Le blog de vassilia-x-stories
Lola, son chien et son père par Mathilda Stenberg
Ames sensibles, s’abstenir : scato explicite inside !
Coucou ! Je m’appelle Jade, j’ai vingt-cinq ans, fausse blonde, un peu dodue, 1,75 m. célibataire et salope à mes heures. Je suis bisexuelle et j’ai une copine attitrée qui a 45 ans et que j’adore, mais elle n’interviendra pas dans ce présent récit. J’aime sucer des chattes, des bites et des trous du cul, J’aime qu’on me pisse dessus et quand je suis très excitée, je m’adonne parfois à des choses un peu scato. Je vais vous raconter une histoire qui, je le sais, va sûrement choquer quelques personnes ici…
C’était l’état dernier, je devais passer par Poitiers et me souvenais qu’habitait là-bas Lola, une ancienne camarade de fac assez délurée, laquelle m’avait en son temps servi le traditionnel « si un jour tu passes dans le coin… »
Coup de fil à Lola. Aucun problème, elle m’attend… me donne l’adresse.
Lola est une brune, latine, avec un corps magnifique. Dans mes fantasmes je me disais que si par bonheur elle n’était pas insensible à mes charmes… Bref je verrais bien !
J’avais décidé pour l’occasion de m’habiller assez… sexy afin de pouvoir éventuellement l’allumer (j’étais loin de m’imaginer qu’en fait elle était encore plus salope que moi, mais n’anticipons pas…) J’ai donc mis une petite jupe noire assez courte et mon dos nu noir aussi, que je porte évidemment sans soutien-gorge et qui met donc ma poitrine assez imposante avec les tétons qui pointent, en valeur. J’ai complété tout cela par mes petites chaussures noires à lanières grimpantes (jusque mi tibia). Je me suis regardé dans la glace, j’avais l’air un peu pute, mais cela ne me dérangeait pas !
Après avoir trouvé une place de parking, j’arrivais chez mon amie et je fus quelque peu surprise lorsqu’elle m’accueillit en serviette de bain, prétextant un manque de temps pour se préparer.
Nous nous sommes embrassées et à ce moment la serviette mal attachée dégringola. Elle se réajusta aussitôt en riant mais la vision de sa nudité m’avait déjà émoustillée.
Elle avait un corps parfait, avec une poitrine assez imposante tout comme la mienne, et de plus elle était toute bronzée déjà en raison de ses origines italiennes.
Elle me proposa de m’asseoir dans le canapé le temps qu’elle s’habille. J’acceptai sans problème, m’installant sur le sofa et j’allumai une clope pour patienter, et son chien, un très beau labrador s’installa également à mes côtés. Un quart d’heure plus tard, (un quart d’heure pour s’habiller ! Vous vous rendez compte ?) elle revint, superbe, avec un pantacourt taille basse, un débardeur blanc super moulant et des Buffalo aux pieds. Je ne pus me retenir de rougir, elle était trop belle (bien plus que moi !) Elle me proposa à boire, j’acceptai volontiers car il faisait horriblement chaud.
On échange quelques banalités, elle m’apprend qu’elle s’est séparée de son mec et qu’en attendant de se trouver un logement, elle vit ici chez ses parents.
– Le paternel m’a demandé de laver le chien, il ne sent pas très bon et en plus avec la chaleur…
– Je peux t’aider si tu veux !
– Volontiers, mais finis ton jus d’orange !
Une fois fini, elle appela Globo (le chien) qui se montra récalcitrant. On finit quand même par le mettre dans la baignoire. Je devais le tenir, pendant que Lola, elle, faisait couler l’eau à la bonne température. Une fois la baignoire remplie, la séance de frottage et de lavage commença. C’est après quelques minutes de ce shampooing énergique, que l’on vit toutes deux en même temps, le sexe de Globo grossir énormément. On se regarda toutes les deux en rigolant. Lola n’hésitait pas à passer sa main dessus pour bien le nettoyer aussi. C’était vraiment très gros, et le chien avait l’air d’apprécier beaucoup nos caresses. Une fois rincé, on l’essuya énergiquement et il courut aussitôt finir de se sécher sur le canapé. Lola nettoya la baignoire… penchée comme elle était, je pouvais voir ses superbes seins ballotter dans son débardeur, et je ne me rendis même pas compte qu’un de mes seins, lui, était sorti de mon dos-nu pendant que je m’étais penchée. Lola me le fit alors remarquer en rigolant, je rougis de honte, et à ma plus grande surprise, elle s’approcha de moi, me regarda dans les yeux et me dit :
– Ce n’est pas grave, tu as une superbe poitrine !
