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La Malédiction du Pas de Lagaste – 2 – Goldevaine, apprentie putain par Léna Van Eyck

  Goldevaine2

Ce jour-là, Goldevaine, la fille unique de Gontran et d’Adélaïde n’était point allé mendier, sa mère lui ayant demandé de faire un peu de ménage dans leur pauvre masure.

Elle alla donc comme le voudrait la légende chercher derrière la porte, un balai et une pelle.

 

C’est qu’il y en avait du fouillis et des saletés, Gontran était quelque peu ramassophile et rapportait régulièrement des ustensiles et des outils à moitié cassés, des vêtements déchirés. Tour cela demandait à être réparé mais notre Gontran atteint de procrastination chronique ne réparait jamais rien, alors ça s’entassait, ça s’empilait, ça s’amoncelait et ça prenait beaucoup de place.

 

Goldevaine décida d’essayer de mettre un peu d’ordre dans tout ce fourbi, et c’est là que parmi une indescriptible variété d’objets de toutes natures, elle découvrit une cassette en bois. Intriguée par son poids qui lui sembla anormalement lourd, elle l’ouvrit et découvrit un joli lot d’écus sonnants et trébuchants.

 

Elle jugea la chose impossible d’appartenir à son père, lui qui était incapable de voir un sou sans le boire ! C’était donc à sa mère, mais à quelle sorte d’activité pouvait-elle bien se livrer pour avoir amassée un tel magot ?

 

Elle lui aurait bien demandé, mais se dit que sa mère avait sans doute un gros mensonge de prêt, le mieux serait donc de la suivre discrètement afin de savoir. Goldevaine n’était point sotte et avait déjà une petite idée, mais voulait être certaine !

 

Elle suivit donc sa mère le lendemain et constata qu’au lieu d’aller se placer là où mendiants et éclopés demandait la charité, elle s’en alla dans une petite rue où exerçait maître Philibert, le vieil apothicaire !

 

« Mais que fabrique donc-t-elle là-dedans ? »

 

Elle attendit un moment et la vit ressortir complètement transformée, Adélaïde était à présent fardée et revêtue d’une robe si décolletée qu’on devinait la partie supérieure des aréoles. Elle se dirigea ensuite vers une autre ruelle et s’arrêta près des « trois colombes » une taverne de mauvaise réputation, où elle rejoignit quelques ribaudes avec lesquelles elle fit conversation.

 

« Eh bien, voilà, Maman est une putain ! »

 

Le soir, elle attendit que son père comate dans son mauvais pinard pour apostropher sa mère. Manifestement cette dernière attendait elle aussi ce moment car c’est elle qui commença à parler.

 

– Pourquoi ce rangement ?

– Tu m’as demandé de faire le ménage…

– Cela n’est pas du ménage !

– Non, mais ça fait de la place !

– Aurais tu trouvé quelque chose d’insolite ? Demanda la mère craignant que sa fille lui ait chapardé son magot.

– Oui, j’ai trouvé ta cassette, je l’ai placée en dessous de la pile et je n’y ai rien prélevé.

– Je suppose que tu aimerais que je te dise…

– Non, non, ne te fatigue pas, je sais tout ! J’ignorais que ma mère tapinait !

– Mais…

– Je t’ai vu ! Je ne te blâme pas ! Tu iras en enfer mais ne dit-on pas que ce n’est pas si terrible que ça ! Ce que je te reproche c’est de ne point m’en faire profiter ! N’aimerais-tu plus ta fille ?

– Les choses ne sont pas si simples ! Disons qu’un jour j’ai été tenté et qu’ensuite j’ai comme on dit pris le pli !

– Je t’ai demandé : pourquoi ne m’en as-tu pas fait profiter ?

– Tu crois que c’est facile de raconter à sa fille que je suis devenue putain ?

– Tu n’as toujours pas répondu !

– J’avais le projet d’entasser encore de l’argent jusqu’aux beaux jours, après nous serions parties toutes les deux…

– Où ça ?

– Je ne sais pas encore ! Je peux te donner de suite la moitié de ma cassette, mais qu’en feras-tu ?

– Donne-moi donc juste quelques écus, cela me suffira pour commencer.

– Pour commencer quoi ?

– Pour faire la même chose que toi !

– Tu veux dire : faire la catin ?

– Bien arrangée, je devrais plaire, non ?

