Le blog de vassilia-x-stories
Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 2 – Orgie cosmique par Nicolas Solovionni
Il est de tradition sur les vaisseaux marchands, de faire la fête après que nous soyons passés en hyperespace, et j’avais prévenu Micky que l’ambiance risquait de devenir très chaude.
– Oh la la, j’ai peu ! Se gaussa-t-il
Mon équipage prend place autour de la table du mess, Dyane et Nerren que je vous ai déjà présentés, Dilos l’ingénieur de bord, Nadget, la belle blackette chargée entre autres de l’infirmerie, et Micky qui devient rapidement l’attraction du moment.
On boit un coup, on rigole… alors partouze ou pas partouze ? On attend que quelqu’un donne le signal. Ce sera Nerren qui apostrophe Micky :
– Il paraît que t’es mignon comme tout à poil ?
– On me l’a dit souvent, oui ! Mais tu ne serais pas un peu obsédé, toi ?
– Juste un peu ! Alors, tu nous fais voir ?
– Moi je veux bien, mais il faudrait que tout le monde soit d’accord ?
Mais comme la petite assemblée ne soulève aucune objection, Micky y va de son déshabillage devant les yeux médusés de l’assistance. Et il en rajoute, il se tortille du cul, se pince les tétons, se tripote les couilles…
– Wha ! Tu me fais trop bander, toi ! On peut toucher ? Demande Nerren.
– Mais bien sûr mon chou, j’adore les caresses !
Nerren ne voulant pas passer pour un rustre commence par lui caresser les bras. Puis ses doigts descendent vers ses gros tétons qu’il pinçouille.
– Oh, tu me fais de ces choses, toi…
– Tu m’excites ! Hum… ta bite, elle est trop belle !
– Touche là !
Nerren approche sa main et exécute quelques mouvement de masturbation.
– Hum, tu branles bien ! Tu suces aussi ?
– J’adore.
– En attendant, embrasse-moi, grand fou !
Nerren ne se le fait pas dire deux fois et embrasse Nicky à pleine bouche, tandis que la main de celui-ci éprouve le contenu de la braguette de son partenaire.
– Mais c’est qu’il bande bien, ce petit cochon !
– Forcement ! Concède Nerren.
– Déballe-moi donc la marchandise, sinon elle va étouffer.
Nerren se recule un tout petit peu afin de se déshabiller, et c’est tout nu et la bite en étendard qu’il revient vers Micky, et cette fois il s’accroupit à hauteur de la bite afin de la mettre en bouche et de la sucer comme il se doit.
Moi, je mate, amusé et excité, les deux nanas sont en pleine séance de fayotage, Dyane, la gretchen blonde à ma droite et Nadget la blackette à ma gauche, la première me tripote l’entrejambe, l’autre a trouvé le chemin de mes tétons, me voilà comme un coq en pâte.
Mais un qui me surprend, c’est Dilos. Dilos est un hétéro pur et dur, même si je l’ai vu une fois se faire sucer la queue par Nerren un jour de beuverie. Mais là il semble fasciné par le spectacle.
J’ai envie de jouer la provoc et je propose que tout le monde se mette à poil. Pas d’objection, on fait ça immédiatement et prestement, y compris Dilos qui bande comme un cochon.
Je fais signe à Nadget de continuer en mode provocation. Elle entre volontiers dans le jeu :
– Dis-donc, toi ? Ça t’excite de voir des mecs qui se sucent la bite ! Apostrophe-t-elle Dilos
– Pas du tout !
– Alors pourquoi tu bandes ?
– Justement je me demande ?
– C’est normal que je te fasse bander ! Je fais bander tout le monde, j’ai un super pouvoir ! Intervient Micky en rigolant.
– Tu devrais t’approcher de lui pour voir jusqu’où va son super pouvoir ! Lui dit Nadget.
– Ça va pas non ?
