Le blog de vassilia-x-stories
Partie de campagne (Maryse) par Enzo_Cagliari
Paul était un ami d’enfance que j’avais un peu perdu de vue, il s’était retiré dans un petit village du Lot où il s’était installé comme vétérinaire. Son mariage avait rapidement foiré et il vivait seul. Passant dans le coin pendant mes vacances, je lui annonçais mon arrivé au dernier moment pensant lui faire une bonne surprise.
Il m’expliqua alors qu’il ne pouvait pas m’héberger, ne disposant ni de chambre d’amis, ni de canapé d’appoint mais qu’il me présenterait à ses parents, un couple d’horticulteurs, etc… etc…
Ce plan alternatif ne m’enchantait guère mais je m’y résignais.
Paul me présente ses parents, fin de quarantaine tous les deux, sympas, Maryse une grande brune un peu potelée et son mari Marcel. La maison est grande et il y a une petite piscine où nous avons profité du soleil.
Maryse était allongée sur un matelas, sur le ventre. Le soleil chauffait les corps et peut être aussi les esprits ! Toujours est-il que ce qui se passa à ce moment fut tout aussi inattendu qu’agréable.
Lassé du soleil, Paul et Marcel décidèrent de rentrer se mettre au frais pour entamer une longue partie d’échec. Je restais donc là, alangui à deux mètres de Maryse, toujours sur le ventre.
– Alors Gilles, vous appréciez la piscine ?
– Oui madame, merci pour l’invitation !
– Soyez gentil de me passer l’huile solaire s’il vous plaît ?
– Bien sûr ! Tenez !
Délicatement, la mère de Paul dévissa le bouchon et entreprit de se masser les cuisses.
– Je n’arrive pas à me masser le dos, je peux vous demander de m’aider Gilles ?
– Bien sûr.
Je me positionnais donc à côté de Maryse et huilais abondamment mes mains. Celles-ci glissaient entre le haut de son slip et son haut de bikini. Maryse était vraiment très belle encore. Cette femme de 45 ans avait gardé une taille de guêpe et sa poitrine était très voluptueuse, enserrée dans son petit bikini. Mes mains huilaient maintenant les dos de ses cuisses, un endroit qui pourtant ne nécessitait pas qu’on y revienne. Mais bon, mes mains massaient délicatement les jambes et s’arrêtaient bien avant l’entrecuisse.
– Ça ne vous dérange pas si je dégrafe mon soutien-gorge ?
Je ne répondis pas ! Elle n’avait d’ailleurs pas attendu ma réponse ! Elle était maintenant sur le ventre, accoudée, la tête en avant laissant apparaître sa nuque délicate. Cette position faisait apparaître ses seins lourds mais fermes. Mes mains glissaient maintenant sur son dos et entouraient sa taille. En remontant, ils effleuraient le côté des deux seins. J’aurais parié qu’elle ne s’en rendait pas vraiment compte mais elle écarta ses deux jambes subrepticement. Mes mains flirtaient maintenant avec ses cuisses mais remontaient plus avant et effleuraient l’entrejambe de Maryse. Elle se retourna avec un sourire et écarta ses jambes un peu plus comme une invitation, un encouragement. J’osais donc l’impensable et frottais ostensiblement l’entrecuisse de Maryse. Mes doigts coulissaient doucement sur le tissu ce qui mettait en valeur la fente de la chatte de Maryse.
Inutile de dire que mon sexe était depuis longtemps en érection, turgescent et je sentais couler, les prémices du plaisir. J’aventurais un doigt sous le tissu et je rencontrais dans cette position immédiatement l’ouverture de son vagin. Mes caresses visiblement ne la laissaient pas indifférente ! Mon doigt coulissait doucement et l’huile rendait cela très agréable. En remontant vers l’avant, j’atteins son clitoris, ce qui induit un petit gémissement de la mère de Paul. Vers l’arrière, j’atteins son anus et je me rendis compte que cette zone ne lui était pas insensible non plus ! Les pointes de ses seins se durcissaient comme ma bite qui maintenant se dressait comme pour sortir de mon slip.
Un bruit de pas, de conversations et la certitude que la partie d’échec était terminée mit un point final à ce petit jeu qui nous laissait sur notre faim. Il était tard maintenant !
– Vous restez pour dîner, Gilles ?
– Volontiers, je vous en remercie.
