Le blog de vassilia-x-stories
Service d’étage 2 – Brazil Brazil
par Boris Vasslan, sur une idée proposée par Arnaud
Prologue
Soyons franc, quand le « gentil animateur » de « Viva Cuba » (voir ce récit) m’avait parlé de cette variante transsexuelle à Rio de Janeiro, j’avais été intrigué, mais je ne comptais pas trop donner suite. Je pensais sincèrement qu’en un an de temps j’aurais le loisir de me recaser…
Et bien non ! Un an après j’étais toujours aussi célibataire et toujours aussi paumé.
Je pénètre dans l’agence de voyage. Une nana genre fausse blonde un peu grassouillette, mais le visage agréable et le sourire avenant me fait un accueil de circonstances !
– Monsieur ?
– Bonsoir, euh qu’est-ce que vous auriez à me proposer au Brésil ?
– Ben plein de choses, je vais vous montrer ce que nous avons en catalogue…
– Euh, je suis partie à Cuba par votre agence l’an dernier, et la personne qui s’occupait de nous m’a dit qu’il existait à Rio de Janeiro des hôtels un peu, un peu…
– Un peu ?
– Un peu particulier !
– A quel point de vue ?
– Euh !
– Je vous écoute !
Cette garce s’amusait de mon embarras. L’envie un moment me tenailla de tout planter là et de me rabattre sur des vacances au cap d’Agde… Mais dans un moment de bravade je lui lançais :
– A Cuba certains membres du personnel proposait des prestations un peu en marge de leurs activités habituelles, tout en étant très corrects et en n’insistant pas outre mesure…
– Quel genre d’activité ?
– Du tricot ! Au revoir mademoiselle, j’ai dû me tromper d’agence !
– Mais, arrêtez, je vous fais marcher, et vous partez au quart de tour, nous avons sans doute ce qu’il vous faut !
– Ça vous amuse d’asticoter les clients !
– Je n’asticote personne ! C’est stratégique, mais je vous expliquerais si un jour vous êtes sage…
Elle se leva, fouilla dans une armoire, et en sorti un dépliant !
– Voilà, nous ne mettons plus cet hôtel en catalogue, parce que nous avons eu des réclamations de certains clients… Qu’est-ce que vous voulez, il nous faut faire avec tout le monde. Bon !
Elle aligna quelques chiffres, me les tendit…
– Voilà les tarifs… en pleine saison pour une semaine, est ce que ça vous convient ?
– C’est dans mon budget !
– Heu, ce n’est pas une formule club, je vous vends juste le vol et la chambre d’hôtel.
– Ça ira !
– Vous souhaitez partir à quelle époque ?
On règle un certain nombre de problèmes pratiques, puis juste au moment de me faire signer, elle tient à me préciser !
– C’est à vos risques et périls, bien sûr !
– Pardon ?
– On ne peut pas exclure le fait que la direction de l’hôtel ou les autorités locales aient mis fin à ce genre de pratiques…
Ah, ben oui, je n’avais pas pensé à cela !
– Euh !
– Alors vous prenez le risque ?
– Vous en pensez quoi, vous ?
– De toute façon la destination est intéressante, il n’y a pas que le sexe dans la vie… et puis si vous chercher vraiment des travelos, vous en trouverez là-bas, ça ne doit pas être si difficile
même s’il n’y en a pas dans l’hôtel !
– Mais, il ne vous est vraiment pas possible de vous renseigner, de passer un coup de fil….
– Je ne suis pas payée pour faire ce genre de choses, mais tenez… me dit-elle en me passant le combiné, je vais vous composer le numéro !
– Mais je leur dis quoi ?
– J’en sais rien, c’est une idée à vous de téléphoner, non ?
La nana s’est penchée de telle façon que j’ai une vue plongeante dans son décolleté vierge de tout soutien-gorge, elle a la poitrine plutôt modeste, mais j’aperçois tout de même un petit téton brun tout à fait coquin… Et bien sûr je suis tellement discret qu’elle s’en aperçoit.
– Vous cherchez des travelos et vous matez dans mon décolleté, j’ai un peu de mal à suivre, là !
– Je vous expliquerais…. Allô ! Vous parlez français, non ? Do you speak english ? Yes ! Je voudrais louer une chambre dans votre hôtel, mais je voudrais savoir si vous avez toujours du personnel
travesti ?
– I don’t understand, will you repeat please !
Je répète en essayant de soigner mon accent, rien à faire !
– Bon tant pis, j’y vais quand même !
– O.K. ! Ben vous signez le truc et vous me faites un chèque !
Je signais tout ça !
– Bien parfait, mais vous n’avez pas répondu à ma question. Si vous aimez les travelos, pourquoi vous reluquez mon décolleté ? Je ne devrais pas vous intéresser, je suis une femme, moi.
– Parce que je suis un petit coquin.
– Vous êtes à voile et à vapeur ?
Quel romantisme !
– Disons que j’ai des goûts très éclectiques.
– Vous trouvez qu’il est trop osé, mon décolleté ?
– Non pas du tout !
– Vous voulez regarder encore ? Je vais vous faire un aveu, j’aime bien qu’on me regarde !
Qu’est ce qui lui prend à la voyagiste ? Mais quand on me fait une proposition pareille je ne refuse jamais, à moins que ce soit de la provocation et que tout ça se termine par une paire de gifle. Maintenant que j’ai signé, elle ne risque plus rien.
– Vous savez, je ne me lasse jamais d’un joli spectacle.
Elle jette un coup d’œil par la vitrine, afin de s’assurer qu’elle ne sera pas observée pendant son court délire, puis des deux mains agrandit son décolleté, j’ai devant les yeux deux petits seins bronzés aux tétons arrogants.
