Le blog de vassilia-x-stories
Chanette 24 – Tribulations helvétiques – 6 – Anna et Karine par Chanette
– Ne vous mettez pas dans des états pareils, on va trouver une solution ! Lui dit-elle en lui tendant un kleenex.
– T’es encore là, toi ? Tu veux que je te pousse ou tu sais sortir toute seule ?
– J’ai peut-être une idée. On ne s’occupe plus de la toile pour l’instant, et je vais passer des coups de fils pour voir ce qu’on peut faire pour ta copine. Je vais faire ça devant toi, et avec l’ampli, d’accord ?
– C’est ça, mène-moi en bateau !
– On essaie, d’accord ?
En de telles situations on se raccroche à n’importe quoi…
Karine demande à ses collègues comment joindre l’équipe de Genève
– Mais pourquoi foutre ?
– Parce que j’en ai besoin, grouille !
Elle téléphone ensuite à Liz Calmette à Genève
– On a peut-être trouvé quelque chose mais j’ai besoin de savoir qu’elle était ta piste.
– Un gars qui a juste été recruté pour couper la route, on lui a filé du fric pour remonter la filière, il a donné un nom et c’est tout !
– Comment ça, c’est tout, vous n’avez pas remonté la filière ?
– Ben non, t’es pas au courant ?
– Au courant de quoi ?
– Le chef nous a demandé de laisser tomber. La fille a été kidnappée par une équipe concurrente, à mon avis ils vont se planter en beauté, mais ça sort du cadre de notre mission.
– Je peux avoir l’adresse de ce type ? Et le nom qu’il a donné ?
– Attends, je reprends mes notes : Jean-Marc Hadet, dit Marco… le nom de son contact c’est Borel, il ne connait même pas son prénom, c’est d’un pratique…
– L’adresse ?
– Ça vient…
Ensuite Karine appela de nouveau Dumontel, son boss.
– Voici le deal : la fille accepte de collaborer si on s’occupe de sa copine !
– Eh bien, dis-lui qu’on s’en occupe ! Où est le problème ?
– J’aimeras qu’on s’en occupe pour de vrai !
Un blanc puis :
– Attends, tu téléphones d’où, là ?
– Du sous-sol ! La galeriste est occupée avec une cliente ! Mentit-elle.
– Pourquoi veux-tu qu’on s’emmerde avec ça ! Dis-lui ce qu’elle veut entendre et basta !
– C’est un peu limite, non ?
– On est une agence de détectives privés, on ne s’appelle pas « demoiselles en détresse ». S’il est arrivé quelque chose à cette grue, elle n’avait qu’à faire attention !
– Ecoute moi, tes deux zigotos à Genève, pour l’instant, ils n’ont rien à faire…
– Mais arrête, pourquoi tu insistes comme ça ? Elle t’a fait quoi la galeriste ? T’es tombée amoureuse ? Si j’avais su j’aurais envoyé quelqu’un de plus compétent. Je te signale qu’on est près du but, on est en train de mettre au point un nouveau dispositif, on va tripler les effectifs à Genève, dès que la toile arrivera, on ne la lâche plus, donc Calmette et Schmidt ils vont piloter tout ça et ils ont autre chose à foutre que de s’occuper de cette pute !
– Alors accorde-moi deux jours, je file à Genève !
– T’es pas un peu cinglée, non ? Il n’en est pas question !
– Alors je prends deux jours de congés.
– Refusé !
– Je t’enverrai un arrêt maladie.
– Karine, si tu fais capoter l’opération, c’est la porte pour faute grave et…
– Je ne ferais rien capoter du tout ! Répond-elle en raccrochant
Anna n’en revient pas, l’attitude du chef de Karine lui donne envie de gerber, mais celle de Karine la déroute,
« Pourquoi fait-elle ça pour moi ? Un piège ? Si c’est ça, quelle comédienne ! »
– On peut s’occuper de la toile maintenant ?
– Bien obligées !
La préfecture de police avait mis à la disposition de Nogibor l’un de ses experts. Il se montra dubitatif.
