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Vie de château – 3 – Nouveaux voisins par Boris Vasslan

scat
attention, texte contenant des passages scatos explicites

Dans ma propriété cossue, quelque part près d’Alençon, (Orne), un mardi vers 17 heures, Loan, ma nouvelle soubrette, interrompit ma lecture :

– Monsieur Boris, ce sont nos nouveaux voisins, ils demandent s’ils peuvent s’entretenir avec vous, ils m’ont précisé que ce n’était ni grave, ni urgent et que ça ne prendrait que dix minutes.
– Ils auraient pu téléphoner, non ?
– Mais sans doute n’ont-ils pas votre numéro ?
– Et ils veulent me voir quand ?
– Maintenant ou plus tard, à la convenance de Monsieur !.

Elle est vraiment mignonne la petite Loan, c’est une jolie jeune femme d’origine asiatique que j’ai embauchée pour remplacer Mirabelle qui est désormais ma conjointe quasi officielle. (voir le chapitre précédent)

– Ça me gonfle, mais, bon, si ça ne dure que dix minutes, installez-les dans le grand bureau et dites-leur que j’arrive.
– Bien monsieur !
– Loan ?
– Oui monsieur !
– Vous croyez qu’il faut que je me mette une cravate pour les recevoir ?
– Euh, ce serait en effet plus solennel, une cravate un peu sobre et une veste.

Solennel ! N’importe quoi ! Et d’abord qu’est-ce qu’il m’a pris de lui poser une question pareille ? N’empêche que je troque mon ensemble jeans et pull-over contre un pantalon de flanelle grise, une chemise blanche, une cravate grenat en tricot qui est sûrement archi démodée et un blazer bleu marine, et je m’en vais rejoindre les deux emmerdeurs.

Donc j’arrive. Le couple installé dans les fauteuils se lève, on se présente.

Ils doivent avoir la quarantaine, Philippe très dégarni, visage poupin, en costume de ville mais sans cravate, Virginie est une grande brune au visage carnassier portant de fort belles lunettes en écailles, je l’imagine en train de me sucer la bite et cela m’amuse, elle est vêtue d’un chemisier blanc assez simple et d’un jean, la silhouette est assez fine. Elle voudrait se donner un air décontracté, mais il y a décidemment trop de laque dans sa coiffure.

Comme j’ignore le but de leur visite, je décide de ne leur offrir un verre que quand j’en aurais éventuellement envie.

– C’est au sujet de cette petite allée qui sépare nos deux propriétés… commence Philippe.

Ah ! C’est donc ça ! Il s’agit d’une petite allée mitoyenne en impasse de moins de deux mètres de large. Elle appartient à la commune et ne sert à rien, sauf que des types y ont déposé des carcasses d’objets ménagers et autres saloperies. Moi je m’en fous, l’allée je ne la vois pas, elle est derrière mes thuyas. Mon ancien voisin, que je n’ai jamais pu saquer, avait fait des démarches pour faire fermer le passage, la municipalité avait donc posé un bout de ferraille pas trop cher qui a tenu un mois avant de s’écrouler. Le voisin avait alors proposé de racheter le chemin à la commune. Le maire ayant eu la bonté de me prévenir de cette démarche, j’ai alors par pure méchanceté, graissé la patte de l’édile en lui demandant de refuser la vente…

– Quand nous avons acheté la propriété, nous avions remarqué cette allée qui faisait désordre, mais le notaire nous avait affirmé que la commune lui avait assurée qu’elle ferait le nécessaire. Cela n’avait rien de fondamental, mais dès que nous avons eu un moment, j’ai voulu me renseigner, la mairie n’a pas été très coopérative, mais m’a proposé de trouver un éventuel arrangement avec vous pour que je puisse acheter ce morceau de terrain… Mais bon, on n’en fait pas un problème, si vous acceptez tant mieux, si vous refusez on ne sera pas fâché pour autant…
– Quel arrangement ? Si vous voulez l’acheter, achetez-le, ça ne me dérange pas du tout. Répondis-je.
– Ah, bon ? Fait le Philippe qui ne s’attendait pas une négociation aussi facile.
– Tenez, comme j’ai horreur des démarches, je vais vous signer un papelard sur lequel je vais déclarer que je ne vois aucun inconvénient…
– Et, bien ça alors ! Je vous en remercie. Heu, consentiriez-vous à venir prendre tout à l’heure, un petit apéritif dans notre demeure ?
– Pourquoi pas ? Mais je viendrais avec ma compagne, et je ne pourrais rester longtemps.
– Votre compagne sera bien sûr, la bienvenue. Voyez-vous, on m’avait affirmé que vous étiez célibataire, les gens disent n’importe quoi ? Donc, un peu avant 19 heures ?
– D’accord, à tout à l’heure.