 

Alors Adélaïde laissa éclater sa colère, traitant sa fille de tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait, et elle en savait beaucoup.

 

– Ne crois-tu pas que tu ne sois un peu mal placée pour me faire cette morale ?

– Si j’ai choisi par nécessité et par circonstances de vivre dans la honte et le déshonneur ce n’est pas pour te le faire partager !

– Le déshonneur ? Quel déshonneur ? Quant à la honte, tu ne me fais guère l’impression d’en avoir, et tu as d’ailleurs bien raison !

– Ciel ! Je ne reconnais plus la fille !

– Ça tombe bien, je connaissais bien mal ma mère ! Entendons-nous au lieu de nous livrer à des chamailleries.

– Mais, et Gros-Jean qu’en fais-tu ?

 

Il faut dire que Goldevaine était plutôt jolie fille, quelques jeunes chenapans l’avaient quelque peu courtisé. C’était surtout le dimanche après la messe, car ces après-midis-là, elle ne mendiait pas. L’un de ses prétendants se montra davantage entreprenant que les autres, ils commencèrent à se rencontrer régulièrement. Leurs rapports sentaient bon la fleur bleue, jusqu’au jour où le jeune homme obtint d’elle ce qu’il voulait, alors les rapports changèrent, Gros-Jean se révéla sous son vrai jour, un bien mauvais jour et devint violent. Goldevaine ne pensait plus qu’à prendre ses distances mais n’y parvenait pas tellement le jeune homme se montrait collant.

 

– Gros-Jean est un idiot, je ne me marierais jamais avec lui.

– Pourtant tu l’aimais bien ?

– C’est sa compagnie que j’aimais bien, pas lui ! Mais il m’a fait devenir femme et crois maintenant m’appartenir.

– Quoi ? Et s’il t’a engrossé ?

– Non ma mère, de la façon dont il m’a prise, je ne risque pas d’être engrossée !

– Quoi ? Dois-je comprendre qu’il t’aurait enculé ?

– C’est en effet ce qu’il faut comprendre !

– Enfer et damnation ! Mais tu le vois toujours ?

– J’attends de rencontrer un galant qui lui donnera une bonne leçon, mais ça ne vient pas, en attendant, je me le supporte.

– Il m’apparaissait pourtant fort courtois !

– Il donnait le change, avant que je couche, il me traitait de mijaurée, après il me traitait de putain et finalement je préfère !

– Oh !

– Alors putain pour putain, autant ne pas faire les choses à moitié !

– Oh !

– Je commence demain, donne-moi quelques sous comme je te l’ai demandé !

– Je t’empêcherais de faire ça !

– Et de quelle façon ?

– Si je renonce à faire la putain, renonceras-tu aussi ?

– Non !

– Alors je ne te parle plus !

– Bon ces pièces, tu me les donnes ou je les prends moi-même ?

– Prends les toi-même, mais si je te vois tapiner, je te gifle !

– Eh bien, tu me gifleras, je n’en mourrais pas.

 

Le lendemain matin, Goldevaine ne prit pas comme elle faisait chaque jour le chemin de Montclar, mais celui du bourg voisin de Preixan.

 

En ces temps, on ne se fréquentait pas trop d’un bourg à l’autre et les inimitiés étaient légions. On ne la reconnaîtrait donc pas, enfin pas de suite. Elle s’était débarbouillé le visage à l’eau, avait peigné ses longs cheveux et avait dégoté dans le fouillis paternel une robe un peu abîmée presque propre mais qui dissimulait mal la misère.

 

Elle commença par aller chez le fripier local, qui la reçut malgré mais sa dégaine, mais en repartit assez vite sans n’avoir rien acheté, C’est que cela n’a rien d’évident de demander à un brave bourgeois une robe de putain, quant à acheter du tissu pour la confectionner, elle-même, elle ne saurait pas faire, sa mère lui avait appris à mendier, pas à coudre !

 

Voilà qui commençait bien mal !

 

Elle ne rencontra point de ribaudes qui proposaient leurs charmes, aussi se dirigea-t-elle vers une taverne à l’enseigne du « Coucou doré », on lui avait indiqué que souvent les serveuses de ces endroits avaient la cuisse légère, alors pourquoi pas ?

 

A cette heure la salle était presque vide !