– Rien sous le dessin, sauf le nom de l’artiste qui a été dissimulé et remplacé par un autre, ces corrections sont très récentes tout comme l’inscription au dos.
– Et l’enveloppe ?
Grace à un spray spécial l’enveloppe se décolle, à l’intérieur juste un nombre à quatre chiffres, pas de filigrane, pas d’encre sympathique…
– Ça peut être n’importe quoi, un digicode, un code de carte de crédit, un code d’on ne sait pas quoi… je fais une photo et je referme.
– Bizarre, tout ça, je vous laisse faxer vos conclusions chez Nogibor.
Elle adressa ensuite un message à son chef :
« Voici l’adresse de l’antiquaire chez lequel nous livrons la toile, nous y serons dans une demi-heure, à vous de faire le nécessaire. »
« Si cette nana m’a piégé, c’est maintenant que je vais le savoir ! »
C’est effectivement le moment de vérité. Il serait faux de dire que l’idée de retourner la situation à son profit n’a pas effleuré Karine : Expliquer à Dumontel qu’elle a bluffé la galeriste grâce à ses talents de comédienne et le tour serait joué. Un bon tour de salope ! Sauf que Karine n’est pas une salope, du moins pas à ce point-là.
Alors elle se donne du temps pour trouver une solution médiane… S’il y en a une !
La livraison n’a duré que quelques secondes.
– C’est de la part de Fédor !
– Vous le remercieriez de ma part.
– Je n’y manquerais pas.
Elle envoie un message sibyllin à son chef :
« Mission accomplie, je rentre à la maison »
– Faut qu’on discute ! Finit par dire Karine à Anna. Voir comment on peut s’organiser, on va se poser pour boire un coup.
Une fois attablées dans une brasserie de la Porte des Lilas, Karine lui demande :
– Tu n’as pas dans tes relations quelqu’un qui saurait faire des enquêtes ? Parce que à ce moment-là je pourrais te refiler tout ce que nous savons.
– Je réfléchis !
Pour Anna l’idée n’est pas si mauvaise, au cours de ses pérégrinations avec moi, nous avons rencontré quelques détectives privés pas trop idiots, et puis il y a Max qui nous a rendu plusieurs fois de fiers services. Alors elle se garde la suggestion en réserve au cas où ce qu’elle mijote ne marcherait pas. Car ce qu’elle veut c’est que ce soit Nogibor qui mène l’enquête, d’abord parce que ces gens paraissent super organisés et ensuite parce qu’ils ont des informations qu’eux seuls possèdent.
– Non, j’ai beau réfléchir, je ne vois pas.
– Je vais essayer de te trouver quelqu’un…
– J’avais cru comprendre que tu pourrais t’en charger toi-même.
– J’ai peut-être parlé un peu vite.
« Elle est en train de se dégonfler, à moi de jouer ! » Se dit Anna.
– Ecoute, je suis un peu fatiguée, si je dois partir précipitamment à Genève, il faut que je prépare quelques affaires. Accompagne-moi, on y sera aussi bien à discuter que dans ce bistrot.
– C’est loin ?
– Juste un petit coup de métro !
Une fois dans la place et après avoir proposé le verre traditionnel, Anna ouvrit les hostilités.
– Je peux te poser une question, un peu hors sujet ?
– Vas-y !
– C’est quoi ces allusions avec ton chef au sujet que je serais gouine ?
– Bof, des conneries !
– Mauvaise réponse, t’en n’as pas une autre ?
– Euh… La police nous a transmis des fiches de toutes les personnes qui sont un peu en contact avec Podgorny…
– Ils ont indiqué ça sur une fiche de police ?
– Oui !
– Bravo la police ! Mais encore ?
– Mais encore quoi ?
– Les allusions vaseuses de ton chef !
– Disons que quand on a une mission d’approche avec quelqu’un on fait des rapprochements d’affinités.
– Pourquoi ? T’es gouine ?
– Mais non ! Les gens sont cons, j’ai eu une aventure avec une femme, ça s’est su et maintenant je traîne cette réputation comme un boulet.
– On est toutes les deux des fausses gouines ! Dit alors Anna.
