Le blog de vassilia-x-stories
Les loups-garous de Paris – 1 – Andréa la louve par Boris Vasslan
Bonjour, je suis Théo, 45 ans divorcé, voyageur de commerce.
Un jour j’ai tranché la tête du chef d’une meute de loups-garous ! Vous ne me croyez pas ? Lisez donc mon histoire :
1 – Andréa, la louve
J’étais en déplacement dans cette bonne ville d’Angers et c’est là que tout a commencé.
Je vais boire un pot dans une brasserie en attendant l’heure de mon train quand saisi d’une subite envie de pisser, je me rends aux toilettes.
Il y a deux urinoirs mitoyens, celui de gauche est occupé par une espèce de monsieur tout le monde en costume gris clair, légèrement enveloppé le bonhomme je trouve !
Donc, comme je ne fais rien comme tout le monde, je me lave les mains d’abord et me fais la réflexion que le citoyen met un temps fou à accomplir sa pissette.
Je me dirige vers l’urinoir et là je m’aperçois que le type ne pisse pas, il se masturbe. Ce qui est son droit le plus absolu, même si l’on peut s’étonner qu’il le fasse en ce lieu !
Et alors là, il se passe quelque chose, je ne veux pas regarder, mais je regarde quand même.
Ah, oui ! Précisons les choses : Je suis hétéro, j’adore les belles femmes, surtout celles qui ont des gros seins. Mais j’ai des petites tendances bi, ainsi je ne suis pas insensible au charme d’une belle bite, j’en ai même sucé quelques-unes dans des cabines de sex-boutiques dans des moment de grande excitation et ça m’a bien plu. J’ai aussi essayé la sodo, juste une fois, le mec était bourrin et j’ai arrêté les frais vite fait et puis avouez que se faire sodomiser dans une cabine de sexshop, comme romantisme on peut trouver mieux !
Tout ça pour vous dire que sentant qu’il pourrait se passer quelque chose, j’adressais un sourire de connivence à mon voisin de pissotière après avoir déballé mon propre engin.
Et spontanément on s’est caressé mutuellement la queue.
– T’es du coin ? Me demande-t-il.
Pourquoi cette question ?
– Non, Paris !
– Tu suces ?
J’opine du chef pour lui signifier qu’effectivement, je peux pratiquer ce genre de choses. Il m’invite à le suivre dans la cabine.
Pas un mot, le mec se déshabille, du coup j’en fait de même, délire pour délire, allons-y, mais je n’enlève pas mon pantalon, ni mon caleçon, les laissant s’affaler sur mes chevilles.
Le type est pratiquement glabre, mais possède un énorme tatouage en couleur représentant une tête de loup, il y a aussi une inscription en allemand que je ne déchiffre pas, n’ayant jamais étudié cette langue.
Il s’arcboute me signifiant par-là qu’il souhaite que je lui suce le zigouigoui..
Et soudain j’ai un flash de mémoire, faut dire que je lis beaucoup : à l’annonce la débâcle de l’Allemagne nazie, des groupes de nazillons ne supportant pas la défaite se sont organisés en commandos terroristes sous la houlette du fou sanguinaire Heinrich Himmler pratiquant assassinats et sabotages à qui mieux mieux ! Ces tarés avaient choisi comme nom les « werwolf », autrement dit les loups-garous. L’armistice ne les pas fait taire, ils ont continué et ils ont recruté…
Eh bien, croyez-moi, je n’ai pas envie, mais pas envie du tout, de faire une pipe à un gros nazi plein de graisse !
– Bon, on en reste là ! Dis-je en remontant mon pantalon.
– C’est quoi le problème ?
Et à ce moment le mec m’agrippe prestement les tétons, fortement, très fortement et m’en mord un avant que je puisse réagir.
– Tu ne me touches pas, OK ! Protestais-je fermement. J’ai dit qu’on arrêtait !
Le mec ne dit rien et récupère ses fringues.
J’ai l’impression que ce con m’a mordu au sang, je vérifie, effectivement, ça saigne.
– Tu m’as mordu connard !