Mais qu’est-ce qu’il m’a pris d’accepter cette invitation, moi qui a horreur des relations de voisinages ? Le visage de Virginie ? Une intuition ? De quoi on va parler ? J’ai horreur du sport et n’entend pas dévoiler mes opinions politiques (qui sont d’ailleurs de plus en plus confuses) Reste la nature, les petits oiseaux, les étoiles, la bouffe…. Bon je préviens Mirabelle, ça la gonfle.

– Toi, aller à un apéro chez les voisins !
– J’ai flashé sur la nana, pas vraiment un canon, mais un petit quelque chose.
– C’est gentil pour moi !
– Tu ne vas pas te mettre à être jalouse, non ! Tu verras, elle te plaira !
– Mais enfin, tu crois vraiment que ça va finir en partouze ?
– Cette histoire de chemin, ce n’est qu’un prétexte, je ne dis pas que ça ne les intéressait pas, mais il n’y avait pas que ça…, j’ai une réputation ici, on leur a parlé de moi, et s’ils m’ont invité c’est qu’ils veulent en savoir plus et qu’ils sont probablement intéressés.
– Je m’habille comment ?
– On va dire simple, mais décolleté ! Moi je vais me mettre en polo.

Avant de partir je passe à l’office, Betty, ma plantureuse cuisinière mature est en train d’y faire du rangement. Je lui explique qu’on s’en va, et qu’on ne sait pas à quelle heure on rentrera.

– Préparez-nous un en-cas, au cas où nous rentrerions après votre service.
– Mais, je peux attendre le retour de Monsieur, si Monsieur le désire.
– C’est pas la peine, je sais me servir du micro-onde, Betty.
– Oui, et puis Madame Mirabelle saura faire, n’est-ce pas ?

Je sens comme une pointe d’ironie dans sa voix. Betty n’a jamais digéré la promotion sociale de ma compagne.

– Il reste du collier d’agneau, je vous préparerai les assiettes, vous n’aurez plus qu’à les réchauffer.

Tout en disant ça, elle ouvre le frigo, farfouille dedans tout en remuant son popotin, et comme elle n’a pas de culotte (à ma demande) le spectacle ne m’est pas insensible. Sans le vouloir je lui mets la main aux fesses.

– Oh, Monsieur !
– Quoi « Oh, Monsieur » ! Tu me provoques et tu fais ta mijaurée.
– Je ne fais pas ma mijaurée, je suis contente que Monsieur me pelote le cul, il y a si longtemps…

« Si longtemps », faut peut-être pas exagérer, mais c’est vrai que ça fait un petit bout de temps, je mouille mon index et le lui introduit dans le cul, elle se pâme.

– Humm, c’est bon, Monsieur, je sens bien votre doigt !

Me voilà, en train de bander, ce n’est pas vraiment le moment, il va être temps que nous partions pour cet apéritif. Je retire donc mon doigt.

– Monsieur désire-t-il que je le suce ?
– Non, Betty, je n’ai pas le temps.
– Décidemment, ce n’est plus comme avant ! Me dit-elle avec dépit.
– Hein, que voulez-vous dire ?
– Vous voulez vraiment savoir ? Et bien depuis que Mirabelle est avec vous, ce n’était déjà plus pareil, et maintenant avec la nouvelle, la chinoise, c’est encore pire… moi je compte vraiment pour du beurre…

Là, elle m’énerve !

– Betty, vous n’est pas malheureuse ici, vous êtes très grassement payée. Pour le reste je fais ce que je veux avec mon personnel, y compris rien du tout si j’en ai envie. Vous demanderez à Arnaud de vous infligez vingt coups de martinet sur les fesses, ça vous apprendra ! Je vérifierais demain matin.

Et je la plante, là.

Et nous voici chez les voisins. Je leur présente Mirabelle, le courant passe bien y compris entre les deux femmes. Nous apprenons qu’ils travaillent dans le design et gagnent très bien leur vie. En semaine ils habitent à Paris et ils recherchaient une maison de campagne, genre vieux manoir, celui-ci étant proposé à un prix inférieur à celui du marché, ils l’ont acheté, quitte à le revendre assez vite, mais leurs premières impressions sur la région sont plutôt favorables. La conversation est bien sûr d’abord météorologique, puis on parle des balades à faire dans le coin, des restaurants, de la bouffe… et puis ça ne rate pas, le Philippe intervient.

– Pour parler franchement, je ne vous voyais pas comme ça, les gens d’ici vous ont fait une réputation assez sulfureuse.
– Dites !
– Non je n’oserais jamais !
– Disons, reprend Virginie avec un large sourire, qu’on vous considère comme un obsédé sexuel assez compulsif.
– Obsédé sexuel, oui je n’en ai aucune honte, compulsif, je n’en sais rien, mais je n’ai jamais violé ni même forcé personne, et le respect de la personne humaine fait partie de mes valeurs. Je crois aussi que ce que font des êtres humains adultes et responsables entre eux ne regardent qu’eux, mais que voulez-vous tout le monde ne pense pas comme moi et il faut toujours qu’il y ait des gens qui causent…
– Soyez rassuré, je partage entièrement votre point de vue ! Me confie Philippe.