 

– Holà, où vas-tu, la souillon ? L’interpella la grosse Georgette, la femme du tavernier, je ne veux point de mendiante ici ! Dehors, sac à puces !

– Je ne demande point la charité, n’aurais-tu point besoin d’une soubrette.

 

Du coup, la Georgette la regarde autrement.

 

– Raymond, viens voir ! Il y a une souillon qui voudrait travailler pour nous. Elle n’est pas si moche !

 

Raymond est une armoire normande, il dévisage Goldevaine et la déshabille du regard.

 

– Hum ! Tu es jolie mais il faudrait t’arranger un peu. Sais-tu qu’ici les filles doivent se montrer gentilles avec les clients ?

– Je serais gentille !

– Même si le client te demande de partager ta couche ?

– Quelles sont les conditions ?

– Tu gardes la moitié de l’argent des passes, quand tu veux te reposer, tu nous préviens à l’avance, tu loges ici à l’étage…

– D’accord ! Je peux commencer quand ?

– Il faut d’abord qu’on te voit à l’œuvre, je vais appeler Hermine.

 

Cinq minutes plus tard Hermine était là.

 

C’est une grande bringue, très brune, la peau très blanche, venant probablement du nord du pays, dans une région sans soleil. Elle est belle et il émane d’elle beaucoup de douceur. En revanche, elle parait fort mal réveillée.

 

– Tu l’arranges un peu, tu regardes si elle peut travailler chez nous et tu nous dis.

– Suis-moi ! Lui dit Hermine, j’aurais bien dormi encore un peu, moi !

 

Elle l’entraida dans une arrière-salle où Ferdinand, le cuisinier s’affairait autour d’un gros chaudron.

 

Hermine dévisagea Goldevaine d’un air indifférent :

 

– Tu sors d’où, toi ?

– De chez mes pauvres parents !

– Tu t’es sauvée ?

– Non, je ne savais pas qu’on dormait ici, il faudra que j’aille dire aurevoir à ma maman !

– T’es drôle, toi ! T’as déjà fait la putain ?

– Non, je n’y connais rien !

– Je vais t’apprendre ! Une des filles ici est partie je ne sais trop où ! Il y a donc une place de libre ! Profites-en ! Ici les patrons ne sont pas trop méchants, mais faut bosser ! Pucelle ?

– Devant, mais pas derrière !

– Hé ! Hé ! Bon tu m’aides à remplir cette bassine, t’as besoin qu’on te récure ! Mets-toi donc à poil que je vois comment tu es faite !

– Devant lui ?

– Si tu veux travailler ici, il te faudra oublier ta pudeur !

 

Goldevaine se déshabilla sans discuter davantage sous les yeux concupiscents d’Hermine qui n’en perdait pas une miette. Quant au Ferdinand, il faisait semblant de ne rien voir, mais il voyait bien et il bandait.

 

– Tu as de jolies mamelles et un petit cul bien rebondi ! Commenta Hermine

 

Une fois séchée, mais toujours nue, Hermine l’emmena à l’étage dans sa chambrette.

 

– Je vais te trouver une tenue, si tu restes avec nous, il te faudra la rembourser avec tes gages, mais avant allonge-toi sur ce lit, je vais regarder si tu peux faire l’affaire !

 

Goldevaine est surprise mais obtempère.

 

– N’as-tu jamais été au lit avec une femme ?

– Ma foi, non !

– Et bien, il y a un commencement à tout, et si tout se passe bien, je dirais à Raymond que tu fais l’affaire et nous pourrons être amies !

– Je trouve cela bizarre, je ne m’attendais pas à cela…

– Si tu veux partir, libre à toi !

– Je n’ai pas dit ça !

– Alors il te faut avoir deux choses, la première c’est que je suis très douce et que je n’ai aucune raison de te faire du mal, la seconde, c’est que tu es pucelle et que tu ne peux point le rester !

– Pardon ?

– Nous avons deux méthodes pour nous éviter d’être engrossées, la première c’est de de se faire baiser par le cul, mais tous les hommes ne l’acceptent pas, on dit que « jouir en payant, c’est jouir sans pécher », mais encore faut-il que cela se passe dans le bon réceptacle ! Alors on se place une éponge avec du vinaigre au fond de notre intimité. Je ne sais pas mettre une éponge à une pucelle, donc il faut que je te dépucelle !

– Ciel !

