Le blog de vassilia-x-stories
par Roger01
Attention texte contenant de la scato explicite
Bonjour, je m'appelle Roger, j'ai 41 ans et je suis marié à une femme prénommée Anne qui a 36 ans. Je suis un adepte des sites de cul sur internet et en particulier l'extrême (uro, scato…), tout le contraire de mon épouse qui malgré qu'elle soit chaude et qu'elle aime le cul, trouve cela dégueulasse et me le répète assez souvent.
Sauf qu'un jour l'histoire qui va suivre va nous démontrer le contraire et vous prouver que ma femme cachait bien son jeu et qu'elle était en réalité une véritable cochonne adepte du hard-crade.
C'était un mardi…
Tout d'abord, je plante le décor : nous habitons un petit village de 1200 habitants au centre de la France, je suis grand (1 m 77), brun, les yeux verts et une queue pas bien grosse. Mon épouse elle, est châtain, mesure 1 m 72, un peu forte (trois grossesses l'y ont aidées), a les yeux bleus, de gros seins qui pendent avec des gros bouts, un cul bien large et une chatte vachement velue.
Dans ce village, elle a une amie d'une cinquantaine d'année qui se prénomme Karine, elle-même mariée à un chauffeur routier répondant au doux nom de Max.
Voilà le décor est planté !!! Donc ce jour-là, en rentrant du boulot assez crevé, j'étais monté dans notre chambre faire une petite sieste, puis réflexion faite, j'étais parti dans notre bureau pour surfer un peu, ma femme qui préparait le diner pour la famille croyait que je dormais. Lorsque je suis redescendu du bureau, elle me dit :
- Chéri, Karine vient juste d'appeler au téléphone, il n'y a pas 5 minutes, et elle voudrait que je passe ce soir vers 20 h 30 chez elle pour l'aider à préparer sa réunion Tupperware.
Jusque-là pas de problèmes, sauf que 5 minutes avant j'étais sur internet et donc la ligne était occupée, (c'était avant l'ADSL !) alors impossible que Karine ait pu appeler. C'est là que j'ai eu la puce à l'oreille et que je me suis dit qu'Anne allait sans doute autre part que chez Karine et Max. J'ai fait O.K., mine de rien et on est passé à table. Une fois les gosses couchés, elle s'est préparée, et m'a dit de ne pas l'attendre car elle rentrerait surement très tard, peut être vers les 1 ou 2 heures du matin.
Je ne suis pas chiant, je la laisse faire ce qu'elle veut, mais j'aime bien savoir…
La voilà partie, je lui laisse 2 minutes d'avance et je sors à mon tour, la suivant de loin, je m'aperçois, à mon grand étonnement, qu'elle se dirige tout droit vers la maison de sa copine et sonne à la porte.
Je replante un deuxième décor, ses amis habitent à 500 mètres de chez nous, dans une maison de bourg à étage avec une petite cour fermée sur le derrière de la maison. Sur cette cour à l'abri des regards, donne une partie du salon, les fenêtres des WC et de la salle de bain et une fenêtre de chambre qui est la leur.
En escaladant un peu je me retrouve dans leur cour et me dirige vers la seule fenêtre éclairée : la baie du salon. Les rideaux sont tirés, mais pas les doubles rideaux donc je vois tout ce qui se passe à l'intérieur du salon. Il y a Karine assise sur une chaise d'un côté de la table, Anne assise de l'autre côté, et Max est debout entre les deux. Tous trois discutent, je ne peux pas entendre car la fenêtre est fermée, mais cette conversation a l'air d'être normale jusqu'au moment où je vois Max trifouiller dans sa braguette et sortir devant les deux femmes qui le regardent, une pine énorme, noueuse, avec un très gros gland à moitié décalotté, d'où suinte une goutte de liquide blanc. Les couilles en dessous, pendent monstrueusement grosses et lourdes.
Je suis estomaqué, surtout par l'air bizarre qu'a pris ma femme en voyant cet énorme gourdin, elle a la bouche entrouverte, les yeux exorbités et sa langue passe doucement sur ses lèvres sans s'arrêter. Max dit quelque chose que je n'entends pas et Anne approche sa main de la bite du routier, commence à la caresser, elle est vraiment énorme car la main de mon épouse n'en fait pas le tour et quand elle passe son autre main au-dessous des couilles pour les soupeser, les deux roupettes débordent littéralement de sa paume. Karine pour sa part, n'a pas bougé et les regarde avec un sourire vicieux.
Moi je n'en mène pas large et j'ai très mal, mais cette situation me noue l'intérieur des tripes et je sens ma petite bite réagir à ce qui se passe devant mes yeux. Anne se penche doucement vers la grosse bite et commence à lécher le très gros gland, l'enduisant rapidement de salive, passant de plus en plus vite de la tige noueuse au gland et aux couilles, elle la branle en même temps et masse les grosses burnes, qu'elle gobe même à un moment.
Max lui a la tête rejetée en arrière et ferme les yeux sous le plaisir de la caresse de mon épouse surtout lorsque cette salope se met à le pomper goulument. Avec une de ses mains, il soulevé le pull de ma femme et masse ses gros nichons lourds et laiteux. Il les sort du soutien-gorge et les pelote sans ménagement. Ma femme a l'air d'apprécier car elle interrompt sa pipe pour gémir de plaisir.
Karine finit par se lever et entreprend de se dessaper, elle est plus ronde que mon épouse, et ses nibards son énormes (facile 120 cm) sa chatte est très poilue comme celle de ma femme, le genre de cramouille si velue qu'elle déborde de chaque côté de la culotte, elle a également un gros cul blanc.
