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Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 3 – Jira, la femme du chef par Nicolas Solovionni
Et, miracle, nous nous sommes posés sans encombre. Tout le monde s’embrasse, se congratule, à l’exception de Micky, blanc comme une craie.
On procède à quelques tests pour savoir dans quelles tenues sortir, ce sera tenue légère mais chauffante avec masque.
Nerren et Dyane font une très courte reconnaissance de territoire comme le veut l’usage sans rencontrer de problèmes particuliers.
Le check-up du vaisseau est plus inquiétant, les commandes automatiques de vol semblent toutes bloquées. Dilos s’active sur les ordinateurs mais à l’air perdu.
– On est mal ! Commente-t-il. Pour décoller on peut toujours faire un bricolage manuel, mais si on ne peut pas passer en hyperespace, après on fait comment ?
– Est-ce qu’on pourrait retourner sur Wiké ?
– En principe !
– Eh bien on fera comme ça, et on leur piquera un vaisseau, ça leur apprendra à nous recevoir comme des chiens. Bon, on va faire une petite reconnaissance du périmètre en réacteurs dorsaux, qui vient avec moi ?
– Euh, y’a quelqu’un dehors ! M’informe Nadget.
– Hein ?
On se précipite vers l’écran de contrôle. Dehors s’agite un humanoïde complètement à poil, les cheveux en pétard avec des tas de bracelets, de colliers et autres colifichets.
– Il ne sait pas qu’il y a un micro, ce guignol ? Et il n’a pas peur d’attraper froid ?
Du coup je branche le haut-parleur
– Bonjour ! Je suis Ajas Stoffer, le capitaine de ce vaisseau, nos intentions sont pacifiques.
– Gayascoh-Bah, agou Deo ?
– Qu’est-ce qu’il raconte ?
– C’est du nova, un peu archaïque, il nous demande si on est des dieux, le reste ça doit être son nom ! Me précise Nadget.
– Dis-lui qu’on est pas des dieux, mais qu’on les connait bien, on verra bien ce que ça donne !
– Baji rana karanga deo, kali balo
– Hein ?
– Il dit que son peuple va nous recevoir dignement… enfin un truc dans le genre.
– Sa langue, on a ce qu’il faut pour l’apprendre ?
– Ben oui, un quart d’heure de Loglangue et c’est bon.
On s’est donc tous farcis le petit logiciel magique et ensuite on parlait tous le nova comme des artistes.
– Je descends avec Nadget et Dilos, les autres vous restez là, on reste en contact radio permanent.
On a des armes visibles à la ceinture, mais on a aussi celles invisibles planquées sous la paume de la main et super efficaces en cas d’embrouilles.
On descend, Gayascoh, puisque c’est son nom, se confond en salamalecs. Je ne comprends pas tout, c’est bien beau d’apprendre le nova en vitesse rapide, mais sa langue a évolué.
Je comprends qu’on est convié à une sorte de fête. En revanche je ne saisis pas bien comment ces gens font pour survivre puisqu’il n’y a ni flore, ni faune.
On suit donc Gayascoh jusqu’à l’entrée d’une grotte, là il y a des escaliers aux marches rudimentaires, on descend, le type nous éclaire avec une torche en résine…
Elle sort d’où cette résine ? C’est peut-être pas de la résine ?
Et tout d’un coup le décor change, au lieu et place de murs caverneux, voici maintenant des murs tout lisses, des couloirs rectilignes au sol plutôt mal entretenu. L’éclairage semble électrique, comment cela est-il possible ?
Les couloirs ne sont pas très longs, il faut sans cesse tourner à gauche ou à droite, emprunter un certain couloir, ne pas en prendre un autre.
– Un vrai labyrinthe ! Me souffle Dilos.
Il disait peut-être ça au sens figuré, mais je me rend compte qu’on est effectivement dans un vrai labyrinthe. Si tout à l’heure on ne nous raccompagne pas à la sortie, on va être mal.
Et après un incroyable dédale nous quittons le labyrinthe pour retrouver d’autres parois caverneuses, puis nous pénétrons dans une grotte immense, éclairée elle par des dispositifs fluorescents.
Spectacle surréaliste : une trentaine d’hommes et de femmes de tout âge, complètement nus, peau très claire et bien dodues, avec colifichets partout où il est possible d’en porter, nous attendent.