 

Hermine sortit alors d’on ne sait où un objet phallique en bois poli

 

– Regarde ceci ! Cela s’appelle un « gaude mini », ça remplace une bite, mais c’est bien plus docile et ça peut donner beaucoup de plaisir…

– Et tu vas me…

– Je vais te… mais avec ta permission ma chère !

– Alors allons-y ! Répondit Goldevaine en fermant les yeux.

 

Hermine demanda à la jouvencelle d’écarter les cuisses et approcha l’engin diabolique de son con.

 

– Attention, ça peut te faire un tout petit peu mal, et tu vas saigner un peu. C’est normal !

– Fais vite !

– Ne t’inquiètes pas !

 

En fait, elle ne sentit pas grand-chose.

 

– Voilà c’est fait !

– Déjà !

 

Certes, c’était fait mais Goldevaine se demandait pourquoi, Hermine s’activait maintenant à faire bouger l’objet dans son fourreau.

 

– Tu fais quoi ?

– Des bonnes choses.

 

Ne cherchant plus trop à comprendre, la jeune fille se laissa faire, la sensation n’était pas désagréable et puis la compagnie de cette Hermine ne lui déplaisait pas.

 

Tout d’un coup cette dernière, cessa son godage et entrepris de se déshabiller.

 

– Tu me trouves comment ? Demanda cette dernière en se caressant sa jolie poitrine.

– Tu es une belle femme ! Répondit Goldevaine, un peu larguée.

– Mes tétons, ils te plaisent ?

– Ils sont mignons !

– Embrasse-les !

– Tu me demandes de ces choses !

– Goûtes-y !

 

Timidement la petite pauvrette approcha ses lèvres du bourgeon offert.

 

– Mieux que ça, fait tournoyer ta langue… voilà qui est mieux… Attends, je vais faire la même chose sur tes tétons

– Mais non…

– Mais si !

 

Goldevaine se laissa faire, cette douce caresse lui faisait un bien fou, elle en fut la première surprise.

 

– C’est bon, ce que tu me fais !

– Et attends, tu n’as encore rien vu !

 

L’apprentie putain ferma les yeux envahis par des ondes de bien-être tandis que sa chatte s’humidifiait.

 

– Qu’est-ce qu’il m’arrive ?

– Quand ta minouche est contente, elle se mouille, ainsi si on veut en profiter, c’est bien plus doux

– Voilà qui est singulier !

– Comme tu dis ! Ne bouge pas, je vais te lécher en bas !

– Mais…

– Laisse-moi faire, tu en redemanderas !

 

Hermine commença par laper la mouille qui avait envahi l’abricot de la jeune fille, puis après s’être régalée de cette liqueur d’amour elle se mit à faire virevolter le bout de sa langue sur le petit bouton d’amour.

 

– Tu fais quoi, là !

– Chut !

– Oh, Ah ! Oh là la ! Cria Goldevaine submergée par le plaisir.

– C’était bon ? Hein ?

– Ma foi…

– Seulement maintenant il y a un problème, tu m’as fait mouiller, tu vas donc me rendre la politesse.

– Je ne sais pas si je saurais…

– Tout s’apprend et ce n’est guère si compliqué.

 

Et soudain la porte s’ouvrit, et la Georgette fit irruption dans la chambrette et apostropha, Hermine.

 

– Je te trouve bien longue, nous avons un miché qui te demande en bas.

– Il est bien matinal !

– Il est peut-être matinal mais il t’attend de pied ferme

– Je ne peux être partout.

– Mais c’est qu’elle réplique, la putasse ! Couvre-toi sommairement et va le chercher.

– Mais que fait-on d’elle !

– Dans la chambre du fond ! Tu nous y attendras.

 

Restée seule, Goldevaine commença à se poser des questions, jamais au grand jamais elle n’avait envisagé qu’être serveuse montante dans une auberge était si éloigné de ce qu’elle en pensait. Mais elle se dit que la compagnie de cette Hermine était décidemment bien agréable et l’aiderais à s’adapter au lieu et à ses us et coutumes.

 

Cinq minutes après, Georgette et Hermine la rejoignait.

 

– Eh, oui, c’est déjà fait ! Précisa cette dernière, ce drôle est un « bite hâtif », trois petits mouvements de queue et sa semence est crachée.