Je l’aurais parié et donne un coup de genou complice à Mirabelle.

– Et bien, voilà qui fait plaisir ! A la vôtre, répondis-je en levant mon verre.

Je me demandais comment ils allaient amener la suite, ce fut très simple.

– Nous allons vous faire une confidence, nous sommes aussi très libertins ! Confesse Philippe.
– Nous avons pratiqué un peu l’échangisme, nous avons eu quelques ratages, mais surtout quelques belles expériences ! Renchérit Virginie.

Le coup suivant, c’est pour eux ou c’est pour moi ? Allez, on ne va pas être vache, on va les aider :

– L’échangisme c’est bien quand personne n’a de tabou. Lançais-je.
– Oui, vous avez raison, si la femme n’est pas bi, ça ne m’intéresse pas ! Répond Virginie.
– Et quand l’homme est bi ? Demandais-je innocemment.
– Cela peut-être un plus… commence prudemment Philippe.
– Un plus ! Un sacré plus, oui, vous verriez mon homme comment il se régale dans ces cas-là ? Ajoute sa compagne.
– Virginie ! Feint de s’offusquer l’intéressé.
– Ben quoi, au point où on en est, on peut le dire, c’est vrai que tu adores sucer des bites…
– Et bien confidence pour confidence, moi aussi, j’adore parfois faire ce genre de chose ! Répliquais-je afin de tirer le Philippe de son embarras.
– Quels cochons ! Plaisante Mirabelle.
– Oui, c’est vrai, mais c’est pour cela qu’on les aime ! Répond Virginie.

Je me demande si on va en rester là, ou si les deux zouaves vont essayer de faire tourner cet apéritif en partouze…

Un ange passe, manifestement nos hôtes cherchent le petit déclic qui fera basculer la soirée… ce sera Virginie qui se lancera :

– Savez-vous, Mirabelle, que je vous trouve vraiment très belle. Goûter à vos lèvres doit être un plaisir de fin gourmet.
– Les vôtres sont aussi très belles, et je pense que nous aurons un jour cette occasion ! Fait semblant de temporiser ma belle.
– Et pourquoi pas tout de suite ?
– Oui pourquoi pas en effet !

Et voilà nos deux femmes qui se roulent une pelle à ne plus en finir. Elles ne se contentent pas de s’embrasser mais se pelotent sans retenue et sortent de ce contact à moitié débraillées, Mirabelle a un sein à l’air et Virginie ne va pas tarder à se retrouver dans le même état.

– J’ai une idée, dit Virginie à Mirabelle, si nous allumions les hommes ?
– Chiche !

Et voilà que j’ai la Virginie sur mes genoux, tandis que Mirabelle entreprend Philippe. Virginie se frotte l’entre-jambe contre mon sexe. Je me mets évidemment à bander. Elle se retire, ôte son jeans et recommence son manège en petite culotte. Et comme si ça ne suffisait pas, la voilà qui retire son haut à vingt centimètres de mon visage. J’ai maintenant ses jolis seins sous le nez, elle me dirige carrément ses tétons vers ma bouche et je les tète avec gourmandise. Elle voulait me chauffer, c’est réussi, j’ai maintenant la bite toute dure. Elle le sait et me tripote la braguette, l’ouvre, va chercher mon sexe, l’extrait, puis se met entre mes cuisses et commence à me sucer.

Je jette un coup d’œil à côté, Mirabelle quasiment à poil est en train de branler Philippe tout en l’embrassant sur la bouche.

Virginie me fait comprendre qu’elle aimerait que j’enlève mon pantalon. Du coup je retire tout… Elle reprend un peu sa fellation, puis se recule.

– Viens Mirabelle, on va faire une pause.

C’est donc elle qui s’est improvisée la maîtresse du jeu. Pourquoi pas ? Elle est chez elle !

– Venez messieurs, venez vous mettre l’un à côté de l’autre. Voilà, touchez-vous la bite, maintenant. Non, pas la vôtre, chacun doit toucher la bite de l’autre.

Ça commence fort, cette affaire !

– Regarde comme ils sont mignons, Mirabelle, nos hommes avec une bite dans la main… on va leur faire faire plein de trucs coquins… Alors qui est-ce qui suce l’autre ?

J’aime bien qu’on me suce, mais j’adore surtout sucer. Philippe me laisse choisir, je me baisse donc et me voilà avec sa bite dans la bouche. Ça me fait plaisir, voilà un moment que je n’avais pas sucé une nouvelle queue et celle-ci est bien agréable.

