Le blog de vassilia-x-stories
La maîtresse de Tib par Tib et Enzo
Il n'est pas necessaire de lire la partie 1 écrite par Tib
2 – Vendredi suivant
Bien entendu, le vendredi suivant, à partir de 20 h, j’étais prostré au coin du rideau de la chambre, à poil bien sûr. Bien en évidence sur la tablette, trônaient deux flûtes à champagne (détail, dont la délicatesse ira, j’espère, droit au cœur de ma séduisante prédatrice, je me suis fendu d’une rouille de dompé*, commandée directement au bar de l’hôtel et, bien calée dans son seau bourré de glace pilée, elle attend son heure, planquée dans le petit frigo).
L’attente est moins longue, il est tout juste 20 h 30 quand la petite chiotte franchit le porche de l’auberge (et non pas : quand la petite Porsche franchit les chiottes de l’auberge).
Après un vol plané sur le pageot, je prends la pose en m’astiquant méchamment le sifflet pour lui donner toute sa prestance.
La voilà, toujours les mêmes fringues, la même arrogance dans le regard. Cependant ce dernier s’accroche une fraction de seconde sur le fier maintien du chauve à col roulé et elle file vers la salle de bain (toujours aussi loquace qu’un trappiste).
Retour dans la même tenue que la semaine dernière, sauf que la culotte est en voile blanc mais tout aussi diaphane et laissant deviner la tache sombre de la choucroute laquelle semble ne rien avoir perdu de sa cespiteuse pilosité.
Elle rafle les menottes (que j’ai surtout pas oubliées de ramener) et m’en affuble, par devant cette fois et s’installe dans le crapaud, cuisses ouvertes (tiens, c’est une posture de soumise ça, reste de rang, antécédent ?).
– Debout, vile créature, et sers moi à boire.
Je ne sais quoi faire. Veut-elle dès maintenant du champ ou bien simplement un coup de flotte? J’opte pour la seconde solution et lui amène un verre d’eau.
Elle prend le verre et me lance la flotte en travers du portrait.
– Il me semble t’avoir dit que je ne buvais que du champagne.
Je suis certain que si j’avais servi ce qu’elle demande, j’aurais eu droit à la même réaction (ha ces bonnes femmes).
Bon je m’empresse pour la satisfaire et quand je m’apprête à remplir la seconde flûte, je morfle un coup vicieux de cravache sur la cuisse.
– J’ai dit sers moi à boire et non sers nous a boire. Décidément tu cherches les châtiments. Tu ne perds rien pour attendre.
Ce n’est pas la moitié d’une bourrique, celle-là. Même pas droit à une goutte de roteux (m’en fous je préfère la bière, na et si elle n’avait pas la cravache je lui tirerais bien la langue).
– Debout, fripouille lubrique, et branles-toi devant moi.
Ce disant, d’un coup de hanche, elle se place au bord de son siège et du doigt, repousse son cache-sexe sur le côté, découvrant le buisson touffu de sa chatte dont le triangle sombre cerne les grandes lèvres qui ressortent en un rose rouge luisant, comme un fruit mur.
Bon si c’est que ça, cela ne me pose aucun problème et j’entreprends à deux mains (menotte oblige) une paluchette consciencieuse (action bien inutile car le spectacle qu’elle m’offre suffit amplement à entretenir monsieur popol dans les meilleurs dispositions).
Elle se ressert un coup de champ. (tiens je fais plus le larbin?) et plongeant la main dans son sac, sort une sorte d’anneau qui s’ouvre en s’articulant. D’un geste vif, elle me le colle à la base de la queue et le referme. Ça fait un peu mal sur le coup.
– Avec ça tu pourras pas me manquer de respect.
La confiance règne, elle a peur que je débande, vexant, non !!
– A genoux et lèche moi les bottes, aujourd’hui tu peux remonter jusqu’en haut des cuisses et me montrer ton savoir-faire en cunni.
