Le blog de vassilia-x-stories
Menottes dorées par Estonius
Bonjour ! Je me prénomme Bertrand et je suis ingénieur en informatique, j’ai la quarantaine, marié à une femme adorable mais devenue sans surprise, je n’ai plus beaucoup de cheveux, un peu de bedaine, des lunettes, un vrai play-boy, quoi ! Mais on trouve ma compagnie agréable, ce que les gens ne savent pas c’est que je suis complètement obsédé sexuel et d’une curiosité insatiable en ce domaine, mais j’assume et suis très bien dans ma peau. Pour la présentation, ça ira ?
Aujourd’hui lundi, déplacement à l’autre bout de Paris, dans une boite d’import-export. Ce qu’on me demande d’effectuer devrait me prendre plusieurs jours… J’ai rendez-vous à 10 heures avec un responsable ! Quelle idée de donner des rendez-vous à une heure pareille ? Pour foutre une matinée en l’air c’est super ! Et en attendant je suis là, à la terrasse d’un bistrot en train de boire un café noisette très moyen.
Un regard circulaire : Joli nez ! On ne voit que ça ! La femme doit avoir une quarantaine d’années, brune, les cheveux mi-longs, et frisés, genre italienne, un tailleur beige dont la veste est ouverte sur un haut assez décolleté. La poitrine paraît prometteuse. Elle a l’air d’attendre quelqu’un. Un moment nos regards se croisent, mais gêné, je détourne la tête.
Ce n’est que quelques instants plus tard, me levant pour aller aux toilettes, et passant à sa proximité, que mon regard découvrait subrepticement la petite broche épinglée au revers de sa veste de tailleur. Ça ressemblait à des menottes ! Des menottes ! En voilà une drôle d’idée ! Quand même, ça me turlupine (sans jeu de mots). J’ai dû mal voir ! Au retour je regarde mieux. Confirmation, il s’agit bien d’une paire de menottes dorées. Je regagne ma place. A ce moment là, nos regards se croisèrent de nouveau, elle me fit un léger sourire, je répondis de même, mais est-ce par timidité, toujours est-il que je m’empressais de payer et de partir !
Je suis le roi des cons ! Qu’est ce qui m’empêchait de l’aborder ? Ça ne m’engageait à rien ! Elle cherchait peut-être un mec ? Et puis ces menottes, c’est quoi la signification ? Ça ne signifie peut-être rien du tout, mais si c’était un code ? Elle cherche peut-être à dominer un mec, ou alors le contraire, à se faire dominer ! J’aurais aimé savoir ? Si vraiment elle est en chasse, peut-être sera-t-elle là de nouveau demain ? Je viendrais voir !
Et c’est ainsi que le lendemain, avant dix heures je prétextais n’importe quoi pour sortir de chez mon client (de toute façon, je n’ai pas à me justifier) et me précipitait dans ce fameux bistrot…
Mais elle n’y était point, et le jour suivant non plus ! Evidemment, qu’est ce que j’imaginais ? Qu’elle attendait après moi ? Pas grave ! Le jeudi, mon intervention professionnelle était en bonne voie, il fut convenu que je ne reviendrais que le lundi suivant pour faire le point avec le même responsable… et toujours à 10 heures…
Alors évidemment je suis allé au café… et coup de bol : elle était là !
Je n’ai rien à perdre, si je ne tente pas ma chance aujourd’hui, ce ne sera jamais. On y va !
– Bonjour !
– Bonjour Monsieur ! Répond-elle avec un sourire enjôleur.
– Pardonnez mon audace, mais…
– Jouons carte sur table voulez-vous, nous nous sommes aperçus, il y a quelques jours, j’ai bien remarqué que je ne vous laissais pas indifférent. Il se trouve que c’est réciproque. Asseyez-vous quelques instants, ne restez pas debout comme une andouille ! Ajoute-t-elle avec le plus craquant des sourires.
Le genre de femme à « mener la barque » en somme.
– Je ne suis pas une professionnelle, remarquez que je n’ai rien contre, mais je n’ai pas de besoin d’argent. Ce que je cherche ce sont des hommes sympathiques qui acceptent des rencontres spéciales.
– Des rencontres spéciales ?
– Ne faites pas l’innocent, la dernière fois vous avez flashé sur ma broche. Elle est faite pour ça !
