Le blog de vassilia-x-stories

Psys en Folies

par Estonius

 

BiteFlag

 

Je ne le voyais pas comme ça le psy, il est assez jeune, grand, blond quoique probablement décoloré, de beaux yeux bleus, il doit avoir un succès fou auprès des femmes.

 

- Monsieur Etienne ! Asseyez-vous ! Donc c'est la première fois que vous venez me voir ?

 

Le ton était jovial, rassurant, professionnel....

 

- Oui !

- Avez-vous déjà consulté certains de mes collègues auparavant ?

- Non !

- Bien. Dites-moi ce qui vous amène, je suis là pour vous écouter.

- Voilà, c'est très simple : j'ai découvert que j'étais bitophile, je me demande si c'est vraiment normal ?

- Bito quoi ?

- Bitophile !

- Ah ? Vous êtes sûr du mot ? Parce ce que c'est la première fois que je l'entends, mais il y a toujours une première fois, n'est-ce pas, hi, hi, hi !

- Ben, oui, j'ai trouvé ce mot sur Internet. Je vous ai noté la référence du site, si ça vous intéresse.

- Ah ! Ben oui, pourquoi pas ? Donc en un mot bitophile c'est quoi ?

- Je n'aime pas les mecs, mais j'aime bien leurs bites.

- Ah ! donc vous êtes un peu bisexuel.

- Non justement c'est ce qu'explique l'article, je ne suis pas bisexuel, je suis bitophile.

 

Je crus sentir un soupçon d'agacement chez le psy devant ce qu'il devait prendre pour de l'entêtement.

 

- Ok ! En fait vous avez de forts penchants homosexuels, et vous n'osez pas franchir le pas !

- Pas du tout, j'adore les femmes, je n'arrête pas de les mater dans la rue !

- Parce que vous vous mentez à vous-même...

 

Tout ça pour en arriver là ! Je n'étais pas venu chez un spécialiste pour entendre ânonner les mêmes bêtises auxquelles j'avais eu droit sur les forums de discussion. Je me levais !

 

- On va laisser tomber, dites-moi combien je vous dois ?

- Attendez, attendez, ça fait partie du jeu, enfin... de la mise en condition... c'était pour voir jusqu'où vous pourriez aller ! Mentit honteusement le psy. Essayons de raisonner autrement... Quand vous voyez un sexe d'homme, une bite comme vous dites, ça vous fait quoi ?

- Je la regarde, et si le mec est d'accord, je la touche et parfois je la suce !

- Vous fréquentez donc des endroits on l'on fait ce genre de choses ?

- Fréquenter, c'est un grand mot, disons que j'ai fait quelques rencontres dans des cinémas pornos.

- Racontez-moi.

- Et bien parfois il y des mecs qui se masturbent, j'ai remarqué que parfois ils y en avaient qui ne disait rien si leur voisin les masturbait à leur place. Je dirais même qu'il y en qui ne demande que ça, ils arrêtent de se branler et lancent un regard d'invitation à leur voisin.

- Intéressant ! Bredouilla le psy, assez troublé par mes évocations. Dommage que je n'aie pas de télé ici on aurait fait une simulation !

- Une simulation ?

- Oui, remarquez, on n'aurait peut-être pas besoin de télé... J'ai une idée... Euh, je vais vous demander cinq minutes…

 

Le psy sort alors un gros volume de sa bibliothèque, il l'ouvre, feuillette des pages. Curieux comme je suis j'essaie de voir ce qu'il lit. Mais c'est vraiment trop technique pour moi... Et puis il arrête de lire, il pose son coude sur le bureau, paume ouverte, se niche le menton dedans et regarde au plafond... Je ne sais pas à quoi il réfléchit, mais ça y va ! Puis le voilà qu'il se met à modifier la position de son ordinateur, puis insatisfait du résultat, il le replace comme il l'était au départ.

 

- Bon, aller, on va la faire la simulation ! Prenez votre siège et venez vous asseoir à côté de moi !