Je n’arrête que parce que ma position n’est pas trop confortable et que ma bouche fatigue.

– Vous sucez divinement, mon cher ! Permettez que je tente à mon tour de faire aussi bien que vous ?
– Mais je vous en prie.

Philippe se baisse afin de me sucer à son tour. Et c’est qu’il suce super bien le zigoto ! Pendant ce temps sur les conseils de Mirabelle, Virginie est venue derrière moi et me tortille les tétons, je suis aux anges, mais je ne voudrais pas jouir trop vite. Je fais signe à Philippe de me lâcher le gland. Il se relève, je lui flatte la bite.

– Elle est vraiment très jolie… Si vous en étiez d’accord, mon cul l’accueillerait bien volontiers.
– Vous souhaiteriez donc que je vous encule, mon cher Baron ?
– Enculez, moi, Philippe, mais je vous en prie, appelez-moi donc Boris.
– Permettez que vous prépare ? Intervient, Virginie, j’adore préparer un petit cul à la sodomie.
– Mais avec grand plaisir !

Et la voilà qui me débarbouille l’anus et ses environs de sa langue agile.

– Il a fort bon goût, votre trou ! Se croit-elle obligée de commenter.
– Tant mieux, car ma dernière douche remonte tout de même à ce matin.
– J’ai les mêmes goûts en matière de culs qu’en matière de fromage, je les aime très légèrement avancés.

On ne me l’avait jamais sortie celle-là, mais comme elle ne sait pas parler et lécher en même temps, la voilà qui m’introduit un doigt, puis deux, délicieuse sensation.

Elle les ressort, les regarde !

– Dites, moi, cher monsieur, vous n’avez pas le cul bien propre, regardez l’état de mes doigts !
– Désirez-vous un kleenex ?
– Ne vous donnez pas cette peine, je vais lécher tout ça !

Et c’est ce qu’elle fait avec une facilité déconcertante, si elle voulait me lancer un message m’indiquant qu’elle était branchée scato, c’est réussi.

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine ! Rétorquais-je, ne trouvant rien de plus intelligent à répondre
– Votre merde est délicieuse, Monsieur Boris !

De si vilains mots dans une aussi jolie bouche !

– Je pense que tu peux y aller ! Indique-t-elle à son mari. Vas-y encule le bien !

Je me positionne en levrette sur le tapis, en relevant bien mon cul, Philippe arrive, me met un peu de gel, et me pénètre sans difficulté, il commence par de timides va-et-vient, puis s’excite et augmente tellement la cadence qu’il m’oblige à avancer… s’il continue je vais me foutre la tête contre un mur… je pourrais lui dire de ralentir, mais finalement ça me plait bien. Il finit par jouir en faisant un drôle de bruit, une sorte de grognement chuchoté.

Ça m’a fait du bien ! Le Philippe, lui, semble exténué, il est en nage, pas très sportif, le mec, mais vous me direz, moi non plus.

– J’espérais vous voir échanger les rôles, mais je crois bien que mon mari est « out » pour le moment ! Se désole Virginie. Boris à défaut du cul de Philippe, accepteriez-vous le mien ?
– Mais avec grand plaisir, chère Virginie. Voyez-vous je suis sans doute bisexuel, mais je préfère néanmoins les femmes. Donc, vous enculer me ravira… j’ai simplement peur d’être un peu bref, toutes ces émotions m’ont rendu une bite de jeune homme.
– Allons venez, et faites pour le mieux…

Virginie279Quelle belle croupe ! Je m’encapote, lui passe un peu de gel et la sodomise, tandis que Mirabelle s’est accroupie devant elle afin de pouvoir l’embrasser. Je ne sais pas comment faire pour me retenir de jouir trop vite, penser à des choses tristes, à ma déclaration d’impôts, à la tronche de types que je n’aime pas…

Pour l’instant ça va, la belle fait des « Hummmpf » et des « Arghhhh » et s’en prend plein le croupion.

– Vous m’enculez trop bien, cher Boris !

Le compliment fait plaisir mais précipite l’action, j’éjacule donc et décule, puis m’apprête à retirer la capote qui n’est pas d’une netteté irréprochable, mais Philippe m’en empêche !

– Attendez un instant, Virginie va vous nettoyer tout ça ! N’est-ce pas Virginie ?