Pas besoin de me dire deux fois des trucs pareils, je vais lui prouver avec quelle abnégation un soumis exécute ses ordres.
Je mets le paquet, langue au vent et bouchées doubles, je sabote même un peu le boulot pour aller plus vite mais elle ne m’en fait pas le reproche (la Maîtresse intransigeante se ramollirait-elle? Ou bien, comme moi, serait-elle impatiente de me voir arriver au cœur du problème ?).
Lorsque je franchis la lisière des bas, je ralentis. La chaleur de la peau, si fine, si douce, si blanche à l’intérieur des cuisses relance mon excitation (cet anneau est à double effet, si il maintient l’érection, il l’empêche aussi de se développer plus, sûr que sans cet accessoire de mes couilles, j’eusse battu des records de longilignitude, c’est pas français mais la longueur du mot me plait).
De plus, un petit frisottis de poil me caresse la joue, je suis tout près du but. Mon nez, d’ailleurs en détecte la présence, j’ai les ailes du naseau dilatées par le parfum sublime qu’exhale l’intimité féminine toute proche. Mêlées à son parfum favoris (sûrement un numéro cinq machin chose) les senteurs de jus de femelles acidulées, agrémentées d’un voile de transpiration et d’un soupçon de vapeur de vessie, mmm c’est divin. Je deviens fébrile, il est temps de m’attaquer au plat de résistance.
Ma langue monte jusqu’au pli de l’aine, s’attarde un peu puis dérive lentement se frayant un chemin dans les poils du mont de vénus. Elle tressaille imperceptiblement, son souffle se bloque quelques secondes avant reprendre à un rythme plus élevé. Elle aussi est impatiente sous des dehors d’indifférence forcée.
Son odeur est plus forte aussi, plus musclée (plus musquée également), maintenant c’est le parfum entêtant de femelle en rut qui prédomine. Ça ne me monte pas au cerveau, ça descend directement dans les couilles. Si je n’avais pas le bloque-biroute qui me permet de me contrôler, je me redresserais et l’empalerais jusqu’aux rognons sans préavis.
J’entame la descente (au paradis ou aux enfers, j’sais pas mais à la cave, ça c’est sûr), ses grandes lèvres sont gonflées, tuméfiées et constellée de traces humides et luisantes. Du bout de la langue je les effleure, par petites touches rapides. De nouveau elle tressaille et le compas de ses cuisses s’ouvre encore plus.
Ma langue s’engage dans la fente, bouleverse les nymphes qui en émergent, frêles et tendues comme un voile. J’arrive au puits d’amour qui s’ouvre, baille tel un calice s’exorbitant (sic) à l’appel du plaisir. Il ruisselle littéralement d’une liqueur grasse, épaisse comme du miel. Je la bois, je m’enivre de ce nectar des dieux, c’est salé, un peu amer mais merveilleusement grisant. J’accentue mes caresses, du nez, du menton, du mufle, je fouille, fouine de haut en bas de la vulve, j’exaspère le clito qui s’érige, se dresse, se décapsule et bande comme un petit phallus. Des yeux au menton, d’une oreille à l’autre, la cyprine m’encolle la face d’un jus sirupeux. Mes mains participent à la fête, un puis deux et trois doigts entrent et sortent dans le cloaque jouissif, glissant sur les parois vaginales, les comprimant, cherchant le fameux point G. Du pouce je m’aventure vers la pastille brune, ridée de mille plis tourbillonnant. Quand je force un peu et que le pouce triomphe du sphincter et s’enfonce à demi dans l’anus, elle ne tressaille plus, elle trépide!! Elle n’ahane plus, elle râle !! Je vais la faire grimper aux rideaux la Madame, elle va me jouir sur le portrait l’inaccessible Maîtresse!!