Je m’étonne qu’ils soient tous à poil, par réflexe je regarde la température sur mon bracelet analytique,: 25°C ! Il règne un microclimat dans ces grottes.
Un bonhomme qui semble être le chef, ou le grand prêtre, ou le grand sorcier, allez savoir, nous abreuve d’un discours assez confus, dont il ressort que son peuple est content de nous recevoir et qu’il sont prêts à pratiquer « l’échange des dieux ». On ignore de quoi il s’agit mais il nous explique qu’ils ont de quoi nous payer, et même que nous pourrions visiter la salle des trésors.
Les choses se présentent donc plutôt bien et je réponds diplomatiquement au type de nous faire la liste de leurs besoins et que je reviendrais leur livrer à notre prochain voyage.
Le type s’appelle Fulgoll… sa tribu, les Oulms.
– Enchanté, moi c’est Ajas Stoffer, voici Dilos et Nadget.
Il regarde Nadget avec des yeux concupiscents, c’est tout juste s’il n’a pas la bave aux lèvres.
– Elle est belle ! C’est une offrande ?
– Pardon ?
– Je veux dire que je suis très flatté de l’honneur que vous nous faites en nous permettant de baiser cette très jolie femme.
La tête de Nadget !
– Rien ne presse, ajoute Fulgoll, voici ma femme et ma fille, du moins la plus belle de mes filles. Me ferez-vous l’honneur de les baiser. Elles sont très vicieuses et très dociles, n’est-ce pas Wulna ?
– Oui, Papa.
La Wulna fait des œillades à Dilos, moi j’ai droit à celles de Jira, la femme du chef.
On risque d’avoir du mal à gérer la situation. Dans la salle des hommes et des femmes s’activent à disposer des écuelles et des gobelets en terre cuite sur la table. On nous prépare donc une grande bouffe. Sur ce point pas de soucis, ça fait partie du métier d’honorer la table de ses hôtes même quand ce qu’on nous propose est moyennement consommable.
Pour la baise, c’est une autre paire de manches, Je n’ai rien contre les femmes rondes, mais là c’est limite, en revanche les deux nanas ont un beau visage et un beau sourire… Et puis il y a à peloter, donc on pourra faire avec !
Le gros soucis c’est Nadget.
Wulna demande à son père si elle peut « toucher l’offrande ».
– On peut peut-être attendre un peu ! Intervint-je par reflexe.
J’espère ne pas avoir commis une bévue irréparable.
– Voulez-vous voir la salle des trésors ! Nous demande Fulgoll ?
Bien sûr qu’on veut la voir, et même que cette diversion tombe à point !
On suit le bonhomme, les deux grassouillettes nous accompagnent. La salle en question n’est que 50 mètres plus loin et ne fait l’objet d’aucune protection apparente..
Il y a, posé sur une table, un peu n’importe comment, un incroyable fouillis de bijoux, de l’or, des pierres précieuses, des diamants ainsi que quelques objets que je n’identifie pas.
Je n’ai pas apporté d’analyseur de métaux, mais à coup sûr, tout cela n’est pas en toc et il y en a pour une fortune !
Du coup je me dis que leur fournir la liste des bricoles dont ils ont besoin contre une infime partie de ce mystérieux trésor, ne peut être qu’une aubaine.
Seulement voilà, il y a deux gros problèmes : le premier c’est de pouvoir repartir, possible mais compliqué ! L’autre est Nadget. Je la prend à part.
– Je ne sais pas quoi faire ! Commençais-je, j’ai l’impression que le vieux veut te sauter.
– Ce n’est pas une impression, il veut vraiment le faire.
– Je vais essayer de lui dire que ce n’est pas possible…
– Laisse tomber ! S’il veut juste me sauter, je peux faire avec ! On ne va pas laisser tomber le trésor pour des pudeurs de jeunes filles !
Ouf, j’en espérais pas moins !
– Seulement, il me faut des garanties ! Reprend-elle, si c’est juste pour me sauter, ça peut le faire, mais j’ai peur que ça aille plus loin…
– Comment ça ?
– Je ne sais pas moi, me brutaliser, me sacrifier, me bouffer…
– Mais non !
– T’en sais rien! !
– Je vais essayer d’avoir des précisions et puis je resterai près de toi pendant qu’il te sautera…
– Ben voilà !
