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La reine Russo - 10 – Orgie royale par Nicolas Solovionni
Ce soir je suis convié au souper de la reine en compagnie de Yolaina et de Greta, ça risque d’être chaud !
Je n’aime pas arriver en avance quand je suis invité, alors j’arrive en retard.
Les trois nanas sont déjà là, la reine Russo dans un large fauteuil en train de consulter je ne sais quel papelard, Greta et Yolaina sont debout droites comme des piquets et attendent.
– Ben alors, capitaine, on s’est perdu en route ?
– Milles excuses votre grâce !
J’ai intérêt à faire attention , elle est capable de me faire flanquer une fessée pour ce retard pourtant minime.
– Bon, vous deux les amoureuses tragiques, vous savez ce qui va vous arriver ?
– Oui, votre grâce, je mérite d’être punie, mais Greta n’est responsable de rien du tout.
Yolaina savait pertinemment l’inutilité de sa réflexion, mais ne pouvait pas ne rien dire devant son amante.
– Voir Greta recevoir la cravache fait partie intégrante de ta punition, et ce n’est pas négociable. Répondit sèchement la reine.
– Je l’avais prévenue, elle acceptera donc le châtiment ! Admit Yolaina
– Oui, mais ne me tapez pas trop fort, s’il vous plait ! Intervient Greta.
– Ce ne sera pas moi qui tapera ! J’aurais pu demander les services de Nysis, je suis certaine qu’elle se serait fait un plaisir de faire ça, mais je veux juste vous punir, pas vous humilier, du moins pas à ce point. Non c’est une autre qui va s’occuper de vous.
La reine claqua dans ses doigts, et Nara fit son entrée vêtue d’une combinaison de cuir noir en latex.
– Eh oui, souvient-toi, cette brave fille avait été désignée de façon tout à fait arbitraire pour accompagner Lizda dans sa punition. Et toi la méchante tu avais tout organisé, elle va donc pouvoir se venger ! Bon assez discuté, à poil, les salopes !
Quand elles furent nues, la Reine vint devant elles, les toisa, puis leur tordit fortement les tétons le faisant grimacer de douleur, elle leur demanda ensuite de bien ouvrir la bouche afin qu’elle puisse leur cracher dedans plusieurs fois de suite
– Et maintenant, tournez-vous vers le miroir !
Yolaina n’était pas si rassurée que ça, non pas à cause de la punition en elle-même, mais du fait qu’elle serait infligée par une fille inexpérimentée. Elle ignorait bien entendue, que la reine avait fait répéter Nara sur des mannequins en mousse.
Nara leva son fouet, lança son coup qui marqua le dos de Yolaina. Celle-ci encaissa le choc, qui la fit se pencher en avant en ballottant ses seins et en étouffant un cri..
Comme on le lui avait demandé, Nara prenait son temps afin de faire durer le spectacle. Le second coup tarda à venir mais ajouta une jolie zébrure sur le dos de sa victime.
e troisième coup fut pour Greta qui ne s’y attendait pas et qui réagit en gigotant et en poussant un cri de surprise et de douleur.
Je n’ai rien d’un sadique et je ne me suis jamais complu dans ce genre de spectacle, pourtant aujourd’hui, je n’y étais pas insensible, la nature humaine est étrange parfois. Je me surpris donc à bander.
La reine Russo, ne s’embarrassant d’aucun protocole me sortit d’autorité ma bite de ma braguette et commença à me prodiguer une branlette lente. Putain que ces mains sont douces !
Nara continuait à fouetter, quand les dos des deux filles furent suffisamment marqués, elle s’attaqua aux fesses. Yolaina encaissait bien même si des larmes coulaient sur son visage. Greta tentait de faire bonne figure mais manifestement en avait assez.
La reine s’était dépoitraillée afin de me laisser l’accès à sa belle et généreuse poitrine. Vous pensez bien que je n’allais pas refuser de peloter et d’embrasser de si jolis fruits. !
– Nara, tu peux poser ton fouet ! Lui dit la Reine. Dis-moi ce petit jeu a dû t’exciter, je suppose ?
– Oui votre grâce !
– Je veux voir !