Pas de réponse ! Je lui flanquerai bien un pain, mais je ne ferais pas le poids. Je me suis rhabillé avant lui, je me barre en le traitant de gros con, mais il ne répond toujours pas.
Je me précipite dans une pharmacie acheter du désinfectant, puis dans les toilettes d’un bistrot où je me m’applique.
Peu rassuré, on ne sait jamais avec le sang, j’ai fait faire un test en rentrant à Paris. Négatif, ouf, mais mon téton a du mal à cicatriser.
Le lendemain, en me rasant, je constatais que ma barbe semblait bien plus fournie que d’ordinaire.
« Ça n’a pas de sens, je dois me faire des idées ! »
Mais en retirant mon pyjama afin de prendre ma douche, je constatais que mon système pileux était devenu fou, j’avais des poils partout.
Et le jour suivant ce fut pire.
J’allais voir mon médecin traitant, qui ne put rien faire d’autre que de rédiger une lettre pour un collègue dermatologue lequel ne pouvait pas me recevoir avant trois semaines.
Je pris donc mon mal en patience supportant les remarques imbéciles de mes collègues féminines :
– Qu’est-ce que tu piques, aujourd’hui !
Nuit du 1er et 2 octobre
Ce soir-là, je ne sais pas ce qui m’est arrivé, j’ai eu l’impression de voir les choses qui m’entouraient à travers un filtre rouge, puis j’ai eu comme une sensation d’étouffement.
Il faut que je sorte, je prends ma bagnole et me dirige vers la forêt de Saint-Germain. Pourquoi cette direction ? Je n’en sais rien, il me paraissait évident qu’il fallait que je la prenne.
J’ai l’impression qu’une force invisible me guide et m’indique où je dois me rendre. Sur place je me gare dans une contre-allée. Il y a d’autres voitures, des motos aussi. J’ai chaud et me débarrasse de tous mes vêlements que je laisse dans la voiture. J’enlève aussi mes chaussures. Je cache la clé près d’un pneumatique. Mon corps est maintenant entièrement recouvert de poils drus. La lune est pleine et le ciel dégagé, j’y vois comme en plein jour.
Pris d’une irrésistible pulsion, je me mets à courir à toutes jambes. Je suis un loup-garou !
J’arrive dans une clarière où un groupe de loups tourne en rond. Une louve s’écarte du groupe, s’approche de moi et me renifle le cul.
– Baise-moi, je m’appelle Andréa.
Une louve nymphomane qui cause et qui s’appelle Andréa ! Je vais me réveiller quand ?
Je pénètre la femelle sauvagement en lui montant dessus tandis qu’autour de nous toute la horde se met à forniquer en tous sens.
La jouissance sexuelle est intense, je n’ai jamais connu ça ! La louve gémit et hurle, sans doute de plaisir, je me surprends à faire de même !
Je me repose un peu en me léchant les pattes de derrière, les loups vont et viennent, baisent et puis se calment. Un groupe compact s’est formé autour d’un grand loup, sans doute le chef de meute.
La femelle revient vers moi, elle en veut encore, qu’à cela ne tienne, ma bite de loup est en bonne forme.
Un gros nuage passe cachant le disque lunaire, quelques gouttes de pluie commencent à tomber, mais ça ne va pas s’arranger. La horde se précipite vers la contre-allée là où sont garées les voitures.
Des loups dans les voitures ? On aura tout vu ! Je vais faire comment pour conduire avec des pattes de loup ?
Mais, je me rends compte que je redeviens humain. Chic je vais pouvoir conduire, je récupère ma clé de voiture, puis mes vêtements et mes chaussures, mais voilà qu’une dame mature aux cheveux blond vénitien avec des lunettes et un joli sourire frappe à la vitre.
– Bonjour, je m’appelle Andréa, c’est avec moi que vous avez baisé tout à l’heure !
– Euh, ah bon, enchanté !
– Il faudrait qu’on parle ! Vous pourriez venir chez moi à 18 heures, voilà ma carte.
– C’est pour parler de ce qui nous arrive ?
– Bien sûr ! Mais attention Gondard va surement vous contacter aussi, faites-le poireauter, il faut absolument que je vous voie avant lui.
– Qui c’est Gondard ?