C’est à ce moment-là que je me dis qu’il allait peut-être se passer quelque chose…
D’un geste très décontracté, Lola pris mon sein dans ses mains et me le remit en place. Je lui adressa un sourire complice mais sans insister.
On regagna alors le salon après s’être lavé les mains.
La chaleur était étouffante dans le salon, alors cela lui servi de prétexte pour ôter son débardeur, laissant apparaître son soutien-gorge et ses magnifiques seins. Elle me dit alors :
– Tu sais, tu peux faire pareil, ne te gêne pas
J’en crevait d’envie, mais pour faire genre je lui répondis :
– Oui mais moi je n’ai pas de soutif en dessous, je suis seins nus après.
– Mais pas de problème ma chérie, attends, on est entre nous, je sais ce que c’est une poitrine quand même !
Alors à mon plus grand étonnement, elle défit le nœud arrière de mon dos nu, et celui-ci tomba tout doucement le long de mon corps, laissant apparaître ma poitrine face à elle.
– Wha ! Quelle merveille ! Je ne regrette pas de t’avoir ôtée ton dos nu, tu es superbe ma chérie !
– Tu parles j’ai quelques kilos en trop !
– Penses-tu ! C’est toujours mieux que les paquets d’os !
– Merci c’est gentil, tu es superbe aussi… autant que tu sois au courant, je suis un peu bi, mais n’ai pas peur je ne vais pas te sauter dessus.
– Si tu me saute dessus, je me laisserais faire,parce que figure-toi qu’il faut que je t’avoue que j’ai moi aussi une forte attirance pour les filles
Alors, je ne pus m’empêcher d’approcher mes lèvres des siennes et de l’embrasser sur la bouche en un long baiser aussi profond que baveux.
Elle en profita pour mettre sa main sur mon sein, m’agacer le téton et commencer à me peloter un peu partout… je gémis tout doucement, c’était trop bon…
Je lui retirai son soutien-gorge et la pelotais à mon tour, ma main glissa à l’arrière de son pantacourt et j’agrippais ses fesses, mon doigt venant fureter dans son trou du cul.
Nous étions donc théoriquement parties pour une petite séance d’amour saphique… mais l’imprévu survint :
Alors qu’on le croyait déjà en train de dormir, le labrador sauta sur le canapé près de nous, et on eut vite fait de voir que son sexe était toujours aussi gros que tout à l’heure, voire même encore plus. Lola rigola et me dit :
– Ben lui en tout cas il a la forme. Tu as vu sa bite ? C’est énorme ! Tu crois que ça fonctionne comme celle d’un mec ?
– Je sais pas du tout… j’ai jamais goutée ! Lui dis-je en rigolant
C’est alors qu’elle me dit :
– Chiche ?
– Chiche de quoi ?
– Ben de gouter !
Je fus énormément surprise de sa suggestion. J’aime bien suce des bites et j’adore le sperme, en avoir partout, en avaler… Mais bon une bite de mec et une bite de chien ce n’est pas la même chose !
Je répondis :
– Euh… bah… et toi ? Tu gouterais ?
– Bin je sais pas, répondit-elle avec malice, si tu oses, j’oses aussi… On pourrait déjà toucher sa bite pour voir, non ?
J’hésitai mais fini par acquiescer.
C’est alors qu’elle prit sa main et enroula le sexe de Globo, et commença des va-et-vient, les mêmes que l’on fait pour masturber un mec
Le chien qui était tout fou au début, eut vite fait de se calmer, savourant certainement cet instant.
– Wha, il grossit encore ! Me dit-elle, vas-y, touche.
Alors je pris ma main et fit pareil qu’elle. En effet, c’était gros et très chaud.