– Ben essaie, on te demande juste de t’approcher, personne ne va te mordre. Interviens-je.
– Mais vous êtes chiant.!
– Dégonflé ! Lui lance Nadget
Il cherche du « secours » du côté de Dyane, qui est sa copine de cœur, mais celle-ci ne répond que par un sourire narquois.
Alors Dilos prenant des airs de grand seigneur se lève de son siège ! J’espère qu’il ne vas bouder et quitter le mess, non il s’approche des deux zozos.
– Tu veux le sucer avec moi ? Lui demande Nerren.
– Mais non ! Répond Micky, ce n’est pas son truc, il veut juste me caresser la peau pour voir si elle est douce.
Bien joué ! Et Dilos se retrouve au pied du mur !
Il s’approche, se contente de lui passer la main sur l’avant-bras gauche. La main de Micky se pose sur sa cuisse et s’approche stratégiquement de son sexe. Dilos est comme paralysé et quand la main de l’androgyne enserre la verge afin de lui imprimer quelques mouvements de masturbation, il se contente de fermer les paupières.
Nerren se recule, Micky s’accroupit devant Dilos.
– Je vais te sucer juste un peu ! Tu verras, je fais ça aussi bien qu’une femme !
– Non ! Ça va maintenant…
– Laisse-toi faire, c’est une expérience.
– Je l’ai déjà fait, c’est pas mon truc !
– Ça ne compte pas, on était bourré. Objecte Nadget
– Bon tu te laisses faire un peu, il ne va pas te manger ! Intervient Dyane.
– D’accord je me laisse faire, mais vous êtes chiants aujourd’hui.
Toujours est-il qu’au bout de quelques instants, Dilos se pâme, le savoir-faire de Micky ayant raison de ses inhibitions.
L’androgyne a toutefois le tact de ne pas mener à fond sa fellation. Il devine que nous allons finir par tous nous mélanger et ne souhaite pas le rendre indisponible à ce genre de jeux..
– Alors, c’était comment ? Lui demande Dyane.
– Il suce bien, mais ce n’est pas pour ça que je vais virer de bord !
– Mais personne ne te demande une chose pareille. Répond-elle.
– Et toi tu le sucerais ? Lui demande Nadget.
– Surement pas !
– Il ne faut jamais dire fontaine… Commence doctement Nerren.
– Fontaine, fontaine, fontaine ! Ça ne veut rien dire ton truc !
Et tout le monde d’éclater de rire !
– Ils sont méchants avec toi, hein mon bichon ? Lui dit Dyane sur un ton de consolation tout en venant lui tripoter la bite. Embrasse-moi mes gros nichons, ça va te changer les idées.
Nerren a repris sa fellation sur Micky, Nadget s’approche d’eux, elle aussi veut gouter à sa bite.
Du coup me voilà réduit à faire banquette. Ce sont des choses qui arrivent, en attendant je profite du spectacle qui n’a rien de triste :
A ma gauche, Dilos est en train de lécher la chatte de Dyane comme un malade, ces deux-là se connaissent pourtant par cœur, mais ne dit-on pas qu’on ne se lasse jamais des bonnes choses. Devant moi, Nerren en galant garçon a laissé sa place de suceur de bites à Nadget, et lèche maintenant le cul du bel androgyne.
Je me décide à me lever de mon siège et me dirige vers Dyane. Elle est belle comme ça, une belle femme cougar très bien faite, avec une superbe poitrine et des tétons qui le font bien. Dilos lui lèche le minou comme un forcené en cambrant les fesses. Dommage qu’il ne soit pas bi, je serais bien passé derrière lui pour lui faire un tas de choses !
Je donnerais bien ma bite à sucer à Dyane, mais j’ignore si elle le souhaite en ce moment. Elle a les yeux fermés et est secouée de spasmes, elle transpire, elle gémit. Dilos est un bon suceur de chattes !