– Eh oui ! Répond Karine qui ne perçoit pas bien le sens de la répartie.
– Remarque c’est un peu dommage on aurait été gouines toutes les deux, on aurait pu se détendre.
Karine fait des yeux tous ronds :
– Tu veux en venir où, là ? demande-t-elle
– D’après toi ?
– Désolée, mais non !
– Je ne te plais pas ?
– La question n’est pas là !
– J’aimerais bien goûter à tes lèvres !
– Arrête ce jeu !
– Un petit bisou, ça ne va pas te tuer !
Et en disant cela, Anna approche son visage de celui de Karine, laquelle tétanisée par le culot de la situation ne fait aucun geste pour empêcher le baiser.
Juste les lèvres au début… Puis ce fut un roulage de pelle bien en règle et bien baveux, accompagnée de mains baladeuses.
– Tu aimerais qu’on recommence ?
– Je vais pas dire non !
– Alors si tu veux qu’on recommence, tu m’accompagnes à Genève !
– T’es gonflée ! Ça s’appelle du chantage sexuel ou du chantage au sentiment, je ne sais pas trop !
– Non et je t’explique pourquoi : primo : l’idée vient de toi, t’as peut-être parlé trop vite, mais moi, j’y ai cru ! Et secundo pour ce qui vient de se passer entre nous, je vais être très claire : j’ai adoré, c’était super, tu es très douce et très douée, mais il te faut savoir une chose : je ne m’attache pas, je suis une femme libre. Ma copine Chanette c’est une amie, sans doute la seule amie que j’aie, quand on se voit, il nous arrive souvent de coucher ensemble mais ce n’est pas à proprement parler, une liaison.
– Et puis ?
– Et puis c’est tout, tu as toutes les cartes en main ! Alors tu fais quoi ?
– Ben on va à Genève ! Mais j’ai l’impression que tu me fais faire une belle connerie.
Et les deux femmes s’embrassèrent à nouveau d’un baiser profond, tandis que leurs mains se faisaient peloteuses.
– On se déshabille ? Proposa Anna tout en commençant à le faire.
Les deux filles une fois nues, se caressèrent tendrement.
– T’es trop mignonne, toi ! Lui dit Karine.
– Je ne sais pas si je suis mignonne, mais toi t’es canon !
– Non, je suis trop grande, il y a beaucoup de mecs que ça gêne… Ils ont l’impression d’être dominés, ils n’aiment pas ça. A la limite ils préfèrent baiser avec moi que de me sortir, c’est dingue, non ?
– Oui mais avec moi, il n’y a pas de problème, je ne suis pas un mec !
– Sans blague ? Alors si t’aimes les grandes girafes, tu vas être servie !
– T’as la peau douce !
– Oui, on me le dit souvent !
Anna se recule légèrement afin d’admirer sa partenaire.
– Y’a vraiment rien à jeter, quelle jolie poitrine, hum… je vais encore l’embrasser.
Ce qu’elle fit, titillant les jolis tétons bruns du bout de sa petite langue agile.
– Continue, c’est bon ce que tu me fais…
Anna n’avait justement pas l’intention d’arrêter et va d’un téton à l’autre avant de se reculer de nouveau.
– Tourne toi, je n’ai pas vu ton cul !
Elle le fait, Anna le pelote sans ménagement.
– Pas mal tout ça !
– Et mes jambes, tu les aimes mes jambes ?
– Mais elles sont interminables, tes jambes.
– Mais pas du tout, regarde ce qu’il y a au bout !
– Oh ! Des pieds, ça c’est une surprise !
– Eh, oui, des pieds, tu les trouves comment ?
Et tout en disant cela, Karine s’assoit sur le bord du lit et lui tend le pied.
– Si tu veux me le chouchouter, ne te gêne surtout pas.
S’il serait faux de dire qu’Anna Gaëlle est une fétichiste du pied, elle sait néanmoins reconnaitre que parfois la chose est belle, et puis un pied peut se prêter à d’agréables fantaisies érotiques.
Et puis qu’importe, cette Karine est déjà tombée sous son charme, il faut donc aller dans son sens, aller au-devant de ses désirs, lui porter l’estocade, la rendre folle de sexe.