– D’accord, mais en fait je me demandais l’autre fois si vous étiez du genre soumise ou du genre dominante, j’ai bien l’impression que vous êtes plutôt dominante, non ?
– Détrompez-vous, je peux être les deux ! Et vous ?
– Plutôt soumis… mais c’est très léger.
– Je vois, vous ne dominez jamais. Vous n’avez jamais éprouvé de plaisir en donnant une fessée à une femme ?
– Le sadisme ce n’est pas mon truc !
– Répondez-moi franchement, vous n’aimeriez pas me donner la fessée ?
– Si on ne fait pas que ça, pourquoi pas ?
– Oh ! Non, nous ne ferions pas que ça ! Vous êtes libre aujourd’hui ?
Je réfléchis, mon rendez-vous ne va pas me prendre cent sept ans, mais l’usage voudrait que mon client me paie le restaurant. Je n’aurais qu’à décliner poliment en prétextant d’autres obligations.
– Je peux être libre, disons à midi et demi, si vous en êtes d’accord, je vous emmène déjeuner.
– Désolée, je ne mange pas le midi.
– Et bien votre heure sera la mienne !
– On va dire midi 45 devant la bouche de métro là-bas, cela vous laissera le temps de manger un sandwich, je m’en voudrais de vous avoir fais mourir de faim… Mais, vous avez cinq minutes, là tout de suite ?
– Juste cinq minutes !
– Vous voudriez peut-être me voir à poil ?
– Ecoutez, puisque vous me le proposez si gentiment.
Je suppose qu’elle va m’emmener aux toilettes, chic, chic, chic, on va peut-être faire un truc, là tout de suite, sans attendre ! Et puis je la vois farfouiller dans son sac à main ! Ma parole elle est en train de chercher la monnaie pour la cabine des toilettes ! En plus c’est elle qui paie l’entrée ! On aura tout vu ! Sauf que je me gourais complètement, ce qu’elle sort de son sac c’est son téléphone portable, elle me montre un premier cliché, elle est complètement nue, les bras suspendus au plafond, quelques marques de flagellation lui marquent le ventre et les cuisses et elle a des pinces aux seins. Belle femme, joli corps plutôt bien conservé, un peu potelé, mais ce n’est pas pour me déplaire. Décidément cette charmante personne m’intéresse de plus en plus. Une seconde photo la montre de dos, les fesses cambrées et cette fois, la flagellation a été plus importante, son cul est tout rouge, tout cela est bien excitant et je le lui dis.
– Je ne pourrais jamais vous frapper si fort.
– On ne m’a pas frappé fort, j’ai la peau qui marque très vite ! Mais de toute façon, j’aime ça… et après on inverse les rôles.
– Alors c’est non, je veux bien jouer, mais je ne suis pas maso à ce point.
– Je ne suis pas sadique, quand je domine, je sais m’adapter à ce que peut supporter mon soumis… c’est ce qui rend d’ailleurs la chose passionnante… et si excitante !
Du coup, j’hésite !
– Et puis reprend-elle, la domination, ce n’est pas que physique, il y a les mots, il y a les situations qui sont faites pour humilier, par jeu bien entendu, mais sans simulation.
– Vous pourriez préciser ?
– Vous n’avez jamais participé à une séance de domination.
– Euh… si ! Une fois…
– Avec une pro ?
– Non, une femme que j’avais draguée, c’était son truc… Alors on a joué à la maîtresse et à l’esclave.
– Et elle vous a fait faire quoi ?
– Marcher à quatre pattes, sucer un gode…
– Ben vous voyez, vous comprenez vite, sauf que je ne me contenterais pas de vous faire sucer un gode, je vous proposerais, une vraie bite, celle de mon mari !
Alors là, moi, qui prétends avoir les idées larges, je me dégonfle complètement :
– O.K. Je crois que je vais vous laisser…
– C’est comme vous voulez, mais dans une heure vous aurez déjà regretté votre décision, au fait vous ne m’avez pas dit votre prénom ?
– Bertrand !
– Moi c’est Viviane ! Rapprochez votre siège et embrassez-moi Bertrand, je vous offre mes lèvres.
Ce n’est pas parce que je n’ai plus l’intention de la suivre que je vais refuser de l’embrasser. Le baiser est torride, profond, passionné. Je bande comme un dingue. Elle le sait car sa main s’aventure sur ma braguette et en tâte le renflement. Je me laisse faire.
– Nous ferons l’amour tous les deux, mais avant tu seras ma chose !
