Le blog de vassilia-x-stories
La légende de Pauline, délire en roman-photos par Ursulin Neveway
SCÈNE 1
ndw : Ursulin nous a adressé ce petit « essai » de roman photos, comme il le dit lui-même ! Loufoque, distrayant et gentil, je n’ai pas hésité un moment à le publier ! J’espère qu’il vous amusera comme il nous a amusés !
Oyez, Oyez, braves gens !!!
Laissez-moi vous conter la légende de Pauline !
Et vous saurez ce qu’il en coûte de ne pas respecter ce qui est indiqué sur les panneaux d’interdiction !
Vous connaissez tous l’ancienne école désaffectée, bien sûr !
Il y a juste devant un champ de maïs. Oh, ce n’est pas un grand champ, c’est un petit champ mais il produit bon an mal an son pesant de maïs, et suffit à nourrir son propriétaire !
Mais nul ne sait qui est ce propriétaire mystérieux !
Ce que l’on sait c’est que d’étranges lumières dansent parfois à l’intérieur de la batisse délabrée !
Et l’on sait aussi, qu’une main anonyme a planté à l’entrée du champ cet étrange panneau, indiquant de façon claire et précise que ce lieu ne saurait tolérer l’exercice de la turlute !
SCÈNE 2
Un Panneau d’interdiction !
– Qui a bien pu le placer-là ? Interroge Pauline.
Elle n’est pas venue seule, Pauline. Elle est accompagnée d’Armand, son amant et d’Albert qui aime tant la prendre par derrière.
Mais ces deux nigauds n’en savent pas plus qu’elle et ne savent que répondre !
– Y a quelqu’un ? Crie Pauline.
Mais seul le souffle du vent répond !
– Déshabillons nous, alors propose la blonde !
Ne voulant pas paraître pour des pleutres aux yeux de la belle, nos deux mâles se débarrassent de leurs vêtements !
Les voilà tous les trois dans les champs. Et sous le soleil du beau temps, Pauline pompe la grosse bite de son amant Armand, tandis qu’Albert… mais vous avez deviné… Pauline est une belle coquine et elle aime sucer quand on la pine..
SCÈNE 3
Et tandis que notre trio « triole » avec une ardeur de hardeur, à l’intérieur de la batisse, nous découvrons deux étranges créatures, à moitié sorcières, à moitié fées !
Celle qui fait pipi se nomme Ondine et celle qui ne fait pas se nomme Peggy ! Mais qui est alors ce porcelet bien gras ?
Tout simplement le propriétaire, gardé en l’état par un sort magique, au cas où il pourrait servir, mais ne pouvant plus s’exprimer comme un humain. Et pour l’instant il sert de siège à Peggy. C’est très confortable un petit cochon comme siège !
– Quand tu auras fini de pisser, lui dit Peggy, tu jetteras un coup d’œil par la fenêtre ! Qui sont ces trois hurluberlus ?
– Ils ne font point de mal, ils niquent !
– Certes, mais si nous avons posé un panneau, c’est pour avoir la paix !
– Nous pourrions les transformer en grenouilles et en crapauds ! Propose Ondine.
– Allons, allons, il ne faut point punir l’amour ! Nous allons juste les faire déguerpir !
– Sans doute as-tu alors une idée ?!
– Certes ! Je vais faire neiger, et le froid les fera partir ! Décida Peggy.
SCÈNE 4
Mais nos fées n’avaient pas prévu que notre trio mettrait tant d’ardeur à la tâche, que nos trois baiseurs dégageraient une telle chaleur qu’ils ne se rendirent même pas compte du déluge blanc qui leur tombait sur les flancs.
– Malédiction ! Dit alors Peggy, cela ne marche point !
– Perdrais-tu la main, tendre Peggy ?
– Ta gueule ! Je vais refaire une incantation et rajouter de la neige, tout cela n’est qu’une question de réglage !
– N’est-ce point dangereux ?
– Je sais ce que je fais, mademoiselle !
Et Peggy leva alors sa baguette…
SCÈNE 5
Peggy venait donc de faire une grosse bêtise !
Une très grosse bêtise !
SCÈNE 6
Les deux fées étaient à présent complètement nues, et Ondine était passée derrière sa collègue, une main sur la chatte, une autre sur le sein, en même temps qu’elle sollicitait sa langue. Elle la caressa ainsi quelques instants puis s’arrêta un moment :
– Peggy, débrouille-toi mais tu ne peux pas les laisser comme ça !
– Hélas je ne sais pas revenir en arrière !
– Quoi ! Une fée diplômée comme toi, ne sait pas faire ça ?
– Ben non !
– Il y a bien un moyen pour rendre vivants des êtres inanimés, non ?
– Ce n’est pas si facile !
– Je vais essayer, alors ! Proposa Ondine !
Alors Ondine leva sa baguette…
SCÈNE 7
Cette fois c’est Ondine qui venait de faire une bêtise !
Une très grosse bêtise !
SCÈNE 8
– On est aussi conne l’une que l’autre !
– Mais non, c’est en faisant des erreurs qu’on se perfectionne ! rectifia Peggy. Et arrête de parler quand tu me lèches, ça me déconcentre…
– Que faire ? On ne peut les laisser ainsi, surtout quand on connaît l’espérance de vie d’une carotte !
– On va leur offrir à chacun l’éternité, en attendant de trouver !
– En voilà une riche idée !
– Bon, maintenant tais-toi et suce, on s’occupera de ces messieurs dames tout à l’heure !
– En espérant qu’un amateur de pot au feu ne vienne pas les cueillir avant, ou qu’un lapin qui passe par là ne les grignote !
– Ce que tu es chiante !
SCÈNE 9
Alors Peggy reprit sa baguette…
Et c’est depuis ce jour que l’âme d’Albert est enfermée dans ce monument naturel
Et c’est aussi depuis ce jour que l’âme de Pauline, prisonnière de cette montagne pisse de l’eau de source pour l’éternité.
SCÈNE 10
Les deux fées avaient repris leurs ébats, frottant leurs clitoris l’un contre l’autrevdans un tribadisme effréné. Ondine couchée, renversée en arrière et Peggy semi-accroupie ! Ce fut Ondine qui jouit la première, renversant complètement son visage sous le choc du plaisir ! Après quelques instants de récupération, elle demanda soudain :
– Mais Armand! Qu’as tu fait d’Armand ?
– Je n’avais plus de ressources pour l’immortaliser sur terre !
– Mon dieu ! Il est perdu !
– Pas du tout, je l’ai envoyé dans l’espace, et si tu continue à jacter je vais t’envoyer le rejoindre ! Fais moi donc jouir, petite mignonne !
– Mais avec grand plaisir, ma petite fée adorée !
SCÈNE 11
C’est ainsi que depuis quelque temps, quelque part entre Mars et Jupiter, il y a désormais un nouvel astéroïde. Il n’ a pas encore de nom, mais lui seul sait qu’il s’appelle Armand ! Il attend le jour où son orbite sera perturbée, où il pourra foncer sur la Terre et s’élancer vers la source de Pauline afin qu’ils puissent connaître ensemble un dernier et sublime orgasme