– Je dois me déshabiller ?
– Evidemment espèce de gourde.
La jolie brune retira sa combinaison, s’approcha de la souveraine et écarta sa chatte. La Reine approcha sa langue et vint butiner l’endroit se régalant de la mouille qui l’imprégnait.
– Tu vas maintenant passer du baume apaisant sur le dos et le cul de Greta. Si tu as envie de l’humilier encore un peu, ne te gêne surtout pas, mais je ne veux plus de violence.
– Votre grâce aurait-elle quelques suggestions !
– Tu n’as vraiment aucune imagination ? N’aurais-tu pas quelques envies pressantes ?
– Bien sûr, vôtre grâce.
Nara emmena sa victime dans une pièce contiguë qui faisait office de grande salle de bain. Elle aurait préféré faire ce genre de chose avec Yolaina afin de se venger de ce qu’elle lui avait fait subir gratuitement, Mais faute de mieux elle se vengerait sur sa copine.
Nara demanda à la soubrette de lui apporter le baume, puis entreprit d’en enduire le dos et les fesses de la belle blonde. Ce qu’elle lui faisait sur les fesses commençait à l’exciter, elle ne put s’empêcher de lui lécher le trou du cul, puis d’y introduire un doigt fureteur. Quand il ressort il est légèrement pollué.
– Dis donc, morue, tu m’as foutu du caca sur les doigts.
– Hi, hi !
– Et ça te fais rire en plus ! Lèche et nettoie-moi tout ça !
Greta qui avait déjà accompli ce genre de chose s’exécuta dans rechigner.
– Mais dis donc, tu as l’air d’aimer la merde, toi ! Retourne-toi, je vais faire un truc.
Nara se positionna au-dessus de sa soumise, lui faisant face.
– Faut que je pisse d’abord, ouvre bien la bouche !
Ce genre de choses n’avait rien de traumatisant pour Greta, bien au contraire, elle avala donc une bonne rasade de l’urine de la jolie brune. En revanche elle balisait pour la suite, elle n’avait à priori rien contre les pratiques un peu scato, tout cela n’étant qu’une question de dosage… Mais justement quelle allait être la dose ?
Nara se retourna, son anus est maintenant à quelques centimètres de la bouche de Greta. Elle pousse, mais ça n’a pas l’air de venir, elle pousse encore, Greta n’a pas eu le temps de bouger son visage et reçoit l’étron sur ses lèvres, elle ne bouge pas, paralysée son cerveau se demandant s’il faut être révulsé ou fasciné. Nara pousse encore, mais rien ne vient. Elle retire alors l’étron laissant des traces brunes sur le visage de la soumise, avec la matière, elle lui macule le visage et les seins, puis en prélève une noisette qu’elle approche de la bouche de Greta.
– Ouvre la bouche !
– Non !
– Ça a le même gout que mon doigt tout à l’heure.
– Non !
– Tu le gardes dans la bouche et après tu craches, d’accord
Pour Greta, il y avait plusieurs façon de s’en sortir, simuler une crise de nerf, pousser des grands cris, ou même tenter de s’enfuir de là… Elle choisit d’être bravache et ouvrit la bouche. Finalement ce petit goût n’avait rien de désagréable.
Dans la salle à manger de la reine, celle-ci déclara :
– Pour ce qui concerne Yolaina, ce n’est pas tout à fait fini ! En levrette Yolaina, Stoffer va t’enculer !
Je ne me suis pas fait prier et introduisait ma bite bandée dans ce délicieux derrière, mais j’avoue ne pas avoir saisi la démarche. Déjà je ne vois pourquoi la sodomie serait dégradante, d’autant que j’ai déjà eu l’honneur et l’avantage d’enculer la reine ? J’appris d’ailleurs par la suite que l’acte était loin de rebuter Yolaina qui pratiquait l’introduction anale avec des godemichets et qui avait eu également recours au service de quelques esclaves mâles bien montés.
Alors humilier Yolaina devant Greta ? Peu plausible cette dernière étant à mon avis au-dessus de ça, et de plus elle avait momentanément quitté la pièce ! A moins que ce soit simplement pour le fun, pour le spectacle. Parfois il ne faut pas trop chercher à comprendre !