– Pas le temps de vous expliquer ! Mais faites gaffe, ce type est hyper dangereux, ce soir vous saurez tout. Excusez-moi, je file.
Marante la nana, rien d’une vamp, elle doit avoir dépassé la cinquantaine, mais il émane d’elle une sensualité très trouble et une gentillesse naturelle.
Je vais pour démarrer, quand un type frappe à la vitre, décidément ce doit être une manie locale.
– Vous êtes nouveau, n’est-ce pas ?
– Peut-être bien, mais qui êtes-vous ?
– Gondard, le chef de meute, j’aimerais m’entretenir avec vous au plus tôt.
– Je vais devoir descendre en province pour mon boulot. On pourrait se voir mercredi si vous voulez ?
– Alors à 20 heures chez moi mercredi ! Voici ma carte.
Je ne sens pas ce mec, sans doute un ancien militaire, cheveux très bruns, visage bronzé, grosse moustache et lunettes noires, Monsieur se prend pour un chef, il doit d’ailleurs être chef de quelque chose puisqu’il s’est présenté comme étant chef de meute. Quelque part, il me fait froid dans le dos.
Mardi 2 octobre
J’ai bien sûr accepté l’invitation d’Andréa. Si elle a des renseignements sur ce qui nous arrive, je l’écouterais bien volontiers.
Je suis rentré chez moi et j’ai essayé de dormir un peu, au réveil ma pilosité insolite avait complètement disparue. Bizarre.
Trop fatigué pour aller travailler, j’ai posé une journée de vacances et en fin d’après-midi j’ai pris le métro pour me rendre chez Andréa, à l’autre bout de Paris dans le quartier de Beaugrenelle..
Evidemment j’ignore tout de cette femme, je ne sais même pas si elle vit seule… J’achète un bouquet de fleurs, par politesse.
Elle me reçoit avec le sourire, elle est habillée de façon très sobre, pantalon en jeans et petit haut orange sans grande originalité mais laissant découvrir de jolies épaules. Et toujours ses petites lunettes !
– Merci pour les fleurs, elles sont très jolies. Entrez et asseyez-vous, nous avons beaucoup de choses à nous dire ! Vous voulez boire quelque chose ? Bière ? Jus de fruit ?
– Je veux bien un jus de fruit.
Elle me demande alors comment « ça m’est arrivé ». Ça m’embête un petit peu, elle n’a pas besoin de savoir que je fais parfois des trucs avec des mecs.
– J’étais en déplacement, j’ai dragué une nana, on a couché ensemble, elle était assez agitée, et elle m’a mordu un téton jusqu’au sang…
– Ça s’est passé où ?
– A Angers !
– Encore ? Ils sont toute une bande là-bas.
– Pardon !
– Je vais vous expliquer. Mais ne le prenez pas mal, mais vous venez de me mentir !.
– Mais…
– Tss, tss, je vous en prie, la situation est déjà assez compliquée comme ça ! Seul un homme peut contaminer un autre homme et seule une femme peut contaminer une autre femme. Heureusement quelque part car sinon, on serait déjà complètement envahi.
Touché !
– Bon, j’avoue c’était avec un homme… un moment d’égarement…
– Qu’on s’entende bien, je ne suis pas là pour vous juger, mais la situation est beaucoup plus grave que vous ne le pensez. On peut s’en sortir mais il faut que les choses soient claires.
– Pour l’instant je n’y vois pas clair du tout ! Répondis-je
– C’est normal que vous ne compreniez pas, je suis là pour vous expliquer. Je vais vous mettre à l’aise, je fréquente quelques cercles libertins et malgré mon âge, j’ai encore un certain succès. C’est au cours d’une de ces soirées qu’une cinglée m’a mordue l’orteil jusqu’aux sang, je lui ai retourné une mandale, mais le mal était fait. Le lendemain j’avais des poils partout. J’ai un ami dermato qui n’a rien compris, il l’a donné juste une crème épilatoire. Mais avant de continuer une question me brûle les lèvres…
Qu’est-ce qu’elle va me sortir ?
– Vous êtes homo ?
– Non, mais pourquoi cette question ?
– L’homme qui vous a mordu, c’était dans un moment d’intimité, non ?