Elle finit par se rendre compte de ma présence, et me fait signe d’approcher ma bite. Je n’attendais que ça et profite donc de ses douces lèvres purpurines.
Mais sa fellation est vite interrompue par sa propre jouissance. Elle est trempée du sueur et de mouille, elle se retourne comme une crêpe, se met en levrette, écarte ses fesses en un geste obscène.
– Enculez-moi, les garçons !
Oui mais qui va commencer ?
– Je vous en prie, capitaine ! Me dit Dilos qui d’habitude ne me vouvoie pas mais qui fait son malin.
J’ai donc l’honneur et l’avantage de passer en premier, mais je ne suis pas un hussard et avant de faire pénétrer ma bite, c’est ma langue qui va lui explorer le fion, puis quand l’endroit est correctement humecté j’entre comme dans du beurre, je pensais pouvoir me maîtriser, mais ma libido est trop forte, il me faut jouir, alors je la pilonne comme un malade en de grands mouvements de bite.
Et pendant ce temps-là, Dilos est passé devant afin de se faire sucer.
Dyane recommence à gémir, je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir de nouveau, du coup j’accélère autant que je peux et je décharge dans son cul. Ma bite ressort toute spermeuse et parsemée de traces plus brunes. Dyane s’est jetée dessus pour tout nettoyer. Dyane est une cochonne. On s’est roulé un patin après, puis j’ai été récupérer, tandis que la bite de Dilos remplaçait la mienne dans son mignon petit cul.
En face la situation a un peu évoluée : Micky à plat ventre et les cuisses relevées est en train de se faire enculer par Nerren lequel excité comme un pou en a le visage congestionné. Nadget se la joue coquine en flanquant de grandes claques sur les fesses de son collègue afin de l’encourager.
Et soudain Nerren jouit en poussant un cri étouffé. Il sort sa bite du cul de l’androgyne. Nadget la lui nettoie.
– Tu aimes le sperme ? Lui demande Micky.
– C’est un régal.
– Je dois en avoir encore dans mon cul, tu le veux ?
– Bien sûr !
– Allonge-toi je vais te le chier dans la bouche !
On admirera la poésie de la réplique !
– Tu ne veux pas !
– Si, si !
Micky s’accroupit au-dessus du visage de la blackette, il pousse et évacue le liquide blanchâtre qu’il contenait. Nadget s’en délecte et comme elle est très partageuse, au lieu d’avaler tout toute seule elle n’en va narguer Dyane et lui en crache la moitié dans sa bouche. Et même que ça les fait rigoler !
Je me demande si on ne va pas faire un temps calme, quitte à reprendre après, mais Micky décidemment insatiable et qui n’a pas encore joui vient solliciter Dyane.
– On n’a rien fait ensemble, tous les deux ? Lui dit-il.
– Tu étais très occupé, je ne voulais pas déranger ! Répond-elle avec le sourire.
– Je ne le suis plus !
– J’avais compris ! T’es en train de me reluquer mes seins ? S’ils te plaisent , tu peux les ploter.
Puisqu’il en a l’autorisation, il ne se gêne pas, et après avoir caressé très doucement les jolies globes offerts, il se met à les malaxer un peu moins délicatement.
– Hé ! Doucement !
– Oh pardon !
– Ce n’est pas grave, mais modère tes ardeurs.
– Ça mérite une punition, non ?
– Peut-être pas quand même !
– Si, si, je veux que tu me punisses ! J’adore quand on me punit.
– Ah ! C’est ça ton jeu ? Alors d’accord on joue ! Quelqu’un aurait une ceinture à me prêter ?
Je lui prête volontiers la mienne, Micky se met en levrette et cambre les fesses, Dyane commence à les lui cingler. Tout le monde regarde comme au spectacle. Les fesses de l’androgyne ne tardent pas à devenir cramoisies, la fille abandonne la ceinture laissant Micky agiter son croupion.