– Vas-y, bourre la bien, mais ne jouis pas, la soirée ne fait que commencer.
Je pilonnais donc la belle Yolaine en cadence, ce qui sembla ne lui faire ni chaud ni froid pendant cinq minutes avant qu’elle ne se mette à glousser. Du coup mon esprit tordu se demanda ce que dirait la reine si je parvenais à faire jouir sa victime. J’accélérais alors mes coups de boutoir faisant monter le plaisir de ma partenaire qui maintenant ne se retenait plus et finit par pousser un cri fulgurant. Du coup, je me retirais.
– Viens me voir ! Lui dit-la Reine !
Suspense ?
La reine Russo enlace alors Yolaina et lui roule un patin, la reine est très joueuse.
– Mais votre bite est merdeuse, capitaine.
– Ah oui, je vais me la nettoyer.
– Laissez moi donc ce plaisir, capitaine ! Me répondit-elle en embouchant mon braquemard
On est passé à table, la reine, Yolaina et moi et avons commencé à grignoter quelques mises en bouche pendant que Greta se faisait attendre.
Celle-ci nous a rejoint, le visage et les seins orné de trainées brunes.
– Dois-je lui dire de se doucher ? Demande Nora
– Mais non, elle est très bien comme ça, ce nouveau fond de teint vous va à ravir !
C’est alors que je me rendis compte que je m’étais attablé, la bite à l’air, je me levais donc afin de récupérer mes vêtements.
– Voulez-vous rester avec nous; capitaine, vous vous rhabillerez plus tard. Est-ce que je me rhabille, moi ?
Le début du repas se déroula dans le calme, la reine nous raconta certaines anecdotes sur l’histoire de la planète. Elle racontait bien.
C’est au moment du dessert que les choses évoluèrent. Tainath, la soubrette nous apporta des tranches d’une espèce de cucurbitacée tenant un peu du melon et de la pastèque, quelque chose de très juteux et recouvert d’une glace délicieuse mais au parfum non identifiable.
La reine se mit à déguster son dessert comme une vrai cochonne en faisant couler partout sur elle..
– J’en ai partout ! S’amusa-t-elle, Greta passe donc sous la table et nettoie-moi tout ça!.
– Bien volontiers, vôtre grâce !
– C’est le moment de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. Et tu ne remonteras que quand tu m’auras fait jouir !
– Ce sera un plaisir votre grâce !
– Et vous deux, ne restez pas comme deux andouilles, Yolaina, fait donc une pipe au capitaine.
Cette dernière obtempéra et se pencha entre mes cuisses
– Mais non pas comme ça, Stoffer, levez-vous, j’aimerais bien voir ce qui se passe !
Alors elle m’a sucé debout, sans être exceptionnelle, sa pipe restait efficace.
– Je dois le sucer à fond ? Demande-t-elle à sa souveraine en reprenant son souffle.
– Fais comme tu veux et arrête de me poser des questions idiotes quand je me fais faire minette.
Et tandis que Yolaina alternait les va-et-vient de ma bite dans sa bouche avec de savants coups de langues sur le gland, la Reine commençait à être saisie de spasmes et poussait des jappements peu protocolaires qui se terminèrent par un cri strident en contre ut aigu.
Greta sort de dessous la table, la reine l’embrasse !
– T’es une bonne lécheuse de cramouille, Yolaina ne doit pas s’ennuyer avec une petite putain comme toi !
– Merci pour ce compliment, votre grâce, votre chatte est un régal !
– J’espère bien ! Mais regarde-moi c’est deux-là ! Vous faites quoi ? Greta va aider Yolaina à lui sucer la bite, vous lui faites ça à fond et vous ne recrachez rien ! Et toi Nara tu passes derrière lui et tu t’occupes de son cul avec ta langue et tes doigts
Trois femmes pour s’occuper de moi, une pipe à deux bouches, le rêve de tous les bonhommes, enfin presque tous ! Elle se refilent ma bite en alternance, tandis que derrière c’est la fête à mon cul, je sens que l’affaire ne va pas s’éterniser. C’est dans la bouche de Greta que je lâche ma semence.