– Oui, bon, je ne sais pas trop ce que je suis, et je m’en fous, disons que j’adore les femmes, mais que parfois j’ai des petits fantasmes bitophiles.
– Gros coquin ! Et quand nous étions en loup et que vous m’avez baisé, qu’avez-vous ressenti ?
– Une grande jouissance, quelque chose d’exceptionnel.
– Ça crée des liens non ?
– Si on veut !
– Si on l’a fait en loup, rien ne nous empêche de le faire en humain ?
V’la autre chose !
– Serait-ce une proposition ?
– C’en est une, à vous de voir si ça vous intéresse.
– C’est à dire…
– Je ne vous plaît pas ?
– Si, je vous trouve charmante, vous avez un beau sourire, mais disons que je ne m’attendais pas…
– Oui, en fait, vous ne trouvez pas vos mots !
– C’est un peu ça, oui !
J’ai failli lui dire que j’étais d’abord venu pour avoir des explications, mais la situation était tellement insolite…
– Et si je vous montre mes nichons, vous serez davantage motivé ?
Elle n’attend pas ma réponse, et d’ailleurs, que répondre ? La voilà qui se débarrasse de son haut, dévoilant un joli soutien-gorge noir avantageusement rempli. Elle le dégrafe.
Il sont très beaux ses seins, bien ronds, comme je les aime. Elle est marrante Andréa ! Oh, elle est loin d’être un canon, elle est de taille modeste, un tout petit peu enveloppée, mais au risque de me répéter : quel beau sourire charmeur !
– Ça vous plaît ?
– Faudrait être difficile !
– Caressez-les, j’adore qu’on me caresse !
Je le fais, sa peau est remarquablement douce. Je fais d’abord mon timide, puis l’excitation et la montée de mon érection m’entraînent à devenir plus hardi. Cette fois je pelote et je bande de plus en plus.
– Je peux les embrasser ?
– Ils ont à vous, faites-moi ce que vous voulez, mais ne mordez pas !
Et allons-y ! Je me régale de ses gros tétons érigés.
– Bandez-vous ?
– Je croie bien !
– Je peux vérifier ?
– Faites comme chez vous !
Andréa me tâte la braguette et après s’être assurée de la bonne raideur de la chose, dézippe la fermeture, vient farfouiller à l’intérieur de ses petites mains agiles et sort Popaul de sa cachette..
Elle me décalotte et me branlotte quelques instants, avant de plonger son visage et de mettre tout ça dans sa bouche et de se livrer à une série de savants pompages.
Puis, elle relâche la bite, mais c’est pour mieux titiller le gland de sa langue frétillante, juste quelques instants, avant de se redresser, satisfaite de ce qu’elle vient de faire.
– Hum, j’adore sucer des bites ! Je suis coquine, hein ? Maintenant, on va peut-être se mettre à l’aise !
Ben oui, après ces mises en bouche (c’est le cas de le dire) le moment est venu d’aller plus loin.
– Tu gardes tes chaussettes ? Me demande-t-elle en passant ainsi au tutoiement.
– Euh…
– C’est comme tu veux, mais admet qu’elle ne sont pas terribles !
Du coup je les retire.
Me voilà donc débout et complètement à poil. On fait quoi ? On va où ? Sur le canapé ? Dans sa chambre ?
Andréa se pointe devant moi et m’attrape mes tétons et me les tortille, J’adore ce truc.
– C’est bon !
– Je sais bien que c’est bon, c’est pour ça que je te le fais.
– Mais comment tu as su que j’aimais ça ! Ahh, c’est bon !
– Tous les hommes aiment ça, enfin presque, je te fais pas mal ?
– Non, c’est bon !
– Tu sais je suis très coquine et je n’ai pas beaucoup de tabous, je suppose que toi aussi, tu dois aimer plein de choses ?
– Ben…. Oui..
– Si tu as des envies particulières, faut me le dire.
– On va voir…
– Autrement dit, c’est à moi de trouver ? Tu ne serais pas un peu timide comme mec ? Quand tu suces des bites, tu fais aussi ton timide ?
– Je ne suis pas timide.
