Le blog de vassilia-x-stories

Amanda

par Iro

 

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Introduction (si j’ose dire !)

 

Amanda, quand je pense à toi,

J’ouvre un monde où je peux t’emmener avec moi,

Afin d’y avoir tous les droits !

Dans ce lieu je suis le roi,

Je te prends dans mes bras avec passion,

Et t’empale sur mon érection

Tout en agrippant à pleines mains la chair de ton cul.

Je suce ta langue et goûte à tes lèvres vaincues.

 

1er mouvement : Modérato

 

Une seule pensée m’envahit

C’est de me servir de mon zizi.

De toute ma force, et tandis que de plaisir tu geins

De ma queue, je laboure les chairs de ton vagin.

Tu es à moi, tu es le visage de mon désir

Je sens les muscles de ta vulve me retenir

Tu veux que je te pénètre encore plus profondément.

Une obsession m’habite énormément,

En voyant les lèvres de ta chatte

Je veux sucer ton clitoris, je n’ai qu’une hâte

Lécher tes grandes lèvres,

Goûter tes nymphes en fièvre

Et enfouir ma langue dans l’orifice de ta moule

Tandis que le lit nous bercera, telle la houle.

 

2ème mouvement : Adagio

 

La vue des lèvres de ton visage

Me fait donner à ta bouche mon membre peu sage.

La tiédeur de tes lèvres et de ta langue

Font monter mon plaisir comme un big-bang.

Tu laisses mon gland te pénétrer

Jusqu’au fond de ta gorge outrée.

L’excitation est à son point culminant

Car je sens ta soumission du moment

Face à mes coups de queue.

Je te baise la bouche et tu en reveux

Je tourne alors ma tête vers ta minette

Et je me pâme à l’idée de boire à la sauvette

Les larmes de plaisir

S’écoulant de ton vagin en délire

Tes hanches rondes dansent avec mon bassin

Je peux entendre ta vulve gémir sur les coussins.

Les grandes lèvres se dressent toutes gonflées

Et je salive à la vue du miel qui s’y écoule tel un trophée.

 

3ème mouvement : Allégro

 

J’ai envie de crier tellement je bande !

Afin que l’on m’entende jusqu’aux plaines de Hollande !

Le monstre qui est en moi me crie de te baiser

Et il n’y a qu’un seul moyen de l’apaiser…

Ton clitoris luit d’excitation,

Son érection est si intense que j’ai l’impression

Qu’il pourrait exploser dans ma bouche !

Si de trop près par mégarde je le touche.

Les lèvres de ta vulve fleurent le sel marin

J’ai si soif de ton miel et aimerais qu’il s’écoule sans fin

Je me retire de ton minois

Pour me poser face à toi

Les jambes bien écartées devant moi

Je soulève ton bassin, tu es à moi

Et le dépose entre mes cuisses, tel est mon plan

En prenant ma queue je caresse du gland

Ton clitoris et les lèvres de ton minou

Je regarde tes yeux, ta bouche, je suis un filou.

Ton sexe tu veux que je le colmate

Tu me supplies de te défoncer ma chatte

Tu veux que je te traite de pute

Tu veux que j’assouvisse mes instincts de bête en rut.

Tu veux que je te prenne comme une bête

Et que j’éjacule dans ta zézette.

 

4ème mouvement : Molto allégro

 

Tranquillement je te pénètre jusqu’aux testicules

Mais, peut-être préférerais-tu que je t’encule ?

Ton vagin étrangle mon érection

Et désire se noyer dans mon sperme en production

Ta respiration est forte, ta poitrine est rouge de plaisir

Tes mamelons veulent que je les suce jusqu’au délire

Je cogne ta vulve de violents coups de rein

Mes mains agrippent avec force tes seins

Des index et des pouces je fais des pinçons

Et pour les exciter encore plus, je tire sur tes mamelons

Tes petits cris, assurément me rendent fou

Je glisse ma main sur ton visage et ton cou

Et j’insère mon pouce dans ton palais.

Tu le suces tel un pénis au rabais

Et je sens alors l’effluve de sperme

Se décharger dans mon membre ferme

Malgré mon désir de jouir dans ton ventre

La bête qui est en moi ne peut plus dire  » rentre !  »

Car je veux éjaculer sur tes seins

Et sur ton visage qui regarde le mien

Je retiens le premier spasme

Contrôlant l’énergie de mon orgasme

Je retire ma queue et vise ton visage

Mais j’en veux encore davantage

Je sens alors une grande quantité de liqueur

Voulant s’expulser de mon membre à la bonne heure !

Se frayer un chemin vers ton minois

La giclée atterrit sur toi

Un peu dans ta bouche, un peu sur ta poitrine

Un soupir s’échappe de ta jolie bobine

Un second spasme, plus bref, expulse ma jute

Sur ton cou et tes épaules, est-ce la fin de mon rut ?

Rapidement je réinsère ma queue dans ton orifice

Et je jouis une troisième fois tel un feu d’artifice

Au contact de ta chair

Qui a su tant me plaire !

Je crie de plaisir tellement cet orgasme est intense.

Et encore plus que tu ne le penses

Nos corps se soudent épuisés

D’avoir tant baisé !

Et la seule chose qui pourrait à présent nous désenlacer

Serait, je le pense, une bonne envie de pisser.

Oral11482

Coda :

 

Pauvre idiot ! Répondit Amanda, tu ne m’as point fait jouir

Occupe-toi donc de moi de moi avant de t’endormir.

Et de grâce, si l’envie d’uriner vient te titiller

Arrose moi de ta pisse, fait moi frétiller.

Je te ferais sans doute à mon tour la même chose

Si toutefois, tu le mérites, car ce soir, c’est moi qui dispose.

 

 

 

Irénée VARDIN

(d’après un petit texte en prose-tutu publié naguère chez Sophiexxx sous le titre  » Muse Virtuelle « )

Mer 14 jui 2021 Aucun commentaire