Le blog de vassilia-x-stories
Chanette 25 – Football – 3 – Détente goudou par Chanette
Et à 17 heures, je fais asseoir l’épouvantail qui est revenu pile à l’heure.
– Je vous écoute, soyez brève !
– Vous avez été victime d’un viol… Commença-t-elle
– Et comment pouvez-vous être au courant ?
– Je me dois de protéger mes sources…
Putain, c’est donc probablement ce que je pensais, un coup monté par ce couple de connard.
– Je veux une réponse sinon on arrête !
– Une simple enquête sur Facebook, je ne peux pas vous en dire plus.
– Qu’est-ce que Facebook vient foutre là-dedans ?
– Vous n’êtes pas au courant ?
– Mais au courant de quoi ?
– Vous ignorez l’identité de la personne qui vous a violé ?
– Il ne m’a pas violé !
– C’est une tentative, ça revient au même. Il s’appelle Kévin Golfen, un footballeur…
– Connais pas.
– La presse en a largement parlé
– Je ne lis pas ce genre de conneries !
Je ne vous dis pas la tête de la bonne femme quand j’ai sorti ça, elle a dû me prendre pour la reine des connes.
– Ce ne sont pas des conneries…
– Bon, si vous en veniez à l’objet de votre visite, parce que je n’ai pas que ça à faire !
– Avez-vous l’intention de porter plainte ?
– Plainte de quoi ?
– Pour tentative de viol !
– Mais de quoi je me mêle ?
– Nous aimerions beaucoup que vous portiez plainte..
– C’est qui « nous ».
– Un collectif de femmes…
– OK, je vais vous demander de vous occuper de vos oignons et de me laisser me changer. La sortie c’est toujours par-là !
– Ça ne vous dérange pas de laisser un violeur impuni ?
– Je vous ai demandé de foutre le camp !
– Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le au moins pour soutenir la cause de toutes les femmes violées et harcelées.
Je peux parfois être odieuse, ce n’est pas bien, mais c’est efficace :
– Avec ta tronche, c’est sûr que ça ne risque pas de t’arriver, à moins que tu te fasses payer !
Elle devient subitement rouge écrevisse et perd tout contrôle.
– Vous avez vraiment une mentalité de putain !
– La putain, elle t’emmerde ! Répondis-je en lui alignant une baffe qui fait valser ses lunettes.
Elle les ramassa, chercha une réplique qui ne vint pas et pris la poudre d’escampette.
Bon, je me suis bien défoulée, ça fait du bien, je m’en veux quand même un peu, d’une part ce n’est pas de sa faute à cette mocheté si elle moche, et puis j’aurais pu lui expliquer gentiment que je ne tiens pas à ce que mon nom apparaisse dans la presse, mais l’aurait-elle compris ? Pour ces féministes extrémistes, les prostituées ne sont que des victimes manipulées et irresponsables. Non, décidément j’ai bien fait d’agir comme je l’ai fait ! Ah, l’esprit d’escalier !
N’empêche que j’aimerais en savoir davantage.
J’invitais donc Anna-Gaëlle, ma vieille complice qui tient une galerie d’art, rue de Seine, à partager mon repas du soir.
Elle se pointe toute pimpante avec une espèce de robe jaune citron qui se boutonne par devant. C’est très joli d’autant que ses tétons pointent à travers le tissus.
– T’es au courant d’un footballeur qui aurait violé une nana ? Lui demandais-je.
– Oui j’ai lu ça vite fait, c’est encore une histoire bien brodée par les médias, la fille on ne sait même pas qui c’est et elle n’a pas porté plainte.
– C’est moi la fille !
– Non tu déconnes ?
– Ben, non !
Et je lui raconte…
En discutant et en fouillant un peu sur Internet, on a reconstitué grosso-modo ce qui s’est passé :
Golfen est un joueur de l’équipe de France de foot, il trimbale une réputation de caractériel et il a eu une embrouille avec un autre joueur mais c’est un grand buteur. Après, ça a dû se passer en quatre étapes :
1. un couple gagne plus ou moins ma confiance,
2. un abruti souffle à Golfen que je suis une proie facile,
3. le couple intervient, Golfen est piégé.
4. le mec est viré de l’équipe de France. Vive le football.
– On se fait une petite détente ? Me propose ma copine, ça va te déstresser !
