Le blog de vassilia-x-stories
Muriel et Sylvain, couple coquin
13 – Retour chez Gino
par Sylvain_Zerberg
Jeudi
J'ai mal dormi, je ne parviens pas à faire le tri dans tous ces évènements. D'un côté nous avons, mon mari et moi connu une série d'aventures et d'expériences sexuelles sans doute uniques et inoubliables et qui auront probablement modifié notre sexualité de façon irrémédiable. De l'autre nous sommes en train de nous faire manipuler par une espèce de sorcière qui a oublié d'être bête, qui a oublié d'être moche et qui en plus nous paye…
J'avoue que cet argent qu'elle nous donne est le bienvenu, ce n'est pas que nous soyons fauchés, nous vivons convenablement depuis que les gosses volent de leur propres ailes, mais on est comme beaucoup de gens, l'argent on en a toujours besoin et on ne le refuse pas quand il nous tombe du "ciel".
Mais la contrepartie est trop indéfinie, on ne sait pas exactement où cette Isabelle souhaite nous entraîner, et malgré ses assurances j'ai l'impression que cette femme constitue un danger pour notre vie de couple.
Je décide donc de ne pas aller au rendez-vous de Mercredi et j'en informe Sylvain, celui-ci tergiverse quelque peu.
- Il faudrait savoir qui c'est exactement et ce qu'elle veut.
- On fait comment ? On n'a aucune piste, elle téléphone en numéro caché et on ne sait pas où elle habite.
- Je connais le café qu'elle fréquente, et j'ai l'adresse du peintre, je peux essayer de me renseigner…
- Tu vas faire ça quand ?
- Ce matin, je suis censé passer chez un client, on ne me cherchera pas…
- OK, moi je pars bosser.
Sylvain reprend le récit.
J'ai enfilé un pantalon blanc cassé qui me moule bien les fesses et je n'ai pas mis de caleçon. Je n'ai pas eu trop de mal à retrouver l'adresse de Gino mais il me faut un prétexte, j'y vais au flan. Je sonne, il vient m'ouvrir, semble surpris de me voir.
- Excuse-moi, l'autre jour quand je me suis déshabillé, j'ai posé ma montre et j'ai dû oublier de la reprendre.
- Ah, je l'ai pas vu, mais je ne fais pas souvent le ménage, c'est un peu le bordel ici, rentre ! Katia n'est pas encore arrivée, j'ai presque terminé le tableau, j'aurais sans doute fini au début de la semaine prochaine…
Il n'arrête pas… c'est un flot de parole…
On regarde à droite et à gauche, évidemment on ne trouve pas de montre, puisque je ne l'ai pas perdue.
- Bon, ben tant pis…
La politesse voudrait qu'il me propose à boire, mais ça n'a pas l'air de venir et pour le moment je fais choux blanc avec mon pantalon moulant. A moi de forcer le destin !
- Je vais te laisser... Euh, tu n'aurais pas un verre d'eau ?
- J'ai que de l'eau du robinet !
- Pas grave !
Et maintenant ça passe ou ça casse !
Je joue les maladroits et renverse le verre en plein sur ma braguette.
- Oh, zut !
Le Gino rigole comme un bossu !
- Hi, hi ! En plein sur la bite !
- Je ne sais pas comment j'ai fait.
- Tu n'as pas mis de caleçon, je vais t'en prêter un, ça cachera ta bite.
- C'est gentil, je te le rendrais, je te le mettrais dans ta boite aux lettres…
Je retire mon pantalon devant lui espérant captiver son regard.
- C'était bon l'autre fois, hein ? Dit-il.
- Super !
- Tu voudrais bien recommencer ?
- Ce ne serait pas de refus !
- Mais en ce moment comme Katia n'est pas là, ma libido est descendue à la cave.
J'ai le cul à l'air, je me fais provocateur.
- C'est dommage, mon petit cul va être déçu !
- Il s'en remettra.
Il reluque quand même et ne peut s'empêcher de me mettre la main aux fesses. (ce doit être un réflexe !)
- C'est vrai qu'un cul comme ça, c'est quelque chose !
Il se baisse et m'embrasse les fesses, il me caresse, il n'arrive pas à retirer sa main, il est scotché. Je prends l'initiative :
- Il te fait bander, mon cul ?
Je n'en reviens pas de tenir de tels propos.
- Si je te baise, je ne vais pas être bon cet après-midi pour peindre Katia.
- Bof, un bon steak au poivre avec un verre de porto… argumentais-je en lui mettant la main au paquet.
Il se laisse faire, je sors sa bite, d'abord demi molle mais grossissant à vue d'œil
Qu'est-ce qu'elle est belle ! Fièrement dressée, le gland luisant. Une petite caresse pour lui dire bonjour et hop direct dans ma bouche. Je joue de la langue sur le bout de sa queue avec une telle fougue que le Gino en frétille de plaisir.
