Le blog de vassilia-x-stories
Saucisse-party
par Enzo Cagliari
Bonjour ! Je vis depuis peu avec Carole, une jolie brune assez délurée, nous avons la trentaine tous les deux. J'ai récemment changé de service dans ma boite d'assurance et j'ai rapidement sympathisé avec un nouveau collègue, qui se prénomme Victor.
Nous étions ce samedi soir invités chez lui dans son pavillon pour un barbecue ou plus exactement une saucisse-party puisque c'est le terme qu'il avait employé. Il habite un coin tranquille et d'épaisses rangées de thuyas sont de nature à dissuader les regards indiscrets. Il nous présenta sa femme Bérénice, une belle blonde, très souriante. Elle avait mis un petit haut très décolleté et comme vous pouvez l'imaginer je n'arrêtais pas de reluquer la naissance de sa poitrine. Bien sûr, discret comme je suis, elle s'en aperçut mais n'en fut point contrarié, bien au contraire, car elle se contenta de me faire des petits sourires.
D'après les conversations que nous avions eu au bureau, le collègue n'avait pas l'air coincé, mais bon, ce n'est pas parce qu'on est libéré côté cul qu'on partouze tous les jours avec tout ce qui bouge.
Les fins de repas sont souvent propices aux ouvertures coquines, l'alcool ingurgité aidant à se désinhiber.
Je décidais de lancer un "ballon d'essai" et proposais à Bérénice cette petite plaisanterie assez connue :
- Je vous parie 5 euros que je peux vous toucher les seins sans que vous vous en aperceviez.
- Je veux bien parier mais pas 5 euros.
- 10 ?
- Non, 50 !
Je me demande si c'est du lard ou du cochon, mais vu le petit sourire qu'elle me faisait, je lui dis "d'accord !", conscient que je prenais le risque que l'affaire se stoppe au bout de trois secondes.
C'est alors que Victor intervint et me demande :
- Euh, vous faites ce que vous voulez tous les deux, mais est-ce que je peux faire le même pari avec ta copine ?
- Si elle est d'accord…
Carole opine du chef, elle était d'accord.
Je commençai le premier. Ma main à l'extérieur de son petit haut, je caressais et massais le dos de Bérénice. Constatant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, je glissai ma main en dessous en me concentrant toujours sur le dos. La chaleur de sa peau m'encourageait à aller plus loin dans mon exploration Doucement, je passai ma main vers son ventre en remontant lentement jusqu'à sa poitrine. Je senti alors la pointe ferme de ses seins se dresser sous mes doigts. La sensation était merveilleuse. Bérénice ne disait rien, se contentant d'apprécier la caresse. De l'autre côté de la table, mon collègue faisait la même chose avec Carole.
Je ne sais pas ce qui m'excitait le plus : voir ma copine se faire tripoter les seins par un autre homme ou moi-même caresser les seins d'une autre femme, toujours est-il que je commençais à sentir une certaine pression dans mon pantalon.
Berénice s'en aperçut et me plaqua sa main sur la braguette.
- Tu me montres ? Demanda-t-elle.
Il y a des moments où l'on raisonne davantage avec son sexe qu'avec son petit cerveau, aussi détachais-je donc mon pantalon et montrais à ces messieurs dames, l'effet que la situation produisait chez moi.
- Quelle jolie bite ! S'exclama Victor.
- T'aimerais bien la sucer, hein ? Ajoute Bérénice.
- Pourquoi pas ?
Je ne réponds pas. Me voilà embarqué dans une direction totalement imprévue. Si ça va trop loin, je vais invoquer une migraine diplomatique pour arrêter les frais.
Bérénice n'insiste pas et demande alors à sa vis-à-vis de vérifier si l'effet était le même chez son compagnon. Ce qui fut aussitôt fait. Et voici donc notre Victor à son tour la queue à l'air !
- Elles sont bien belles toutes les deux, difficile de dire qu'elle est la plus belle ! Commente Bérénice
- Faut tâter la marchandise ! Propose Carole.