– Ils doivent être très doux à caresser ! Commentais-je
– Ne soyez pas trop exigeant !
– Je n’exige rien !
A nouveau, elle regarde vers la vitrine ! Puis elle reprend !
– Allez-y mais juste une seconde !
De ma main j’effleure son sein droit, je m’arrange pour faire rouler très légèrement sa pointe avec ma paume. Elle pousse un soupir. Stratégiquement je stoppe mon geste. Elle me regarde, les yeux vagues.
– Je suis toute excitée, ce doit être la chaleur, où alors c’est vous avec vos envies de travelos…
– Il sont très jolis vos tétons, ça doit être très agréable de les embrasser !
– Non, mais c’est tout oui ? Vous croyez que c’est la fête ?
– Juste un bisou, et je file ?
– D’accord dépêchez-vous !
Je lui embrasse le téton et la sens soudain moins pressée, je m’enhardis à mettre en contact le bout de ma langue avec ce petit appendice de chair si charmant. Elle soupire :
– Encore un petit peu… l’autre aussi…
Cette fois ci, je n’hésite plus, je tête, j’aspire, je sens le bout de son sein grossir sous mes lèvres.
– Arrêtez !
J’obéis.
– Sauvez-vous, sinon je vais devenir incontrôlable !
Elle dit ça mais en même temps lorgne vers ma braguette. J’ai un pantalon clair et mon érection se devine. Elle y met la main.
– Ça vous a fait de l’effet, on dirait !
– Vous êtes très excitante !
Elle remet sa main, me palpe la bite à travers mon pantalon, juste quelques instants, puis se reprend.
– Bon, disparaissez, parce que sinon vous allez me faire faire des conneries.
– Il y des bêtises bien agréables, et puis bon, on ne vit qu’une fois…
– Vous allez me prendre pour qui ?
– Pour une petite coquine !
La fille prend alors une feuille de papier, elle marque dessus à l’aide d’un gros feutre « réouverture à 11 heures » et s’en va le scotcher sur la vitre de la porte qu’elle verrouille ensuite. Ce n’est pas possible, c’est mon jour de chance !
– Allez viens, on va derrière !
Je la suis dans la minuscule arrière-boutique où s’entasse des boites, des vieux catalogues et autres bricoles. Et d’emblée elle me remet sa main sur mon pantalon, mais cette fois de façon plus assurée.
– Hum, j’ai envie d’une bonne bite ! Dit-elle.
Nos visages se rapprochent, on s’embrasse et on mélange nos langues avec frénésie comme des amants qui ne se seraient pas vu depuis six semaines…
– Allez libère-moi tout ça !
Je dégrafe ma ceinture, mon pantalon glisse sur mes chevilles, le caleçon suit, et ma bite est déjà dans ses mains.
– Hum… elle est mignonne ta bite !
Je rougis sous le compliment, mais elle ne s’en aperçoit pas, elle a déjà tout mis dans sa bouche et commence à me faire un pompage en règle. Je suis aux anges, elle a une façon de donner des petits coups de langue sur le gland qui me transporte d’aise… et puis d’un coup la voilà qui s’arrête. Elle se débarrasse de son pantalon, vire la culotte, se fout la main sur la chatte, me la tend !
– Oh, là là, je suis toute mouillée !
Et elle s’assoit sur un carton assez haut, le sexe à hauteur de mon visage ! J’ai compris l’invitation.
– Si tu enlevais le haut ? Proposais-je.
Elle enlevé son petit haut, m’exhibant ses petits seins que je me précipite de sucer.
– Hum c’est bon ce que tu me fais, espèce de gros salaud, viens me sucer la chatte, viens…
O.K., on y va ! J’adore sucer les chattes, la sienne est humide, gluante, je suppose qu’elle veut jouir vite et je m’acharne sur son clitoris !
– Tu as des préservatifs ?
Pourquoi « des » j’en ai toujours un dans mon portefeuille, je lui dis !
– OK, vas-y enfile le !
Dingue ! Je ne pensais pas qu’elle irait jusque-là ! Mais allons-y ! Elle se retourne écarte ses gros globes fessiers. Envie irrésistible d’embrasser tout ça, je m’en octroie la permission, elle se laisse faire, ma langue rencontre son petit trou ! Quelle délicieuse odeur que celle de son trou du cul ! Au moins ça sent le cul, pas le gel douche !
– Oh, oui, vas-y fous-moi ta langue dans le cul, dans mon cul de salope !
Elle est déchaînée, son anus s’est ouvert sous l’action de ma langue et j’arrive à le pénétrer un petit peu, mais je bande de trop, il va falloir que ma queue entre en action.
– Encule-moi ! Encule-moi comme une salope !
On y va, on y va ! Ma bite s’enfonce dans son arrière-boutique comme une cuillère dans un flan aux cerises.
– Vas-y c’est bon, plus vite, plus fort, oh, tu m’encules, bien mon salaud !
Le problème c’est que suis tellement excité que je ne vais pas tenir longtemps. J’ai un moment le projet de sortir et de jouir dans sa bouche, mais ça m’est impossible, je me lâche, décule. Elle se retourne.
– Lèche !
Me voici de nouveau la langue dans sa chatte, et de nouveau je virevolte sur son clitoris qui a doublé de volume. La voyagiste est en sueur, elle halète, de fines gouttelettes viennent sous la faible lumière du recoin modeler son corps. Je m’applique, la sent prête, j’accélère, elle éclate, reste groggy une petite minute. Je me rhabille, elle fait de même.
– C’était un coup de folie ! Me dit-elle comme pour s’excuser.