Il finit par s'écarter, s'en va chercher une capote mais pas de gel, il préfère me lubrifier le troufignon ave sa salive et le faire s'entrouvrir en le pilonnant du doigt. C'est comme il veut le garçon ! Et me voici avec sa bite dans le cul. Qu'est-ce que c'est bon ! Comment ai-je pu me priver de ce plaisir divin pendant plus de vingt ans ? Je vais me le rattraper mon retard, moi je vous le dit !
L'affaire ne dure pas très longtemps, le Gino complétement excité s'avère vite incapable de faire durer sa pénétration et c'est en s'agitant comme un diable qu'il la termine en poussant des rauquements véritablement guère discrets.
Dommage j'en aurais bien pris encore, d'autant que la sensation était merveilleuse. En fait j'ai l'impression de mon cul s'habitue à la sodomie et que c'est de mieux en mieux à chaque fois.
- Excuse-moi, j'ai eu une envie fulgurante ! dit-il
- Tout le plaisir a été pour moi !
- Bon en tout cas, ta montre, elle n'a pas l'air d'être ici !
- Oui, ce n'est pas bien grave, je vais te laisser ! Feintais-je en ramassant mes vêtements et en revêtant le caleçon qu'il m'avait sorti. Tu la connais depuis longtemps, Isabelle ?
- Deux ans !
- Ah, oui, moi ça ne fait même pas huit jours ! Je ne la connais pas assez pour me faire une opinion, je la trouve très belle, fascinante, mais comment dire… mystérieuse.
- C'est une enfant gâtée, elle est riche à millions, elle spécule sur les œuvres d'arts, elle ne sait plus quoi faire de son fric, mais je lui dois tout ! Cet atelier c'est elle qui me l'a trouvé, c'est elle qui m'en paie le loyer, c'est grâce à elle que je vends mes tableaux… alors tu dois bien t'imaginer que ses petits caprices, je les accepte sans discuter d'autant que ça ne me dérange pas plus que ça. Et toi, elle t'a rencontré comment ?
Je lui explique… son étrange proposition, son mari soi-disant très connu…
- Son mari ? S'étonne Gino ! Quel mari ? Il est mort depuis 10 ans, son mari !
- Ben alors ? Pourquoi ce mensonge ?
- Elle joue avec toi ! Elle te manipule ! Ça doit l'amuser, quand elle en aura marre elle disparaîtra de ta vie. Tu veux un conseil ? Profites-en tant qu'elle t'a à la bonne, ça ne durera pas.
J'allais partir quand il ajouta ces mots :
- Pour la montre, dis-lui que tu es passé et qu'on ne l'a pas retrouvé ! A tous les coups, elle va t'en payer une autre et une belle ! Elle est comme ça Isabelle, c'est une brave fille, pas méchante, mais elle est très fantasque et parfois elle est chiante, mais je l'aime bien.
- O.K. merci pour tout.
- De rien, tu sais, je ne suis pas con, tu n'as jamais perdu de montre, tu venais chercher des infos sur Isabelle, tu as su y faire, t'es un coquin, toi… et dis donc tu n'as même pas joui.
Et il me fout sa main sur ma braguette.
- Allez, je ne suis pas vache, je vais te faire une pipe.
Je ne bande plus, mais Gino trouve le moyen de me pincer les tétons à travers ma chemise et me revoilà tout excité.
Trente seconde après, j'avais ma queue dans sa bouche.
Je suis resté debout, il s'est accroupi et m'a fort bien suçé, alternant les introductions profondes avec des mouvements de langues sur le gland. Ses mains sont passées sous ma chemise et continuent à me titiller le bout de mes seins. Je suis aux anges et ne tarde pas à sentir le plaisir prêt à s'échapper de mon membre. Je vais pour le prévenir. Il en a cure et reçoit tout dans sa bouche.
Il se relève et approche son visage du mien. J'ai compris ce qu'il veut faire. Ça ne me branche pas vraiment, mais me disant que je lui dois bien ça, je me laisse faire et nous nous roulons une pelle parfumée au sperme frais.
- Tiens ! J'aimerais bien faire un tableau, tu poserais pour moi ?
- Moi ? Tu parles d'un tableau, je n'ai rien d'extraordinaire.
- C'est ton cul que je peindrais, juste ton cul, il est trop beau…
J'aurais tout entendu !
Le soir on a discuté avec Muriel.
- On fait quoi ? Demande-t-elle.
- On se laisse manipuler encore une fois ou deux et après on laisse tomber.
- Si on pouvait amasser assez d'argent pour se payer une super croisière.
- O.K. et quand on aura l'argent de la croisière, on laissera tomber.
à suivre