Ben non, brutalement elle me repousse du pied. Son visage se crispe, ses yeux se ferment, ses cuisses se referment, son torse bascule en avant, sa poitrine, ses seins, se gonflent. Pendant quelques secondes elle reste figée comme pétrifiées. Puis lentement, elle se détend, rebascule vers le dossier.
La bourrique, elle s’est reprise, elle a résisté à la vague de plaisir que je sentais monter, déferler en elle !! (bon remise à zéro, un coup pour rien mais au moins je sais qu’elle n’est pas frigide, on se console comme on peut).
– Tu te débrouilles pas trop mal, mon salaud, mais te fais pas d’illusions c’est pas un compliment, juste un constat, t’as qu’une idée en tête, me sauter mais ça mon bonhomme tu peux te l’accrocher.
Elle se lève, s’étire un brin, mains sur les hanches elle s’approche à me frôler le tarin de son bonbon.
– Enlèves moi ma culotte, j’ai envie de pisser.
Je me redresse un peu et mes mains montent vers sa taille. Coup de genoux au menton.
– Avec les dents, mon toutou.
Je m’attendais pas à celle-là mais je m’y attelle de bon cœur en commençant par accrocher ce qui cache les poils, sans pour autant lui en arracher une touffe en même temps. Je tire mais il s’étire sans vouloir descendre (si j’insiste il va craquer, ce con, il ne sera pas enlevé mais ne servira plus à rien, le but sera atteint mais en sera-t-elle enchantée? Heu… pas sûr)
Je passe côté hanches et lui fait franchir le cap du popotin et reviens au centre, ça marche il descend et fini en chute libre sur les godasses.
Petit piétinement et elle file vers la salle d’eau en me faisant signe de la suivre.
J’ai deux soucis : si elle me demande de la reculotter avec les dents, après s’être soulagée, je suis pas de la classe mais y a plus grave et plus imminent. Est-elle du genre « pluie d’or »? Vais-je avoir droit à la douche d’urine ? (je sais pas ce qu’elle a bouffé hier mais d’après les légères effluves que j’ai reniflées tout à l’heure, ça doit être du corsé, du nanan, ça doit même piquer les yeux).
Bon allons-y, courage, et puis ce n’est pas la première fois que l’on me couvrira de pipi (heu… au figuré surtout).
Je trottine derrière la belle en cuisse, c’est chiant de marcher à quatre pattes avec des menottes.
Elle ôte ses godasses et grimpe directement sur la cuvette en s’y accroupissant (bon c’est dans son style ça, pourquoi faire simple ce qui peut être compliqué). Elle me fait signe d’approcher au plus près. A quatre pattes comme je suis j’ai les mirettes aux premières loges.
Petit jet timide en avant-garde puis le jet puissant, dru, coloré qui s’évase ensuite comme un voile doré et s’abîme au fond en bruissant comme un gazouillis de source, un frisouillis allègres, joyeux. L’onde odorante de vapeur urinaire qui m’assiège les naseaux est puissante, riche de senteurs mais finalement pas trop écœurante (sans me l’expliquer le mot bucolique surgit dans ma tête, faut le faire hein !!) cependant un fond d’odeur de jambon de Paris me dit qu’elle devrait peut être surveiller son taux de cholestérol (ça aussi faut le faire).
La fontaine se tarie, quelques gouttes encore, ploc… ploc… et c’est tout.
Un ordre claque :
– Torches moi.
Je tends les mains vers le rouleau… nouveau claquement
– Nan, avec ta bouche.
Je me disais aussi, c’était trop facile.
Aller, hardi petit, hauts les cœurs (et pas haut-le-cœur), je me contorsionne et me retrouve de nouveau le museau en pleine foufoune mais le jus n’est pas tout à fait le même. Je me décourage pas, je lèche, je fouine, je musarde, je batifole dans la barbiche, c’est un peu plus amer (tant que c’est pas amerd’alors) mais pas vraiment désagréable et puis peu à peu, ça change de texture, d’épaisseur, y’a plus de pisse mais y’a encore du jus, de plus en plus d’ailleurs, elle aime ça la cochonne, je sens son souffle qui s’accélère, se syncope.