 

Je me demande ce que peut cacher une telle requête, mais j'obtempère. Il se branche ensuite sur Internet.

 

- Voilà, on va se brancher sur un site de cul, vous avez peut-être une préférence, un site gay par exemple ?

- Mais non…

- Dites-moi un thème, quelque chose qui vous excite !

- Des gros seins peut-être... Mais excusez-moi d'être curieux, vous voulez faire quoi ?

- Une simulation. Laissez-vous faire et obéissez-moi, laissez-vous allez complètement, il faut absolument que nous retrouvions l'ambiance de ce cinéma et après je pourrais analyser vos réactions. Je voudrais vous entendre dire que vous me faite entièrement confiance.

- Bon admettons, je vous fais confiance.

- Donc on est au cinéma, regardez bien les images, tenez, prenez la souris... Non il faut que vous soyez passif, je vais m'en occuper. Oubliez que je suis votre psy, on fait une reconstitution, je suis votre voisin de cinéma !

 

Je commence à comprendre, il est devenu fou !

 

- Vous n'allez tout de même pas...

- Chut, vous m'avez dit que vous me faisiez entièrement confiance.

- Oui, mais…

- On est obligé de passer par cette phase, nous sommes en séance de thérapie. Répétez après moi, "je suis votre voisin, nous sommes au cinéma".

- Vous êtes mon voisin, on est au cinéma.

- Et qu'est-ce qu'il a fait votre voisin ? Soyez le plus précis possible, on n'est pas pressé.

- Il s'est d'abord caressé la braguette, puis…

- Pas trop vite, pas trop vite ! Il s'est caressé comme ça ?

 

Et spectacle incroyable, voilà mon psy qui se tripote la braguette avec une telle conviction que je la vois grossir à vue d'œil !

 

- Et après ?

- Il l'a sorti, et il s'est masturbé, comme ça, la bite à l'air.

- Allons-y !

 

Le psy se débraguette, sort une fort jolie queue bien droite au gland luisant et tirant vers le mauve. La situation commence à m'exciter, et je me sens bander à mon tour, sans doute est-là la reconstitution que souhaitait ce curieux praticien ?

 

- Donc ensuite ?

- Et, bien ensuite, je me suis mis à admirer cette très belle quéquette…

- Comme en ce moment ?

- Exactement ! Et alors j'ai sorti la mienne et je me suis masturbé à mon tour.

- Allez-y, il faut que la reconstitution soit complète !

 

Mais il n'avait nul besoin d'insister, je suis tellement excité par la situation que je sors mon membre hyper bandé et que je le masturbe assez lentement afin d'éviter de jouir prématurément

 

- Continuez à raconter !

- Le gars lorgnait vers mon propre sexe, un moment il s'est arrêté de se toucher et m'a fait une espèce de signe comme pour m'inviter à prendre sa place.

- Comme ça ?

- Oui, un truc comme ça !

- Continuons la reconstitution.

- Vous voulez que je vous touche ?

- Mais bien sûr ! Je suis votre voisin de cinéma en ce moment, n'ayez aucune appréhension, répétez tous les gestes que vous avez fait.

 

Je m'empare alors de la verge du psy que je masturbe quelques instants. Elle est douce, soyeuse agréable au toucher, bref un vrai plaisir pour le bitophile que je suis… Vais-je avoir le courage d'aller jusqu'au bout ? La reconstitution comme il dit, a-t-elle réellement besoin d'aller jusque-là ?

 

- Et après je l'ai sucé ! Arrivais-je à prononcer dans un souffle.

- Montrez-moi ! M'encourage-t-il.

 

J'embouche le membre du psy dont le gland perle déjà d'une fort jolie goutte, et sans plus de manière j'entame une fellation en combinant mes lèvres et ma langue. Elle est trop bonne cette bite, je me régale ! Et le spécialiste a l'air d'apprécier, il est complètement pâmé et pousse de petits cris. J'essaie de ralentir mon rythme, mais il proteste d'un :

 

- Continue c'est trop bon !