Il se passe alors quelque chose de bizarre, ce genre de choses doit faire partie de leurs petits jeux privés, ça je l’avais compris. Mais elle regarde son époux avec des yeux de braise, le toise, semblant lui dire « alors c’est un défi ? »

– Ça t’excite de me donner des ordres dégoûtants devant nos voisins, hein mon salaud ?
– Ce n’est pas un ordre, c’est juste une suggestion !
– Et pourquoi tu ne le fais pas toi ?
– Parce que c’est moi qui a eu l’idée le premier !
– OK, ça ne vous gêne pas Boris ?
– Mais pas du tout, faites comme chez vous !
– Alors d’accord ? Mais que dois-je faire exactement, j’ai des trous de mémoire parfois ! S’amuse-t-elle.
– Tu vas nettoyer la merde que tu as foutue sur la capote.
– Bon, bon, je vais chercher un gant de toilette et du savon ! Plaisante-t-elle.
– Virginie, tu nettoies avec ta langue !
– Bon, bon, quand on m’explique gentiment et en détail ce que je dois faire, j’arrive à tout comprendre ! Rigole-t-elle.

Et elle se met à nettoyer la capote, en donnant de grands coups de langues sensuels et en lançant des œillades provocatrices à la compagnie comme si elle se régalait du meilleur de tous les gâteaux chocolatés.

– Humm, c’était délicieux… un goût de trop peu peut-être…

Philippe devient soudain quelque peu mal à l’aise.

– Euh, j’ai peut-être été un peu loin, là, j’espère que je ne vous ai pas choqué… vous savez parfois dans le feu de l’action on se laisse un peu aller.
– Mais non, nous ne sommes pas choqués du tout, moi aussi j’adore sucer les bites qui sortent de mon trou ! Le rassure Mirabelle.
– Me ferez-vous cet honneur ?
– Quand vous voudrez, Philippe !

On se ressert à boire, on trinque, on échange quelques plaisanteries, toutes ces galipettes nous ont donné soif.

Un bruit sur la porte, un grattement sourd.

– C’est Caramel, il est réveillé ! Précise Virginie.

Merde, un gosse ! Quelle drôle d’idée de l’appeler Caramel mais ce doit être un surnom, vite mes fringues… mais le voilà qu’il entre en remuant la queue : Caramel est un magnifique labrador.

– C’est l’odeur de sperme qui l’attire ! Reprend la maîtresse de maison.

Oups ! J’ai comme un pressentiment qu’on va assister à quelque chose qui va ressembler à de la zoophilie. Mais pour l’instant la bestiole fait la fête à Mirabelle qui le caresse gentiment, elle adore les bêtes, elle a quand même pris soin de croiser les jambes et de se mettre une serviette en papier sur le sexe, au cas où…

– Vous ne possédez pas de chien ? demande Virginie.
– Non, juste des chats !
– Il est très affectueux, pas méchant du tout, un peu vicelard aussi.
– Je vois ! Répond Mirabelle, qui a de plus en en plus de mal à s’en dépêtrer.
– Viens, ici, Caramel, viens voir ta maitresse.

Le chien se dirige vers elle, elle écarte alors les jambes et la bête se met à lui lécher le pubis à grands coups de langue. Mirabelle est fascinée.

– Tu n’as pas peur qu’il te morde ?
– Mais, non il est vicieux, mais intelligent et bien dressé… Ah ! Cette langue, c’est divin.

Mirabelle a décroisé les jambes, elle a porté la main à son sexe et se masturbe en observant le spectacle.

– Tu aimerais essayer ? Propose Virginie.
– Je ne sais pas, peut-être ! Répond-elle dans un souffle.
– Appelle-le.
– Viens, Caramel, viens me lécher la foufoune.

Virginie se relève et pousse le chien vers Mirabelle, il déboule en remuant la queue, et se met à lécher. Le spectacle est fascinant, ma compagne a les joues toutes rouges et elle se pince ses bouts de seins. L’affaire dure bien cinq bonnes minutes avant qu’elle se mette à jouir bruyamment.

– Je suis vraiment une salope, je me suis fait jouir par un chien ! Conclut-elle.
– Et alors, tu ne fais de mal à personne, et en plus le chien est ravi, regarde sa bite !

En fait Virginie a passé sa main entre les pattes arrière du chien et a ramené son sexe vers elle.

– Hum, elle est mignonne sa bite ! Commente-t-elle.
– Mignonne, je ne sais pas, mais c’est impressionnant !
– Regarde je vais lui faire un petit bisou !

Et joignant le geste à la parole, Virginie effleure de ses lèvres le membre canin. Puis après avoir lancé un sourire complice à l’adresse de Mirabelle, elle donne quelques coups de langue.

– Je vais arrêter, je ne voudrais pas te choquer.
– Je ne suis pas choquée ! Répond Isabelle. Mais disons qu’on ne voit pas ça tous les jours.
– Alors, attention les yeux !

Et Virginie embouche la bite du chien, dégoulinante d’un liquide visqueux.

– Hum, c’est bon, tout ça ! Tu veux essayer, ma chérie ?
– Je ne sais pas… peut-être.

Et devant mes yeux incrédules, ma douce Mirabelle s’en va rejoindre l’autre « dépravée » qui lui tend la bite du chien afin qu’elle l’embouche à son tour.

Les deux femmes jouent de leur langue et de leur bouche pendant quelques instants avant de se rouler un patin magistral.