Je me retrouve un peu con, je me demande de quelle façon je vais lui dire au revoir. Un bisou ? On dirait qu’elle a envie de me dire quelque chose.
– Vous allez faire quoi avec les travelos au Brésil ?
– Des choses coquines !
– Dites-moi quoi !
– Les voir à poil, baiser.
– C’est tout ?
– Leur sucer la bite peut-être ?
– Hum, et vous aller vous faire enculer aussi ?
– Ce n’est pas impossible !
– Je voudrais vous demander quelque chose !
– Oui.
– Au retour, je voudrais que vous me racontiez tout ça.
– Pourquoi pas ?
Plusieurs semaines plus tard !
Me voici de nouveau en France, et j’ai repris le boulot. Mais aujourd’hui j’ai ma journée de libre… Envie d’aller faire un tour à l’agence de voyage, comme ça sans trop d’illusions.
Je mate à travers la vitrine, super c’est la même nana, et elle doit revenir de vacances, elle aborde un superbe bronzage. J’y vais !
– Monsieur ?
Quoi, monsieur, elle ne me reconnaît donc pas ? Impossible avec ce que nous avons fait ensemble !
– Vous ne vous souvenez pas de moi ?
– Non, mais il faut pas m’en vouloir je vois tellement de gens ! Qu’est-ce que vous désirez, monsieur ?
Je réalise qu’elle feint volontairement d’avoir oublié nos galipettes. C’est son droit le plus absolu, mais je n’ai plus rien à faire ici.
– J’ai dû confondre avec une autre personne, je vous laisse !
Et je poussais la porte, un peu dépité…
– Monsieur…
– Oui ?
– Juste un mot, finalement je préfère que les choses soient claires, j’ai eu un coup de folie un jour avec vous, je ne regrette rien, mais bon, c’était un coup de folie, ce n’est pas
« renouvelable ». Bonne journée !
– Merci de votre franchise, j’étais juste venu vous raconter mon séjour, vous m’aviez dit que cela vous intéresserait, mais bon, je vous laisse, bonne journée aussi !
– Ok, ça vous a plu, j’espère.
– Je n’ai pas été déçu ! Concluais-je en lui adressant un sourire
– J’ai une idée ! Dit-elle alors que j’étais presque sorti !
– Ah oui ?
– En fait, j’ai peur qu’on fasse des bêtises si vous me racontez ça ici, mais pourquoi on n’irait pas au restaurant ?
– Alors d’accord je vous l’offre !
Je ne pouvais décemment faire autrement, et on s’est retrouvé vers midi dans une petite pizzeria proche.
Je ne savais pas trop comment attaquer mon récit, ni si elle désirait que je rentre dans des détails « très sexe », mais elle me mit tout de suite à l’aise :
– Alors, dites-moi, est-ce que vous avez sucé plein de belles bites ?
– Plein, c’est peut-être exagéré, mais pas mal oui !
– Et vous vous êtes fait enculer aussi ?
– Aussi !
– Humm, j’essaie de vous imaginer avec une bite dans le cul ! Gros cochon, va ! Racontez-moi, je veux tout savoir.
Flash-back (Brazil, Brazil)
Pas facile de trouver cet hôtel qui est situé dans les faubourgs de Rio. De l’extérieur il ne paie pas de mine. Je présente ma réservation au réceptionniste qui sans un mot me tend une clé « à l’ancienne ». C’est au deuxième étage avec vue sur la route où des camions passent sans cesse. Comme romantisme exotique on fait mieux. La chambre à laquelle est accolée une petite salle de bain est correcte mais pas très grande. Première impression très mitigée, donc. On verra bien la suite.
Je m’installe sans me presser, et m’apprêtais à prendre une douche, lorsque j’entends qu’on frappe à la porte. C’est une femme brune métissée aux longs cheveux raides, avec de beaux yeux bleus et un visage de « chienne ». Elle est vêtue en haut d’un haut de maillot de bain parme et en bas d’un mini short de la même couleur
– Bonjour, je suis la femme de ménage ! Me dit-elle dans un anglais approximatif. Je viens voir si tout est OK !
– Je vous en prie, faites….
– Si vous voulez quelque chose de particulier, vous me dites !
– Ben je ne sais pas encore, j’arrive !
Elle ouvre le frigo, commente :
– Oui, le mini bar est rempli… heu, vous êtes célibataire, je suppose ?
– Oui !
– Vous allez trouver plein de jolies filles ici !
– J’espère bien !
– Il y a aussi beaucoup de transsexuelles !
– On m’a dit ça !
– Et vous aimez ?
– J’avoue que ça me trouble beaucoup !
– Et à votre avis, je suis une femme oui une transsexuelle ?
– Trans, je dirais !
– Gagné ! Vous devez être fatigué de votre voyage, que diriez-vous d’un petit massage. Je vous fais ça toute nue, et à la fin, je vous suce, à moins que vous préfériez me sucer… Je m’appelle
Gisèle.
Me voilà donc déjà dans le « vif du sujet ».
Courte négociation sur les tarifs, et nous voici à poil tous les deux.
Ses seins sont très réussis, terminées avec de belles aréoles marrons aux tétons pointus, quant à sa quéquette qui pour l’instant pendouille sans bander, elle a l’air très prometteuse. Je tente d’y porter la main, mais la belle proteste !
– Pas si vite ! Je te masse un peu et après tu pourras me toucher la bite…
Bon, bon, puisque c’est elle qui commande… Je me mets sur le ventre, et elle me fait un massage qui ressemble plus à une série de papouilles qu’à du massage mais j’avoue que ce n’est pas désagréable. Après avoir fait balader ses mains un peu partout, elle se concentre sur mes fesses qu’elle commence à pétrir comme de la pâte à pain, puis vint explorer la région anale ! Je sens son doigt qui s’approche de mon petit trou. Elle crache dessus pour l’humecter (on est en plein romantisme) et le doigt pénètre !
