Le blog de vassilia-x-stories
La visite de Maman par Marine et Thibault
Bonjour, c’est Marine et Thibault, mais aujourd’hui ce sera moi la narratrice
J’ai longtemps hésité à écrire cette histoire, parce qu’annonçons la couleur, c’est d’inceste qu’il s’agit et on en a écrit des bêtises là-dessus.
Alors je précise tout de suite, personne ne m’a forcé de quelque façon que ce soit à faire ce qui s’est passé ce jour-là…
Et quand cela fut terminé, je n’ai pas été courir chez le psychiatre pour lui dire que maintenant j’étais traumatisé à vie, mais j’ai eu une envie folle de recommencer, ce que j’ai fait d’ailleurs.
Comme ça je suis une salope ?
Si ça vous choque inutile de continuer la lecture.
Chantal, ma mère a 50 ans et des poussières, c’est une petite brune aux cheveux assez courts, elle très légèrement enveloppée, le visage est marqué mais pas abimé, elle a une grosse poitrine dont j’ai toujours été un peu jalouse. Elle est souriante, amusante et porte des lunettes à grosses montures.
Elle est habillée aujourd’hui d’un petite jupe noire et en haut d’un chemisier imprimé blanc avec de grosses fleurs rouges
Elle habite en province où elle s’occupe d’un négoce de fringues, On ne la voit que rarement lors de ses montées professionnelles à Paris.
Et ce jour là nous dînions trous les trois à la maison, elle avait apporté un gros gâteau à la crème et une bonne bouteille de Bourgogne, j’avais cuisiné un canard à l’orange.
Tout se passait bien, l’ambiance était joyeuse et festive.
Et puis tout est parti d’une réflexion
– Tu sais, ce qu’il m’a dit Thibault, Maman ?
– Non !
– Qu’il aimerait bien te sauter ! Quel cochon !
Je ne sais pas pourquoi, j’ai sorti ça, sans doute une facétie de mon inconscient !
– Remarque c’est plutôt flatteur ! Répond ma mère.
– N’empêche que c’est un cochon ! Répliquais-je.
– Et s’il le faisait en vrai, tu dirais quoi ? Reprend Maman
– Je ne sais pas trop, je ne suis pas jalouse, à la limite ça m’amuserait.
– T’entends ça, Thibault, on n’a plus qu’à se donner rendez-vous ! Plaisante maman.
– Chiche ! répond Thibault sur le même ton.
– Cela dit ça ne va pas être évident, je redescend à Bordeaux demain matin.
– Il ne reste plus que ce soir, alors ! Répliquais-je
– Ça vous tente ? Thibault ?
– Vous êtes sérieuse, là ?
– Ben quoi on peut délirer, ça ne fait de mal à personne. On va faire un petit jeu.! Dit-elle en s’approchant.
Ma mère commence à se dandiner devant mon mari, se caresse par-dessus ses vêtement les cuisses, puis la poitrine.
Puis la main de ma mère s’égare un moment sur la braguette.de mon mari.
– Chantal, quand même…
– Laisse toi faire, ! Intervins-je, elle en va pas te manger.
– Ça devient tout dur là-dedans ! Commenta ma mère en continuant à tripoter l’endroit de façon ostensible. Je continue ? Nous demande-t-elle.
Excitée comme une puce, j’ai spontanément répondu « oui », Thibault n’a rien rétorqué, mais il n’a pas dit non.
Maman continue de se trémousser, irrésistiblement attiré par sa poitrine, Thibault ose porter sa main sur ses cuisses puis remonte vers la poitrine qu’il malaxe par-dessus le tissu.
Elle a maintenant remonté sa jupe au-dessus de la culotte, Thibault lui embrasse le haut des cuisses puis s’enhardit à porter sa main sur la culotte.
Maman soulève son haut laissant apparaître un joli soutien-gorge noir et gris. Thibault comme fou pelote ma mère, ses mains et sa bouche vont partout. Maman se tourne, l’invitant à dégrafer le soutif
Ma mère a décidemment une superbe poitrine, j’ai une irrésistible envie de la toucher et de la sucer, mais je me retiens laissant pour l’instant Thibault en profiter, et pour en profiter, il en profite, le salaud, il lèche, il lui aspire les tétons, il n’en peut plus.
Maman se retourne de nouveau, Thibault lui baisse sa culote et lui embrasse les fesses
Elle le laisse faire quelques instants puis lui ouvre la braguette et en extrait sa bite raide comme un piquet., elle le masturbe quelques instants et se penche afin de l’engloutir en pleine bouche.
C’est fabuleux, c’est bien la première fois que je vois ma mère faire une pipe.
Je pensais qu’il s’agissait là d’une petite distraction d’après repas, une petite fellation, avec éventuellement une éjac et que l’on passerait à autre chose.
Mais l’excitation s’étant mise de la partie, ma chère maman avait d’autres intentions…
– Hum, c’est trop bon de sucer une bonne bite ! Déclame-t-elle toute fière d’elle. Je suis tout excitée maintenant, je me ferais bien baiser, ça te dirait Thibault ?
– On va peut-être trop loin, là ?
– Hypocrite, pourquoi tu bandes, alors ?
– Euh…
– Qu’est ce que tu en penses, Marine ? Demande ma mère.
– Si ça vous fait plaisir à tous les deux, allez-y, moi je vous regarde.
Maman va alors s’affaler sur le canapé, les jambes écartées.
Thibault hésite encore un peu.
– Ça ne va pas le faire, on n’a pas de préservatif ! Dit-il.
– Passe moi mon sac à main, je dois en avoir.
Dingue ! Ma mère se balade avec des préservatifs dans son sac à main ! C’est la soirée des grandes découvertes.
Toujours est-il que cette fois Thibault n’a plus de raison de tergiverser, il se précipite sur la Maman et la lime comme un sapeur. Mais il est tellement excité qu’il ne tient pas la distance et éjacule avant qu’elle n’ai pu jouir.
Il est confus, on le serais à moins. Moment de flottement.
– Viens me voir ! Me dis Maman
Je m’approche, lui caresse ses doux bras, ma main s’aventure doucement vers ses seins.
– Vas-y m’encourage-t-elle.
Alors je lui tète ses gros tétons et m’en régale,
– Déshabille-toi, ce sera plus cool !
Effectivement !
On s’embrasse, on se caresse, on se lèche les seins, puis ce qui devait arriver arriva.
– Lèche moi la chatte, ma fille.
C’est la première fois que je voyais le sexe de ma mère de si près, j’approchais ma langue de ce trésor, c’était humide, ça sentait la femelle, c’était divin.
Excitée, je réclamais ma propre part de jouissance et je rectifiais ma positon afin de nous retrouver en 69.
Je me faisait lécher par mère pendant que je me régalais de son propre sexe.
Nous n’avons pas tardé à jouir toutes deux comme des malades avant de nous rouler une pelle tellement baveuse que nos salives dégoulinait sur nos mentons.
Superbe expérience mais pourquoi ma mère a-t-elle attendue si longtemps pour se lâcher ainsi ?
Fin