– Embrassez-vous, les filles ! Ordonne la Reine.
Du coup elles se partagent mon sperme !
La glace sur le dessert a complètement fondu, pas grave, la reine en fait apporter d’autres.
A bord du « Serpentaire » qui s’était facilement satellisé autour de la planète Mijarka, l’ambiance était morose et Harnoncourt pestait après Corelli :
– Quel con, celui-ci ! Faire foirer mon évasion à cause d’une panne de carburant.
Il fut soudain pris d’un énorme doute :
– C’était du bluff, du carburant on en avait ! Elles nous l’auraient confisqué quand ?
– On redescend, alors, suggéra Pilzer.
– Trop dangereux, bien qu’on pourrait toujours se débrouiller, on a des otages ! Mais si c’est pas du bluff, on est mal.
– Alors on reste là ?
– Evidemment conard, mais on ne va rester les bras croisés, toi, l’ingénieur tu te mets au boulot et tu me casses toutes les sécurités du tableau de contrôle, allez, exécution !
– On y va, on y va ! Répondit Dilos.
Dilos et Dyane n’avaient pas eu l’occasion de se concerter depuis leur capture, mais l’homme avait bien compris en entendant le mensonge de sa collègue qu’elle se trouvait dans une situation où elle n’entendait pas faciliter la tâche de ses ravisseurs. Il décida donc d’en faire autant et de faire traîner l’affaire.
Sur le papier, le plan de Dyane était simple : endormir la méfiance de deux abrutis, les neutraliser, puis redescendre en surface. Si le point trois ne lui posait aucun problème les deux autres constituaient une autre paire de manches. Peut-être qu’une opération charme…
– Toi la pétasse, va nous préparer à manger. Ordonna Harnoncourt.
– Vous trouvez vraiment que je suis une pétasse ?
La gifle qu’elle reçut en pleine poire faillit lui faire perdre l’équilibre, elle eut cependant le cran de se garder de toute réaction.
« Ça s’annonce mal ! »
Un quart d’heure plus tard, elle revenait vers lui en dodelinant du croupon :
– C’est prêt, je sers où ?
– Ici, on va manger tous les quatre ensembles.
« Il veut pas que je cause en tête à tête avec Dilos, mais ça va devenir intenable, il faudra bien que ces deux abrutis dorment ! »
– Et quand le vaisseau sera débloqué, vous compter faire quoi ? S’enhardit-elle à demander.
– Toi tu la boucles ! Répondit Harnoncourt.
– Je disais ça, c’était histoire de causer !
– Oui ben justement, tu causes pas !
– Ecoutez, on est tous les quatre dans la même galère, on pourrait peut-être dédramatiser nos rapports…
– Pilzer, enferme-moi cette pétasse quelque part, elle m’énerve !
Dilos fut surprit de l’absence de résistance de sa collègue.
« Elle doit avoir un plan, qu’est-ce qu’elle mijote ? »
– Y’a un endroit qui ferme à clé de l’extérieur ? Sinon je vais être obligé de t’attacher ! Lui dit Pilzer dans la coursive.
– Débrouille toi !
– Sois gentille, je ne te veux pas de mal, ce n’est pas de ma faute si mon capitaine est mal luné !
– Gentille ? Je peux être super gentille, si on est gentille avec moi.
– Alors montre-moi un coin peinard et je ne t’attacherais pas !
– La réserve alimentaire ! Mon badge peut l’ouvrir.
Elle n’allait quand même pas lui confier que son badge ouvrait toutes les portes du vaisseau.
Elle déverrouilla la réserve.
– C’est vrai que tu peux être très gentille ?
– C’est notre intérêt à tous, mon gros lapin !
– T’es pas du genre farouche, alors ?
– Je serais même du genre salope, la seule chose que je demande c’est qu’on me respecte !
Et elle lui frotta sa main dans sa braguette.
– Oh, je sens quelque chose qui est en train de grossir !
– Ben dit donc…
– Laisse toi faire, on n’a que le bon temps qu’on se donne, allez sors moi cette bite !
– Montre-moi tes nichons !
– Mais bien sûr mon gros poussin !