– Tu parles ! Tourne-toi, que je vois tes fesses.
Elle pousse un sifflement admiratif ! Je découvre donc deux choses la première c’est la dame siffle très bien, la seconde c’est que c’est la première fois que quelqu’un s’extasie à la vue de mon derrière.
– Quel beau cul, quand même !
– Qu’est-ce qu’il a de spécial ?
– On peut en faire des choses avec un cul ! Les petites fessées tu aimes bien ?
– Ça peut être amusant… euh, si c’est pas trop fort.
Elle s’assoit alors sur le canapé et m’invite à me coucher sur ses cuisses. Y’a combien de temps que je n’ai pas joué à ce jeu-là ? Y ais-je déjà joué ailleurs que dans mes fantasmes, d’abord ?
Andréa a des petites mains, mais elle tape fort.
– Tiens, vilain garçon, ça t’apprendra à faire des bêtises !
Ah bon, on est dans un jeu de rôle ? Je n’aime pas les jeux de rôles et je me demande combien te temps elle va me faire ça.
Et elle tape, et elle tape.
– T’aimes ça, hein pédale ?
Je ne me considère pas comme un pédale, mais si ça lui faire plaisir de me traiter de noms d’oiseaux, grand bien lui fasse.
Et alors que cette fessée imprévue commençait à m’énerver, je ressens maintenant comme un étrange picotement, comme si la douleur se sublimait pour laisser place à un plaisir aussi trouble qu’indéfinissable.
Mais Andréa doit avoir les mains douloureuses, elle s’arrête.
– Allez, relève-toi, tu as vu dans quel état tu m’as mise ? Me dit-elle en écartant les cuisses.
Le fait est que ça dégouline sévère !
– Lèche !
Vous pensez bien que je ne vais pas dire « non » ! Et je plonge là-dedans comme une abeille dans un port de confiture.
Je me régale de sa mouille, de ce goût particulier où se mélange le sucré, le salé et l’acide. Et tandis que ma langue ne chôme pas, la petite rousse pousse des petits cris de plaisir qui me ravissent à entendre.
Son clito est érigé comme une mini bite, ma langue s’enroule autour, une fois, deux fois, trois fois, Andréa se tétanise, hurle et remouille.
Mon égo est content : j’ai réussi à la faire jouir.
Elle souffle quelques instants, la mine toute épanouie.
– Faut que j’aille pisser ! M’annonce-t-elle. Ça t’intéresse ?
– Oui, pourquoi pas ?
– Je savais bien que t’étais un petit vicieux ! Tu fais ça souvent ?
– Ben, quand je vivais avec ma femme, elle ne fermait jamais la porte, alors je regardais, ça ne la dérangeais pas, mais ça n’a jamais été plus loin, je lui ai demandé, mais elle remettait toujours à plus tard.
– T’aurais voulu qu’elle te fasse quoi ?
– Qu’elle me pisse dessus !
– Sur le corps ? Sur la bite ? Dans la bouche ?
– Tout ça !
– Tu l’a jamais fait, alors ?
– Si avec des putes !
– Et ça t’as plu ?
– Oui !
– Allez viens !
Et nous voilà partie dans la salle de bain. La petite dame possède une baignoire et m’invite à m’y installer. Je n’aime pas le contact avec mes fesses, c’est froid, mais on s’habitue. Andréa me rejoint. Je me dispose le mieux possible afin que son pipi vienne arroser mon visage.
Et tout d’un coup, la source jaillit, J’avale ce que je peux, je me régale de ce bon pipi au gout de bière salée, André rigole de tout son soûl. J’adore sa décontraction et sa fantaisie.
– T’as envie, toi ? Me demande-t-elle.
– Je peux essayer.
– Ben oui, essaie !
On inverse les positions. Il y a quelque chose d’infiniment troublant à voir une femme la bouche ouverte attendant qu’on lui pisse dans la bouche.
Et c’est qu’elle aime ça la coquine, elle nous avale ça comme si c’était du Ruinart. Je lui en ai mis sur ses lunettes, ça la fait rigoler, je vous dis, elle rigole tout le temps.