Je n’ai pas trop la fibre érotique en ce moment, mais ça ne coûte rien d’essayer. Je réponds d’un petit signe de tête approbateur.
Et elle se jette sur ma bouche pour me rouler une gamelle bien baveuse tout en me pelotant un peu partout, une vraie furie !
Elle se recule et ouvre sa robe, je croyais qu’elle n’avait pas mis de soutif, en fait elle en a un, un soutien-gorge seins-nus. C’est très sexy je trouve !
Puis elle finit de se déshabiller à l’arrache, j’en fais bien sûr autant et nous voilà déjà toutes nues toutes les deux
– Pourquoi est-ce que tu m’excites toujours autant ? Demande-t-elle en lorgnant sur mes nénés.
– Parce qu’on ne se lasse jamais des bonnes choses…
Et la voilà qui me tète mes bouts de seins avec délicatesse, j’adore ça quand c’est bien fait.
Mais elle stoppe soudain en m’avisant qu’elle a envie de pipi.
La suite est prévisible, nous sommes toutes deux de bonnes pisseuses et adorons les jeux uro. Donc direction la salle de bain.
Cuvette ou carré à douche ? Je la laisse choisir. Ce sera donc la cuvette des toilettes sur laquelle Anna s’assoit juste au bord, les jambes écartées. Je me pose à quatre pattes devant sa chatte, Une petite chatte toujours aussi mignonne, toute rose surmontée d’un insolent clito et entourée de quelques poils blonds.
J’ouvre une large bouche et attends que la source d’or jaillisse. J’en avale une bonne lampée, laisse un peu couler à côté ce qui fait que j’en reçoit plein sur les seins et le ventre, puis j’ouvre à nouveau la bouche. Je me régale.
– Il est délicieux ton pipi aujourd’hui ! T’as bu quoi ?
– Du café, juste du café ! Pourquoi ?
– Parce il est encore meilleur que d’habitude.
– Je vais essayer de t’en faire encore une petite goutte.
Non pas de petite goutte, mais j’approche ma bouche de sa chatte pour la nettoyer avec ma langue. Je balaie tout ça, je me délecte.
L’endroit nettoyé, je ne me décide pas à le quitter, d’autant qu’Anna m’encourage en poussant des petits soupirs très significatifs.
Je continue donc faisant durer le plaisir, Anna n’en peut plus et se cramponne près la lunette des chiottes.
– Fait-moi jouir : Me supplie-t-elle..
Pas bien compliqué, elle était prête, je n’ai plus qu’à porter l’estocade…
– Tu voulais me déstresser et c’est moi qui te fais jouir…
– Ne t’inquiètes pas ma chérie, je vais m’occuper de toi… tu veux pisser toi aussi ?
– Plus tard, pour l’instant tu vas me brouter le minou !
– Direct ?
– Débrouille-toi.
Et on va sur le plumard. On fait dans le classique, je m’étends sur le dos, les jambes écartées. Anna rampe à ma rencontre et me taquine un peu les tétons, elle ne peut pas s’en empêcher…
Puis sa langue plonge entre mes douces cuisses.
– Qu’est-ce que tu mouilles, ma salope !
– Tais-toi et lèche
J’ai rarement jouis aussi vite, cela a été fulgurant.
On souffle un peu, on se câline, on fume une clope. Puis Anna farfouille dans mon tiroir de chevet.
– Faut pas te gêner, fais comme chez toi !
– Je cherche ton gode !
Si ça l’amuse !
Elle le trouve, et me le fout sous le nez avec un air de défi.
– C’est moi la chef aujourd’hui ! Juste un peu, un quart d’heure, quoi ! T’es d’accord ?
Pourquoi pas ? J’ai toujours été très joueuse !
– Mets-toi en levrette, je vais m’occuper de ton cul !
– Oui, madame !
– Et arrête de m’appeler madame !
– Hi ! hi !
Anna m’écarte mes globes fessiers et commence par me lécher la rondelle avec sa langue diabolique. J’aime !
– Qu’est-ce qu’il est bon ton cul ! Je me régale !
– Tant mieux !
– Un vrai cul de pute !
– Dis-donc, toi, qu’est-ce que tu as contre les putes ?
– Rien, d’ailleurs en ce moment je suis tout contre ! Attention je vais te mettre un doigt !