Oh ! Oh ! Aurons-nous droit à un troisième acte, encore plus hard ? Ben non, du moins pas de suite, Caramel a profité de ce petit répit, pour aller voir ailleurs

– Pauvre bête, il n’a même pas pris son pied ! Se lamente Virginie.
– Nous vous aurions bien gardé à diner, mais notre frigo est quasiment vide, dit alors Philippe. Mais accepteriez-vous que l’on vous offre le restau ?
– Pour aller au restau, il faut prendre la voiture, objecte Virginie, et prendre la voiture après trois apéros ce n’est pas sérieux du tout.
– Je roulerais doucement.
– Ce n’est pas un problème de vitesse, c’est un problème de reflexe.
– Mais je me sens très bien !

Ils ne vont pas s’engueuler quand même ? Mais j’ai ma petite idée pour désamorcer cette mini crise.

– Venez donc chez moi, ma cuisinière va nous préparer un petit truc, ce sera à la bonne franquette !
– D’accord, on fait comme ça ! Répond Virginie. Et nous vous rendrons la politesse la prochaine fois.

Philippe est d’accord également, je demande la permission de passer un coup de fil que je m’amuse à donner publiquement.

– Betty ! Etes-vous encore en heures de service ?
– Oui monsieur !
– Il vous faut combien de temps pour nous préparer un petit repas tout simple pour quatre personnes.
– Euh ! Il n’y aura pas assez de collier d’agneau pour quatre… je peux vous faire des spaghettis bolognaises et avant une assiette de charcuterie, et en dessert une salade de fruits… Disons une demi-heure,
– Ce sera parfait ! Tous vos collègues ont quitté leur service !
– Oui, monsieur !
– Dommage, j’aurais aimé leur présenter Loan.
– Loan dort, Monsieur, mais si vous voulez, je peux la réveiller, je pense qu’elle serait contente de faire des heures supplémentaires pour Monsieur !

Je sens comme de l’ironie dans sa voix, je le sais bien que Loan n’est plus en heure de service, mon allusion n’avait pas d’autres but que de la provoquer.

– Laissez-la se reposer ! Par contre vous ferez le service en tenue d’esclave, collier de chien autour du cou, nichons et cul à l’air, et puis vous ajouterez des poids à vos piercings, ça vous apprendra à me faire des crises de jalousie.
– Bien, monsieur !
– Au fait, votre punition a-t-elle été administrée ?
– Oui, monsieur !

Je raccroche, elle m’énerve. Je m’amuse de la mine de Philippe et de Virginie. C’était le but du jeu. Moi aussi, je sais épater les gens, et je n’ai pas besoin d’un labrador.

– Vous avez des domestiques très particuliers ! Commente Philippe.
– Je ne vous le fait pas dire !
– Heu… le chien ?
– Vous l’emmenez bien sûr !

Le temps de se rhabiller, de redevenir présentables, de ranger un peu le fouillis, et que ces dames se rincent la foufounette, et nous voilà de retour au château.

– Ces messieurs dames prendront-ils un apéritif ? Demande Betty qui n’a pas encore revêtue (si l’on peut dire) la tenue demandée.

Devant le refus de Philippe et Virginie, nous passons directement à table, le couvert est dressé, et chaque assiette comprend un assortiment de charcuterie italienne avec des tranches de melons.

– Si vous en êtes d’accord, nous ferons le traditionnel tour du propriétaire plus tard, je meurs de faim.
– Malgré tout, j’irais bien aux toilettes, je voulais y aller avant d’arriver et ça m’est sorti de l’esprit, nous dit Virginie.
– Comme vous voulez, mais si vous pouviez vous retenir cinq ou dix minutes, j’ai une petite idée un peu perverse en tête…
– Oh, vous, je vous vois venir, petit cochon, mais d’accord je vais essayer de me retenir.

On s’assied, et Betty réapparait provoquant un masque de surprise de mes invités, ils avaient pourtant été prévenus, mais la voir en réel, c’est autre chose. Il faut dire que le spectacle ne manque pas d’insolite, elle n’a rien en haut, et ses gros seins sont tirés vers le bas par les poids attachés aux piercings de ses tétons, elle a à la ceinture une caricature de jupe noire qui ne descend pas plus bas que le haut du pubis, et elle est chaussée d’impossibles godasses à très haut talons en matière transparente. Un collier d’esclave complète la tenue.

– Je vous propose un excellent Tavel, bien frais, mais si vous préférez autre-chose… Décline-t-elle

Cela convient à tout le monde, elle fait goûter Virginie, c’est bon ! Elle nous sert.