– Si on n’allait à l’hôtel que tous les deux ?
– Bertrand, pour me mériter ce sera comme je l’ai prévu. Je te ferais goûter les plaisirs de l’humiliation, je te ferais marcher à quatre pattes, tenu en laisse comme un chien. Je te ferai lécher mon cul merdeux, je te cracherai dessus, je te pisserai dessus, je t’insulterai… et toi tu supporteras tout ça parce que tu sauras que tout ça c’est aussi une promesse, la promesse de mon corps.
C’est ce qui s’appelle une belle envolée lyrique !
Elle ne m’a pas lâché la braguette tout en me prodiguant cette étrange tirade (sans doute réchauffée). Je suis dubitatif. Le « danger » dans la situation présente, c’est de raisonner davantage avec sa bite qu’avec son cerveau. Je note que dans cette énumération surréaliste, elle n’a pas évoqué la présence de son mari, le petit détail qui change tout et qui peut faire pencher la balance du côté qu’elle souhaite.
– J’hésite !
– Tu ne vas pas passer la matinée à hésiter.
Vivianne a ouvert ma braguette, trouvé le chemin de ma bite et la branle carrément à l’intérieur de mon caleçon.
– Il faut te décider maintenant, reprend-elle. C’est d’accord ou pas ?
J’approuve, d’un geste de la tête, conscient malgré tout de ne pas trop savoir dans quoi je m’embarque.
– Je te laisse fermer ta braguette ! Je sais les ouvrir, mais je ne sais pas les fermer ! Plaisante-t-elle.
– Bon à tout à l’heure, midi 45 comme prévu…
– Pourquoi pas tout de suite ?
Je lui explique que j’ai une obligation professionnelle.
– Téléphone, dis que tu as un empêchement, invente un truc !
– Mais pourquoi ne pas attendre cet après midi ?
– D’accord, on attend l’après-midi, ton excitation sera retombée et tu ne viendras pas. Seulement après tu vas le regretter, tu vas chercher à revenir ici pour me retrouver, mais ça ne marchera pas, il n’y aura pas de seconde chance !
– Je te promets d’être là à midi 45 !
– Je te veux tout se suite.
Je téléphone donc à mon client et décale le rendez-vous au lendemain. On prend le métro, ce n’est pas très loin, j’ai envie de lui poser plein de questions, mais pas folle, elle prend les devants et monopolise la parole. Elle m’explique qu’elle et son mari tiennent un commerce, qu’ils ferment le lundi, et qu’elle en profite pour « partir en chasse ».
Arrivé en bas de l’immeuble elle me fait part de son intention de passer un bref coup de fil, je m’éloigne un peu par discrétion.
On monte, elle ouvre avec ses clés, le mari n’est donc sans doute pas là, tout va bien.
On entre, effectivement pas d’homme en vue ! Ouf ! Elle me propose à boire, j’accepte un jus de fruits.
– On va faire ça en trois parties, la première : tu vas me donner la fessée, la seconde : je te domine, et la troisième : on baise, d’accord ?
– D’accord ! Ça me convient très bien.
– Alors on y va, tu te mets à poil et tu me claques les fesses, tu fais comme tu veux, tu peux me demander de me déshabiller, tu peux le faire toi-même, je peux aussi n’enlever que le bas, c’est toi qui décide.
– Alors je vais te déshabiller !
– Pas de problème, mais toi d’abord !
Je fais comme elle a dit, elle en profite pour me tripoter un peu la bite. Puis je m’approche d’elle et lui déboutonne son haut, le soutien-gorge est bien rempli, j’ose un chaste baiser sur la naissance des seins.
– Tss ! Tss ! Ce genre de chose c’est pour la troisième partie !
Bon, tant pis, j’enlève son chemisier, je dégrafe son soutien-gorge libérant deux magnifiques globes à la rotondité parfaite terminés par des aréoles brunes d’où surgissent des tétons arrogants. Je suis subjugué. Elle rigole.
– Et bien remets-toi ! Et souviens-toi qu’ils seront à toi tout à l’heure… si tu es sage… mais tu le seras, je connais les hommes !
Je fais descendre la petite jupe, il ne reste que le string et les bas auto-fixant. Je décide de lui laisser ces derniers et je retire le string, son pubis est rasé en « ticket de métro », c’est charmant.
– On fait comment ? Demandais-je.
