Le blog de vassilia-x-stories

Massage en famille par Christelle_Baxter

Stamp MD

 

Je m’appelle Léa. J’ai aujourd’hui 24 ans, blonde cheveux blonds décolorés, poitrine moyenne.

 

J’avais 14 ans quand le G.I.G.N. a fait irruption chez nous, en fracassant la porte et en embarquant ma mère comme s’il s’était agi d’un fauve dangereux. Une image qui n’a jamais disparu de ma mémoire et qui restera comme une blessure.

 

En fait ma mère avait écopé de 20 ans de prison pour une affaire de meurtre pour laquelle l’assassin court toujours. Elle fut jugée pour complicité, les juges ne lui pardonnant pas de n’avoir donné aucun nom.

 

Je me doutais que ma mère fricotait avec de curieux personnages, mais elle m’a toujours élevé correctement et je n’ai jamais manqué de rien, ni matériellement ni au niveau de son affection.

 

Pour moi, ça été l’assistance publique, une famille d’accueil, des gens pas méchants mais cons comme la lune. A 16 ans on m’a émancipé. J’ai vécu avec un garçon que j’ai fini par larguer pour un autre qui n’était guère mieux, j’ai donc décidé que je ne me mettrais jamais en couple, je sais il ne faut jamais dire « jamais », mais bon…

 

J’ai bossé dans la restauration, un milieu bien macho où il faut parfois accepter de faire des pipes avec les « anciens » pour avoir la paix. Alors j’ai fait quelques pipes, c’est mon côté fataliste.

 

J’ai mis un peu d’argent de côté, cela me permettra de prendre des cours d’art dramatique, qui sait, je ne suis pas trop mal foutue, je pourrais peut-être faire du cinéma, et s’il faut faire des pipes pour avoir un coup de pouce, je n’irais pas me plaindre chez les féministes du coin !

 

Régulièrement, environ une fois par quinzaine je prenais le train jusqu’à Rennes afin de rendre visite à ma mère, elle n’avait rien à me raconter, moi je lui racontais ma vie, ça ne durait pas longtemps et je repartais en pleurs.

 

Au bout de 10 ans, ma mère bénéficia d’une remise de peine, je la retrouvais à Paris à la Gare Montparnasse, on s’est embrassé longuement et on a été au restaurant, elle s’est empiffrée, c’est moi qui ai payé.

 

Je lui proposais de l’héberger, mais elle me répondit que ce problème était réglé, une amie s’étant proposé…

 

Je l’ai accompagné s’acheter un téléphone portable et quelques fringues à la mode… On a promis de se rappeler.

 

Trois jours après elle me donnait rendez-vous dans un bistrot.

 

– Voilà, j’ai trouvé un job, mais c’est un peu particulier, j’aime autant que tu sois au courant.

– Pas un truc illégal…

– Non, non, rassure-toi, je vais travailler dans un salon de massage.

– Sans diplôme ?

– Léa, il s’agit de massages érotiques !

– Ah ?

– Ça te choque ?

– Jusque-là, non !

– Tu sais comment ça se passe ?

– Ben, non je n’ai pas eu l’occasion.

– Bon alors j’explique ! Je masse le mec, le dos, les épaules, les cuisses, et puis je le chauffe.

– Comment ça ?

– Ben mes mains s’approchent des parties sensibles… Et quand il est bien chauffé, je lui propose de le soulager contre un petit pourboire.

– Autrement dit, tu fais la pute ?

– Ce n’est pas tout à fait ça…

– Mais si c’est ça… et alors, tu ne fais de mal à personne et à 44 ans tu es encore une très belle femme, alors s’il a de l’argent à prendre de cette façon, prend-le, ce n’est pas moi qui te jugerais !

 

Elle est estomaquée, la maman !

 

On s’est revue quinze jours après

 

– Ça marche bien ton petit business ? Lui demandais-je!

– Faut pas se plaindre !

– J’aimerais bien voir comment ça se passe !

– Ah ! Tu voudrais voir ta mère sucer des bites ? S’amuse-t-elle.

– Je voudrais voir comment ça se passe ? Mais si ça te gêne, on n’en parle plus…

– C’est possible, t’as des jours de libres ?

– Oui je travaille en non-stop du lundi midi au mercredi soir mais ensuite je suis libre…

 

Et donc ce jeudi j’étais au salon, ma mère officiait seule ce qui, m’a-t-elle précisé, n’est pas toujours ls cas..

 

Elle s’est vêtue d’une jupe grise et d’un haut rouge super décolleté qui fait qu’on peut voir ses seins bouger dans leur soutien-gorge échancré à chaque mouvement

 

Se pointe un client !

 

– C’est Léa une petite stagiaire, ça ne vous ennuie pas qu’elle regarde comment ça se passe ?

