Le blog de vassilia-x-stories
Chanette 24 – Tribulations helvétiques – 1 – Fédor Podgorny par Chanette
Juste quelques précisions avant d’entamer ce récit. Je suis dominatrice professionnelle. Mes histoires ne sont pas des récits de domination mais des récits d’aventures incluant parfois des séances de domination. Anna-Gaëlle est ma meilleure amie et ma complice préférée de mes jeux érotiques, elle est directrice d’une galerie d’art rue de Seine à Paris, une activité qui la conduit à faire de fréquents déplacements de par le monde.
Samedi 20 mai
On est samedi, il fait enfin beau en ce mois de mai et au lieu de profiter du soleil, je suis allé voir un film tarte au cinéma, c’est tout moi, ça. En sortant de la salle je rallume mon téléphone portable, j’ai un message d’Anna Gaëlle.
Tiens Mademoiselle est rentrée !
J’écoute, je n’en comprends pas la moitié, elle parle trop vite et pas assez distinctement. Je l’appelle. La communication est dégueulasse.
– Je t’ai envoyé un message !
– Oui, mais je n’y comprends rien !
– Je te rappelle en arrivant, vers 20 heures.
– Allô !
Plus rien ! Donc elle n’est pas rentrée, moi qui me faisais une joie de la retrouver et de la prendre dans mes bras… demain peut-être.
J’attends 20 heures : Rien ! Je n’ai pas dîné espérant plus ou moins qu’on le fasse ensemble… A 21 heures, j’en ai marre, je me cuisine une omelette au gruyère A la télé je regarde un film franchouillard qui est déjà commencé.
Elle va m’appeler à quelle heure, cette andouille ?
A 22 heures, je n’y tiens plus, je l’appelle, ça sonne dans le vide ! Elle m’énerve, elle m’énerve ! Je ferme la télé et entame un polar pour bouquiner un peu.
Un peu avant 23 heures, on sonne à l’interphone ! C’est Anna !
J’en oublie mes récriminations tellement je suis contente qu’elle soit là, je lui ouvre, elle monte, je l’attends sur le palier, on s’enlace, on s’embrasse.
– C’était quoi ton message ? J’ai rien compris !
– Oh ! Juste un petit service qu’il faut que tu me rendes la semaine prochaine, on verra ça tout à l’heure, t’as mangé je suppose ?
– Ben oui !
– T’as un truc à grignoter ? Je suis passé chez moi, mais je n’ai plus rien dans le frigo…
– On va bien trouver ! Pose tes trucs et viens dans la cuisine.
– D’accord mais je vais pisser d’abord ! Tu veux regarder ?
Parfois le romantisme et elle, ça fait deux ! N’empêche que je la suis jusqu’aux toilettes. Mais voilà qu’elle s’arrête en chemin en rouspétant.
– Putain, mais c’est pas vrai !
J’ai envie de me marrer, Anna n’a pas réussi à se retenir jusqu’au bout et s’est pissé sur elle, sa jambe droite est mouillée jusqu’aux chevilles.
– Non, mais c’est pas possible ! Grommelle-t-elle.
Du coup elle retire, son pantalon et sa culotte en plein couloir, les abandonne sur le plancher ainsi que ses chaussures et s’en va finir de pisser, le cul à l’air.
La voilà qui s’assoit lourdement sur la cuvette, puis qui ouvre les vannes. Nous avons, l’une et l’autre toujours eu un gros penchant pour les jeux humides, nos lecteurs en savent quelque chose.
Rapidement, je m’accroupis devant elle et j’ouvre la bouche, elle se débrouille pour m’envoyer quelques gouttes d’urine dans le gosier. Elle a le pipi très clair ce soir, je devrais dire trop clair, elle a dû s’envoyer deux litres de flotte… Mais c’est bon quand même !
– Y’avait longtemps ? Me dit-elle en se relevant.
– La dernière fois, non ?
– Peut-être, mais c’est bien la première fois que je me pisse dessus chez toi !
Pas si sûr…
– Y’a toujours une première fois ! Répondis-je néanmoins.
– Regarde-moi, ça, j’en ai plein les cuisses, il va falloir que je prenne une douche.
– Prend une douche si tu veux, mais faut pas exagérer non plus, ça n’a presque pas d’odeur, prend une serviette… à moins que tu préfères que je te lèche les cuisses.