– N’empêche intervint Georgette que tu aurais dû être en bas.

– Je crois que quoi que je dise, j’aurais tort, alors puisque tu as envie de me punir punis-moi.

– Je vais me gêner, tiens ! Répondit la tavernière en se saisissant d’une badine, dégage-moi ton gros cul que je le corrige comme il se doit.

– Bon, bon ! Répondit Hermine en obtempérant.

 

La Georgette malgré son intention sadique ne se montra pas méchante et se contenta de cingler une douzaine de fois le cul de la belle putain.

 

– Et tiens, en voilà un treizième ! Ajouta la tenancière.

– Non pas treize, ça porte malheur !

– Alors en voilà un quatorzième !

– Aïe, ça fait mal !

– Fallait pas demander. Bon je vous laisse à vos petits jeux, je suppose que vous n’avez pas besoin de moi ?

 

Hermine hésita.

 

– C’est-à-dire que je montrais à la nouvelle comment donner du plaisir à une femme !

– Et alors, tu crois qu’elle est là pour ça !

– C’est mieux qu’elle sache si un jour tu veux en profiter !

– Evidemment ! Allonge-toi ! Et toi la puterelle, regarde bien.

 

Hermine se coucha sur la couche, écarta ses cuisses et dégagea les lèvres de sa chatte.

 

– C’est ici que ça se passe, tu vois ce petit bouton qui ressemble à une bite de farfadet, il faut le lécher et le sucer, comme ceci…

 

– Et joignant le geste à parole, la grosse matrone commença à titiller le clitoris de la jolie brune, mais n’insista pas alors qu’Hermine émettait déjà des gémissements significatifs.

 

– Evidemment, c’est mieux quand tu as léché un peu partout avant, retarder le plaisir, c’est augmenter le plaisir. Et sur ces bons mots, je m’en retourne à mon travail, je n’ai pas que ça à faire.

– A toi de jouer ! Dit alors Hermine.

 

Alors Goldevaine se lança et pour la première fois de son existence fit connaissance avec le goût de la chatte. Elle trouva la chose étrange mais point désagréable, comme un mélange de bon poisson et de miel parfumé.

Lagaste2a

Elle fit comme lui avait montré la Georgette.

 

– Mon bouton, mon bouton ! S’impatienta Hermine.

 

Quelques secondes après, la belle brune jouissait bruyamment et humidement avant d’enlacer sa partenaire dans une belle étreinte qui se termina par un baiser profond. Encore une nouveauté pour Goldevaine.

 

– J’espère que tu as apprécié ces moments ?

– Ma foi, si c’est toujours comme ça, ici, mon séjour va être bien agréable.

– Ne te fais pas trop d’illusions, le plaisir que je t’ai donné, tu ne le retrouveras pas avec les hommes d’ici ! Ou alors bien rarement. Les clients ici se moquent pas mal de ton plaisir, ils viennent juste chercher le leur, mais ils ont payé et ils ont droit à un travail bien fait.

– Est-ce si compliqué ?

– Compliqué, non, mais il est des choses à savoir : être putain, c’est un métier ! As-tu déjà sucé une bite ?

– Non ? Pourquoi faire ?

– Les hommes adorent ça, enfin, beaucoup d’hommes ! Je vais te montrer comment procéder, nous allons appeler Ferdinand.

– Ferdinand ?

– Oui, le cuisinier ! Tu verras, il a une belle queue !

– Je suis embauchée, alors ?

– Presque ! Je vais te poser une éponge au fond de ta chatte, et maintenant ne bouge pas je vais chercher Ferdinand.

 

Dans un réflexe de pudeur instinctif, Goldevaine dissimula sa nudité avec un linge.

 

– Holà ! Veux-tu me retirer tout ça ! Comment veux-tu que le Ferdinand bande s’il ne voit pas tes appâts ?

 

Avec le sentiment de se jeter à l’eau, Goldevaine écarta le linge pendant que Ferdinand enlevait ses braies.

 

– Regarde-moi cette bite, commenta Hermine, elle est belle non ? Et elle bande comme un piquet, touche-la !

– Comme ça ?

– Non, comme ceci ! Rectifia Hermine en prenant la chose en mains et en lui imprimant quelques branles. A toi !

 

Ferdinand excité comme une puce pelotait frénétiquement les tétés de notre jeune héroïne.