– Tu aimes ça un doigt dans le cul, hein ?
– J’adore !
– Si tu veux, la prochaine fois je t’enculerais !
– Pourquoi la prochaine fois ?
– Parce que tu m’as payé pour me sucer, pas pour que je t’encule…
– Tu veux un autre billet ?
– Pas trop le temps, mais je reviendrais, vas-y suce-moi bien la bite !
Je ne me fais pas prier… Depuis le temps que j’attendais ça… et puis je suis venu pour ça non ? Le sexe grossit rapidement dans ma bouche, et je me délecte de la douceur de sa texture. Je le ressors pour pouvoir l’admirer, il est superbe, et le gland violacé et brillant semble vouloir me narguer ! Comme j’aimerais l’avoir dans mon cul.
– Tu ne veux vraiment pas me sodomiser, juste cinq minutes…
– Non, suce…
Je reprends ma fellation, Gisèle me tripote mon propre sexe bandé au maximum et prêt à éclater… Elle me fait signe de m’installer sur le lit… Aurait-elle changé d’idée ? En fait non, je comprends ce qu’elle veut faire, nous voici en position de 69, chacun suce la bite de l’autre… Sa fellation est terrible, ses coups de langues sont magiques, je n’arrive plus à me retenir. Je le lui dis, elle me retire ma bite de sa bouche, continue à la main et j’éjacule dans un râle, l’affaire n’aura duré en tout qu’une dizaine de minutes.
– Alors, ça t’a plu ? Me demande la diablesse.
– C’était bien mais un peu court, j’aurais préféré qu’on fasse plus de choses…
– J’ai bien compris, justement j’ai un truc à te proposer, deux ou trois fois par semaine, on ouvre une annexe du restaurant dans la « petite salle », il n’y a que cinq tables, le menu
est le même que dans la salle principale, mais les serveuses, comme moi, sont très cochonnes… et ça se termine toujours en orgie… Si ça te dit tu me payes juste un forfait, après il n’y a pas de
suppléments.
Nouvelle discussion sur les tarifs, l’affaire n’est pas donnée, mais ça reste raisonnable si tant est que les promesses seront tenues.
– C’est à 21 heures, il faut mieux être à l’heure pour que tout le monde soit là en même temps, sinon, c’est moins intéressant, c’est le salon n°2 au premier étage. Je vais te donner un reçu.
Le soir à l’heure dite, je me rends donc dans ce fameux salon.
Je suis accueilli par Fabiola, une superbe fausse blonde très bronzée aux lèvres purpurines. Cette « demoiselle » est simplement vêtue d’un petit slip bleu, et en haut d’un gilet sans manche non fermé, ce qui fait qu’à chacun de ses mouvements sa poitrine se dévoile… Voilà qui commence bien !
Seconde surprise, moins bonne cette fois, dans la petite salle il n’y a que deux clients, ce sont deux asiatiques à lunettes et en costumes de ville… Pour faire une orgie ça risque de faire un peu juste.
Fabiola me place, je m’assois, et j’attends, pas très longtemps… Un groupe entre et prend place à une table de quatre : Je n’ai bien sûr appris leurs prénoms que plus tard, mais pour la commodité de la description on va les dévoiler de suite :
Mon regard se porta en premier sur Ingrid, une grande femme, dans doute proche de la cinquantaine, cheveux blond vénitien, et sourire carnassier, qui avait poussé la provocation jusqu’à se vêtir d’un haut en voile noir transparent qui ne cachait rien de sa poitrine bien ronde. Une autre femme plus jeune, Maria, grande bringue délurée à lunettes, avait revêtu un chemisier blanc qu’elle s’empressa de déboutonner à moitié dès qu’elle fut assise. Charlie, un homme d’une cinquantaine d’année accompagnait Ingrid, genre vieil épicurien, en chemise fantaisie semi ouverte sur une poitrine velue que barrait une énorme chaîne en or. Le quatrième personnage était un bellâtre, sorte d’imitation des vedettes masculines américaines de séries télévisées pour adolescents et accompagnait donc Maria.
Trois minutes après un autre couple, Robert et Nicole, faisait son entrée, la cinquantaine tous les deux, banals de chez banals, Madame est une fausse blonde aux cheveux courts, bien conservée, chaussée de lunettes en écailles. Robert un petit bonhomme au crâne dégarni et à l’allure joviale. Bizarre quand même ceux-là, habillés comme ils le sont, on les verrait mieux visiter le Mont Saint-Michel que de participer à une partie avec des trans. J’apprendrais qu’il viennent de Liège en Belgique.
Fabiola la transsexuelle, commença son service en proposant un apéritif maison. Elle s’approcha de la table des chinois, se penchant pour bien dévoiler sa poitrine, ce qui provoqua de leur part des gloussements amusants, puis mit carrément, un bref instant, la main sur la braguette du premier d’entre eux qui se laissa faire avec un sourire béat. Le second asiatique eut droit au même traitement, puis Fabiola, se dirigea vers la desserte, sélectionna deux des verres qu’elle avait apportés et se dirigea vers la table de Robert et Nicole, elle écarte alors son petit slip bleu et en sort sa queue qu’elle balade devant le couple.
– Vous pouvez toucher un peu si vous voulez ! Précise-t-elle.
Robert n’hésite pas et caresse un peu l’engin, son épouse, amusée finit par faire de même. Puis Fabiola avec un nouveau verre se dirige vers ma table. Je l’accueillis bien sûr avec le plus grand sourire.