– Ben par exemple, tu t’assois sur le canapé, je me couche sur tes genoux, et tu y vas !
Alors, allons-y, on fait comme ça ! Je m’autorise une légère caresse sur ses fesses.
– Tout à l’heure les caresses, tout à l’heure et autant que tu voudras, mais pour l’instant tu frappes !
Elle est chiante, je lève la main, je l’abats, premier coup, première trace rosâtre. Elle encaisse sans rien dire. Je continue, je me prends au jeu, bientôt son cul est écarlate, et j’en ai mal aux mains, elle pousse des petits cris qui ressemblent plus à des manifestations de plaisir masochiste qu’à des gémissements de douleur.
Un bruit, la porte s’ouvre, un mec en robe de chambre. Merde ! J’arrête tout !
– Continuez donc, cher monsieur, je faisais la sieste, je ne fais que passer. Mais j’adore voir ma femme se faire fesser par un inconnu, d’autant qu’elle le mérite bien, cette petite salope ! Je m’appelle Philippe.
– Et bien, continue, Bertrand, pourquoi tu t’arrêtes ?
Sortir la petite phrase « Je vais vous laisser », me rhabiller, puis fuir comme un lapin, les mots ne veulent pas sortir…
– Continue, Bertrand, souviens toi que je serais ta récompense. !
Je me mens à moi-même, me disant que je vais prétexter un mal de tête pour échapper à la deuxième partie (mais hélas aussi à la troisième), mais que pour l’instant je continue.
Je reprends mes fessées, j’attends qu’elle me dise d’arrêter. Philippe a ouvert sa robe de chambre et se branle ostensiblement, il a une jolie bite, bien droite, bien nervurée, avec un gland bien décalotté et luisant. Je suis infiniment troublé. Je rebande à nouveau, je ne sais plus où j’en suis. Je ne sais plus ce que je fais…
– Ça va aller ! Me dit Viviane quelques minutes plus tard, dans un souffle, mettant ainsi un terme à son supplice volontaire.
Elle se retire de mes genoux, s’affale à mes côtés et se met à se tripoter le clito avec frénésie. Trente secondes après elle jouissait comme une malade.
C’est le moment crucial, si je dois m’en aller c’est maintenant, je lorgne vers la chaise où sont entassées mes affaires. Je me lève sans rien dire.
Comment a-t-elle fait pour me barrer la route ?
– A genoux, chien !
Je ne suis pas obligé, (du moins j’espère !) mais ce corps, ces seins, ce visage, cette promesse… Alors je retarde encore le moment de la décision, me disant que je pourrais toujours arrêter ce cirque si jamais ça prend une tournure qui ne me convient pas… et pour le moment me voici à genoux comme un gamin puni.
Viviane m’attache un collier de chien muni d’une laisse autour de mon cou. Elle me gifle, plusieurs fois, oh, pas très fort, mais ce sont quand même des gifles, et c’est très humiliant, d’autant que le Philippe qui ne devait que passer s’incruste, il a retiré sa robe de chambre et continue à exhiber sa bite ! Mon dieu, sa bite, qu’est ce que j’ai à la lorgner sans arrêt ? Qu’est ce qu’elle est belle ! Viviane me crache au visage, puis me toise avec une arrogance parfaitement simulée :
– Dis-moi que tu n’es qu’un chien !
– Je ne suis qu’un chien !.
– Tu vas bien me lécher le trou du cul !.
Ce n’est pas un problème, même s’il ne sent pas vraiment la rose, je m’amuse à faire batifoler ma langue sur ce joli œillet brun qui finit par s’entrouvrir devant mes sollicitations, j’essaie, mais ce n’est pas évident de plonger ma langue plus avant.
– Bon assez joué avec mon cul, relève-toi !
Une nouvelle fois, elle me gifle, une nouvelle fois elle me crache au visage, une nouvelle fois l’humiliation de la situation me provoque un plaisir trouble. Elle m’accroche une pince à chaque sein me provoquant des cris de douleur. Pas vache, la Viviane les retire pour les placer de façon moins douloureuse, voila une attention qui m’encourage pour la suite.
Elle joue avec les pinces, j’adore ça quand c’est fait sans excès. Et l’autre andouille qui est toujours là avec sa bite qui me nargue, J’ai compris maintenant que le contact avec lui sera inévitable, et je suis désormais enclin à faire avec, d’une part parce que la séance de baise avec Viviane est sans doute à ce prix, et puis il y a autre chose d’indéfinissable qui me conduit à accepter de franchir ce pas.