Je considère cette attitude comme une invitation, et je lui rentre ma bite dans son cul et entreprend de l’enculer comme il faut. Nerren vient derrière moi, et me sodomise à mon tour. C’est fabuleux, nous voilà tout trois en train de jouer au petit train ! Et j’ai la meilleur place, celle du milieu !
Ces dames ne restent pas inoccupées, après s’être échangés tendres caresses et doux baisers, les voilà qui se gamahuchent mutuellement en un soixante-neuf black and white tout à fait ravissant d’autant que Dyane a sorti d’on ne sait où un joli godemiché avec lequel elle pilonne le trou du cul de sa collègue.
La salle s’emplit bientôt de nos râles de jouissance tandis qu’une odeur de stupre se répand dans l’atmosphère confiné.
On se repose un peu, on boit un petit coup. Nerren égrillard vient se poster, bite en avant devant Nadget et Dyane qui ne semblent plus vouloir se séparer.
Elles n’ont aucun mal à deviner ses intentions et ouvre la bouche d’un air canaille. Le jet d’urine de Nerren va de l’une à l’autre et ce qui n’est pas avalé coule sur les seins et les pieds des cosmonettes.
Alors Nerren en gros gourmand qu’il est, leur lèche les pieds… Quelle orgie les amis, mais quelle orgie !
Après un voyage sans problème, nous nous sommes donc posés sur Wiké, l’accueil de ces gens-là n’a rien de convivial. A la limite ils nous méprisent. En plus ils sont chiants en affaires, j’ai été obligé de baisser le prix de mes bricoles, Du coup j’ai refusé de charger leur pinard dans mes cales, espérant qu’ils évolueraient dans leur proposition.
Il est d’usage dans ce genre de transaction que cela se termine autour d’une bonne table, et c’est ce que j’espérais afin que l’on puisse aborder un petit peu ce qui se passe sur Orza.
Mais là, rien du tout, même pas un coup à boire. Jamais vu de tels pisse-froid ! Et puis leurs femmes, pas un décolleté, pas une seule cuisse de découverte. Savent pas vivre ces gens-là !
L’autre solution pour avoir des renseignements est de fréquenter les lieux de bordés. Sur les planètes peu fréquentés en vaisseau, ces établissements n’ouvrent leur portes que lors des atterrissages, la formule, bouffe, alcool et sexe fonctionnant toujours à fond, mais il faut croire que sur Wiké on ignorait cette pratique.
J’ai quand même sous un prétexte à la gomme, tenté de brancher l’un des officiers du cosmoport.
– Orza, c’est intéressant comme planète ?
– Personne ne va sur Orza.
– Parce qu’il y a des légendes qui courent…
– Eh bien laissez les courir.
– Y’a des vaisseaux qui vont là-bas !
– J’en sais rien ! Au revoir Capitaine.
Désespérant.
On ne s’est donc pas attardé, et le lendemain direction Orza. Les deux planètes étant en ce moment en opposition, nous avons mis trois jours pour l’atteindre
On s’est d’abord satellisé, recherchant des traces d’activité biologiques.
Drôle de planète, la présence d’eau se résumant à quelques lacs gelés, il n’y a ni flore ni faune visible.
On sélectionne une zone où nos détecteurs ont relevé une infime activité biologique et on entame notre descente.
C’est là que les bizarreries ont commencé.
– Les commandes ne répondent plus ! S’affole Nerren.
Branle-bas de combat dans la salle de pilotage
– Laissez tomber la descente, il faut quitter le champ de gravitation…
– Ça ne marche pas !
– En manuel !
– Rien ne fonctionne, on va se casser la gueule.
– Les rétro fusées sont opérationnelles ! Nous informe Dyane.
– C’est quoi ce bordel ?
– Ben on va atterrir, mais pas à l’endroit qu’on avait sélectionné.
– Les commandes manuelles refonctionnent, on fait quoi ?
– On contrôle l’atterrissage, on verra le reste après.
A suivre