– Gisèle m’a dit que tu aimais bien les bites ! Me dit-elle sans autre préalable !
– C’est vrai ! Elle sera là se soir ?
– Bien sûr ! Tu aimerais qu’elle t’encule devant tout le monde !
– Ça ne me dérange pas !
– Humm… petit coquin !
Je n’ai pas eu droit au toucher de braguette ! Elle ne me propose pas non plus de lui toucher la quéquette. Tant pis ! Elle repart sur la desserte préparer les verres de la table de quatre. Ceux-là ont l’air de bien rigoler, sauf peut-être le bellâtre qui m’a l’air un peu mal à l’aise, je tends l’oreille pour essayer de deviner leur nationalité, surprise c’est du français, mais du français avec un accent impossible, des québécois peut-être…
Fabiola s’approche de leur table, elle échange quelques propos en portugais avec Ingrid, je comprends qu’elle la félicite pour son haut transparent. Cette dernière rigole et quand la transsexuelle lui demande l’autorisation de toucher, elle ne refuse pas et se laisse peloter les seins à pleines mains, puis ne se démontant pas, Fabiola posant ses paumes sur les épaules de Maria s’apprête à lui faire subir le même sort, n’attendant plus que son approbation, qu’elle obtient de façon très naturelle. Leurs deux compagnons masculins ont alors des réactions très différentes. Charlie parait tout émoustillé par le spectacle, en revanche, le visage du bellâtre à tendance à virer vers une couleur proche de la craie… Fabiola, placée derrière lui, ne s’en aperçoit pas et quand elle tente d’approcher ses mains, il a un geste d’agacement. Elle n’insiste pas et s’en va caresser le torse poilu de Charlie qui se pâme quand elle lui pince le téton… lentement la main de la transsexuelle descend vers la braguette…
Ce doit en être trop pour le bellâtre qui quitte soudain les lieux en prononçant quelques mots définitifs en anglais… Les trois qui restent ne tentent pas de le retenir et semblent prendre ce départ avec philosophie… Fabiola se demande si elle doit continuer, mais Charlie la rassure :
– Aucune importance, faites comme si rien ne s’était passé, continuez donc ce que vous vouliez faire ! Dit-il.
Fabiola remet alors la main sur la braguette de l’homme, puis lui demande de se lever. Elle défait alors la ceinture de Charlie, puis descend son pantalon jusqu’aux chevilles, bientôt suivi par le caleçon. Notre homme se retrouve donc la quéquette à l’air. Une belle quéquette bien bandée. La transsexuelle lui fait ensuite dégager les pieds, puis va poser les vêtements ainsi retirés sur une patère proche.
Elle revient, se penche légèrement de façon à déposer un bisou sur le gland de Charlie, puis l’invite à se rasseoir dans cette tenue, avant de regagner les cuisines.
Au fond les deux asiatiques n’en reviennent pas, l’un expose un sourire béat, l’autre paraît se demander ce qu’il fait ici.
C’est alors que je vois Ingrid, la compagne de Charlie comploter à voix basse avec ce dernier puis avec Maria. Soudain, elle se lève et viens vers moi.
– Bonjour, monsieur ! Vous êtes seul où vous attendez quelqu’un ? Me demande-t-elle en anglais.
– Je suis seul ! Répondis-je en français !
– Ah ! Vous êtes de quelle ville ?
– Paris.
– Nous, nous sommes québécois. Dites-moi franchement, je trouve que mon haut est un peu trop transparent, qu’en pensez-vous ?
– Je trouve qu’il est très joli comme ça !
– Le haut ou ce qu’il y a en dessous ?
– Les deux, en fait !
– Donc, ils vous plaisent mes nichons ?
Je n’en reviens pas, la nana a carrément soulevé son haut en voile et me fourre sa poitrine sous le nez.
– Ils sont très beaux ! Confirmais-je, confus !
– Ils ne seraient pas contre un petit bisou, alors !
Qu’auriez-vous fait à ma place ? Ma bouche eut tôt fait de rencontrer le téton que je mis à lécher avec gourmandise.
– Hummm, vous êtes un bon lécheur vous ! Je suis sûre que vous devez bien aimer lécher les chattes et les culs…
J’acquiesçais de la tête.
– Et les bites aussi ? Non ?
– Aussi, oui…
– Et bien c’est super tout ça ! Ça vous dirait de venir à notre table, comme vous avez pu le constater nous avons eu une petite défection… et comme on s’amuse mieux à quatre qu’à trois….
Vous pensez bien que j’ai accepté ! Ils changent un peu leur place, afin de me permettre de m’asseoir à côté d’Ingrid. Et on fait les présentations.
– Vous avez vu comment elle est chaude ma femme !
– Je vois…
– Et notre fille, Maria n’est pas triste non plus !
Ah bon ! Je le disais bien qu’il y avait comme un petit air de ressemblance. Ainsi, monsieur et madame emmènent leur fille en partouze ? Après tout pourquoi pas ?
Je vois et je sens, car sa main est déjà en train de se balader sur ma braguette… J’ai une envie folle de lui embrasser de nouveau les seins, mais je n’ai pas non plus envie de précipiter les choses. Devant moi, Maria me raconte qu’elle avait allumé le jeune homme qui vient de s’enfuir, dans les rues de Rio, il lui avait assuré qu’il n’avait pas de tabous, mais il devait en avoir quand même…
– Il est gonflé quand même, car c’est moi qui lui ai payé la place, il aurait pu me rembourser….
Elle me dit tout ça en se caressant un sein dont un téton est sorti du chemisier… Je vais devenir fou.