Là tout de suite, si elle me demande de sucer la bite de Philippe, je sais que je vais le faire sans problème ! Qu’elle me le demande donc maintenant, tout à l’heure j’aurais peut-être changé d’avis ! Et puis j’y pense, il voudra peut-être aller plus loin que la fellation…. Et là encore, alors que Viviane n’en finit pas de me martyriser les seins, je me dis prêt à accepter. Ah, quand c’est la bite qui raisonne, que ne ferait-on pas ?
– Tu vas t’allonger sur le canapé, sur le ventre et tu vas bien cambrer tes fesses de pute.
Elle s’empare d’une badine et commence à me zébrer les fesses, elle a eu l’intelligence de comprendre que je ne suis pas un maso aguerri et elle frappe en conséquence. Ça chauffe quand même pas mal ! Un moment, elle me fait rectifier légèrement la position de façon à ce que mes avant bras viennent se poser sur l’accoudoir. De cette façon mon visage se trouve projeté en avant.
Je crois avoir compris ce que va se passer maintenant, effectivement Philippe me présente sa bite à 50 cm de mon visage,
J’ai dû les étonner tous les deux quand j’ai ouvert une large bouche. Ça s’est donc fait spontanément sans ordre ni commentaire, j’ai la bite de Philippe dans la bouche, je la suce et je suis surpris par cette texture très douce et très agréable ainsi que par le goût très légèrement salé.
Humm, qu’est ce c’est bon, je me régale, et dire que je m’étais privé de ce plaisir pendant des années, je crois bien que je vais me débrouiller pour rattraper le temps perdu !
Viviane a arrêté de me torturer les fesses, et se livre à une activité un peu plus intime. Elle m’a en effet introduit un doigt dans le cul et s’est mise à le remuer de façon frénétique, voilà qui me provoque un plaisir trouble. Je sais maintenant que Philippe va m’enculer. Jusqu’à présent seuls quelques rares godes ont visité mon cul, je ne m’en suis pas plains, ça devrait donc aller.
Mais pour l’instant je suce, ma langue et mes lèvres ne se rassasient pas de cette bonne bite dont je m’efforce de lécher chaque recoin, que je m’efforce de sucer du mieux possible en la faisant coulisser en cadence.
Il se retire.
– Il m’a sucé comme une vraie pute ! Commente Philippe.
– Tu n’es qu’un suceur de bite ! Tu n’as pas honte ? Ajoute Viviane avec malice.
– Ben non !
Ma réponse doit être inattendue, car ça les fait rigoler, moi, je ne vois pas ce qu’il y a de drôle, c’est vrai que je n’ai pas honte, je me demande qu’elle genre de réponse ils attendaient.
– Tu sais que tu vas te faire enculer, maintenant ? reprend Viviane.
– Oui !
– Ce sera la première fois ?
– Oui !
– Tu en a envie ?
– J’ai envie d’essayer, oui !
– Allez, mets-toi en levrette, petite pédale !
Je regarde si le Philippe pense à se mettre un préservatif, puis rassuré, j’attends l’assaut.
Il me tartine préalablement le cul avec du gel, il me demande de pousser, s’y reprend à plusieurs fois et finit par s’introduire.
– Si ça fait un peu mal au début, c’est normal ! A-t-il la gentillesse de m’informer.
Et c’est parti ! Sensation insolite d’avoir un corps étranger dont on a envie de se débarrasser. Mais c’est là, ça avance et ça recule dans mon conduit anal, ce n’est pas trop agréable, et puis ça doit frotter sur ma prostate, la sensation évolue au bout de quelques minutes, rapidement je me sens bien, je suis en train de me faire enculer, j’aime ça, je suis bien.
Il a dû me limer entre cinq et dix minutes avant d’éjaculer dans sa capote. Il décule, attrape sa robe de chambre qui trainait par terre et disparaît de la pièce. Pas vraiment convivial, pépère !
– T’as soif ? Me demande Viviane.
– Oui !
– Tu veux boire ma pisse ?
Si j’avais répondu non, elle aurait fait quoi ?