– Tu crois qu’il aimerait aussi qu’on le suce ? Demandais-je.
Je fus super surprise de sa réponse
– Je sais pas, ça doit avoir un gout bizarre, mais on va voir.
Je compris alors à son ton, qu’elle bluffait et qu’elle avait déjà pratiqué ce genre de choses.
Sans hésitation, alors que j’avais encore la main sur le sexe de l’animal, elle approcha sa bouche de son sexe et y posa les lèvres. J’ôtai ma main illico, qu’elle remplaça sans attendre par ses lèvres. Je voyais sa bouche remplie du sexe de Globo, je savais plus quoi faire.
Elle gémissait tout doucement, elle avait l’air d’apprécier énormément.
Elle dégagea sa bouche et me dit :
– Putain, c’est géant ! Essaye !
J’hésitai un peu… puis, je donnai mon accord, mais je préférais avant qu’on se mette par terre, car ce n’étais pas confortable sur le sofa et surtout pas pratique
Elle descendit le labrador et je me mit à quatre pattes, la tête sous le chien, et après quelques nouvelles secondes d’hésitation, je finis enfin par faire glisser le sexe de l’animal dans ma bouche. Elle fut vite remplie, son sexe était très gros. Je commençai alors à le sucer, faisant des va-et-vient avec ma bouche. Lola elle, se plaça sous moi et me pelota fort tout en me léchant mes nichons.
C’était trop bon…. Comme une petite salope, je suçais le chien, et la vision de me voir ainsi offerte et soumise m’excitait davantage
Elle me dit alors :
– Attend, pousse-toi, je vais essayer un truc
J’obéis. Elle allongea le labrador par terre, le sexe tendu vers le haut…
– J’ai trop envie d’me faire prendre ! dit-elle
Elle porta sa main à sa bouche, lubrifia son sexe et s’empala presque d’un coup sur le chien. Je ne savais plus quoi dire ni faire… mais mon instinct lesbienne me fis aussitôt m’occuper de ses seins sublimes qui ballottaient dans l’air. Elle faisait des mouvement de va-et-vient sur son sexe, engloutissant entièrement celui-ci.
Au bout de cinq minutes, elle se retira, se mit à quatre pattes. Le chien se redressa, se mit debout et d’un coup, s’étala sur Lola, les pattes en avant, et la prit sans ménagement. Lola hurlais de plaisir :
– Oh ouiiiii c’est trop bon… waf je suis une chienne… oh ouiiiii il me baise à fond. Vas-y mon chien, baise la bien ta salope !
J’étais surexcitée de la voir ainsi offerte. Je crevais d’envie d’essayer moi aussi.
– A moi, à moi ! lui dis-je.
Elle me regarda en souriant, je cru qu’elle ne voulait pas et préférait jouir de suite. Mais il n’en fut pas ainsi, elle repoussa le chien, et je me mis aussitôt à quatre pattes. Mon sexe dégoulinait de mouille, j’étais trop excitée, le chien n’eut aucun mal à venir sur moi à mon tour et à me pénétrer d’un coup. Je hurlai mon plaisir. Son sexe était dur et chaud, il n’arrêtait pas de me combler !’
C’est alors qu’à ma grande stupeur, je vis la porte s’ouvrir, et un type entrer… je voulu me retirer, mais le chien ne décollait pas… J’étais envahie par la honte me demandant comment me sortir de cette situation trop gênante
– Tout va bien ! Ne vous inquiétez pas pour moi ! Dit l’homme.
– C’est mon papa ! Me précisa Lola
Ah bon ?
– Eh bien, je vois qu’on s’amuse bien quand je suis pas là. Reprit le père. Tu me présentes ta copine ?
– C’est Jade, une amie de Paris.
– Bonjour Monsieur, répondis-je bêtement.
Tout en continuant à être prise par le chien, je vis le père de Lola, sortir de sa braguette une bite bien bandée.
– Oh ! Tu bandes bien Papa ! S’exclama Lola
– Si tu veux me sucer, j’aimerais bien.
– Mais bien sûr Papa !
Sans perdre une seconde Lola s’approche de son père, et lui baisse son pantalon.