Alors ce pied, elle le lèche, dessus, dessous, prend en bouche les orteils, surtout le gros qu’elle se plait à sucer comme s’il s’agissait d’une petite bite. Et quand le pied droit est bien sucé, elle passe au gauche. Pas de jaloux !
– Et toi tu aimes qu’on s’occupe de tes pieds ? demande Karine.
– Moi j’aime tout ! Répond Anna, fort diplomate mais qui aurait préféré que l’on passe à des jeux moins pédestres.
Alors elles se mettent en soixante-neuf sur le lit mais au lieu de faire un « chatte contre chatte », elles font un « pied contre-pied ».
Et ça dure et ça dure, à ce point qu’Anna se met à rigoler comme si l’autre la chatouillait. Du coup Karine la laisse se dégager et les deux femmes s’étreignent.
« J’ai le pied tout baveux maintenant ! »
Anna revient sur la poitrine de Karine, ça au moins elle adore. Elle butine les gros tétons érigés de sa langue, elle se régale, et l’autre se laisse faire, aux anges.
A force de se caresser et de se cajoler, il fallut bien qu’à un moment le visage d’Anna se retrouve devant la chatte de sa partenaire.
– Attends, prévint cette dernière, si tu veux me lécher, je vais me faire une petite rincette.
– Comme elle est, ça ne me gêne pas.
– Tu aimes bien les odeurs intimes, alors ?
– En fait oui !
– Même l’odeur du pipi !
– Eh oui !
– Tu m’as l’air d’être une sacrée coquine toi !
– Un petit peu.
– Et mon cul, t’aimerais bien me le lécher !
– Bien sûr !
– Il n’est pas forcément propre !
« Voilà autre chose, cette nana m’a l’air d’avoir des penchants pour les pratiques extrêmes, sur ce terrain, je peux la suivre un peu, mais un peu seulement. »
– Un cul c’est un cul !
– C’est bien toi au moins t’es pas chichiteuse
– Pas trop…
– Je vais me mettre comme ça, tu vas pouvoir bien me le lécher, j’adore ça.
« Comme ça », ça veut dire en levrette, le cul cambré, les cuisses écartées, bien obscène, quoi !
Anna approche son visage de ce joli cul gentiment offert avec une certaine appréhension, mais il n’y a aucune odeur insupportable, aucune tache suspecte (du moins à première vue). Du coup la langue peut faire son travail.
Et puis la sexualité, c’est aussi chimique, un trou du cul (au sens « propre ») ça émet des phéromones, et les phéromones ça excite.
Alors Anna balaye tant et si bien l’anus fripé de Karine, que celui-ci s’entrouvre et que la langue peut ainsi aller de l’avant dans l’étroit conduit. Karine tortille du cul et miaule comme chatte en chaleur.
– Un doigt, mets-moi un doigt.
Voilà qui n’est pas un problème, Anna se mouille le doigt, le rentre dans le trou du cul de la grande brune et le fait aller et venir.
-T’aurais pas un gode, dès fois ?
– Si, si, garde la position, je vais le chercher.
Elle ouvre le dressing, en extrait une boite à chaussures remplie de fouillis divers et variés. Le gode est à l’intérieur, un gode très réaliste, avec gland décalotté, veine bleue en relief, la vraie bite en latex, quoi !
– J’ai trouvé ça !
– Super tu vas me le foutre dans le cul, mais avant je vais te montrer comment je le suce.
Et voilà que la Karine complétement déchaînée se met à pratiquer une fellation en règle au morceau de plastique, tout y passe, titillement du gland, fausse gorge profonde, léchage de la verge, la panoplie quoi. Et rien ne semble pouvoir l’arrêter.
– Fouette-moi pendant que je suce !
– Avec quoi ?
– Avec tes mains si t’as rien d’autre !
– Fort ? Doucement ?
– Lâche-toi, rougis-moi les fesses, mes fesses de salope !
– Comme ça !
– Oui comme ça ! Mais parle-moi, insulte-moi dis-moi que je suis une salope !