– C’est ça lèche moi les cuisses !
Je ne me dégonfle pas ! J’ai dû faire tout un tas de trucs avec Anna, mais je ne me souviens pas lui avoir déjà léché les cuisses suite à une envie de pipi mal maîtrisée. Mais ne dit-on pas qu’il faut toujours varier les plaisirs ?
Et hop ! Elle finit de se déshabiller puis la voilà qui cavale dans la chambre. Mademoiselle connait la maison et fait comme chez elle, elle prend une grande serviette dans le dressing et l’étale sur le plumard avant de s’affaler dessus, les jambes écartées et pendant sur le côté…
– Viens me lécher l’abricot ! Dit-elle.
Comment refuser ? D’autant que l’abricot en question est tout sauf essuyé.
Je me mets à l’aise à mon tour et me place entre ses douces cuisses et commence à lécher tout ça comme j’ai dû le faire un nombre incalculable de fois, mais on ne se lasse jamais des bonnes choses, n’est-ce pas ?
Tout en lui butinant la chatte, je lance mes deux mains en avant afin de m’emparer de ses tétons que je pince assez fortement, je sais que mademoiselle adore ça. D’ailleurs elle commence à pousser des petits cris. Ce n’est pas vrai qu’elle va partir comme ça, au quart de tour !
Du coup, alors que ma langue parcourait de façon indolente l’intérieur de ses chairs, je choisi de titiller son clitoris en le sollicitant de mes lèvres.
Le résultat ne se fait pas attendre longtemps, Anna gueule, tressaute, gueule encore avant de retomber comme une chiffe molle.
– Tu m’a trop bien sucé, ma bibiche !
Et nous revoilà dans les bras l’une de l’autre, bisous, caresses et cigarettes.
Anna me met la main sur mon minou, évidemment je me laisse faire, elle va me rendre la politesse, c’est la moindre des choses, non ?
Elle me fout deux doigts dans la chatte, je mouille comme une fontaine et la chambre s’emplit d’un insolite bruit de floc-floc. En même temps elle m’embrasse les seins, je devrais dire plutôt qu’elle me les mordille, car je la trouve un peu sauvage ce soir !
Je pars assez vite. Nouveau temps calme mais sans cigarette cette fois.
Quelque chose me dit qu’Anna n’est pas rassasiée, sinon pourquoi fouillerait-elle dans le tiroir de mon chevet ?
– Faut pas te gêner, fais comme chez toi !
– Ben oui, c’est ce que je fais !
Insolente avec ça !
Je me doutais bien de ce qu’elle cherchait, la voilà qui m’exhibe un gode, je devrais dire MON gode car je n’en ai pas trente-six à la maison et à vrai dire ne m’en sers qu’assez peu.
Elle le porte à sa bouche et le suce vicieusement comme elle le ferait d’une vraie bite. Que va-t-elle en faire ensuite, je décide par jeu de lui laisser l’initiative.
– Tourne-toi, je vais t’enculer avec !
Pourquoi pas ?
J’obtempère en me positionnant en levrette et j’attends sagement.
A tous les coups, elle va me lécher le trou du cul ! Gagné ! Je sais qu’elle adore ça et de mon côté j’apprécie cette caresse quand elle est prodiguée avec délicatesse.
Sa langue virevolte sur ma rondelle me provoquant des frissons bien appréciables, je fais ce qu’il faut pour m’ouvrir un peu, elle en profite pour me glisser un doigt qu’elle fait aller et venir, un deuxième doigt rejoint le premier, peut-être un troisième, je n’en sais rien, je n’ai pas de rétroviseur.
Et hop, elle les enlève, mais c’est pour les remettre aussi sec, elle répète ce petit manège plusieurs fois, puis se met à me tapoter les fesses.
– Doucement !
– Tais-toi, tu aimes ça !
– Oui, mais doucement quand même !
Et cette fois c’est le gode, il est muni d’un vibrateur qu’elle active (c’est fait pour ça, non ?). Ça va, ça vient, ça me fait un bien fou, je m’abandonne au plaisir que je sens inexorablement monter, je mouille, j’ai la chatte en feu, j’adore jouir par le cul et c’est ce que je ne vais pas tarder à faire, je hurle !