– Tu préfères mes seins ou ceux de ma mère ? Me demande-t-elle.
– J’aime tous les seins répondis-je diplomatiquement.
– Quand même, ceux de ma mère, ils sont d’enfer ! J’aimerais bien en avoir des comme ça.
Et la voilà qui se met à téter les tétons de sa maman.
– Arrête, tu m’excites !
– Tu aimes quoi, toi ? demande Maria en se redressant, les chattes, les bites, les femmes, les trans…
– Un peu tout ça…
– Hum, tu me plait bien toi, tu as vu la bite de mon père comme elle est belle quand elle bande !
Elle s’en empare et se met à la branloter ! Je rêve ou pas ? Mais je n’était pas au bout de mes surprises puisque la voilà qui se penche pour prendre en bouche le chibre paternel.
– On le suce à deux ? Me propose-t-elle
Ben oui on le suce à deux, je ne vous dis pas l’érection du tonnerre que je me tape, la bite de Charlie est délicieuse, mais cette pette fantaisie est interrompue par Fabiola qui réapparaît sagement en nous apportant de la Feijoada, une sorte de cassoulet local.
– Toi aussi tu as eu la visite de la femme de chambre me demande Charlie ?
– Oui, c’était pas mal ! Un peu rapide quand même !
– Normal, le patron leur interdit de rester trop longtemps dans les chambres, parce qu’il ne peut pas contrôler ce qui se passe et que donc ça lui fait du manque à gagner. Le jeu c’est de
t’allumer pour te faire venir à la soirée, ici… J’en ai parlé avec un autre couple, il paraît que certains soirs c’est génial… On verra bien.
Tout redevient relativement calme pendant que nous dégustons ce merveilleux plat. Puis voilà Honey qui fait son apparition, une transsexuelle très grande, à la peau très pâle, frisée comme un mouton et avec un très joli visage. Elle est simplement vêtue d’un ensemble culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelle bleue. Elle se dirige vers la table des deux asiatiques, échange quelques mots puis sort carrément son sexe de sa culotte en se mettant à se masturber afin de le faire bander. Elle s’approche de l’un des convives, l’invitant implicitement à toucher ce sexe magnifique… mais manifestement ça ne l’intéresse pas, sans doute est-il exclusivement actif ? Son vis-à-vis par contre, n’hésite pas une seconde et après avoir un peu caressé la queue offerte, se la met dans la bouche et commence à la sucer goulûment.
– Doucement, doucement… Tempère la jolie trans.
Fabiola revient avec Gisèle, (celle qui m’avait chauffé en chambre) et une autre trans, Carita, très noire de peau et vêtue simplement d’un paréo qu’elle retire aussitôt. Et tandis que les deux premières s’attablent, sans doute très provisoirement, la trans black se dirige vers la table de Robert et Nicole, en s’écriant :
– Ben, il y a de l’ambiance ici !
Elle s’assoie sur les genoux de Robert dont les yeux sont à présent aussi écarquillés que ceux du loup de Tex Avery.
– Les genoux de votre mari sont très confortables ! Commente-elle. Oh, mais là, je sens quelque chose ! Mais c’est qu’il bande, ce petit cochon… Dis-moi tu voudrais faire des trucs avec moi ?
Mais que va dire ta femme ?
– Ne vous gênez pas pour moi ! Répond celle-ci.
– C’est vrai, vous me le prêtez ?
– Oui, oui !
– Vous me le prêtez tout entier, sa bite, son cul ?
– Pas de problème !
Du coup, Carita extrait la belle bite de Robert de son pantalon, la masturbe un petit peu et finit par la mettre dans sa bouche.
Nous, à notre table de quatre on regarde, Ingrid à la main sur mon sexe, et moi je lui fais des petits bisous furtifs sur les seins, tandis qu’en face de nous, Maria et son père se tripotent à tout va. A la table des Chinois, Honey met fin à sa fellation.
– Tu veux que je t’encule ? Propose-t-elle à l’homme d’affaire asiatique.
– Pas tout de suite ! Répond l’homme qui en fait se dégonfle.
– Et toi tu veux faire des choses avec moi ? demande-t-elle au deuxième.
Manifestement, il hésite, même quand la trans lui propose explicitement de le sucer… Du coup elle se dirige vers notre table :
– Ces deux messieurs là-bas doivent être un peu timides… Et les messieurs qui sont là, est-ce qu’ils aiment bien se faire enculer ? Demande-elle carrément.
– Bien sûr, répond Charlie.
– Et ça te plairait d’avoir ma belle bite dans ton cul ?
– Bien sûr que ça me plairait !
– Et tu me la sucerais bien avant ?
– Oui, j’adore !
– Elle, c’est ta femme ? Demande-t-elle en désignant Ingrid.
– Oui, je suis sa femme, répond cette dernière.
– Ça ne te gêne pas si j’encule ton mari ?
– Pas du tout, au contraire ça m’excite.
– Bravo, j’aime les femmes comme toi, viens que je t’embrasse. Mais avant finissez de vous déshabiller tous les quatre, ce sera plus pratique pour la suite.
Une fois qu’elle fut à poil, elle fait lever Ingrid et s’empare de sa bouche. La femme et la trans se roulent un interminable patin tout en se pelotant mutuellement. Une fois l’affaire terminée, Charlie se met à applaudir, j’en fais de même, Maria également… Carita et le couple mature nous jettent un regard amusé. Les asiatiques du fond ne bronchent pas… Gisèle et Fabiola se lèvent et s’approchent de notre table, cette dernière offrant sa bite à Charlie, tandis que Gisèle me tend la sienne afin que je m’en régale. Honey quitte notre groupe et se dirige vers Robert, bite en avant, il n’hésite pas et gobe le joli cylindre de chair…
Donc récapitulons (parce qu’avec tout ce monde on va finir par s’y perdre !) : à ce moment de la soirée, nous avons à une table Robert qui suce Honey et qui se fait sucer par Carita.
