Le blog de vassilia-x-stories
Depuis que je ne travaille plus, je passe de plus en plus de temps à me donner du plaisir !
J’ai 32 ans, je suis mariée et mon mari est tout à fait adorable avec moi. Le seul problème est qu’il travaille beaucoup, qu’il rentre toujours assez tard (quand il n’est pas en déplacement) et qu’il est souvent fatigué. Seul le dimanche nous permet de nous aimer et de rester au lit pour faire l’amour quand nous ne sommes pas dérangés par la famille ou les visites.
Ne travaillant plus depuis six mois, je me suis mis petit à petit à « sombrer » dans un érotisme solitaire à base de longues masturbations qui me rappellent mon enfance.
Sur mon lit ou dans mon bain, j’aime bien me caresser, me pénétrer d’objets divers, me masturber jusqu’au bord de l’orgasme, m’arrêter lorsque je suis près de jouir, puis recommencer.
J’ai remarqué que plus j’attendais, plus ça durait, plus fort j’explosais, jusqu’à gémir, toute tremblotante, la main entre les cuisses serrées. Sans vouloir réellement tromper mon mari, j’avoue que je fantasme souvent sur une main étrangère qui me caresserait, ou d’un autre sexe dans ma bouche, sur un élégant visiteur qui passerait chez-moi et me demanderait de le sucer en m’enfonçant ses doigts entre mes cuisses.
L’été dernier il m’est arrivé une aventure qui m’a complètement troublée. C’était la dernière semaine de vacances et j’étais seule, mon mari ayant dû rentrer précipitamment pour des raisons professionnelles. J’allais à la librairie du village. Il était environ 14 heures et la librairie était fermée, pourtant je poussai la porte machinalement et le libraire vint m’ouvrir. La cinquantaine, très courtois, il m’expliqua qu’il était en train de faire son inventaire, puis il m’invita à entrer et referma la porte derrière nous.
Je me dirigeai vers le rayon des magazines et y trouvas ma revue, puis je décidai de chercher une bande dessinée érotique. Pendant que je feuilletais l’une d’entre elles, j’aperçu dans le miroir mon libraire qui louchait sur mes charmes : j’étais en jupe courte et toute bronzée. Par jeu je me baissai vers le rayon du bas, tournant mes cuisses découvertes vers lui. Je restais quelques instants comme cela, puis me hissais sur la pointe des pieds, bien cambrée, pour atteindre le rayon du haut. Je le sentis plus que je ne le vis s’approcher de moi.
« Il a 60 ans ! Ais-je pensé, tu ne crains rien mais n’insiste pas trop… »
Mais le fait de sentir son regard sur mes cuisses commençait à faire accélérer les battements de mon cœur. Sur mon magazine, une jeune femme nue, couchée sur les genoux d’une dame mature se faisait tripoter les fesses par un vieux cochon barbu (drôle de coïncidence non ?)
« J’aime bien cette BD, me dit libraire. Pas vous ? »
Ses yeux fixaient mes seins, il se lécha les lèvres et introduisit doucement mais peu discrètement sa main dans son bermuda., guettant ma réaction
« Je ne l’ai jamais lu, mais ça m’a l’air pas mal, répondis-je simplement »
- Vous êtes très belle ! » me dit-il encore, et je ne pus m’empêcher de suivre sa main qui se mouvait dans son pantalon.
« Vous pouvez vous branlez, ça ne me dérange pas ! »
Gênée et excitée à la fois, je fixais cette main qui petit à petit dégageait vers l’extérieur un sexe gonfle de désir. Attendant une protestation de ma part qui ne venait pas, il s’enhardit, baisa son bermuda et son boxer et me dit :
« Regardez l’effet que vous me faites ! » en entamant devant moi une lente masturbation.
« Vous avez une belle bite ! » Répondis-je afin de l’encourager
Puis il tomba à genoux et ses mains, remontant doucement vers mes fesses, tirèrent mon ventre vers sa bouche. Je sentis son souffle à travers ma jupe et me mis à trembler mais j’ouvris petit à petit mes cuisses. Je fermais les yeux et m’appuyais sur le rayon situé derrière moi. Il me lécha à travers ma culotte puis me souleva une cuisse pour mieux m’ouvrir. Sa langue s’introduisit dans mon sexe. Il me lécha en me maintenant écartée.
Lorsqu’il introduisit un doigt dans mon anus je ne pus m’empêcher de me masturber et je jouis rapidement dans sa bouche. J’avais failli m’évanouir tellement c’était bon. Gênée, je quittais le magasin assez brusquement et rentrai chez-moi pour me toucher de nouveau et jouir plusieurs fois de suite.
Ma fille tu es folle ! Me dis-je…. Mais quelle excitation.
Je mis trois jours avant de décider à retourner à la librairie à la même heure.
« Je suis revenue, si ça vous tente, je suis à vous ! »
En silence, il me déculotta et me lécha devant et derrière pendant que je le branlais. Il me demanda aussi de lui introduire un doigt dans son trou du cul, ce que je fis volontiers
« J’adore tes odeurs » dit-il, si tu veux revenir, ne t’essuies nulle part, je m’en chargerais » Me dit-il quand il eut joui.
« Derrière aussi ? »
« Oui, s’il te plaît ! Viens à 20 heures, c’est l’heure où je ferme.
Le lendemain, je me retins d’aller aux toilettes mais fini par faire un gros caca, avant de me décider à revenir voir le libraire, non seulement je gardais mon cul sale, mais je m’étalais un peu de matière sur les fesses afin de le provoquer davantage.
J’entrais, il ferma la boutique et j’enlevais ma culotte.
« Regarde mon cul ! Il est plein de merde ! Ça te plait ?
« Je le garde pour la fin ! Me dit-il en se baissant pour me lécher la chatte.
Il se régalait de l’odeur de pisse dont était imprégnée ma chatte, et me demanda si je n’avais pas une petite envie. Je me concentrais, fermai les eux et je parvins à lui pisser dans la bouche. Il était aux anges.
Il me nettoya ensuite le cul, je ne voyais pas ce qu’il faisait, n’ayant pas miroir à ma disposition mais ce nettoyage avait l’air de le rendre heureux. Quand il eut apparemment terminé, il enfonça un doigt dans mon anus et le ressorti pour le lécher avec délectation, ce vieux cochon.
« J’ai 60 ans, je n’avais jamais rencontré une fille aussi délurée que toi ! »
« Moi j’en ai 32 et je n’avais jamais rencontré un libraire aussi coquin ! »
« Si vous voulez des revues, prenez les je vous les offre ! »
« Ah oui, et elles coûtent combien ces revues ? »
« 6 euros chacune, il y en a 5. »
« Et vous croyez vraiment que ce que je vous ai donné, ça ne faut que 30 euros ? »
« J’ignorais…. Balbutia-t-il en rougissant. »
« File moi 50 euros, c’est vraiment donné, mais c’est parce que tu as une bonne tête.
« Tenez voilà l’argent, et emportez tout de même les revues…; »
La fin des vacances mit un terme à cette aventure et il m’arrive de me toucher en repensant que trois fois de suite j’ai été la pute du libraire.
Chantal M
Rewriating d’un texte paru chez sophiexxx,