On revient dans la grande salle, Wulna qui a de la suite dans les idées redemande à son père si elle peut toucher l’offrande
– Mais bien sûr ma fille, puisque c’est une offrande.
Je décide donc d’intervenir avec diplomatie.
– Cette offrande est très rare et très recherchée et je crois qu’elle vous comblera, mais nous comptons la présenter au grand Balantini.
– Qui c’est ? Je ne connais pas.
– C’est un haut dignitaire, très proche des dieux, avec qui nous avons des relations commerciales.
– Ah ? Répond l’autre visiblement largué.
– Nous voudrions nous assurer qu’elle puisse repartir aussi belle et aussi en forme que maintenant.
– Une offrande est une offrande, tous ceux qui veulent la toucher ont le droit de le faire avec mon approbation, mais il ne lui sera fait aucun mal.
Ouf !
– Bon alors je peux toucher ou pas ? Demande une nouvelle fois Wulna.
– Vas-y touche moi ! Répond Nadget.
– Faudrait enlever les habits !
Echange de regards entre elle et moi, dans le genre « quand faut y aller, faut y aller » !
Et pendant ce temps-là Jira, l’opulente femme du chef, m’enlace comme un boa en me faisant comprendre que si j’étais nu, ce serait beaucoup mieux.
Je me laisse entrainer dans un coin relativement isolé. Dilos et Wulna nous suivent et s’installent à 10 mètres de nous dans la pénombre. La Jira se colle contre moi comme une véritable sangsue.
Quelques personnes s’approchent, Jira les envoient vertement promener en les priant de dégager ! Hé, mais c’est qu’elle a de l’autorité la femme du chef !
Elle cherche mes lèvres, je ne refuse pas le baiser et en profite pour lui peloter ses énormes nibards. Je les aurais préférés moins gros mais comme dit le proverbe, abondance de nichons ne nuit pas, d’autant qu’ils sont terminés par de gros tétons que ma langue parvient sans peine à faire sortir de leur léthargie.
C’est que je bande maintenant comme un sapeur, je n’aurais pas cru.
La grosse Jira me fait de nouveau comprendre que si j’étais nu, les choses en seraient grandement facilitées.
Dont acte ! Je m’apoilise tout en fantasmant sur la belle cravate de notaire auquel j’aurais peut-être droit tout à l’heure.
Comme une furie Jira se précipite sur ma bite et la gobe ! Putain ! La fellation qu’elle me fait ! Ces troglodytes dodus semblent avoir assimilées tout le Kamasoutra depuis leur naissance !
Elle procède par de larges coups de langues sur le gland, des léchages longs et savants sur la hampe, des aller-retour profonds en pleine bouche et même du gobage de couilles.
Faudrait peut-être que je lui dise qu’à ce régime je risque de jouir prématurément. Le problème c’est que le Loglangue, le logiciel qui nous a permis d’apprendre la langue nova a oublié d’inclure tous les termes à connotation sexuelle. Ce qui fait que j’ai du mal à me faire comprendre.
Alors tant pis, ce qui devait arriver arriva, je décharge dans sa bouche. Ça l’a fait rigoler, Elle ouvre sa bouche remplie de mon sperme, elle veut me le faire partager. Si ça peut lui faire plaisir.
Bon on fait quoi maintenant ?
On s’est allongée l’un contre l’autre comme deux jeunes amoureux qui viennent de baiser pour la première fois derrière la grange.
Jira me caresse, elle a les mains douces et évidemment je lui rend la pareille. Et puis on s’embrasse.
Elle me dit qu’elle est heureuse de m’avoir comme partenaire, mais me demande pourquoi je suis si maigre.
Je ne suis pas maigre mais évidemment à côté d’elle…
Quelques minutes passent et voilà qu’elle s’en prend à mes tétons et me les pince d’abord assez délicatement, puis voyant que je réagis bien, plus fortement, elle les tire, les roule entre ses doigts, les tortille… Et voilà que je rebande !
Je me demande ce qu’elle a l’intention de faire ? De baiser probablement, mais comment ? J’ai un peu la trouille qu’elle veuille venir sur moi, c’est qu’elle est lourde, la madame !
Elle me fait des gestes bizarres, je comprends qu’elle souhaite que je me retourne. Allons-y !
