Le blog de vassilia-x-stories
Muriel et Sylvain, couple coquin
3 - Déchaînement
par Sylvain
La partie 3 a sans doute existé sur le site de SophieXXX, mais est restée introuvable, les chapitres qui suivent sont donc tous de ma main.
La question me paraît incongrue, et je m'apprêtais à refuser d'un sourire poli quand mon regard croisant celui de Muriel, je la vois opiner du chef, comme si elle approuvait à ma place cette proposition inattendue. Elle doit malgré tout deviner mes hésitations bien compréhensibles.
- Essaie, mon amour ! Essaie, fais le pour moi !
Mais soudain, son attention est détournée. On a frappé le long de la cloison et de l'un des trous aménagés pour ce faire, émerge une très jolie bite bien bandée, bien droite, bien nervurée, bien décalottée.
Attirée par ce sexe comme par un aimant, Muriel va à sa rencontre et se met à le masturber quelques instants avant de le prendre dans sa bouche. C'est sa seconde fellation extra conjugale de la soirée, j'ai l'impression que ce ne sera pas sa dernière. Ma femme est belle quand elle suce et je suis terriblement excité de la voir sucer une autre queue que la mienne.
D'ailleurs une deuxième bite ne tarde pas à surgir inopinément d'un autre trou. Elle est encore plus belle que la précédente, plus longue, et le gland plus rose. Mon épouse abandonne la queue qu'elle suçait pour venir s'occuper de la nouvelle. La situation m'excite de plus en plus.
Patrick se précipite alors vers la bite "abandonnée" et entreprend de la sucer à son tour, puis il m'appelle :
- Viens, on va la sucer à deux !
Je n'hésite même pas, et me voilà en train de sucer une nouvelle bite et de m'en régaler. Nous sommes là tous les deux, langue contre langue. Un moment sa langue frôle la mienne, je crois à un dérapage, et ne réagit pas, mais il recommence de façon plus appuyé, je comprends alors qu'il désire m'embrasser sur la bouche, je me laisse faire, telle une marionnette.
- Continue à le sucer, moi, je vais te préparer le cul.
J'avais pensé un moment, mais sans trop y croire, que l'apparition de ces verges tendues à travers la cloison constitueraient une diversion, mais non. Pendant que je me pourlèche de cette bonne bite, Patrick passe derrière moi et me demande de m'installer en levrette, puis de bien écarter les fesses. Il m'introduit un doigt qu'il fait aller et venir, puis remplace le doigt par sa langue. Je dois avouer que je ressens beaucoup de plaisir à cette caresse particulièrement osée.
Je pensais que Muriel m'aurait accordé ne serait-ce qu'un coup d'œil complice, mais déchaînée comme elle est, elle ne pense qu'à pomper cette bite anonyme.
Patrick s'est reculé et s'équipe de façon à me pénétrer l'anus sans risque et sans douleur, il commence pour ce faire à m'appliquer une noisette de gel intime. (fourni par l'établissement, c'est gentil, merci !) C'est à ce moment-là que Muriel quitte son poste de fellation pour venir nous rejoindre. Elle m'offre sa bouche toute gluante du sexe de l'inconnu. J'ai un geste instinctif de recul, elle n'insiste pas et vient embrasser Patrick à pleine bouche. Du coup je me sens moins motivé pour la suite des événements et je m'apprête à me relever et à inventer une excuse quelconque. Muriel vient près de moi, devine mes atermoiements et me dit :
- N'ai pas peur, tout va bien se passer !
Résigné, je plonge la tête par terre et attend la suite des événements, mon cul est relevé, mon anus est prêt. Je sens la bite de Patrick qui cherche à me pénétrer, m'obligeant à m'ouvrir davantage. Le passage est douloureux, je m'apprête à le lui dire, mais le laisse néanmoins coulisser dans mon conduit anal quelques instants. La sensation devient différente, des sensations de plaisirs rayonnent de mon corps. La douleur disparaît assez rapidement ne laissant subsister qu'une sorte de gêne devant cet élément étranger dont mon corps cherche à se débarrasser. Je cherche du regard la bite que je suçais, celle qui sortait du mur, elle a disparu. Muriel me regarde, m'encourage, me sourit, elle me dit :
- C'est bon hein, une bite dans le cul ?