- Alors tâtons !
Bérénice après s'être débarrassée prestement de son haut et exhibant une magnifique poitrine lourde et laiteuse prit ma queue dans sa main et commença à la caresser en lui imposant un doux mouvement de va-et-vient. Elle demanda alors à Victor de s'approcher à ses côtés et lui fit la même chose de son autre main. Quelle spectacle de la voir ainsi au milieu de deux hommes une queue entre chaque main ! Carole choisit de se déshabiller complétement avant de venir prendre la place de Bérénice et s'affaira de la même façon à nous prodiguer ses douces caresses pendant quelques minutes avant de passer de nouveau le relais à sa complice.
Il se passa alors quelque chose d'étrange, Bérénice nous fit nous rapprocher Victor et moi et nous placer face à face de telle façon qu'elle puisse faire rouler nos deux bites l'une sur l'autre. Ce contact me troubla profondément. Mais ce n'était pas fini, elle s'agenouilla et se mit à sucer nos deux bites d'abord alternativement puis en même temps.
Tout d'un coup, alors que Bérénice continue à me sucer, Victor se baisse, et sans que j'ai le temps de réaliser, il se joint à sa compagne pour me sucer.
Moment d'hésitation ! Je regarde à gauche, je regarde à droite. Carole s'approche !
- Laisse-toi faire, laisse toi faire ! Me dit-elle.
Ben oui je me suis laissé faire ! Et je vais vous dire : Qu'est-ce qu'il suçait bien, c'est la première fois qu'on me suçait d'aussi belle façon ! Je dû malgré tout le faire arrêter n'ayant pas l'intention de jouir de suite.
- A ton tour ! Me propose-t-il.
- A mon tour ?
- Ben, oui, c'est chacun son tour ! Intervint Bérénice.
- Peut-être pas aujourd'hui ! Balbutiais-je.
- Tu ne vas pas te dégonfler ! Intervient Carole
- C'est pas mon truc !
- T'en sais rien, t'as jamais essayé !
- Mais vous m'emmerdez un peu, là. Je ne suis pas pédé d'abord !
- Mais moi non plus ! Rigole Victor.
- Qu'est-ce que ça te coute d'essayer ! Insiste Carole. Regarde comme elle est belle cette bite ! Avec ce joli gland, cette petite veine toute bleue ! Gloups ! Un régal.
Les deux filles se remettent à sucer la bite de Victor. Puis je sens deux mains qui me tirent. Je me retrouve à genoux.
- Tu ne vas pas gâcher la soirée avec tes caprices de jeune fille ! Tu essaies, et si vraiment tu bloqué, alors on en parlera plus, mais au moins tu auras essayé ! S'énerve un peu Carole.
Evidemment vu comme ça !
Allez, je me lance ! Etonnant comme le pas a été rapide à franchir, j'ai la bite de Victor dans la bouche et je la suce, du moins je fais ce que je peux, je fais comme dans les films porno, je la fais coulisser entre mes lèvres.
- C'est bien ! M'encourage Bérénice.
Bon ben voilà, si c'est bien je vais arrêter, et on va peut-être passer à autre chose… Mais non, Bérénice s'agenouille à mes côtés, me fait signe de rester en place.
- Je vais te montrer comme faire. Voilà, commence par donner des petits coups de langue sur le frein, comme ça pas trop vite, vas-y essaie.
Elle me fait craquer avec son sourire et ses gros nichons, je n'ai pas envie de la contrarier, je fais comme elle a dit
- Tu apprends vite, maintenant fais courir ta langue tout le long de la verge, voilà, comme ça…
Bref, elle me donne un cours, puis y met fin en me présentant sa chatte. Elle est trempée, une vrai soupe, je lèche le jus, je me délecte de ses chairs intimes, elle s'allonge, je continue à sucer et attaque son clito. Quelques minutes plus tard son cri de jouissance perçait le silence du crépuscule.
Je me relève pour apercevoir Carole et Victor en parfait 69.