– Votre cul est bien rouge, il a tapé fort, Cyril ?
– Il s’est surtout trompé sur le nombre ! Répond Betty.
– Cyril ne se trompe jamais, j’ai l’impression que vous cherchez toutes les occasions pour que l’on vous punisse.
– Pardon, Monsieur ?
– Et après vous avoir fouetté, je suppose qu’il était excité ?
– Très excité !
– Et qu’est-ce qu’il vous a fait ?
– Je n’ose le dire devant ces messieurs-dames.
– Dites-nous, Betty, ces messieurs-dames comme vous dites, sont impatients de savoir.
– Il m’a sodomisé, Monsieur !
– Il vous a quoi ? Nous ne sommes pas chez votre sexologue, ici !
– Il m’a enculé, Monsieur !
– Ah ! Je comprends mieux ! Et ensuite ?
– Et bien Arnaud qui était avec lui m’a enculé également.
– Et ça vous a plu ?
– Oui, Monsieur, c’était bien agréable ! Monsieur sait bien que j’adore qu’on m’encule.
– Dites-moi, Betty, avez-vous dîné ?
– Oui, monsieur !
– Dommage, mais vous n’êtes pas contre le fait de partager un petit verre de Tavel avec nous.
– Non, Monsieur !
– Alors allez donc chercher la gamelle des chats, vous ne pensiez pas que j’allais vous permettre de le boire dans un verre en cristal, non ?

Philippe et Virginie semblent fascinés par ce qui se passe sous leurs yeux. Betty revient avec une écuelle.

– Mais j’y pense, Betty, je sais que vous n’êtes pas trop amateur de rosé, sans doute préfériez-vous du champagne ?
– C’est comme Monsieur voudra !
– Virginie, vous aviez une petite envie de pipi, si vous pouviez faire dans cette écuelle.
– Non, non c’est du gâchis, proteste Mirabelle, le pipi de Virginie mérite mieux que ça. Je propose que nous le buvions dans des coupes après avoir trinqué.

Virginie enlève son pantalon et sa culotte, puis pisse dans les coupes de champagne que Betty est allée chercher, on trinque, on boit, c’est délicieux.

– Maintenant indiquez moi les toilettes, j’ai une autre envie… plus consistante. Demande Virginie
– A moins que ton caca n’intéresse ces messieurs dames ! Intervient Philippe
– Pourquoi pas ? J’aime bien regarder une belle merde sortir d’un joli cul ! Répond Mirabelle.
– J’y vais alors ! Attention les yeux

Virginie s’empare d’une assiette et va pour s’installer à quelques mètres de la table.

– Monte sur la table pour chier ! Lui dit Mirabelle, on verra mieux.

Le spectacle est fascinant, l’anus s’ouvre lentement, un bout d’étron quémande la sortie, puis s’agrandit en un long boudin qui se détache et dégringole dans l’assiette en s’enroulant sur lui-même et en dégageant un parfum subtil. Un deuxième étron vient ensuite rejoindre le premier. Elle porte ensuite sa main sur son trou, constate qu’il y reste un petit peu de matière, et l’étale sur ses fesses.

– Quelqu’un veut me lécher le cul ? Demande-t-elle innocemment.

Je bande comme un sapeur et me suis porté volontaire, j’ai tout nettoyé en peu de temps m’enivrant de cette saveur si particulière.

– Votre cul est délicieux ! Commentais-je
– Mon cul ou ma merde ?
– Les deux bien sûr !

Virginie se rassoit, personne ne prend l’initiative de retirer l’assiette. Betty reste là comme une andouille se demandant si elle doit le faire ou pas. Et puis il y a l’écuelle des chats qu’elle a apporté pour rien.

– Ben Betty, vous faites quoi ?
– J’attends vos ordres, Monsieur.
– Dépêchez-vous d’aller en cuisine, vous avez la cuisson des spaghettis à surveiller.

Et j’en profite pour lui donner quelques fessées sur le cul afin de l’encourager.

– Ça m’embête d’être la seule à rester la chatte à l’air, on pourrait tous se mettre à poil, non ? Propose Virginie.

Tout le monde approuve, et tout le monde s’exécute.

Il est évident que la partouze ne demande qu’à redémarrer de plus belle. Problème : on a tous un peu faim.

– Qu’est-ce qu’on fait avec ce boudin ? On le laisse là ? Demande Virginie, qui accompagne ces mots d’un mouvement de la main venant caresser la chose.

Elle se regarde les doigts, évidemment tout merdeux, se les porte à la bouche et se les lèche en regardant Mirabelle droit dans les yeux.

Celle-ci répond à la « provocation » en l’imitant. Je bande comme un sapeur et Philippe qui s’en est aperçu me tripote la bite.

Les doigts de Virginie ne sont pas complétement nettoyés, et elle se les essuie sur sa joue, laissant une insolite et large trainé brune.

– Je suis belle comme ça ? Demande-t-elle.
– Bien sûr que tu es belle ! Répond Mirabelle qui se lève.