Je me remets sur le dos, Anna vient m’embrasser. Je suis bien.
– Alors elle t’a fait bien jouir ta petite copine ? Me nargue-t-elle.
Je ne réponds pas, je lui souris, je suis aux anges… mais j’ai aussi maintenant envie de pisser.
– Je vais faire pipi, tu en veux ?
– Non, je suis un peu vidée, je mangerais bien un petit truc.
– Dis donc, toi ! Et si moi j’ai envie de te pisser dessus.
– Plus tard !
– Si tu veux manger, il faut d’abord prendre l’apéritif, tu ne veux pas de mon apéritif ?
– Proposé comme ça, je ne peux pas refuser !
On retourne aux toilettes, on a fait ça maintes et maintes fois et on connait par cœur la façon dont on doit se mettre pour que ce soit le plus confortable et le plus agréable possible.
Anna me boit. Anna en fout plein à côté. Qui c’est qui va nettoyer après. Mais c’est de ma faute, je n’avais qu’à pas lui proposer ce genre de choses. C’est fini ! Anna se relève pour m’embrasser à pleine bouche alors qu’elle n’a pas avalé les dernières gouttes. La salope, je m’y attendais, elle fait toujours ça ! N’empêche que cette dernière plaisanterie a réveillé mon excitation. Est-ce qu’on va repartir pour un tour ? Non !
– Bon ça m’a bien creusé tout ça, on va dans la cuisine ?
Elle se sert dans le frigo, trouve du jambon et un yaourt, puis se met à jacter ! Une vraie pie !
– Et ce service que tu devais me demander ?
– Oh, ce n’est pas grand-chose, j’ai sympathisé à Moscou avec un type plein aux as. Il m’a proposé une sorte de partenariat pour ma galerie, un truc super intéressant pour moi !
– Ah !
– On est arrivé à Paris dans le même avion, il est descendu dans un hôtel pour rupins. Et il m’a demandé quoi ? Je te le donne en mille ?
– Dis !
– Si je connaissais une dominatrice sérieuse et bien foutue.
– C’est ça le service ? C’est pas trop compliqué.
– Pas trop, non !
– Et il a des exigences particulières, ton bonhomme ?
– Oui, mais rien d’insurmontable, il veut que je participe !
– Ce n’est pas un problème !
– Et il veut qu’il y ait un autre homme, il suce et il se fait enculer.
– Uniquement passif ?
– Non, switch, il aime bien se faire sucer aussi.
– Alors, ça devrait pouvoir se faire !
Je pense immédiatement à Nœud-pap, l’un de mes clients réguliers, sympa, pas chiant, le souci c’est que dans ses contacts avec d’autres hommes, il est lui aussi, essentiellement passif mais je saurais arranger ça.
Voyons : Je ne peux pas le contacter le week-end, ni le lundi (il est gérant d’un magasin d’équipements de salles de bains, je le contacterai donc mardi, ensuite faudra que je vérifie mon planning.
– On pourrait faire ça mercredi !
– Pas avant ?
– Ben non ! Je te confirmerais ça mardi matin.
Mercredi 24 mai
Nœud-pap arrive le premier. Depuis quelques aventures communes (voir quelques chapitres précédents) nos rapports ont changé, c’est toujours mon client, un gentil client, mais une saine complicité s’est installée entre nous. Il me fait la bise, je lui explique de nouveau ce que j’attends de lui, il veut me régler, je lui explique alors que c’est « l’autre monsieur » qui payera pour deux…
Nœud-pap était déjà dans le donjon, attaché à une croix de Saint-André, et caché derrière un paravent quand Fédor Podgorny et Anna-Gaëlle arrivèrent de conserve.
Rapide présentation… Fédor est du genre grand balèze, crâne d’œuf et verrue disgracieuse au milieu du front. Il s’exprime plutôt bien en français.
– Vous êtes très belle ! Me dit le Popov.
« Ça fait toujours plaisir ! »
– Merci ! Si vous le voulez bien, mettez-vous à l’aise.
Le mec se déshabille, mais garde son caleçon tandis qu’Anna se change en se déguisant en dominatrice amatrice. Fédor se révèle être une montagne de muscles illustrés d’une vraie collection de tatouages. Comment Anna a-t-elle pu baiser avec un macho pareil ? Moi faudrait me payer, comme dirait quelqu’un que je connais… mais justement moi on me paie, mais en principe je ne baise pas ! J’espère simplement que son apparence ne va pas rebuter Nœud-pap !