– Si je veux lui mettre un doigt dans le cul, c’est plus pratique ! M’explique-t-elle.
Et elle commença à le sucer. J’étais trop étonnée de voir ça : Lola, sucer son propre père. Jamais je n’aurais pu imaginer ça… Quand je vous disais qu’elle était encore plus salope que moi !
Je me retirai du sexe du chien, et je me mis à le sucer de nouveau. C’était long, dur et chaud et ça dégoulinait bien…
Au bout de dix minutes de fellations respectives, Lola et moi n’avions qu’une envie, se faire jouir dessus. Elle abandonna le sexe de son père avec la bouche mais continua à le masturber, tout en se rapprochant du chien. Elle entrepris la fellation du labrador avec moi. Au bout de quelques minutes, le chien jouit, une quantité incroyable de sperme se déversa dans nos bouches et sur nos visages. Nos petites frimousses de salopes étaient recouvertes de sperme, de long fils blancs se dessinaient sur nos visages. J’avalais le plus de sperme que je pouvais, Lola en faisais de même.
A peine après avoir fini de s’occuper du sperme de Globo, on s’occupa de son père. On était déjà toutes couvertes de sperme, que son père n’a pas tarder à jouir aussi et tout nous mettre en bouche, sur le visage et les seins. Je rempli ma bouche avec le plus de sperme possible, puis, je recracha tout sur le visage de Lola qu’on avait maintenant peine à reconnaître. La petite vicieuse en fit autant, alors je me retrouvais également couverte.
Ensuite, on se lécha le visage, avec les mains on s’étalait toute cette quantité de sperme, nos seins brillaient avec tout le sperme qu’il y avait dessus
– Je vais vous rincer ! Dis le père.
Je ne compris pas de suite, mais Lola me demanda de mettre à genoux à côté d’elle. Le père se mit alors à nous pisser dessus d’abondance.
– Mais ouvre la bouche, voyons, me dit Lola.
Je le fis volontiers ! C’était bon.
Le père quitta les lieux suivi du chien nous laissant seules dans un drôle d’état mais satisfaites.
Nous nous sommes longuement embrassés.
– Y’a longtemps que tu fais ça avec ton père ? Lui demandais-je.
– Non, c’est depuis que je suis revenue chez eux, on s’est retrouvée nues avec ma mère dans la salle de bain, on a un peu déconné, puis on s’est caressé et on a fini par se lécher la moule. Quand elle va rentrer je te la présenterai, elle adore qu’on la lèche.
– Et ton père ?
– Ma mère lui a raconté ce qu’on avait fait ensemble alors il m’a carrément demandé… J’ai dit oui !
– Eh ben !
– Bon, on va se rincer pour de vrai, mais il faudrait que je fasse caca, avant.
– Tu vas faire où ?
– Ben dans les chiottes, à moins que tu ais une idée salace derrière la tête.
– J’aimerais bien voir !
– Pas de problème, je fais des jolis merdes, tu sais ! Tu veux que je me mette où pour faire ça ?
– Je voudrais te montrer que je peux être aussi cochonne que toi !
– Ça ne répond pas à la question !
– Chie moi dessus ma chérie !
– Ce n’est pas un problème, allonge-toi, je vais te gâter !
J’appréhendais quand même un peu, certes j’avis pratiqué un peu de scato mais cela n’avait été que léchage de doigts ou de gode. Je n’avais jamais été jusqu’à ce que l’on s’apprêtait à faire, mais ce défi que je me lançais à moi-même, je voulais l’accomplir.
La merde me tomba sur le visage. Par reflexe, je la dégageais, mais me reprenait aussitôt. Je saisit entre me doigt un petit bout de matière, le portait à mes lèvres et le suçait légèrement avant de le mettre dans ma bouche.
Je me relevais et fit signe à Lola de venir m’embrasser. Elle n’hésita pas une seconde et nous nous échangeâmes un long baiser merdeux. De la bave merdeuse dégoulinait de nos lèvres.
– Alors qui c’est la plus cochonne ?
– Match nul, ma chérie ! Mais tu as oublié de me lécher le cul…
Et la journée n’était pas terminée
fin