Une fois déshabillée, elle se positionne à côté d'Anne pour l'aider à pomper la grosse trique de son mari. Lui, entretemps a viré son haut et viré aussi son falzar, bref il est à poil comme sa femme. Anne lâche à regret la bite pour se dévêtir elle aussi et moins d'une minute après la voilà à poil, nichons, chatte et cul a l'air. Elle se remet à bouffer la grosse pine de concert avec sa copine qui lui caresse son gros cul en même temps, je vois même ces deux salopes se rouler un patin tellement baveux que la salive leur coule sur le menton, ces cochonnes se crachent et se bavent littéralement sur la tronche. Max en profite pour passer derrière ma pute de femme et lui carre direct sa grosse bite tendue dans sa chatte ouverte et baveuse. Elle est en levrette et Max l'attrape par sa grosse croupe laiteuse et se met à la bourrer avec frénésie. Ma femme se met direct à couiner comme une truie qu'on égorge, elle crie, la bouche grande ouverte, pendant que Karine au-dessus, lui crache dans la bouche.je suis saisi par cette scène d'une extrême vulgarité car maintenant j'entends mieux vu que tous les trois ont largement haussé le ton.
- Oh putain ma grosse chienne tu es vraiment bonne de la moule salope !!!! Ta grosse chagatte m'aspire le gland !! T'est qu'une salle morue, un garage à bite, comme Karine, oooohh oui c'est trop
bon ta cramouille poilue !!! Pérore Max.
- Aah ouiie défonce moi avec ta grosse bite salaud !!! Humm ourhhglups gloups Répond Anne en avalant les crachats de Karine) c'est trop bon ouiiiiiiii !!!!
- Alors salope, trainasse, lopette, t'aime ça te faire bourrer le trou qui pisse par mon mari pendant que je te crache dans le bec ! Allez, grosse truie avale mes crachats, tu préfèrerais
peut-être mon urine bien jaune ? Hein ? Répond pétasse ! Intervient Karine
- Oh oui, mais je voudrais que Max me casse mon gros cul, qu'il me prenne dans ma merde, pendant que je boirais ta bonne pisse. Répond ma charmante épouse.
Je peux vous dire que ma petite bite faisait des bonds dans mon slip mais je ne voulais pas me toucher trop car j'aurais juté direct.
Max sort sa grosse matraque du con gluant d'Anne et présente son gros gland mauve à l'entrée du trou à merde de ma femme. Elle avec ses deux mains elle écarte au maximum sa large croupe et Max fait pénétrer sa pine à l'intérieur du trou du cul de mon épouse, ce qui a pour effet à nouveau de la faire couiner. Max entreprend son va-et-vient, d'abord doucement puis plus rapidement, la salope gueule littéralement sans retenue, ses meules laiteuses ballottent lourdement sous elle et Karine approche sa chatte poilue de la bouche de ma femme.
Cette salope ouvre grand sa bouche, sort sa langue et se met à dévorer cet énorme barbu gluant en grognant comme une chienne, très vite la mouille abondante et mousseuse de Karine lui inonde le visage et remplit sa bouche. Karine ondule son énorme derrière pour bien frotter sa chatte sur la bouche d'Anne. Max lui besogne toujours ardemment le conduit merdeux de ma femme, il va tellement profond, il l'encule tellement fort que lorsque parfois son gland ressort, il est couvert de la merde d'Anne. C'est très crade, mais très excitant.
De l'autre côté, Karine commence doucement à pisser et Anne gobe voracement les premières giclées de pisse jaunes et odorantes qui sortent de la chatte poilue de son amie.ma femme boit et avale
tout ce qu'elle peut de la pisse qui lui dégouline dans sa bouche grande ouverte, et il y en a bon sang, on dirait que Karine ne va jamais s'arrêter de pisser
Max finit par jouir et sort sa bite couverte de merde, il la donne à lécher à ma femme qui nettoie tout bien consciencieusement. Je n'en reviens pas. Mais le festival crade n'était pas terminé,
Karine revient s'accroupir de nouveau au-dessus de ma femme et se met à pousser. Un gros étron ne tarde pas à sortir de son gros cul pour aller atterrir sur le visage de ma femme. Les deux femmes
s'amusent ensuite à s'étaler toute cette merde partout sur le corps en se masturbant la moule.
Après je n'ai plus rien vu puisque ces messieurs dames ont gagné la salle de bain.
Je rentre à la maison, je n'ai pas sommeil et ne sais comment gérer la suite. Je pense à me branler mais je préfère attendre qu'Anne revienne pour que je l'encule ! Ça lui apprendra !
A 1 heure du matin Anne débarque comme une fleur.
- Alors c'était bien cette réunion Tupperware ?
- Quelle réunion Tupperware ? Tu crois qu'on ne t'a pas vu t'exciter derrière la fenêtre !
- Mais quoi ?
- Tu sais ce que tu vas faire ? Karine et Max sont là derrière la porte, tu vas te déshabiller et Max va t'enculer devant moi et ma copine, d'accord ?
- Comme tu voudras ma Chérie !
Post face de l'expéditeur.
Cette histoire a été publié en 2010 sur ce site. Je ne sais d'où ça sort mais elle n'est pas récente puisque datant d'avant l'ADSL. La
publication d'origine a été fait sans aucune correction. J'ai donc remanié ce texte, corrigé les fautes de toutes sortes, enlevé les lourdeurs (du moins les plus grosses) et ajouté la conclusion
manquante.