Et la voilà qui me lèche le cul ! Ce n’est pas possible d’avoir une langue pareille, mais je ne vais pas m’en plaindre, je ne vous dis pas la sensation ! C’est trop bon de se faire butiner le cul par une bonne langue !
Elle y met tellement de salive que j’ai bientôt le trou du cul mouillé comme une éponge.
Petite pause. Je bouge ou pas ? Non, la voilà repartie à s’occuper de mon cul, mais cette fois ce n’est plus la langue qui travaille, c’est un doigt qui me pénètre l’anus, d’ailleurs impossible de savoir s’il s’agit d’un doigt ou de deux ? Vous croyez que c’est facile de compter les doigts qui entrent dans votre cul, vous ?
Bon, on va avoir un problème parce qu’avec ses mouvement de doigts, elle risque de m’exciter la prostate et de faire écouler mon sperme, ce qui nous obligera à un autre arrêt technique. Ensuite pour repartir, ça peut être compliqué, deux fois je peux, trois, je ne suis pas bite d’acier !
Elle s’arrête, se lèche les doigts, ouf, c’était bon mais… je l’ai déjà dit.
Elle se couche sur le dos à mon côté et de son doigt me désigne sa grosse chatte poilue..
Je crois deviner qu’elle veut que je la baise en position du missionnaire, mais ce n’était pas ça du tout.
Elle me fait comprendre par geste en me montrant sa langue et en me désignant du doigt qu’elle souhaite que je la lèche.
Moi je n’ai rien contre, je plonge ma tête entre ses grosses cuisses, l’environnement est poilu de chez poilu ! J’écarte ses grandes lèvres, c’est humide et ça sent un peu fort, mélange de cyprine, de sueur et d’urine. D’ordinaire les odeurs fortes ne me dérangent pas trop, mais là c’est un peu limite, je respire un bon coup et je me lance, et finalement j’y prend gout, sa chatte goûte bon. Elle a un très gros clitoris, j’y pose ma langue, puis mes lèvres, le suçant comme une micro-bite. Madame Jira, apprécie, tressaute, gigote, halète, transpire et finit par prendre son pied en gueulant des paroles incompréhensibles que les murs des cavernes lui renvoient en écho !
Bon, c’est pas tout ça, mais je voudrais bien baiser, moi ! Pour le moment Jira exprime se joie et sa reconnaissance en me couvrant de baisers multiples et variés. Une vraie sangsue vous dis-je !
J’en profite pour lui peloter ses énormes nichons, moi tant qu’il y a à peloter, je pelote !
Et la voilà qui se met en levrette ! Quel cul, mes amis, mais quel cul ! Elle m’indique alors d’un geste du doigt qu’elle aimerait bien que la prenne par le petit trou.! Ben oui, en y réfléchissant, ils ne peuvent avoir de moyens contraceptifs…
J’approche mon instrument reproducteur de l’endroit stratégique, mais ce n’est pas encore ça qu’elle souhaite. Elle tourne un peu la tête et me montre sa langue.
J’ai compris, mon plaisir devra attendre, madame souhaite que l’on fasse dans la feuille de rose, alors allons-y gaiement !
Comme je m’y attendais, ça ne sent pas précisément la rose, mais paradoxalement ça me gêne moins que de l’autre côté ! Mystère des effluves féminines ! Je lui lèche donc son délicieux trou du cul qui en baille de plaisir, lui provoquant d’amusants gazouillis.
– Traxyut minye ! Dit-elle
Je suppose qu’elle me demande de l’enculer et me remet en position pour le faire. Bingo c’est bien cela qu’elle voulait !
Maintenant il faut que je tienne la distance et que je fasse de nouveau jouir la dame. Elle m’a facilité la chose en partant au quart de tour, du coup je me suis laissé aller et j’ai laissé popaul se décharger dans son cul.
Elle m’a nettoyé la bite après sans vérifier son état et se régalant de mon sperme, puis nous sommes embrassés de nouveau, Elle est très affectueuse, la femme du chef !.
Elle m’a épuisée la Jira ! Ces nanas sont de véritables cyclones. Dilos est à peu près dans le même état que moi. On a la dalle, on a soif.
Mais c’est Nadget qui est dans un drôle d’état, certes, ils ne l’ont pas abimé, mais elle s’est farci des kilomètres de bites dans tous les orifices.
A suivre