Le blog de vassilia-x-stories

 

Belle soirée estivale par Enzo

BigsTits

Souhaitez-vous l’intro classique « Bonjour je suis Sébastien j’ai 25 ans, je suis comme-ci, comme ça et je suis en vacances en Languedoc-Roussillon »

Ou la poétique :

« Par cette belle soirée, les petits oiseaux faisaient entendre leurs gazouillis crépusculaires, les gros oiseaux s’exprimaient aussi et les moyens oiseaux philosophaient, se disant que décidément le créateur n’avait sur cette terre laissé qu’aux extrêmes le pouvoir de s’exprimer. »

Bon, frappons trois coups comme au théâtre et démarrons cette saynète !

Que faire à cette heure, quand l’eau est devenue trop fraîche pour s’y baigner, et que les estivants, les bronzeurs et les « farnienteurs » ont cédé la place aux bellâtres de la planche à voile qui vont fanfaronner devant leurs copines et leur cousines ?

Alors, draguer, mais encore faudrait-il trouver ? Et surtout trouver une fille seule, dans mes âges et dans mes goûts… Vous croyez que c’est facile, vous ?

Alors j’y vais au flan !

– Mademoiselle, je vois que vous êtes seule, accepteriez-vous ma compagnie ?

Ça ne marche pas bien fort cette façon-là de draguer les minettes ! Et pourtant au bout de vingt échecs, et alors que j’avais jeté mon dévolu sur une petite brune avec des seins « qu’on aurait dit des obus »

– Mais pourquoi pas ? Seulement voyez-vous jeune homme, je ne suis pas seule !
– Pas seule, mais où est donc votre chevalier servant ? Plaisantais-je. Serait-il si petit qu’il tiendrait entre vos trésors ?
– Quels trésors ? Demande-t-elle faussement étonnée de cette question que l’on voudrait incongrue
– Mais ceux que je vois là devant mes yeux éblouis !
– Vous appelez ça des trésors ? Si vous saviez comme c’est lourd à porter !
– Voulez-vous que je vous aide ?
– Que vous m’aidiez à quoi ?
– A les porter !
– Au moins vous, vous êtes amusant ! Conclut-elle.

Un type la rejoint avec deux cornets de glace ! Zut et reflûte elle ne bluffait pas !

– Voilà ! Vanille café et noix de macadamia ! Annonce fièrement le nouvel arrivant.
– Il n’y avait donc plus de noix de pécan ? Regrette notre inconnue.
– Si mais c’est trop gras !
– Je vous présente Eric, mon « fiancé » Me dit-elle
– Enchanté, je vais vous laisser !
– Mais non reste, tu draguais Carole ? Me demande ce dernier, mais sans aucune agressivité.
– Je suis désolé, je l’avais cru libre, je vais me retirer.
– Nous ne te le demandons pas ! Qu’en penses-tu Carole ?
– Il pourrait rester, et nous aider à réaliser le petit fantasme dont on parlait tout à l’heure.

Petit fantasme ! Voilà qui est bien mystérieux !

– Mes seins ont l’air de lui plaire ! Rajouta la fille.
– Un petit massage mammaire en trio, ça te dit ? Proposa alors Eric !
– Un massage mammaire ?
– Mammaire !
– Ma mère !
– Bon alors oui ou non ?

Nous y allâmes et posâmes nos culs (non arrêtons ce passé peu simple) Nous y avons été et avons posé nos culs sur un banc en bas sur le sable.

Chacun d’un côté de la belle :

– Messieurs ! Allez-y, je vous donne l’autorisation de me peloter ! Mais si vous ne le faites pas bien, si je vous dis d’arrêter, vous déguerpissez, est-ce que les conditions sont bien claires ?
– Tout à fait ! Dit le fiancé !
– Je vais me surpasser ! Affirmais-je pour ma part !
– Qui commence ?

Silence gêné d’Eric et de moi-même !

– Alors pouffons ! Ce sera toi qui me peloteras le premier mes nichons ! Anonna-t-elle en détachant bien les syllabes de chaque mot.

Ce fut moi ! J’ai commencé par lui enlever son gilet qui était bien gênant, j’ai relevé son petit haut, puis j’ai dégrafé sou soutien-gorge, (super géant le soutien-gorge !) j’ai commencé par lui masser tout cela, et elle se laissait faire en miaulant comme un chatte en chaleur. Je me concentrais sur le sein droit, laissant Eric s’occuper du gauche. Après ces caresses préliminaires, de façon quasi simultané nous nous sommes emparés de ses tétons afin de les titiller (ils étaient tellement durs, qu’on aurait pu avec planter des clous sur une planche !)

Nous avons tordu, étiré, pincé, tortillé ces magnifiques pointes, elle ne s’en lassait pas réclamant sans cesse que l’on fasse encore plus fort. Ces mains ne restaient pas inactives et avaient rejoint nos entre jambes afin d’en constater et d’en préserver la dureté de nos organes sexuels fièrement dressés comme des gyroscopes de sous-marin nucléaires en rodage.