Le dîner fut convivial. Maryse, en face de moi me dévisageait tellement (ou du moins il me le semblait) que j’avais l’impression que tout le monde s’en apercevait. Si c’était le cas, ils ne s’en émouvaient pas particulièrement. Paul à ma gauche et Marcel à ma droite se taquinaient en commentant la partie d’échec. Maryse n’était pas concernée par la discussion. Elle était resplendissante. Elle avait revêtu pour le dîner une petite robe très courte qui laissait libre ses belles épaules et qui moulait, ses seins laissés libres en la circonstance. Le repas se déroulait bien quand je sentis sur ma jambe, le pied de Maryse. Celui-ci remontait doucement le long de mes jambes nues (en effet je ne portais qu’un bermuda très ample). Elle remonta assez haut pour toucher de son orteil mes couilles pleines du jus qu’elles n’avaient pas pu évacuer précédemment. Les petits mouvements des orteils sur mes couilles et le long de la hampe de ma verge faisaient bien plus que m’émoustiller. Mon sexe, de nouveau bandait fort. J’étais gêné et redoutais que l’on s’en aperçut ! Mais non ! Mes voisins vaquaient à leurs débats passionnés.
Je fis tomber mon couteau, prétexte que je trouvais bien commun, pour regarder sous la nappe. Maryse avait bien compris le message et entrouvrit ses cuisses pulpeuses. Par un geste furtif de sa main, elle dévoila sa chatte poilue et humide. Sous peine de passer pour un plongeur sous-marin en exercice, je me relevais et là encore, restait interloqué et insatisfait. Paul me sortit de ma torpeur.
– Maryse et Marcel sont d’accord pour que tu passes la nuit ici, tu seras mieux qu’à l’hôtel !
J’acceptais, puisque c’était plus ou moins ce qu’avait prévu Paul. Appelé pour une urgence, ce dernier nous quitta
– On se verra demain ! Dit-il simplement
Après une peu intéressante soirée télé où mes pensées flottaient entre l’épisode piscine et l’intermède repas, tout le monde décida de monter se coucher. On me montra ma chambre, je me débarrassais de mon bermuda et vêtu de mon seul caleçon, je me dirigeais vers les toilettes quand je croisais Maryse qui en revenait. Elle portait maintenant un petit string transparent sous une nuisette non moins transparente. Le galbe de ses cuisses, sa taille fine, son cul parfait et ses seins, oui vraiment, elle n’avait rien à envier aux demoiselles qui étaient jusqu’alors passées au fil de ma queue.
– Bonne nuit Gilles ! Me dit-elle en me gratifiant d’un petit baiser tendre et superficiel sur les lèvres.
– Bonne nuit Madame !
– Laisse tomber le « Madame », appelle moi Maryse.
– Bonne nuit, Maryse
– Je me serais bien laissé tenter par un petit plan coquin à deux, mais Marcel n’appréciera peut-être pas, par contre à trois, ça te dirait ?
– Euh…
– Si Marcel est d’accord, je t’appelle !
Je me demandais si je ne rêvais pas et m’allongeais sur le lit, je ne cherchais pas à m’endormir et me demandais si ce plan allait ou non se concrétiser. J’entendis alors Maryse m’appeler :
– Si tu veux, viens nous rejoindre dans cinq minutes !
J’attendis donc avant de m’approcher. Maryse était nue, allongée sur le côté et son mari, Marcel lui ramonait la chatte sans ménager sa peine. Il relevait avec ses mains la cuisse de Maryse ce qui faisait apparaître sa chatte totalement glabre. La bite de Marcel limait fort. Sa bite me sembla très grosse, plus que la mienne en tout cas et elle luisait maintenant du jus de Maryse.
Elle jouit beaucoup dans de grands cris qu’elle ne chercha pas à dissimuler.
– Entre, Gilles !
Cette fois c’est Marcel qui m’invitait à entrer. Je pénétrais donc penaud dans la chambre.
– Ne sois pas timide. Approche. Tu la trouves comment Maryse ? Demanda-t-il en passant sa main sur les fesses de sa femme.
– Elle est très belle, monsieur !
– Bien sûr ! C’est une belle salope ! Maryse, écarte ta chatte et montre-la à Gilles
Maryse divergea ses jambes, et de ses doigts, écarta ses lèvres roses
– T’as déjà vu une chatte poilue comme ça ?
Il joignait le geste à la parole et caressait doucement la moule de sa femme.
– Ben non, maintenant toutes les filles se rasent…
– T’aimerais la lécher ?