– Tu peux sucer aussi, si tu veux ! Propose Honey à Nicole qui ne demande pas mieux.
A la grande table, Charlie suce Fabiola qui roule un patin à Ingrid. Quant à moi, je suce Gisèle qui se s’est mis à doigter le cul de Maria. Cette bite est délicieuse mais j’aimerais bien goûter les autres, je la relâche au bout d’un moment, Maria en profite pour me la piquer, et du coup Gisèle me doigte à son tour :
– Je t’avais promis que je t’enculerai, je vais te préparer le cul et je vais te prendre devant tout le monde, tu veux ?
– Oui !
– Humm Regarde ce que fait Fabiola, la cochonne.
– Je vais t’enculer mais avant je vais enculer ta femme ! Propose Fabiola à Charlie.
– Pas de problème ! N’est-ce pas Ingrid ?
– Ben, on est venu pour ça, non ? Répond Ingrid qui se met à sucer quelques instant la bite de la jolie trans que son mari vient d’abandonner.
Puis elle se met par terre, en levrette, son gros cul offert, obscène, qu’elle écarte des mains. Fabiola s’encapote et la pénètre avec une facilité déconcertante.
– Oh ! Qu’est-ce qu’elle m’encule bien ! S’exclame-t-elle.
– T’aimes ça te faire enculer, hein ! Tu es une enculée et une femme d’enculé !
– Oui, oui !
– Une grosse salope !
– Oui, oui tout ce que tu veux, continue….
– Oui, mais, il faut que je garde un peu de force pour le cul de ton pédé de mari !
– Dommage.
Fabiola se retire après avoir limé la blonde mature pendant cinq bonnes minutes.
– Houh, la cochonne, elle avait le cul pas bien propre ! Regarde dans quel état je ressors de là-dedans ! Rigole-t-elle en montrant la chose à Gisèle.
Elle essuie sa bite toujours encapotée sur les fesses d’Ingrid, créant ainsi d’insolites traces brunâtres, puis change de capote et fait signe à Charlie que maintenant c’est son tour.
– Allez, toi aussi ! Me dit Gisèle.
Ah ! Chic ! Ça y est je vais l’avoir sa bite dans le cul ! Je me positionne à mon tour, et Gisèle commence à me lécher le fion. Quelle langue, mes amis, quelle langue, j’ai l’impression qu’elle me pénètre jusque je ne sais où ! Je me trémousse comme une grande folle et cela fait rire ma partenaire.
Plus loin, Robert s’est décidé à sodomiser Honey, la jolie transsexuelle toute bouclée. Nicole s’est levée pour aller draguer Maria, ça marche, cette dernière accepte tout : le baiser baveux, le pelotage de seins, et la main dans la chatte.
Carita, un peu désœuvrée, demande à Ingrid si elle ne veut pas une nouvelle bite en la lui mettant sous nez, je n’avais pas encore vu son membre à celle-ci, c’est impressionnant. Bien sûr qu’elle en veut et elle se la met dans la bouche avec avidité, avant de se la prendre, elle aussi dans le cul.
Ça y est, Gisèle m’encule ! Quel plaisir de sentir cette belle bite s’agiter frénétiquement dans mon trou du cul.
– Dis donc, petit cochon ! Me dit-elle, Tu crois que je ne t’ai pas vu en train de reluquer la grosse bite de Carita, tu la voudrais bien aussi celle-là ?
– Ben ma fois, puisque j’en ai l’occasion !
– Hummm, ce n’est pas bien de convoiter une fille pendant qu’une autre s’occupe de toi. Tu n’auras droit à la bite de Carita que si tu accomplis un gage.
– Pourquoi pas, je suis très joueur ! Aaaaah, que c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon !
Tandis que Maria et Nicole se gouinent comme des sauvages sur une banquette, Robert jouit dans le cul d’Honey et s’affale, épuisé sur sa chaise. Fabiola s’est retirée du cul de Charlie
– Oh ! Comme elle t’a bien enculé, Papa ! Commente Maria.
– Génial ! Ça te fait envie, c’est ça
– Oui, Papa, encule-moi !
Et pendant que Charlie sodomise sa fille, celle-ci broute le minou de sa mère venue les rejoindre fort opportunément.
Carita décule à son tour suivie de Gisèle qui me laisse le trou béant. Elle me demande de la suivre.
– Ce jeune homme voudrait bien finir avec toi ! Dit-elle à Carita, mais avant il doit accomplir un gage. Tu as une idée…
– Si tu lui faisais lécher le cul de cette salope ! Répond la transsexuelle black en désignant les fesses d’Ingrid.
En temps ordinaire, je n’aurais sans doute jamais fais une chose pareille, mais excité comme j’étais, le gros cul d’Ingrid luisant de transpiration ne me paraissait même pas enlaidie par les quelques traces brunâtres qu’avait laissé ses enculeurs. Je lui léchais donc les fesses avec application, allant même jusqu’à plonger ma langue dans son trou béant qui dégageait une odeur de merde un peu forte.
J’ai eu ma récompense : la bite de Carita dans ma bouche, mais renonçais à la prendre dans le cul… Je l’ai ensuite regretté.
Je n’avais pas trop fait attention à ce gros chien noir avachi dans un coin de la pièce. Mais le voilà qui se réveille et vient tournicoter autour des tables, il s’arrête devant Ingrid qui souffle un peu et vient lui renifler l’entre jambe.