 

– Calme-toi, Ferdinand, elle apprend, elle sera tienne dans un moment.

– C’est dur !

– Je le vois bien que c’est dur ! Bon, Goldevaine, si le client veut se faire sucer, il faut mieux lui laver la bite, tu devras toujours avoir dans ta chambre de l’eau fraîche, un linge et du savon ! Approche que je te montre.

– J’arrive

– Voilà tu le laves comme ceci et comme cela. Sinon, première chose : Quand l’homme a sorti sa queue, il faut que tu te le complimente ! Que tu lui dises qu’il a une belle bite, même si ce n’est pas vrai, ils adorent ça et vont se sentir en confiance.

– Ben !

– Ben quoi ? Ce n’est pas ta première bite d’après ce que tu m’as dit, alors, vas-y touche, tripote, caresse. Je te montre, tu mets ta main comme ça que tu fais glisser, tu remontes, tu redescends, tu dégages bien le gland, à toi !

 

Goldevaine s’empara de la bite de Ferdinand et la fit coulisser entre ses doigts.

 

– Maintenant suce !

– Maintenant ?

– Ben oui, quand faut y aller, faut y aller !

 

Une longue inspiration, une flexion des genoux, et hop, la queue de Ferdinand et dans la bouche de la jeune fille. Ensuite elle ne sait trop quoi faire de cet encombrant paquet alors c’est quasiment par réflexe qu’elle suce et qu’elle lèche plutôt n’importe comment que correctement.

 

– Bon je te montre un peu ! Regarde bien ce que je vais faire, je ne peux pas parler et sucer en même temps. Le mouvement principal c’est de faire entrer et sortir dans ta bouche mais en même temps tu peux, non tu dois, te servir de sa langue, pour augmenter les sensations, et il y a les petits à-côtés, de temps en temps tu sors ta langue et tu lui titilles le bout du gland là où sort le pipi, tu peux aussi lécher la verge à grand coup de langue, et si l’homme est très excité tu peux faire diversion en lui léchant les couilles et aussi le trou du cul.

– Ah, non pas le trou du cul !

– De quoi t’as peur, ça ne mort pas, et ça n’a pas si mauvais goût que tu crois.

– Berck !

– Mais non ! Bon assez causé, à toi de jouer, ma belle !

 

Alors Goldevaine s’appliqua à répéter ce que venait de lui montrer sa préceptrice. A un moment Ferdinand fit une petite grimace…

 

– Fais attention à tes dents ! Le drôle que tu suces ne doit jamais les sentir, faut faire comme si elles n’étaient pas là !

 

Goldevaine rougit de sa gaffe, mais continua à s’appliquer.

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– Quand tu sens une petite goutte salée en haut du gland, ça veut dire que le miché va bientôt jouir, il faut alors lui demander s’il veut que tu continues comme ça, ou s’il préfère te baiser !

– Ben justement je crois bien !

– Alors il va te baiser ! En gros les hommes choisissent entre trois positions, la classique, tu te couches et tu écartes les cuisses, il te baise, la levrette, tu te mets à quatre pattes et il te prend par derrière, mais certains hommes aiment bien que ce soit la femme qui fasse le travail, on va te montrer… Ah ! Oui, j’oubliais : il y a des hommes qui pendant qu’ils te bourrent ne pourront pas s’empêcher de te traiter de tous les noms, dans la plupart des cas, ce n’est pas par méchanceté, mais parce que ça les excite, dans ce cas tu les laisse dire et tu peux même te permettre le luxe de les approuver !

 

Ferdinand s’allongea alors sur le lit, et Hermine expliqua à la puterelle comment s’empaler sur sa bite.

 

– Et maintenant tu bouges, tu montes et tu descends.

 

Et c’est ce qu’elle fit, pas très longtemps, le Ferdinand ne parvenant pas à tenir la distance et retira sa bite gluante de sperme.

 

– Tu peux nettoyer, certains hommes aiment bien, d’autres non et ne pensent plus qu’à récupérer leurs habits.

– Et là je fais quoi ?

– Tu nettoies !

– Ça a quel goût ?

– Tu verras bien !

 

Elle plaça sa langue sur une goutte de sperme et ne trouva point la chose mauvaise et du coup nettoya comme il le convient la bite du vaillant cuisinier !

 

A suivre

Mar 20 jui 2021 Aucun commentaire