Malgré le torticolis qui me guette, j’y vais d’un deuxième service consciencieux, je me barbouille et la barbouille du nombril au trou de balle. Des deux bras elle s’agrippe au mur, au lavabo, pour pas badaboumer et lance son bassin en avant pour mieux s’offrir, je vais peut-être l’amener au point de non-retour ce coup-ci et je guette, fébrile, le moment où je pourrais me redresser et la poinçonner enfin.
Pfft, encore une fois c’est loupé, encore une fois elle me repousse juste avant de prendre l’ascenseur (suis maudit moi).
– Lèves toi et vas m’attendre à côté.
Et voilà, « circulez, y’a plus rien à voir », ça m’use ça et puis la queue commence à me faire mal.
J’entends des bruits d’eau, elle doit se rafraîchir la foufounette.
Retour d’un pas décidé, elle farfouille dans son sac, en sort un drôle de truc, je n’en crois pas mes yeux, c’est une ceinture à gode, un engin de foire énorme !!!
Elle s’équipe tranquillement, ça lui fait une drôle touche.
– Tournes toi et appuies toi sur la chaise.
Alors là je romps le mur du silence.
– Tu ne crois tout de même pas que je vais t’obéir, tu dépasses et de loin, les limites permises.
– Mettons que je n’ai rien entendu. Je n’aime pas répéter, alors exécution.
La maîtresse de Tib
3 – Sodomisé
par Enzo
Alors là, 10 L.E.M comme disait Armstrong (celui qui a été sur la Lune). Mon cerveau passe en vitesse rapide et examine les possibilités qui me sont offertes :
Un : Je me casse, je suis venu pour la baiser, ben tant pis, je repartirais avec la bite sous le bras.
Deux : J’applique le principe selon lequel il faut parfois bousculer une femme pour gagner du temps. En gros je la force, je la viole. Mais justement c’est pas trop dans mes principes à moi. Ou alors il faudrait qu’elle me fasse un signe, genre « si tu me viole, je me laisse faire… » Mais je ne me fais aucune illusion, autant attendre la révolution prolétarienne…
Trois : Lui proposer des sous pour qu’on recadre tout ça, à ma façon. Mais je n’ai pas beaucoup de pépètes sur moi et ça m’étonnerait qu’elle prenne la carte bleue.
Quatre : Je négocie
Cinq : Je me soumets à ses caprices…. Ben, non… :
Allons-y pour la négociation
– Juste un mot ! Tentais-je en en disant trois.
– Tourne-toi, je sais ce que je fais, et je sais aussi ce que tu souhaites, je compte jusqu’à cinq, si à cinq tu n’es pas en position je disparais.
Je cherche quoi répliquer, mais ne trouve rien d’intelligent. Nouveau passage du cerveau en vitesse rapide.
Peut-être qu’elle ne va pas le faire, qu’elle s’amuse à me faire peur, à vouloir m’humilier… je n’y crois pas trop… « Je sais ce que tu souhaites » a-t-elle dit ». Ça veut dire que si elle m’encule je pourrais la baiser. Le prix me paraît très fort !
Un doigt humide qui tournicote contre ma rosette, me ramène à la réalité du moment, le doigt est rentré, et je n’ai rien dit, ce doit être la première fois que quelque chose qui n’es pas un thermomètre me rentre dans le cul. Il va falloir que je fasse un vœu !
Mais bon, un doigt, ça va, (c’est quand même incroyable que je n’ai rien dit) Deux doigts, bonjour les dégâts… et justement le voilà le second didi qui vient accompagner son petit camarade. Et elle fait bouger tout, ça, elle va, elle vient, elle remue, elle touille.
– Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes ?
