Le blog de vassilia-x-stories
Les collants existent, d'ailleurs j'en ai vu ! par Estonius
Coup de gueule (du latin coupdegueulus)
Le père Tiroir qui a su si bien décrypter le récit érotique disait à propos du collant :
Collant : accessoire tellement vilipendé dans les récits érotiques qu'on se demande qui ose encore acheter ce genre de machin ?
Alors je me suis dit : ils vont s'arrêter, se rendre compte que dans la vrai vie (comme on dit) le collant existe !" Alors j'ai continué à lire des récits érotiques et un jour je suis tombé sur cet extrait :
- Je vois que sur le contrat , vous exigez que les vendeuses ne portent jamais de pantalon et que leur robes ou jupes ne dépassent jamais le genou. D'autre part les collants sont interdits, vous n'en vendez pas d'ailleurs.
- Les collants sont une hérésie, encore plus dans un établissement qui vend de la lingerie
- C'est bien mon avis !
(in "la guerre des classes aura-t-elle lieu ? Partie 9" par un auteur signant "Catherine", publié sur le site de Revebebe, (et retiré depuis)
Evidemment c 'est son droit le plus absolu à Monsieur Catherine de proclamer cela ! Mais c'est aussi le mien de d'hurler ! "Y'en a marre"
J'ai le droit de dire que j'appartiens à une génération qui lorsqu'elle fantasmait sur une fille qui se déshabillait , c'est son collant qu'elle en enlevait et pas autre choses ! J'ai aussi le droit de dire que le fantasme du collant existe et qu'il y a de nombreux sites aux Etats-Unis qui lui sont consacrés ! Ben oui ! Ça fait drôle de voir s'écrouler parfois quelques idées reçues
Allez on se calme ! Et sans rancune, le monde de l'érotisme est assez grand pour accueillir les amateurs de porte-jarretelles, ceux des auto fixant et ceux des collants. Laissons donc les exclusives et les invectives aux représentants de religions
En prime, voici un petit texte anonyme que j'ai corrigé, extrait des archives de Sophiexxxx où justement la vedette est un collant
Collants
Depuis que ma mère a divorcé, ce n'est plus la même femme, elle est devenue guillerette, enjouée, s'habille et se maquille mieux, mais sans être provocante. Bref elle est devenue une femme mature désirable. Elle ne s'est pas remise avec quelqu'un mais elle m'a confié avoir un copain qui vient la voir de temps en temps. Je ne la rencontre pas souvent, uniquement quand mon boulot m'amène en Bretagne, autrement dit deux ou trois fois par ans.
Ce jour-là, j'étais arrivé vers 16 heures, après avoir bien papoté, elle m'a dit qu'elle aimerais bien regarder son feuilleton à la télé.
Flute et zut et crotte de bique, me voilà obligé de regarder une niaiserie sans nom pendant près d'une heure, mais que voulez-vous, il faut parfois faire des concessions dans la vie.
Ouf, c'est fini, ma mère à l'air ravie
- Qu'est qu'il est beau, Gilles Kermayeur ! Me dit-elle en me parlant d'un des acteurs du feuilleton.
- Ah, tu trouves ?
- Oui, je me l'enverrais bien !
- Carrément !
- Ben oui, y'a pas de mal à se faire du bien, quand je pense que je suis restée coincée pendant plus de 25 ans !
- Mais tu as un copain !
- Certes, mais je ne vais pas le voir aujourd'hui ! C'est dommage il me fait mouiller Kermayeur.
Le terrain devenait glissant.
- Bon, on parle d'autre chose ?
- Pourquoi, je te choque ?
- Non pas du tout !
- Mais si je vois bien que tu es choqué
- Non, je te dis !
- Alors on s'embrasse.
O.K. on s'embrasse, mais c'est qu'elle me serre fort dans ses bras, je ne vais quand même pas lui faire l'affront de me dégager.
- Laisse toi faire !
Ses lèvres sont sur les miennes.
- Non ! Pas comme ça ! Protestais-je !
- Pourquoi on fait quelque chose de mal ?
- Ça ne se fait pas !
Mes lèvres se sont ouvertes, sa langue est entrée dans ma bouche, on s'est embrassée, je me suis laissé faire et on s'est roulé une véritable galoche.
- Touche mes cuisses ! Je suis encore plus mouillée.
- Mais tu es ma mère !
- Justement, c'est encore plus excitant.
- Euh…
- Je ne suis pas une belle femme ?
- Oh ! si !
- Alors, touches, les tabous c'est fait pour être brisé.
J'ai mis la main sur ses cuisses, elle est en collants, complètement excité par la situation je la caresse à travers le tissu soyeux, ma main ose remonter jusqu'à l'endroit de sa chatte, après tout elle l'a voulu. Effectivement c'est mouillé ! Et moi je bande comme un âne.
Ma mère me touche la braguette et en extrait mon sexe bien dur. Elle se penche pour… elle ne va pas faire ça ? Si, elle le fait, elle a ma bite dans sa bouche.
Elle me suce joliment un moment puis elle s'arrête, me propose que nous nous mettions à l'aise, je suis vite nu ne gardant que mes chaussettes, elle retire son haut et son soutien-gorge dégageant une poitrine superbe qui m'attire comme le miel pour une mouche, je lui tète ses tétons durcis d'excitation, je suis dans un autre monde.
Elle se recule, elle est belle comme ça à moitié nu, n'ayant gardé que son collant. Elle va fouiller dans un tiroir, en sort un préservatif et me le tend. Je ne vais quand même pas baiser ma propres mère ? Mais n'empêche que j'enfile la capote. Ma mère retire son collant en fait une boule et s'affale sur le canapé, jambes écartées
Je me suis avancé, bite en avant et j'ai baisé ma mère, elle a hurlé très vite sa jouissance et j'ai continué à la limer jusqu'à ce que j'éjacule.
- Qu'est-ce que tu m'a fait faire ? Commentais-je
- Tu regrettes ?
- Non, pas du tout !
- Alors embrassons-nous.
On s'est ensuite calmé et nous avons papoté, puis j'ai profité du bon petit repas qu'elle nous avait préparé. Elle m'a proposé que nous dormions dans son lit. Pouvais-je refuser ? Nous avons refait l'amour en nous couchant.
Le lendemain matin alors que je préparais mes affaires pour repartir, j'aperçu son collant qu'elle avait laissé en boule sur un coin du canapé.
- Tu le veux ? Ça te fera un souvenir.
Je le portais à mes narines et me mis à rebander !
Fin
Estonius