– Tiens salope ! Tiens morue ! T’es bonne qu’à sucer de la bite.
– Oui, oui…
Et après cinq minutes de ce jeu bien particulier, la Karine ayant maintenant les fesses rouges comme un bouquet de pivoines, supplie qu’on l’encule.
Anna lui explique alors qu’elle ne sait pas si elle a quelque chose pour lubrifier.
– Pas besoin, ça va entrer tout seul !
Effectivement, ça entre facilement. Anna active le vibreur, miracle les piles fonctionnent encore, et fait aller et venir le gode dans le fondement de la grande Karine qui ne tarde pas à se trémousser et à pousser des petits cris fort peu discrets.
Cinq minutes de ce traitement suffirent à l’emmener jusqu’à la jouissance. Anna retire le gode, Karine le réclame et le porte en bouche sans en vérifier l’état, puis réclame une cigarette.
« Bon et moi, elle ne va pas me laisser en plan, tout de même ? » Se désole Anna que ces péripéties érotiques ont terriblement excitées. On le serait à moins ! »
– Tu t’occupes un peu de moi ? Finit-elle par demander de peur que l’autre se mette à sommeiller.
– C’est prévu ma bibiche, je vais te faire monter au ciel, mais avant faut que j’aille faire pipi. Fait observer Karine.
– Je peux regarder ?
– Tu veux me regarder pisser ?
– J’aimeras bien !
– Alors viens, je vais t’en foutre plein la vue !
– Tu peux même m’en foutre plein la bouche !
– Mais t’es dégueulasse !
– Je disais juste ça comme ça !
– T’inquiètes pas, si t’aimes la pisse, je vais t’en donner.
Anna conduit sa camarade de jeux jusqu’à la salle de bain.
– On fait ça dans la baignoire ? Propose-t-elle.
Va pour la baignoire. Anna s’y assoit et se place tête en arrière et bouche ouverte. Karine debout se concentre.
– Je bloque !
– On va faire couler de l’eau.
Mais ça ne vient toujours pas.
– J’ai pourtant envie ! Tu veux ma salive ?
– Hein ?
– Bouge pas !
Karine se baisse de façon à ce que son visage ne soit qu’à environ 30 centimètres de celui d’Anna.
– Ouvre la bouche !
– Tu fais quoi ?
– Ouvre la bouche, je ne vais pas te tuer.
« Elle ne va quand même pas… »
Mais allez savoir pourquoi, Anna reste bouche ouverte quand sa partenaire lui crache dans la bouche.
– C’est la même salive que quand on s’embrasse ! Croit-elle obligée de me préciser.
« Evidemment vu comme ça… »
– Ça y est ça vient ! Reprend-elle.
Elle se redresse, pose sa main sur la chatte pour bien orienter le jet… et c’est parti !
« Putain qu’est-ce qu’elle est bonne sa pisse… »
Anna avale ce qu’elle peut, le reste lui dégouline sur le corps dessinant d’étranges reflets sur ses jolis seins. La chose ne passe pas inaperçue aux yeux de Karine qui après avoir terminée sa miction s’en vient butiner les tétons se sa complice de jeu.
– Je vais te nettoyer la chatte, si tu veux ? Propose Anna.
– Bien sûr, mais toi tu n’as pas envie ?
– Pas trop, mais je peux essayer !
– Mais bien sûr que tu vas essayer !
– Alors on s’inverse ?
– C’est ça, on s’inverse.
Karine se met en position.
– Si t’as envie de me cracher dans la bouche, ne te gènes surtout pas !
– Ah bon ?
– Si, si, j’aime bien.
– Alors tout à l’heure, pour l’instant c’est pipi !
Et c’est donc au tour de Karine de se régaler de l’urine d’Anna. Sans trop se concerter, les deux filles sortent de la baignoire, s’allonge sur le tapis de bain en position de soixante-neuf se nettoie mutuellement la chatte et continue à se sucer jusqu’à la jouissance.
– On fait une belle paire de salopes ! Conclut Karine.
– T’as raison ! Répond Anna qui s’en voudrait de la contredire.
A suivrea