En vingt secondes, elle relève son sweat, fait basculer les balconnets de son soutien-gorge et lui fout ses nénés sous le nez.
Du coup, Pilzer fait ce que font tous les mamophiles, il pelote, puis il embrasse, puis il tète
Dyane attend que l’orage se calme, puis s’accroupit de façon à ce que son visage soit à la hauteur de la bite de l’homme. Et hop ! dans la bouche, le zizi !
« Je vais te le faire jouir en deux minutes ! »
Sauf que l’homme est gourmand et réclame autre chose.
– Je peux te prendre vite fait !
– D’accord, prends-moi « vite fait ».
– Dans le petit trou, je peux ?
« Et puis quoi encore ? Il croit que c’est la fête ? »
Mais vu les circonstances elle ne se voyait pas lui refuser cette faveur.
– O.K. mais vas-y doucement, j’ai le cul fragile !
– T’inquiètes, je gère !
« Pourvu qu’il ne fasse pas ça comme un soudard ! »
Non, ça se passa vite et bien, il jouit en grognant, sorti sa bite et chercha quelque chose pour s’essuyer. Ne souhaitant pas le nettoyer avec la bouche elle lui tendit son sweet.
– Ça va le tacher !
– On s’en fout !
– Ça fait du bien ! Dit donc !
Elle aurait pu profiter de l’apathie post-coïtal du bonhomme pour lui foutre un grand coup sur la tête avec un objet contondant, mais d’une part ce genre d’acte risquait avoir des conséquences fâcheuses et d’autre part elle pouvait faire tellement mieux.
– Je vais te dire un truc ! J’espère que mon collègue ne va pas réussir à craquer le tableau de bord. Lui dit-elle.
– T’as peur ?
– Oui ! Sinon ton capitaine nous emmène vers la mort, déjà on ne se ballade pas dans l’espace sans copilote, ni navigateur…
– Il en est capable, ce mec est à moitié fou !
– Pourquoi tu l’as suivi, alors ?
– Je n’en sais rien, l’impulsion du moment, dès fois on réfléchis pas trop.
« Ça mord, ça mord ! »
– Et puis en admettant qu’Harnoncourt réussisse, il fait quoi après ? Tout ce qui ressemble à une mutinerie, vol de vaisseau et toutes ces sortes de choses sont horriblement mal vues. Ça donne le mauvais exemple, alors on appliquera la « loi de l’espace », ton capitaine il se fera trucider et pas gentiment, en plus, et toi, comme tu es complice tu subiras le même sort.
Pilzer devenait tout blanc.
– Il inventera un truc !
– Et pour qu’on le croit il faudra supprimer les témoins, tu voudrais vraiment le voir me liquider ?
– Non, bien sûr !
– Et comment tu feras pour l’en empêcher, tu as de l’influence auprès de lui ?
– Pas trop, non !
– Et puis je te signale que Stoffer est toujours vivant, il le retrouvera, alors son alibi…
– Tu proposes quelque chose ?
– Oui ! Que tu réfléchisses !
– Il va falloir que j’y aille.
– Alors ne verrouille pas la porte, je vais tenter quelque chose.
– Quoi ?
– Tu verras bien, mais promets-moi une chose, si Harnoncourt te donne un ordre contre moi, tu ne bouges pas. Promis !
– J’ai compris, je suis avec toi !
« Et voilà le travail ! »
La suite fut aussi enfantine que tragique :
Dyane s’en alla ouvrir l’armurerie qui ne contenait pas grand-chose, mais il y avait néanmoins un magnifique fusil désintégrateur à laser. Elle s’en empara et fit irruption dans la salle de pilotage :
– Les mains en l’air, Harnoncourt !
Il fonça, ne voulant pas croire qu’elle tirerait, c’est pourtant ce qu’elle fit, faisant passer Harnoncourt de vie à trépas. Situé derrière elle, Pilzer n’avait pas bougé d’un poil !
– Bien, dès qu’on sera en bonne position, on redescend ! Dit-elle en débloquant le tableau de bord.
Dilos se jeta dans ses bras tandis que Pilzer se demandait quelle serait la suite
– T’en fais pas mon lapin, on saura te récompenser !
A suivre