– Non, non pas du tout ! Bonjour Mademoiselle. Répond le client.

 

Le mec, un type quelconque, la quarantaine, bien propre sur lui, paye et se déshabille. Pendant une demi-heure ma mère lui masse le dos, les épaules, les fesses, c’est d’un passionnant, j’ai failli m’endormir.

 

Et soudain, ça devient bien plus intéressant. Le doigt de ma mère se fait pressant (c’est le cas de le dire) entre les fesses du monsieur qui se laisse faire en poussant de petits soupirs. Je m’approche pour mieux voir. Le doigt se fait plus entreprenant et appuie sur l’anus.

 

Elle ne va tout de même pas… Eh bien, si ! Le doigt entre dans le trou du cul du mec et fait quelques va-et-vient.

 

Puis Maman demande au type de se retourner et lui fout une serviette sur la bite.

 

Ses mains se baladent sur son torse, lui agace un peu les tétons, puis redescendent à la lisière de la serviette qu’elles soulèvent légèrement. Le mec bande comme un taureau sous la serviette que Maman lui retire d’un geste vif.

 

Belle bite !

 

– Vous voulez un petit plus ? Lui demande-t-ell.

– Ce serait combien ?

 

Je me recule ! Petite négociation à voix basse, ils ne veulent pas que j’entende ou quoi ? Le mec se lève pour aller fouiller dans son portefeuille, puis se recouche sur la table de massage.

 

Ma mère le branle délicatement, j’admire son savoir-faire, elle se sert de ses deux mains, ne néglige pas les couilles. Quand a-t-elle eu le temps d’apprendre ces trucs, je me demande si elle n’était pas déjà un peu pute avant de faire de la tôle ?

 

La bite du client est vraiment très belle, je la sucerais volontiers.

 

– Votre stagiaire, elle regarde, c’est tout ? demande le bonhomme complètement excité.

– Ben faut voir avec elle ! Léa le monsieur demande si tu veux participer ?

– Et je devrais faire quoi ?

– Me sucer ! Répond le mec !

 

Ma mère allait intervenir pour dire quelque chose, mais moi je réponds « d’accord », je m’approche et je mets sa bite dans ma bouche et me mets à le sucer avec gourmandise. Pendant ce temps Maman enlève sa jupe, puis son haut. Quelle est belle avec ses cheveux blonds légèrement frisés qui lui tombent sur les épaules.

 

– Je peux te prendre en levrette ! Me demande le gars en allant chercher un autre billet.

 

J’accepte et je me mets à poil !

 

– Ce qui me ferais plaisir c’est que pendant que je vous baise, vous léchiez la masseuse.

 

Oups !

 

– Attendez une seconde, on se concerte, lui répond Maman.

 

Elle s’approche de moi :

 

Je mettrais ma main sur ma chatte, tu me lècheras la main, il ne verra rien !

 

Brandy Love

On a donc commencé comme ça, et puis un moment, j’ignore pourquoi, Maman avait peut-être envie de se gratter, elle a retiré sa main, je me retrouvais avec sa chatte devant ma bouche. Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai léché la chatte de ma mère, elle s’est laissé faire en fermant les yeux et en se titillant les tétons.

 

Le client a ensuite voulu enculer Maman, qu’à cela ne tienne, on change les positions, je suis devant Maman et complètement partie, je l’embrasse goulument sur la bouche. Elle me fait signe ensuite de me positionner comme elle était tout à l’heure, j’écarte les cuisses et lui offre ma chatte.

 

– Mets ta main si tu veux ! Me souffle-t-elle.

 

Elle a dit « si tu veux », donc je ne suis pas obligée, alors je ne mets pas ma main et je me laisse lécher par Maman.

 

Putain, qu’elle lèche bien, elle m’a fait partir en moins d’une minute, faut dire que j’étais complètement excitée par l’insolite de la situation.

 

Je me suis déplacée et j’ai été tripoter les boules du client pendant qu’il sodomisait ma mère, je les ai même mises dans ma bouche.

 

Le client a fini par jouir, il avait l’air content et a dit qu’il reviendrait.

 

– C’est dingue ce qu’on vient de faire ! Me dit ma mère !

– C’est peut-être dingue, mais on a fait de mal à personne, et d’ailleurs c’était très bien, tu lèches vraiment bien.

– Alors, viens m’embrasser ma salope !

– Oui maman

 

FIN

 

Cette histoire m’a été inspiré pour le fond par le film « Ma mère me prostitue », un porno de Francis Leroi de 1982 avec Helen Shirley.  Mais aussi par ce  petit film vraiment très troublant dégoté sur le site Xhmaster avec Lacey Lace et Manx

Jeu 15 jui 2021 1 commentaire
Tant que ça se passe entre adultes consentants
Jean-Seb - le 15/07/2021 à 14h41