare le final, je fais relever la salope, et l’enchaîne de nouveau dans la même position qu’au début.

 

Je m’empare d’une fine cravache de 60 cm de long, et lui vise le téton gauche avec pour objectif de le faire tomber. Je rate mon coup, la pince se déplace et s’en va mordre une autre partie de la chair sensible en restant accrochée. Ingrid hurle, je recommence très vite, cette fois, la pince valdingue. Deuxième téton : je vise, la pince dégringole de suite.

 

Mes yeux lorgnent maintenant du côté des pinces qui lui blessent les grandes lèvres ! Il faut voir les yeux complètement apeurés qu’elle me fait ! Je le retire à la main, ça ne fait pas forcement du bien, mais c’est tout de même moins sauvage qu’à la cravache.

 

Une nouvelle fois, je la libère de ses chaînes.

 

– Etale-toi par terre sur le dos,, je vais te donner à boire !

 

J’enlève mon kimono, retire ma petite culotte, elle est trempée la culotte, et approche mon visage de sa chatte.

 

– Ouvre ta gueule, sale trainée, je vais te pisser dedans, et t’as intérêt à avaler.

 

Je pisse, elle avale, du moins ce qu’elle peut, car elle en fout plein à côté, je lui ferais nettoyer après ! Mais j’ai l’impression qu’en fait de punition, le pipi elle aime ça ! Je lui chierais bien dessus, excitée comme je suis ça ne me dérangerais pas du tout, mais on ne fait pas ce genre de chose sur commande.

 

Alors je vais chercher une serpillère :

 

– Tiens prend-ça et maintenant nettoie-moi les cochonneries que t’as fait par terre.

 

Et histoire de conclure tout ça, je lui balance deux gifles et lui crache dans la bouche.

 

– Ben nettoie, qu’est-ce que t’attends ?

 

Elle se baisse, me regarde avec des yeux de chien battu, et tout d’un coup, c’est les grandes eaux, la crise nerveuse, elle chiale comme une madeleine.

 

Qu’est-ce qu’elle veut ? Que je la console ? Elle peut toujours se brosser. Je la toise :

 

– Conasse, pauvre conasse !

 

Et c’est reparti pour une séance de larmes, j’ai vraiment le sentiment d’être en ce moment très méchante, trop méchante.

 

Je m’en vais dans la salle de bain, je m’applique un gant d’eau froide sur la chatte, en espérant que ça me calmera mon excitation. Ça ne me calme rien du tout, alors je m’assois sur la cuvette des toilettes et je me branle. J’ai d’ordinaire la jouissance un peu bruyante et ça m’embête un peu qu’Ingrid puisse m’entendre, mais on, ça monte, ça monte, je ne me contrôle plus, je crie, j’ai les cuisses trempées, je me rince avec le gant et reviens à côté.

 

Ingrid est accroupie, sa serpillère pleine de pisse dans la main.

 

– Ben tu fais quoi, va rincer tout ça, le lavabo, c’est par là.

 

Elle se relève, j’ai la vue sur ses fesses ! Bordel je n’y ai pas été de main morte ! J’étais excitée, j’étais énervée, maintenant je suis un peu apaisée, on peut peut-être passer à autre chose !

 

A suivre

Jeu 22 jui 2021 Aucun commentaire