– Voilà une proposition que je ne saurais refuser ! Répondis-je en paraphrasant Marlon Brando dans « Le Parrain »
– Maryse, allonge-toi sur le ventre et cambre bien ton cul. Gilles va te lécher ta chatte et ta rondelle aussi pendant qu’on y est
Elle s’exécuta et j’avais maintenant devant moi, offerte, une magnifique femme mature qui m’exhibait sa chatte luisante. Je m’approchai et palpais ses fesses tout en les écartant doucement. Son trou du cul tout brun était magnifique et sentait légèrement le caca. J’entreprenais de lui fourrer ma langue bien profondément rencontrant un gout acre mais qui me plaisait bien. Ma langue commença à lécher le fion offert puis ma langue l’encula doucement. Après un long moment, je descendais vers sa chatte qui dégoulinait du foutre de son mari. Cela ne me dérangeât pas plus que cela et j’enfonçais ma langue dans son vagin. Le goût du foutre de Marcel ne me parut pas désagréable. Pendant que je léchais la chatte, le mari enfonça un doigt profondément dans le cul de sa femme et après l’avoir fait aller et venir le retira, légèrement pollué de matière avant de lui donner à lécher. Je bandais comme un taureau et son mari commençait à récupérer de sa cavalcade. Son sexe recommençait aussi à durcir. Maryse se retourna subitement et nous regarda.
– Je suis gâtée aujourd’hui ! Deux bites rien que pour moi !
Et elle joint le geste à la parole en attrapant nos deux queues. Elle se rapprocha et entreprit de nous sucer alternativement. Sa bouche enfournait ma queue, pendant que ses mains asticotaient mes couilles qui commençaient à me faire mal. Sa science visiblement consommée de la fellation et son habilité m’amenaient de nombreuses fois près de l’extase sans m’autoriser à m’y abandonner. Tout en me suçant, elle branlait vigoureusement la queue de son mari.
– Maintenant il est temps que tu baises ma femme.
Oui, il était temps ! Je n’en pouvais plus ! Maryse se redressa, prit ma bite dans sa main et la dirigea vers sa chatte trempée. Elle était maintenant à califourchon. Pendant que je la baisais comme un salaud, en essayant de me retenir désespérément, son mari positionné derrière elle lui caressait le cul. Sa main, descendant plus avant commença à caresser mes couilles.
– Tu aimes ça ?
– Euh, ce n’est pas désagréable !
– Je vois que tu es un sensuel. Maryse allonge-toi sur lui que je t’encule. Proposa Marcel.
Maryse se positionna et son mari bien délicatement, doucement mais profondément l’encula. Il ramonait bien et je sentais à travers le vagin de sa femme, les coups de butoir de sa grosse bite. Maryse gémissait, hurlait même de plaisir.
– Ah ! Je veux boire votre foutre !
Elle desserra les étreintes et vînt positionner sa tête en dessous de nos deux bites. Elle prit la main de son mari et la dirigea sur ma bite. Marcel me branlait et j’aimais ça ! Je jouis le premier. Le jet chaud et copieux fut avalé goulûment par Maryse. Elle appuya sur la tige de mon vit et récupéra le dernier jet.
– C’est bon tu sais Gilles, tu en veux ?
Je restais interloqué par la question. Quelques gouttes de sperme, pourquoi pas, mais là…. Sans attendre ma réponse, elle m’allongea sur le lit et positionna Marcel au-dessus de moi. Ses grosses couilles pendaient alors que Maryse le branlait énergiquement. Je ne sais ce qui me prenait mais je commençais à caresser les couilles lourdes de Marcel. Sa bite palpitait. Dans un râle de plaisir, il commença à éjaculer. Le flot inonda ma figure. Maryse avidement lécha le foutre et quand elle eut tout récupéré, elle me roula un voluptueux patin où salive et foutre se mêlaient intimement. Elle se releva au-dessus de moi et laissa couler le reste de sa salive que j’avalais avec plaisir.
Cette première expérience de plaisir total était extraordinaire. Mais il était dit que le répit ne durerait pas.
Le temps de reprendre nos esprits et de fumer une cigarette et soudain Maryse me fit cette surprenante proposition
– Ça te dirait d’enculer mon mari ?
Maryse, là encore me surprenait. Mais ma réaction aussi. J’étais dans un état d’excitation où les tabous n’existaient plus.
– Il adore ça ! Renchérit-elle. N’est-ce pas Marcel ?
– Bien sûr, je suis un vieux cochon ! Répondit l’intéressé.
– Pourquoi pas, ça sera une première ! Approuvais-je sans ambages
Maryse découvrit de dessous la tablette de sa table de chevet un tube de gel lubrifiant entamé.