Elle approche sa bouche de la mienne, on s’embrasse enfin, un long baiser, sensuel et baveux à l’arrière-goût particulier, mais qui ne fait qu’ajouter à l’excitation.
Je vais pour m’extirper de la baignoire, mais Andréa m’en dissuade.
– Tourne toi, je vais te faire quelque chose !
Elle ne va pas recommencer à me donner des fessées, j’espère ?
– Putain, t’as le cul tout rouge, je n’ai pourtant pas tapé si fort, t’as la peau qui marque ?
– Possible !
Et voilà que je sens sa petite langue virevolter autour de mon troufignon. J’avoue, cher lecteur que si j’avais déjà léché quelques rares anus féminins avec beaucoup de plaisir, on ne m’avait jamais prodigué cette délicieuse privauté sur ma personne. C’est agréable, ça me donne des frissons, des gazouillis, j’aime !
Et soudain la langue disparait, je sens un doigt qui me tripote le trou du cul, qui le pousse, qui veut y pénétrer. Il est le bienvenu ce doigt, je m’ouvre, ça entre et le doigt se met à gigoter dans mon fondement. C’est trop bon !
– T’aimes ça, un doigt dans le cul ?
– J’adore, continue !
– Qui c’est qui te faisais ça, ta femme, les putes.
– Les putes, oui !
– Elle étaient gentilles au moins !
– Celles que je fréquente sont très gentilles.
– Aujourd’hui c’est moi ta pute ?
– Ah, bon, tu me diras combien je te dois !
– Nous ferons les comptes plus tard ! M’annonce-t-elle d’un air solennel avant d’éclater de rire.
Je vous dis, elle rigole tout le temps, mais ça l’empêche pas de continuer à me doigter la rondelle.
– Tu t’es déjà fait enculer ? Je veux dire par une bite ?
– Ben oui, une fois et c’était pas terrible !
– Ça t’a passé l’envie de recommencer ?
– Non, c’est pas ça, disons que je n’ai pas eu l’occasion, et puis je ne cherche pas non plus.
– Mais si l’occasion se présentait…
– Je le ferais, enfin j’essaierais, je fantasme toujours là-dessus.
– Et t’as pas honte ?
– Non, pourquoi ? Je devrais ?
– Tu sais, il m’arrive parfois d’aller au « Guignol bleu », c’est une boite où il y a pas mal de bisexuels des deux sexes, des travelos aussi… j’adore voir des mecs d’enfiler, souvent pour faire ça, ils se planquent dans des cabines, mais pas toujours, certains aiment s’exhiber. Ça te dirait qu’on y aille ensemble un de ces jours.
– Pourquoi pas ?
– Bon. On va finir en beauté, sors de là-dedans et essuie-toi un peu, on va aller sur le canapé et tu vas m’enculer !
– Mais avec grand plaisir !
Andréa s’est mise en levrette, les cuisses écartées, le cul relevé ! Elle a le cul joli.
– Je peux lécher un peu avant ?
– Si tu n’as pas peur de l’odeur, vas-y ! On est des loups-garous, on n’a pas besoin de capote.
– Je préfère quand même…
– Comme tu veux !
Elle m’a parlé d’odeur. Quelle odeur ? J’approche mon visage, je hume, je sors ma langue, évidemment ça ne sent pas la savonnette, un petit goût âcre, un léger parfum d’andouillette… mais pourquoi m’a-t-elle dit ça ? Pour tester si j’ai des tendances scatos ? Bref, passons.
Et après m’être régalé ce cette petite feuille de rose, je m’encapote, et approche ma bite du trou mignon. Ça entre là-dedans comme une cuillère dans un moka. Je m’agite en me disant qu’excité comme je suis-je vais peiner à tenir la distance.
Mais heureusement, après à peine une minute de coup de piston, Andréa commence à couiner, et plus je pistonne, plus elle couine, je n’ai rien chronométré (il ne manquerait plus que ça !) mais cette sodomie n’a duré que le temps d’une chanson, se terminant pour moi par une éjaculation abondante et pour Andréa par un cri de plaisir suivi d’un état second empreint de béatitude.
Elle m’a ensuite nettoyé la bite avec sa petite langue agile, se régalant de mon foutre.
à suivre