– Sortez vos queues ! Ordonna notre bombe sexuelle !

Nous ne nous fîmes pas prier et sortîmes nos pines, dont les glands étaient déjà luisants de gouttes de pré jouissances !

– Jolies queues ! Et maintenant fantasmes numéro deux ! Annonça Carole !

J’attendais ! Curieux de savoir ce qu’avait imaginé sa libido lubrique.

– Qu’est-ce ? Demandais-je.
– Tu ne vas pas tarder à le savoir ? Me répondit-elle !

lisa3.jpgElle enleva alors le bas, nous faisant admirer sa chatte toute mouillée (tellement qu’un schtroumpf aurait pu glisser s’il avait marché par-là !). Et alors que je pensais qu’elle nous en laisserait le libre accès, la voici qui se lève, nous laissant comme deux couillons, elle s’avance de deux mètres, dandine des fesses de façon quasi obscène, puis se retourne, et s’accroupit devant nous, semble chercher on ne sait trop quelle inspiration et se met à pisser dans le sable devant le soleil couchant de la mer Méditerranée !

– Alors il n’est pas joli mon petit pipi ?
– Mais si, mais si ! Répondit-on en chœur, nous voulant rassurant.
– Si vous avez envie ne vous gênez pas, cela me rafraîchira !

Je regarde Eric, me demandant si elle a pété oui ou non les plombs ! Mais non, c’est du premier degré, et déjà le voici qui de sa quéquette, vise la belle lui aspergeant les seins, le ventre et les cuisses. Le dernier jet atteint le visage et elle s’en lèche les babines de gourmandise. J’essaie à mon tour, mais je n’y arrive pas ! Je vous laisse imaginer ma confusion. Elle ne m’en veut pas m’indiquant seulement que j’aurais droit à un gage ! Délire pour délire, délirons mes frères, délirons mes sœurs !

– Branlez-vous ! Ordonne-t-elle

Je le fais !

– Mais non pas comme cela !

Je ne comprends plus ou plutôt je commence à comprendre quand je vois la main d’Eric se tendre vers ma propre bite ! Non mais des fois ! Il n’est pas bien, celui-là, je ne suis pas pédé moi ! Je proteste énergiquement, mais j’ai quand même ma queue dans sa main et le voilà qui me l’agite !

– Ben alors ! Et toi ?

Hein ! Non ! Ils se figurent peut-être que je vais me dégonfler ? Et qu’ils vont pouvoir se moquer de moi ? Ben non, ils vont être déçus ! Je m’empare à mon tour de la bite de son fiancé et la masturbe bien comme il faut ! Et puis d’abord elle est belle sa bite à ce mec, tellement belle que je ne peux m’empêcher de la sucer, ça m’est venu comme ça, d’un seul coup d’un seul ! Une révélation, quoi ! Ce qui me vaut les encouragements de Carole qui du coup me suce la mienne ! Quel plaisir mes amis de sucer une bite pendant qu’on vous suce la vôtre ! Je ne suis pas venu à la plage pour rien ce soir !

Carole tend un préservatif à Eric ! Ah ben ça c’est pas juste, il va se l’envoyer, et moi alors, Enfin, c’est vrai que c’est son fiancé, il a la priorité ! Mais j’avais tout faux, Carole me dit de me pencher, m’écarte le globe fessier et prépare ainsi le chemin au gland encalotté de son soupirant qui vient alors m’enculer !

Mais c’est que ça fait du bien de se faire enculer par le fiancé d’une nénette aux gros seins un soir de juillet sous les palmiers du Languedoc-Roussillon.

Raclement de gorge ! Je me réveille, je suis sur le front de mer sur un banc ! Je rêvais ? Mon dieu quel rêve ! Mais qui a raclé sa gorge ?

Joli femme ! Vraiment superbe ! Mais elle n’a rien d’une minette, 40 ans peut-être ! Mais quelle belle prestance ! Que fait-elle ici ?

– Quelle genre de rêve deviez-vous faire pour vous mettre dans un état pareil ? Dit-elle tout sourire.

Honteux je constate ma bandaison !

– Ne trouveriez pas intéressant de me confier certains de vos fantasmes ? Je suis sûre que cela pourrait être le préalable à une très intéressante soirée !
– Mais pourquoi pas ?
– Alors suivez-moi, mon studio de vacances n’est pas très loin.
– Je vous suis, je vous suis !
– Mais au fait dites-moi ? Vous n’avez rien contre les travestis ?
– Non, et d’ailleurs je me disais qu’il manquait un petit quelque chose à mon rêve…

 

Enzo Cagliari – avril 2003
(avec la collaboration active d’Eddy)

Jeu 17 avr 2003 Aucun commentaire