Elle vient l’embrasser d’abord chastement sur les traces de merde étalées sur sa joue, avant de se mettre à lécher.

– Attend je vais m’en mettre sur les seins ! Décide Virginie.

Mirabelle l’imite, puis les deux femmes se lèchent les tétons à tour de rôle, puis finissent par se rouler un patin baveux.

– Humm !

Qu’est-ce que c’est ?

C’est Betty qui apporte les pâtes. Elle nous sert. Du coup chacun se place gentiment derrière son assiette.

Un ange passe. Et puis une idée farfelue me passe par la tête.

– Dites-moi Betty, est-ce que vous vous êtes déjà fait baiser par un chien ? Lui demandais-je
– Monsieur plaisante !
– Non, monsieur ne plaisante pas et il attend une réponse.
– Ma foi, non !
– Voici une lacune qu’il convient de combler ! Virginie puis-je vous demander de présenter Caramel à ma cuisinière.

Cette dernière va chercher le chien dans le coin où il roupillait et l’emmène en laisse au côté de Betty, qui tétanisé se demande ce qu’elle doit faire.

Comme tout à l’heure, Virginie s’est emparé de la bite du chien et la fait ressortir par l’arrière. Betty devient rouge comme une tomate.

– Allez Betty, sucez-moi cette bite !
– Non, monsieur, je ne peux pas !
– Ça n’a rien de difficile, pourtant ! Rétorque Virginie qui joignant le geste à la parole engloutit le sexe de Caramel dans sa jolie bouche pulpeuse.
– Allez Betty !
– Non !
– Je l’ai bien fait moi, Intervient Mirabelle. Et c’était bon !
– Madame est décidemment une salope !

J’ai compris le jeu de Betty, en critiquant sa maîtresse, elle veut créer une diversion. Mais ça ne prend pas !

– Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ! Tu cherche une punition ! Ben justement ta punition ce sera de sucer le chien. En attendant mets-toi à quatre pattes.

Je récupère ma ceinture sur mon pantalon et lui cingle plusieurs fois les fesses..

– Alors tu vas le faire ?
– Je le ferais si Madame Mirabelle le fait avant moi !

J’allais protester contre cette revendication inouïe, mais Mirabelle se lève de table.

– C’est bon, on va faire comme ça ! Me dit-elle
Avant de rejoindre Virginie et de l’accompagner dans sa fellation canine.

Du coup Betty est décontenancé et s’approche timidement des deux femmes.

– Allez, Betty, soit aussi cochonne que nous ! Lui dit Virginie.

Betty ferme les yeux, donne un petit coup de langue timide, puis un deuxième, reprend son souffle et englouti la bite. On l’encourage, on l’applaudit.

– Remets-toi en levrette, maintenant ! Lui dit Virginie, le chien va te prendre.
– Non !

Je lui envoie un nouveau coup de ceinture sur son gros cul. Elle ne proteste plus. Virginie attire le chine vers la chatte de ma cuisinière, il se précipite et se et à s’agiter frénétiquement.

– Il ne va pas la griffer ! M’inquiétais-je.
– Non, ses pattes avant sont limées.

Mirabelle saisie alors d’une irrésistible pulsion se place à côté de Betty.

– Moi aussi, je veux qu’il me prenne. Clame-t-elle.

Virginie se débrouille pour que le chien change de partenaire et j’ai le plaisir de voir ma douce se faire sauter comme une chienne et jouir comme une damnée. Quel spectacle !

Betty se relève !

– J’espère que Monsieur est satisfait ! Est-ce que j’ai été assez salope !
– Tu recommenceras ?
– Oui, monsieur !
– Parfait vient m’embrasser ! Non pas comme ça, sur la bouche !
– Oh ! Quel honneur, monsieur.

Toutes ces péripéties m’ont excité et voilà que je rebande… mais je finis d’abord mes pâtes avant l’interpeller mon invité du soir :

– Dites-moi, Philippe, j’ai comme une envie de vous mettre ma bite dans le cul, là tout de suite, ça vous tente ?
– Je ne refuse jamais une bonne queue, cher Boris, si vous avez envie de m’enculez, ne vous gênez surtout pas.
– Alors mon cher, si vous voulez bien vous déshabiller et vous mettre en position, je vais me faire un plaisir de vous prendre le cul.

Les filles viennent près de nous, je donne ma bite à sucer à Philippe afin de lui donner davantage de vigueur.

– Betty, pendant que Monsieur Philippe me suce la queue, passez derrière lui et léchez-lui donc le fion, un peu de lubrifiant naturel ne fait jamais de mal.

Et pendant que j’encule Philippe, mon regard croise celui de Mirabelle, et nous nous échangeons le plus beau des sourires

C’est pas bien, la vie de château ?.

Vasslan@hotmail.com
Alençon, Septembre 2009

Lun 24 avr 2017 Aucun commentaire