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Des orties pour Elodie par Marie-France Vivier

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Encore une traduction anglaise que j’ai reprise et adaptée…

 

J’entrais dans la chambre d’Elodie ! Elle était là simplement vécue d’une sorte de nuisette qui découvrait ses épaules et ne cachait rien de sa généreuse poitrine. Toujours aussi « appétissante » avec sa peau qu’elle évitait d’exposer au soleil, ses cheveux bruns négligemment pincés, ses yeux bleus comme l’océan et sa belle bouche pulpeuse recouverte d’un vrai rouge à lèvres. Elle était assise au pied de son lit, les mains attachées par une corde fixer à la barre. Je fermai la porte à clef, et m’installa dans un fauteuil. J’attendis un peu, je n’étais pas pressée !

 » Alors ? La correction de ce soir ?  » Demandais-je à Elodie.

 » Ce soir maîtresse, je voudrais que vous me fouettiez les épaules et les seins avec un petit bouquet d’orties fraîches que j’ai cueilli ce matin. Et après vous me donnerez douze coups de martinet sur les fesses

« . A nu ?

« . Oui maîtresse ! .

Je n’avais pas à approuver ou à désapprouver ce programme, puisqu’elle me payait pour être sa maîtresse. Parfois il m’arrivait de lui proposer de le modifier, mais ce soir il me convenait parfaitement. J’aimais fouetter ! . Elle me désigna de la tête une boite en carton dans laquelle se trouvaient minutieusement rangée une dizaine de tiges d’ortie bien garnies de feuilles. Elodie avait eu la prévenance d’en gratter les bouts afin d’éviter de me piquer. Je dénouai les rubans qui retenaient sa nuisette aux épaules, elle tomba sur la moquette laissant nue ma consentante victime. Un instant je m’égarais en contemplant ses épaules, son dos gracieusement incurvé, sa merveilleuse poitrine au galbe parfait, ses seins bombés, droits et blancs. Un petit fourmillement caractéristique apparut dans mon entre jambe ! L’envie de laper d’un petit coup de langue ses petits tétons érigés me démangea un moment. Mais ce n’était pas dans nos accords. Je me repris !

.  » Baisse la tête ! Et surtout pendant la correction, je ne veux pas entendre un murmure. Tu n’as qu’à serrer les dents !

M’emparant du bouquet d’orties, je commençais à flageller mollement les épaules les seins, le ventre, le dos et les flancs d’Elodie. Elle se mit à gémir tout doucement tout en gigotant dans tous les sens sous l’action cuisante des orties.

 » Je t’interdis de bouger ! Baisse la tête et si tu continue, tu auras droit à vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze! ».

Elodie finit par obéir. Sa peau était à présent entièrement rouge. Elle en avait eu assez, je stoppais donc la flagellation aux orties.

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 » A présent tu va bien me tendre tes fesses. Tu seras une bonne fille, n’est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante? . Penche-toi encore un peu, je vais te foutre les douze coups de martinet sur tes fesses ».

 » – Allez-y maîtresse, n’ayez pas peur de me faire mal, j’aime tellement ça ! »

Elodie se pencha en avant. D’ordinaire, je fouettais de loin, c’est plus facile et plus efficace. Mais ce soir, j’avais envie de sentir le contact de sa peau, j’optais pour une position très « spanking » et Je lui passais la main gauche sous le ventre, pour la soutenir et munie du martinet, je lui demandais de compter les coups. Le premier coup, donné en travers de ses fesses tendus, je l’appliqua très bas, presque sur les cuisses. Elodie en le recevant rebondit en tressaillant.

Et tandis que l’on entendit le bruit de grêle des six lanières du martinet s’abattre, presque simultanément et d’une voix étouffée Elodie compta « un ! ». Le second coup suivit presque aussitôt, puis le mouvement se précipita. Elodie fut fouettée avec force et rage, sans que je laisse une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup appliqué sur ses fesses rouges et boursouflées et Elodie prononça avec soulagement « douze ! ». Je posais le martinet sur le lit. Je palpais un instant la partie fouettée, prétextant qu’il fallait bien voir si elle était suffisamment échauffée. Je détachais les mains d’Elodie qui alors se frictionna sans pudeur. Puis dans un geste de soumission, elle s’agenouilla et dans cette position s’avança vers moi, me pris mes mains et me dit

« Merci maîtresse ! Merci pour cette l’excellente fouettée ! ».

Puis elle se tût ! J’attendais une invite, quelque chose ! Mais non ! Elle était satisfaite comme ça, je me retirais donc. Je la violerais un autre jour !

Fin

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Mar 13 jui 2021 Aucun commentaire