– Tu sais, dit Maryse, j’encule Marcel assez souvent ! Il adore jouir du cul. Pour cela j’utilise ce petit joujou ! Précisa-t-elle en sortant de je ne sais où, un gode très réaliste.
Elle déposa un peu de gel sur ses doigts et enduit soigneusement la rondelle de son mari. Son cul était d’ailleurs très accueillant puisque Maryse introduisit ses trois doigts sans problème. Elle enduit ensuite ma bite de vaseline.
– Vas-y ! Bourre-lui bien le cul ! Vide tes couilles dans le fion de Marcel ! Dit-elle, visiblement excitée à l’idée de voir son mari se faire enculer par un homme.
Je me positionnais en face de sa rondelle et pénétrais doucement.
– Vas-y plus fort !
Je l’empoignais par les hanches et l’enculais maintenant bien profondément. Je le ramonais à fond, poussant vers l’avant. Le contact de mes couilles avec ses fesses était agréable. Sa bite était au repos et mes mains, tout en le sodomisant s’activaient et palpaient sans vergogne sa bite et ses couilles pendantes dans cette position. J’étais maintenant sur le point de jouir et Maryse, en grande experte s’en était aperçu.
– Ne jouis pas encore, ralentis, reste dans son cul.
J’obéis et alors que je récupérais mon self control, elle saisit le gode
– Toi aussi tu vas y goûter ! Je vais t’enculer pendant que tu encules Marcel.
J’eus un instant l’envie de refuser quelque chose qui m’avait toujours, du moins en théorie, répugné. Et puis non, dans cette folie ambiante, je ne répondis pas ce qui constituait un acquiescement ! Elle s’approcha de mon anus avec le gode lubrifié et pénétra doucement un petit centimètre. Dire que cela me plût immédiatement serait mentir. Je sentais une douleur aiguë. Mon anus vierge souffrait malgré le tact et l’expertise de Maryse. Mais, doucement la douleur s’estompa et une sensation qui n’était pas encore du plaisir mais qui néanmoins n’était pas désagréable m’envahit. Son gode était maintenant bien dans mon anus pendant que je ramonais toujours Marcel qui semblait adorer. Maryse maintenant m’enculait bien profond et je commençais à apprécier. Par en dessous elle touchait mes couilles et la base de ma bite à chaque va-et-vient. J’allais exploser et elle le sentit.
– Viens dans ma bouche.
Je sortis de Marcel alors que le gode était toujours dans mon cul. Elle me branla tout en maintenant le gode dans mon fion. Dieu que c’était bon.
– Laisse m’en un peu !
Marcel venait de se positionner près de la bouche de Maryse et voulait visiblement sa part de ma semence. Celle-ci ne tarda pas. Elle fut abondante et tous les deux se délectèrent de mon foutre chaud. Je me laissais tomber sur le lit, exténué, les yeux fermés. Je fus sorti de ma torpeur par la vision de Paul se branlant à quelques centimètres de mon visage. Une sorte de réflexe me fit ouvrir la bouche, et pour la première fois de ma vie, je suçais la bite d’un homme. C’était doux, c’était chaud… et délicieusement pervers. Très vite il éjacula me tapissant le palais de son foutre que j’avalais sans broncher.
Quelle aventure ! Mais maintenant l’envie d’uriner me tenaillait.
– Où tu va ? Demanda Maryse, qui s’en doutait un peu
– Pipi !
– Pisse-moi dans la bouche.
Maryse ne posait pas une question, c’était un ordre. On descendit du lit et je lui pissais donc dessus sans effort. Elle positionna sa bouche sous le jet fourni et avala goulûment.
– La prochaine fois, j’inviterai le père Michel à se joindre à nous. Il a une belle queue et il adore enculer les hommes jeunes, ça t’intéresse ?
Je n’ai pas répondu, mais je n’ai pas dit non.
Une question me taraudait pourtant :
– Et Paul dans tout ça ?
– Il est débordé, en plus de son boulot, il lui faut entretenir sa baraque qui s’en va à vau-l’eau depuis que sa copine l’a quitté. Mais bon j’espère que demain il pourra se libérer. Il y a
longtemps que je ne lui ai pas sucé la bite !
– Quoi ?
– Oh, Pardon, je ne voulais pas te choquer !
– Je ne suis pas choqué ! Mentis-je
– Alors tout va bien !
Je retournais dans ma chambre, exténué, me demandant si demain, je partirais à l’aube ou si je resterais une journée supplémentaire…
D’après vous ?
Fin de l’épisode
Note : Ce texte est une réécriture d’une nouvelle anonyme intitulé « Une famille sympa » dont la dernière apparition sur le net date de 2004