Elle ne m’en mets pas un, elle m’en met deux après les avoir humectés de sa salive et elle me pistonne le trou de balle. J’adore, ça me fait des frissons partout, si elle continue je vais jouir du cul.
Mais elle s’arrête, et se lèche les doigts sans avoir vérifier leur état.
– Hum, c’est délicieux tout ça !
– Tu deviendrais pas un peu scato sur les bords, toi ?
– Et alors ?
– Et alors t’es une salope !
– Qu’est-ce que j’entends, tu viens de me traiter de salope, ou j’ai mal entendu ?
– Salope ! Salope ! Salope ! M’amusais-je à lui répéter
– Ah, ah ! Ma vengeance sera terrible ! Me sort-t-elle avec une voix imitant celle de la Fée Carabosse.
Et la voilà qui se met à me taper sur les fesses.
– Eh ! Doucement !
– On avait dit un quart d’heure !
– Oui, mais doucement quand même.
Elle est gentille Anna, elle avait frappé fort sans doute prise dans le fun, mais maintenant ça va, ça reste quand même des fessées, mais non seulement c’est supportable, mais j’y prend un certain plaisir.
– J’arrête, j’ai mal aux mains !
– Ma pauvre bibiche !
– Ne bouge pas, je vais t’enculer avec ta picounette.
– Ma quoi ?
– Ton gode, quoi ! T’as du gel ?
– Dans le tiroir
Elle fouille, elle rouspète.
– Mais c’est un vrai bordel, là-dedans.
– Oui, mais c’est mon bordel à moi !
N’empêche qu’elle ne trouve pas !
– Pose une capote dessus, ça glissera très bien comme ça !
– Non, on va faire dans le naturel.
Elle se met à lécher le machin, puis une fois bien imbibé de salive, me l’introduit dans l’anus. Ça entre très facilement, je ne suis quand même plus vierge du cul depuis un certain temps.
Elle actionne le gode avec frénésie et autorité. Super la sensation, l’anus n’est séparé de la chatte que par une fine paroi, ce qui fait que l’excitation s’y propage. A ce rythme-là je ne vais pas tenir longtemps.
Et hop, deuxième orgasme de la journée. Anna après m’avoir retiré le gode se met à le lécher comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat.
– Humm, c’est bon tout ça ! S’exclame-t-elle.
– Oui, bon ça va…
– Tu ne veux pas goûter, il n’y a presque plus rien ?
– Tu m’embêtes, allez passe !
Elle croyait peut-être que j’allais me dégonfler ?
Moment calme, bisous, câlins… et maintenant j’ai envie de pisser…
Dois-je le dire à Anna qui va vouloir en profiter ?
Je ne vais quand même pas lui refuser ce petit plaisir… Quand on est cochonne, on est cochonne !
Cette petite séance m’a formidablement détendue. Et puis bon, je ne vais pas me plaindre, je me sors de cette aventure lamentable avec quelques gnons sans conséquence et une bonne trouille. J’ai connu pire, la dernière fois qu’un couple m’avait manipulé, je m’étais retrouvée dans un bordel en Estonie (voir l’épisode « Merci petit Fouillis ») Evidemment, il y a eu aussi l’emmerdeuse, mais ça m’étonnerait qu’elle revienne.
J’avais tort, il ne faut jamais sous-estimer les emmerdeurs.
Jeudi
Je suis de nouveau dérangée en pleine séance. Prudente je prends la mini bombe lacrymo et je regarde par l’œilleton : ils sont deux. Voilà autre chose. J’entrouvre juste pour leur dire d’aller voir ailleurs
– Je n’ai besoin de rien, merci !
Et je vais pour leur claquer la porte au nez, mais…
– Et toi connard, tu retires ton pied du pas de la porte sinon je t’asperge !
– On veut juste vous dire deux mots à propos du viol…
– Foutez-moi le camp, je compte jusqu’à trois et je vous arrose !
Le type retire son pied, je ferme puis vérifie par l’œilleton qu’ils sont bien partis.
Tout cela commence à m’inquiéter, ils sont combien maintenant à avoir mon adresse ? D’ici que je sois obligée de changer de studio pour avoir la paix…
En bas les deux affreux se concertent.
– Elle ne nous fera jamais rentrer !
– On attend qu’elle sorte et on la chope dans la rue.
– Non, j’ai une meilleure idée…
A suivre