– Mais dis donc le chien tu m’as l’air bien coquin !
– Il est très coquin et très vicieux ! Lui précise Carita.
– J’aimerais bien qu’il me lèche, ça peut se faire ?
– Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec le chien du moment que vous ne le maltraitez pas.
– Allez viens mon chien, viens lécher mémère !
Elle attire la bestiole entre ses cuisses, l’animal se met alors à laper le minou d’Ingrid à grand renfort de langue
– Oh que c »est bon ! Quelle langue.
– Nous n’avons pas de chien mais on s’est déjà amusé avec celui de nos voisins ! M’explique Maria. Maman, j’aimerais bien qu’il me lèche aussi !
– Vas-y je te le laisse !
Un bruit de chaises, les deux asiatiques quittent la salle, je me demande s’ils ont véritablement apprécié.
Après cette séquence de léchouille, les deux femmes ont fait en sorte de coucher le chien et de lui caresser le membre, une bite rouge et visqueuse qu’elles prennent en bouche avec une décontraction étonnante.
– Oh làlà, c’est excitant ce que vous faites ! Intervient Nicole ! Je n’ai jamais fait ça, moi !
– C’est l’occasion d’essayer ! Lui souffle Carita
– Je ne sais pas si je vais oser !
– Osez, Nicole, osez !
– Alors je vais oser !
Elle s’immisce entre Maria et sa mère et se met à sucer avec application.
– Je suis une salope, une fois ! Je suce la bite d’un chien !
– Il est complètement excité, ce pauvre chien ! Ce serait bien que l’une d’entre vous se fasse monter.
– Moi, moi ! Se propose Ingrid qui l’instant d’après se retrouvait en levrette avec le chien derrière elle la pilonnant à une cadence infernale.
Puis sans que l’on sache pourquoi le chien se retire. Caritas se met alors en position et attire le chien.
– Les filles, aidez-le à me pénétrer!
C’est Ingrid qui guide la bite du chien vers l’anus de la belle trans. Le chien peut alors reprendre ses assauts encouragés par la petite assemblé qi fait cercle autour de la scène.
Le chien après s’être soulagé a regagné son coin. Les trans se sont rhabillées et nous ont resservi un verre chacun.
– Voilà, Messieurs dames, c’est terminé, j’espère que ça vous a plus. Nous referons une autre séance mardi prochain, nous vous souhaitons une bonne nuit. Ne vous pressez pas pour quitter la salle, vous avez tout votre temps.
Et elles disparaissent. Nous ne sommes plus que six. Maria et Ingrid se font de tendres câlins. On se rhabille tous un peu mollement. Nicole tiens un conciliabule à l’oreille de son mari qui opine du chef, puis elle s’approche de nous.
– Je vois que tout le monde n’a pas joui, alors je vous propose de nous rejoindre dans notre chambre. Mon mari et moi seront à votre disposition, vous pourrez nous faire tout ce que vous voulez, dans la limite du raisonnable bien sûr ! Ça vous dit ?
Ça nous dit !
On a tous plus ou moins envie de pisser, une fois dans leur chambre, Nicole se précipite dans la salle de bain.
– Mettez-vous à l’aise ! S’il y en qui veulent me regarder pisser, n’hésitez pas ! Nous informe-t-elle.
On doit tous être entré dans la salle de bain, ça fait un peu juste quand même. Du coup, Nicole qui allait s’assoir sur la cuvette change d’idée, abandonne ses derniers vêtements et s’assoit dans le carré à douche et commence à pisser d’abondance.
– S’il y en a qui veulent me pisser dessus, ce n’est pas de refus.
Charlie prend la proposition au vol et se met à pisser sur la belle qui un moment met son visage sur la trajectoire afin de pouvoir en découvrir le goût.
Tout le monde se met à pisser un peu n’importe comment, Je m’allonge sur le sol espérant que Maria ou Ingrid comprendront le message. Ingrid le comprend et s’accroupit au-dessus de moi, m’arrosant copieusement. Hummm, il est trop bon son pipi.
On se douche assez vite, on se sèche sommairement. Nous sommes tous un peu fatigués mais nous voulons terminer en beauté !
– Allez, vous deux avec moi, les deux autres avec Robert ! Propose Nicole en me désignant ainsi qu’Ingrid.
J’encule donc Nicole tandis que celle-ci lèche le minou d’Ingrid. De l’autre côté, Charlie sodomise Robert qui a jeté son dévolu sur les nichons de Maria qu’il tête goulument.
Charlie jouit asse vite et décule, et tandis que je continue à lutiner la belle Nicole, Robert m’offre sa belle bite à sucer. Je n’ai pas refusé, elle était très bonne et je l’ai fait juter dans ma bouche tandis que je jouissais dans le cul de la jolie mature. Les trois filles se sont ensuite mélangées jusqu’à ce qu’elles jouissent à leur tour. Cette fois, on était vraiment crevé. On a refusé le dernier verre, bisous, bisous et dodo chacun dans sa chambre.
Epilogue
– Quel beau récit ! Conclue alors la voyagiste, j’en suis toute mouillée. Voyez-vous, j’avais pris des résolutions, en venant ici au restaurant je pensais éviter la tentation de refaire des
bêtises avec vous. Mais après vous avoir écouté je vais vous demandez deux choses.
– Dites :
– La première c’est d’aller vite payer, nous prendrons les cafés plus tard, la seconde, c’est de m’accompagner à l’agence, et là vous allez m’enculer dans l’arrière-boutique !
– Mais avec grand plaisir !
Fin
©Boris Vasslan Janvier 2010 sur une idée proposée par Arnaud.