Elle attrape un seau à champagne au bas de son buffet :
– Regarde bien, fous-toi en plein la vue :
Elle se met le seau entre les cuisses, fléchit très légèrement les jambes et se met à pisser d’abondance. Voir son jet d’or jaillir de sa chatte en un long filet continue a le don de rendre à mon sexe sa raideur maximale, je commence d’ailleurs à avoir mal aux testicules à force de bander sans jouir ! Viviane nous fait un vrai déluge, remplissant la moitié du machin.
Elle sort deux coupes et les remplit de sa pisse, elle m’en tend une, on trinque, elle boit, je l’imite, ce n’est pour moi qu’une première que dans la façon de faire, ayant déjà eu l’occasion de pratiquer quelques jeux uro. Sa pisse est bonne, pas trop forte, et surtout la pratique est délicieusement perverse.
Elle me dégrafe le collier de chien. Je suppose qu’elle veut me signifier par ce geste que la partie « 2 » étant accomplie on va passer à la « 3 ». Une petite appréhension quand même, parfois les femmes sont tellement versatiles !
– Allez, viens dans la chambre !
On y va, on y va ! Le problème c’est que sur le lit il y a déjà Philippe, c’est quoi ce cirque ? On va faire une partouze ?
– Tu nous laisses un peu la chambre ? Lui demande Viviane.
Pourquoi « un peu » ? Mais il s’en va sans un mot.
– Je suis à toi, complètement à toi ! Me dit-elle. Tu peux me faire tout ce que tu veux… dans la limite du raisonnable, bien sûr !
C’est quoi « la limite du raisonnable » ? Viviane s’est couchée sur le dos, jambes écartées, je me faufile près d’elle et lui caresse (enfin) les seins.
– Depuis le temps que tu les attendais… commente-t-elle.
Je m’aventure sur les tétons et les titille un petit peu, elle ne proteste pas, je serre un peu, ça à l’air de lui plaire.
– Je peux, plus fort ?
– Pas de soucis, tu peux y aller, du moment que tu ne mes arrache pas…
Je pince donc plus fort !
– Aïe !
– Oh ! Excuse-moi !
– Non, non, continue, je ne t’ai pas demandé de t’arrêter.
– Mais je t’ai fait mal !
– T’occupe pas, tant que je ne te demande pas de t’arrêter, tu peux continuer.
Je continuais mais moins fort, je n’ai rien d’un sadique, même si elle me faisait comprendre qu’elle y trouvait son compte. Bientôt ma bouche remplaça mes mains et je me régalais de la douce texture de ces bourgeons exquis. Je bandais comme un taureau et lui offrais ma bite à sucer. Elle me prodigua alors une fellation d’anthologie que je fus obligé de stopper. J’avais alors le choix entre la pénétrer en sachant que l’affaire allait être très (trop) brève, ou bien me calmer en lui prodiguant de douces caresses. Ce fut donc les caresses sur sa peau de velours, et elle me confia qu’elle adorait être caressée. Curieuse femme, finalement beaucoup moins compliquée que ce qu’elle laissait paraître.
– Si tu pouvais te mettre en levrette, osais-je lui demander après plusieurs minutes.
Elle le fit, la vue de son cul me rendit fou…
– Dans ton petit trou, je peux ?
– Bien sûr, les capotes sont sur la table de nuit !
Quel con, j’allais oublier ! J’entrais dans son cul avec une facilité déconcertante, la limais cinq minutes avant de m’écrouler, comblé de jouissance. Elle se retourna après que j’eu déculé, je cherchais sa bouche, elle ne se déroba pas.
– T’es sympa, je ne regrette pas de t’avoir fait venir ! Me confia-t-elle, mais il faut que tu saches quelque chose !
Hummm ! Que je n’aime pas ce genre de précaution oratoire !
– Philippe a tout vu à travers un œilleton !
Ah ! Ce n’est que ça, me voilà rassuré !
– Ce n’est pas grave !
– Humm, ça m’a donné faim tout ça, il est 13 heures, tu veux rester manger avec nous ! Je vais faire une omelette.
– Volontiers !
Tiens, je croyais qu’elle ne mangeait pas le midi ?
– Tu n’a pas peur que Philippe te redemande de lui sucer la bite ?
– Ce ne sera pas une corvée !
Je ne me reconnaissais pas, j’étais bien, j’étais sans illusion, tomber amoureux de Viviane aurait été ridicule, et après cette rencontre nous n’avons pas cherché à nous revoir, elle avait pourtant pris ce jour là une petite place dans mon cœur, place qu’elle n’a jamais vraiment quittée.
FIN