C’est ma dominatrice qui se fait philosophe et qui vient de lancer un beau sujet de dissertation. De cette façon, me voilà occupé de partout, du cul et du cerveau… et comme si ça ne suffisait pas, Madame en remet une couche.
– Pourquoi les hommes refusent-ils de découvrir eux-mêmes ce plaisir qu’ils pensent donner aux femmes ?
Elle ne me demande pas de réponse, elle fait de l’action psychologique ! Quand à son action digitale, ça ne me déplait pas trop, mais faudrait pas non plus que ça s’éternise…
Vœu exaucé, elle retire ses doigts, brutalement.
– Sont plein de merde ! Me dit-elle !
Ce n’est pas un reproche, c’est un constat ! et d’ailleurs c’est même pas vrai qu’ils soient plein de merde, il y a juste quelques traces.
– Nettoie !
Moi je veux bien mais avec quoi ? Je cherche un Kllenex, un sopalin, une feuille de papier à cul…
– Avec ta bouche !
– Non !
– Pourquoi, je le fais bien moi !
Et joignons le geste à la parole, elle donne un coup de langue sur son doigt, elle fait ça comme si elle dégustait une glace au chocolat. Problème, il en reste.
– A toi !
J’ignore encore comment j’ai franchi ce pas, sans doute l’excitation de l’instant, je me suis surpris de n’éprouver aucun dégoût, je n’en aurais pas lécher des kilos mais en petite quantité ça n’a rien de repoussant.
– Tu vois ce n’est pas mauvais ? Me nargue-t-elle. Maintenant ouvre toi bien !
Non, ça y est je vais passer à la casserole ! Et puis un espoir, elle n’y arrivera jamais, ça ne rentrera pas, j’en suis persuadé, alors je la laisse jouer. Elle me tartine le trou du cul avec du gel (je suppose) manquait plus que ça, confondre mon cul avec une tartine ! Et je la sens qui essaie de forcer le passage avec son gode-machin. Je me marre, mon trou du cul est un château-fort et pour le forcer il faut un bélier high tech ! Ça ne passe pas, nouvel essai, ça ne passe toujours pas. Elle ne m’aura pas, je suis insodomisable, inenculable.
– Ouvre-toi-mieux !
Cause toujours, Philomène… Oh, que ce passe-t-il ? Et voilà que ça entre (timidement, mais ça entre). Je fais quoi ? Elle appuie, ça entre mieux, Elle appuie encore, c’est entré, c’est même très bien entré, elle ressort un peu, elle revient, ça coulisse, ça va et ça vient, je suis en train de me faire enculer, et je ne proteste même pas. Mais je pourrais, ça me gêne, je n’aime pas cette sensation d’être rempli et j’ai envie de rejeter tout ça. C’est quel numéro les pompiers ? Mais ma tortionnaire me pilonne a tout va, quelque chose se passe, quelque chose qui fait du bien, je n’en reviens pas, je m’habitue au truc, ça me fait frissonner, ça me fait du bien. On m’encule et je suis bien. Un curieux frisson de tout mon être, ma bite qui pourtant ne bande pas qui se met à pisser du foutre. C’est normal, ça ? Je jouis comme un robinet.
L’autre s’est retirée et me toise avec un air de victoire ! Elle peut, elle a gagnée.
– Tu as gagné le droit de me baiser, mais maintenant ça ne va pas être évident. On attend une heure ou on fait ça un autre jour ?
Elle se fout de ma gueule en plus.
– On attend une heure !
– Alors on va descendre au salon boire une coupe de champagne, c’est moi qui t’invite, et quand on remontera tu te mettra sur le dos, et je te chevaucherai… ça te convient ?
Bien sûr que ça me convient… Mais qu’est-ce que j’ai mal au cul !
note du webmaster : la publication in extenso du chapitre 2 par Tib, nous a valu plusieurs critiques parfaitement justifiées, la seconde partie de ce chapitre était carrément hors charte, un auteur, Enzo s’est alors proposé pour réecrire la partie finale