Je réponds "oui" dans un râle.
- Dis-le ! Dis-le-moi que c'est bon, je veux t'entendre.
- Oui, c'est bon, une bite dans le cul.
- Ben, oui, pourquoi cette pratique serait-elle réservée aux femmes ?
Patrick décharge, puis décule. J'ai le trou du cul, béant, un peu douloureux. Muriel me confie alors qu'elle se ferait bien sodomiser, elle aussi. Devant notre manque de réplique, elle nous informe qu'elle va revenir de suite et nous propose de l'attendre si nous le désirons.
Effectivement, alors que Patrick et moi étions allongés afin de récupérer un peu, elle revient deux ou trois minutes après avec un jeune type qui nous ignore superbement. Il est tout nu et il a une bite assez épaisse, pas trop dans mes goûts. L'homme commence à peloter ma femme avec frénésie, mais Muriel le recadre, lui dit de se calmer et s'agenouille afin de lui durcir la bite avec sa bouche. Je tiens les comptes, cela fait sa quatrième bite, quelle belle salope de s'envoyer des bites comme ça ! N'empêche que le mari de la belle salope, c'est moi et qu'elle m'aime, quelle chance que j'ai ! Tout en continuant sa fellation, elle me fait un clin d'œil complice. Puis elle se place en levrette et offre ses fesses à cet inconnu. Il lui met un doigt dans le fondement afin d'examiner le passage, récupère un peu de sa mouille en guise de lubrifiant, se protège et l'encule. Elle lui dit :
- Vas-y c'est bon, fais-moi jouir du cul !
La moiteur du lieu et les mouvements de son corps la font transpirer, quelle spectacle magnifique de voir ma femme se faire enculer, le corps recouvert de fines gouttelettes de sueur. Me voilà en train de rebander. Le partenaire de Muriel est endurant et il la lime pendant un bon quart d'heure sous nos regards. Ma femme pousse des han-han de plus en plus stridents, elle jouit du cul, l'inconnu accélère alors ses va-et-vient, puis décule brusquement, retire sa capote avant de jouir sur les fesses de ma femme. Elle a un mouvement d'humeur :
- C'est malin, je ne t'avais pas autorisé à faire ça !
Le mec se confond en excuses, puis nous quitte avec un très vague sourire en guise d'adieu.
Je vais pour me rhabiller, Muriel également. Patrick demande :
- Vous partez ?
- Non, on va aller boire un coup, on t'invite ?
- Volontiers, mais ne vous rhabillez pas, mettez vos affaires au vestiaire, à cette heure-là presque tout le monde est à poil.
Au bar, le barman interpelle Patrick :
- Alors, ça se passe bien ?
- Très bien, je viens de baiser Madame et d'enculer Monsieur.
- Ah, dans ce cas votre consommation est gratuite, c'est toujours gratuit pour les enculés.
Je ne sais plus où me foutre, Muriel pour sa part s'amuse de mon embarras.
Une jolie blonde plus très jeune mais fort bien conservée s'approche de ma femme.
- Bonjour ! T'es pas mal toi, je te lécherais bien la chatte.
- Vas-y ! Je te l'offre ! Répond Muriel en écartant ses cuisses.
Chantal (puisque c'est son nom) approche son visage des cuisses de Muriel perchée sur son tabouret de bar et commence à lui sucer la foufoune avec délectation. Ma femme commence à se pâmer, mais dit :
- Attends, il faut que je fasse pipi !
- Hummm, je peux t'accompagner ?
- Bien sûr !
(à suivre)