Ces deux-là n'ont pas tardé à jouir. Et moi ?
- Je vais te faire un beau cadeau me dit Bérénice.
Elle enlève le bas et se met alors en levrette, le cul ouvert ! Quel spectacle !
- Prend une capote dans la coupelle sur le rebord de la fenêtre et encule-moi !
Carrément !
Et ils avaient même prévus les capotes.
Comment résister au spectacle de ce joli cul dont elle écarte l'orifice brun de ses mains parfaitement manucurées ? Une irrésistible envie de lécher, je m'enivre de l'odeur de son cul, puis n'y tenant plus je la pénètre hardiment. Et c'est parti, je m'efforce de faire durer le plaisir, mais ce n'est pas facile.
Victor passe derrière moi et me tripote les fesses. Il ne peut pas me foutre la paix celui-ci ? Carole le rejoint. Et tandis que j'encule toujours Bérénice je sens un doigt qui me pénètre le trou de mon cul ! Je ne suis pas insensible à cette caresse que Carole aime me prodiguer, mais ne me servant pas de rétroviseur quand j'encule, voilà que j'ignore si le doigt qui me doigte est masculin ou féminin. En tous cas j'aime bien.
Carole repasse devant moi et s'en va rouler une pelle à Bérénice. Le doigt est donc bien celui de Victor, je vous dis, c'est la soirée des nouveautés.
La belle blonde finit par crier sa jouissance (pas trop discrète la nana). Du coup je me lâche et la rejoins quelque part dans le ciel !
Bérénice s'est affalée sur la pelouse, et Carole vient la câliner. Très vite elles se retrouvent en 69 en train de se lécher le minou !
Je suis un peu H.S. je me sers un grand verre d'eau gazeuse. Avec Victor on mate.
- Quelles sont belles ! Commente ce dernier !
Sa main se fait baladeuse et il me tripote la bite ! Il est complétement obsédé ce mec-là ! Je ne dis rien, qu'est-ce que voulez que je dise ? Il se sent encouragé et se met à me branler nonchalamment.
- On va peut-être faire une pause ! Proposais-je
Les deux nanas n'en finissent plus se s'emmêler et de s'entremêler, elles ont la rage de jouir et finissent par se faire hurler mutuellement. Elles se relèvent dégoulinantes de sueur, de mouilles, et des brins d'herbes collés sur le corps. Mais Bérénice ne reste pas longtemps debout, elle s'accroupit et se met à pisser d'abondance. Quel spectacle que ce jet très dru qui rebondit en clapotant sur la terre. Du coup Carole en fait autant. J'aurais dû emporter mon appareil photo.
Victor s'approche de sa femme… il ne va pas… Si ! Il pisse carrément sur sa femme qui rigole comme une bossue…
- T'en veux aussi ? Demande-t-il à Carole !
- Oh, oui ! Pisse-moi dessus !
Et ma cochonne de Carole ouvre la bouche afin de pouvoir avaler quelques gouttes.
Moment de franche rigolade. Mais on est tous exténués, on ramasse nos vêtements, on rentre dans le pavillon.
- On va peut-être rentrer, il se fait tard ! Proposais-je !
- Ce n'est pas très prudent…
- Je n'ai pas tant bu que ça, je conduirais ! Intervient Carole.
Bisous, bisous, on se quitte.
- On pourrait les inviter chez nous dans quinze jours ? Me propose Carole une fois dans la voiture.
- Si tu veux !
- Victor faisait une telle fixation sur toi qu'il ne m'a même pas baisé ! C'est pas juste !
- Tu sais que finalement, ça ne m'a pas déplus de lui sucer la bite ?
- Oui, je m'en suis rendu compte ! Tu aimerais recommencer ?
- Oui ! J'aimerais même aller plus loin !
- Tu voudrais qu'il t'encule ?
- Oui, j'ai maintenant envie d'essayer ! Sentir sa belle bite dans mon cul, ça doit être quelque chose, non ?
- Arrête, tu m'excites
Octobre 2013
© Enzo Cagliari