– Il ne manque plus que la petite enveloppe ! Précisais-je.
– Plus tard ! Répond Popov.
– Non maintenant !
– Et parce que pourquoi ?
– « Parce que pourquoi » c’est l’usage !
« Elles ne font pas comme ça les putes en Russie ? »
Il ne discute pas et sort de sa sacoche une enveloppe que j’ai eu égard à Anna, le tact de ne pas en contrôler le contenu.
Il se passa alors quelque chose en apparence de très anodin mais qui eut une très grande importance par la suite :
Fédor sortit de sa sacoche un appareil photo numérique qu’il posa sur la table.
– C’est pour les photos ! Croit-il devoir préciser.
– Quelles photos ?
– Ben j’aimerais quelques photos souvenirs…
– Il n’en est pas question ! Protestais-je.
– Juste une ou deux !
– Non, et ce n’est pas négociable.
– Bon, bon !
Au moins le type n’a pas l’air chiant, quand on lui refuse un caprice, il a la courtoisie de ne pas insister lourdement.
– Je vous l’avais bien dit qu’elle ne souhaitait pas de photos ! Renchérit Anna.
– Rangez-le dans votre sac, vous me le rendrez tout à l’heure. Lui propose-t-il.
– Bon on commence ! Edictais-je ! Retire-moi ce caleçon ridicule.
Le mec me regarde d’une drôle de façon, manifestement il n’apprécie pas ma réflexion. Le voilà à poil, Il a une bite énorme, demi-molle mais impressionnante, il se la tripote ostensiblement attendant visiblement que je le complimente. Ce que je m’abstiens de faire, car bien évidemment, je m’en fous de sa bite !
– Bon, pépère je ne t’ai pas donné l’autorisation de te tripoter.
Je lui passe un collier de chien autour du cou, exprès, j’en choisis un de couleur rose, je sais que les machos n’aiment pas ça.
Je lui tords ses bouts de seins sans ménagement, il se contente de grimacer. Je ne continue pas car bizarrement ses tétons sont très peu développés. Je lui accrocherais peut-être des pinces, on verra bien, je ne le sens pas trop ce mec.
Je lui accroche une laisse après son collier, et après lui avoir ordonné de se mettre à quatre pattes, je l’emmène dans le donjon en ponctuant sa progression de coups de cravaches sur son gros cul.
Nous voilà dans le donjon. Regard circulaire et limite blasé de l’homme qui a dû en voir plein d’autres et des mieux.
J’attache l’individu sur mon cheval d’arçon et commence par lui infliger dix coups de martinet qu’il supporte sans broncher.
Je vais ensuite dégager le paravent derrière lequel Nœud-pap est attaché contre une croix de Saint-André. Je le provoque un peu :
– Alors, salope, regarde comme je suis gentille, je t’ai amené de la compagnie. Ah, tu ne vois pas sa bite, mon pauvre loulou, comme tu dois être déçu, mais tu la verras tout à l’heure, tu verras elle est grosse, je ne crois pas que tu pourras mettre tout dans ta bouche.
Evidemment, il ne bande pas, mais avec lui je sais comment m’y prendre, ses bouts de seins sont proéminents à force de se les faire tirer. Un dans chaque main, je serre, je tire, je tortille et moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, Monsieur exhibe une jolie bite bien droite et bien dure. Je lui envoie quelques pichenettes sur la verge et sur les testicules. Il grimace ! Ben oui c’est une séance SM, pas un vernissage !
Je demande à Anna de venir près de nous, je lui chuchote :
– Débrouille-toi pour qu’il ne débande pas, je te fais confiance !
– C’est dans mes cordes !
Anna-Gaëlle et Nœud-pap n’ont jamais eu l’occasion de se rencontrer. Dans quelles circonstances l’auraient-ils fait d’ailleurs ? Nous avons Anna et moi chacun notre métier, des métiers bien différents, ce qui se passe aujourd’hui pour Anna, c’est juste un « extra ».
Je reviens vers « Popov » et le nargue :
– Tu as vu la belle bite qui t’attends ! Je vais t’obliger à la sucer, et je vais même peut-être lui demander qu’il t’encule !
– Vous n’avez trouvé personne de moins vieux ?
Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ? Ce con parviendrait presque à me déstabiliser. Parce que soit, il dit ça pour avoir une punition, soit, il est sincère mais dans ce cas la séance va se mettre à chavirer. A moi de redresser la barre.
Je prends ma cravache la plus « méchante » et lui en assène un grand coup sur les fesses. Il ne peut s’empêcher de pousser un cri.
– Maintenant, écoute pépère, ici c’est chez moi, c’est mon donjon, t’es mon soumis, mon esclave, et moi je suis ta maîtresse, je ne veux pas t’entendre discutailler, je ne veux même pas t’entendre du tout sauf si je te pose une question ! Tu as compris connard ?
Pour toute réponse, il se met à ricaner, je lui fais relever la tête et je le gifle assez violemment, puis j’enchaine les coups de cravache sur les fesses.
Je jette un coup d’œil sur ce que fait Anna ! elle a ouvert son blouson de cuir en-dessous duquel elle n’a pas mis de soutien-gorge et s’amuse à balader la pointe de ses seins sur le corps de Nœud-pap qui comme vous le devinez bien, est aux anges.
Je m’harnache d’un gode ceinture, et je n’ai pas mégoté j’ai carrément pris le plus gros, celui qui ne sert jamais, qui est juste là pour impressionner. Je me poste devant Popov.
– Suce !
Moment d’hésitation sans que je comprenne pourquoi.
– Allez montre-moi comment tu suces, pédale !
Le mec ferme les yeux et ce met à lécher le gland du machin, il fait des mouvements de lèvres absolument ridicules, je réprime l’envie d’éclater de rire. Je me dis que s’il suce Nœud-pap de cette façon-là cette affaire va finir en pantalonnade.
Dans l’ordre logique des choses si toutefois cette logique existe, il faudrait à présent que je passe derrière Popov et que je le sodomise. Sauf que ça ne me dit rien du tout, ce mec je ne le sens vraiment pas, quelque chose cloche.
Je rappelle Anna et lui confie un autre gode-ceinture, juste la taille en dessous, lui laissant le soin de sodomiser le bonhomme. Elle ne comprend visiblement pas trop comment je dirige les opérations mais elle ne discute pas et s’en va faire ce que je lui ai demandé après avoir tartiné le cul de Popov afin que ça passe mieux.
Pendant ce temps, je détache Nœud-pap qui bande toujours et l’emmène devant le russe en le plaçant de telle façon qu’il puisse se faire sucer.
Ouf ! Je suis rassurée, Popov suce Nœud-pap sans faire le guignol, je dirais même qu’il a l’air de se régaler, une bite dans la bouche, un gode dans le cul, ça va bien pour lui.
Je fais durer l’affaire environ cinq minutes, Anna se marre en pilonnant le Popov mais donne des signes de fatigue. Je lui demande d’arrêter et ce sera maintenant au tour de Nœud-pap d’enculer Podgorny.
Quand même, j’ai beau avoir une sacrée bouteille dans ce métier, cela m’étonnera toujours de voir qu’un soumis considère qu’une sodo pratiquée par un homme est un acte bien plus fort qu’une introduction de gode. En fait c’est purement psychologique, avec un homme le type se sent véritablement enculé même si physiquement le plaisir est forcément moins intense vue la différence de taille.
J’allume un gros cierge et le tend à Anna, je veux qu’elle fasse couler de la cire chaude sur le dos du soumis pendant qu’il se fera enculer.
Curieusement, Nœud-pap semble bien s’exciter à ramoner Popov. Ma foi, s’il veut jouir de cette façon, je vais le laisser faire, faut bien varier les plaisirs.
Il s’arrête, se contrôle, me fait un signe.
– Si tu veux jouir comme ça, vas-y ! Lui dis-je.
Il hésite, puis redémarre, ça ne dure pas longtemps, il explose dans son cul (je devrais dire plutôt dans sa capote). Il décule, se demande ce qu’il doit faire, je lui indique une chaise afin qu’il s’y installe.
A l’aide de ma cravache je fais maintenant sauter la cire qui s’est solidifiée sur le dos de Fédor, tout ne part pas, je dois finir en me servant de mes ongles, l’homme gémit.
Je regarde mon travail, le cul est tout rouge, le dos est tout rose, le cul est béant. J’espère que monsieur sera content de ma prestation, mais elle n’est pas tout à fait terminée.
Je le détache, il se remet debout, il bande de façon impressionnante. Son regard va de ma bite en latex à mon visage, genre il attend un compliment ! Il peut toujours attendre. Je m’en fous de sa bite (bis repetita placent)
– Bon, on va finir en beauté, tu vas t’installer là-bas, sur la partie carrelée et tu vas te branler pendant que je te pisserais dans la bouche.
Il ne dit plus rien, il est devenu sage, et se dirige vers l’endroit indiqué.
– On ouvre bien la bouche !
Je m’accroupis de façon à ce que ma petite chatte ne soit qu’à quelques centimètres de sa bouche et j’ouvre les vannes. Ça tombe bien j’avais une bonne envie ! Il avale tout ce qu’il peut et en met plein à côté, je tente de contrôler mon débit mais je n’y parviens pas, je vide donc complétement ma vessie sur lui. Pendant ce temps-là, Monsieur se branle comme un malade ! Quand j’ai fini de pisser il n’a pas encore joui, alors je lui crache dessus pour le stimuler ! Et miracle son sperme jaillit tel un geyser. Va y avoir du nettoyage à faire !
Il se relève à moitié groggy.
– Pour la douche ? demande-t-il
Je lui indique ! Côté convivialité, il est passé complétement à côté, le mec, il pourrait au moins me dire que ça lui a plu, ça ne coûte pas cher deux doigts de politesse !
Pendant ce temps Anna tient compagnie à Nœud-pap en lui tripotant ses tétons avec un air canaille. L’homme a l’air surpris mais ravi ! C’est tout à fait Anna, ça, jamais sage !
Mais je n’avais encore rien vu ! Voilà qu’Anna dans un grand élan d’affection, à moins que ce soit un élan de folie se met à rouler une pelle à mon soumis préféré qui du coup se met à rebander, assez mollement cependant. Elle le prend en bouche, sa bite semble réagir mais pas assez. Du coup Anna le laisse et s’en va fouiner dans son sac à main puis elle revient vers lui.
– Tiens c’est la carte de ma galerie d’art. Si ça te dit viens m’y retrouver un de ces jours, Ça me plairait bien que tu m’encules.
– Moi ?
– Ben, oui, toi !
Je rêve ! Elle est fada ! Qu’est ce qui lui prend ? C’est d’autant plus incompréhensible que ma copine est plutôt branchée goudou.
Pendant que ces messieurs se rhabillent, je branche Anna.
– Tu fais quoi, tu veux me piquer mes clients ?
– Juste une fantaisie !
– Remarque, ça peut être pratique, c’est un gars qui installe des salles de bains, c’est lui qui m’a refait la mienne, je te le recommande il travaille super bien et il n’est pas plus cher qu’un autre et il te fera peut-être un prix…
Une fois Nœud-pap parti, Fédor propose de nous payer le restaurant. Anna accepte de suite. Moi je décline l’invitation, je n’ai rien, bien au contraire contre les plaisirs de la table, mais j’ai horreur de subir la conversation de personnes que je ne connais pas. Je prétexte une obligation.
Mauvaise tactique, Fédor me propose le lendemain. Je ne sais pas trop quoi inventer comme excuse d’autant qu’Anna me donne un coup de coude que je ne sais trop interpréter.
– D’accord pour demain ! Répond-elle me plaçant devant le fait accompli.
Et les voilà partis tous les deux.
Je fulmine et j’envoie un message à Anna la priant de me rappeler dès qu’elle sera seule. Ce qu’elle fit un peu plus tard.
– Je sais ! Commence-t-elle, tu n’as pas envie de bouffer avec Fédor.
– Très perspicace !
– Seulement voilà, je sais que ça te prend la tête, mais je te demande de le faire pour moi.
Et la voilà qu’elle me noie sous un flot de paroles… Elle me reparle de son partenariat avec la boite de Fédor, un truc très juteux selon elle…
– Mais pour l’instant rien n’est signé, j’ai donc intérêt à le garder dans de bonnes dispositions…
– T’es chiante !
Alors, je me suis fait une raison
.
A suivre