 

Tutoiement dû aux circonstances ou soucis extrême de la reconstitution ? Toujours est-il qu'il m'éjacule carrément dans la bouche ! Je n'avale pas, je n'aime pas trop et recrache tout dans un kleenex. Je suis toujours aussi excité. Le psy lui, est en train de récupérer.

 

- Et, bien dites donc, vous sucez très bien mon ami ! S'exclame-t-il ! C'était très bon… Où en étions-nous, ah oui, alors donc, ça s'est passé comme ça avec votre voisin ?

- En fait, non, il n'a pas joui, il ne voulait pas… alors au bout d'un moment il m'a dit d'arrêter, et il est parti s'asseoir ailleurs, mais j'étais quand même content de l'avoir bien sucé…

- Ça veut dire que toute la fin de la reconstitution est ratée ! Ce n'est pas grave, il faudra probablement plusieurs séances pour que j'arrive à y voir clair… Mais dites-moi vous n'avez pas joui alors ?

- Si ! Mais plus tard, j'ai un peu tourné dans le cinéma, j'ai branlé deux ou trois queues, et puis j'en ai eu marre, je suis sorti et j'ai été voir une professionnelle !

- Oh, là là ça se complique ! Et la maintenant tout de suite, vous avez envie de jouir !

- Ben, oui ça m'a drôlement excité tout ça !

- Voulez-vous que je vous aide à jouir. Je vous demande ça par pure conscience professionnelle, soyez en persuadé.

 

Stupéfait devant une telle proposition je bafouillais un "je ne sais pas", mais le psy insiste et argumente

 

- Chez nous, il faut considérer le sexe comme quelque chose de très banal, banal mais agréable, très agréable comme par exemple boire un verre d'eau quand on a soif ou se mettre une musique que l'on aime. Le jour où les gens auront banalisé le sexe, on n'aura plus besoin de sexologues ! Donc qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Une branlette ? Une fellation ?

- Non, non, ça va aller !

- Auriez-vous un autre fantasme ? Quelque chose dont vous n'avez pas encore osé me parler ?

- Non, non.

 

Il devient collant le mec !

 

- Je ne vous propose pas de me sodomiser, je n'ai pas bien l'habitude… Quoi que si vous insistez on peut peut-être s'arranger ! Hi ! Hi !

- Laissez tomber !

 

Et je fis le geste de ranger ma biroute dans ma braguette. C'était sans compter sur la vitesse de réaction du psy qui ne me laissa pas terminer et vint poser sa main dessus. Une onde me traversa, je le laissais faire… Il me masturbe quelques instants avant de s'accroupir devant moi, pour ouvrir une large bouche engouffrant mon sexe de son palais, le léchant de sa langue, l'embrassant de ses lèvres. Une main officieuse vint pendant ce temps me caresser les testicules, alors qu'une autre s'amusait à caresser l'entrée de mon petit trou (il a combien de mains ce mec ?) Le résultat ne se fit pas attendre, j'éjaculais dans sa bouche en quelques longues giclées, et retombait le cul sur ma chaise, groggy.

 

- C'est très bien, vous pouvez vous rincer, il y a un petit lavabo, là-bas ! Je commence à y voir un peu plus clair dans votre problème, sauf que je ne comprends pas ce besoin d'avoir eu recours à une prostituée, il faudra que nous fassions une autre reconstitution. Voyons, mon assistante médicale est en repos, mais elle sera là Jeudi. Jeudi à 20 heures ça vous va ?

 

Je lui répondis qu'effectivement ça m'allait très bien, et sortis du cabinet en oubliant de payer la consultation. Ce psy était complètement frappé ou alors il avait eu un coup de folie assez grave, pourtant je m'étais laissé prendre au jeu, et je ne regrettais rien, mais pour répondre à mes questions existentielles sur la bitophilie il faudra sans doute que j'aille consulter un de ses confrères. Et quant à ce rendez-vous jeudi prochain, il pourra toujours m'attendre, je ne vais pas me prêter à ce genre de charlatanerie une seconde fois. Quand même, il espère quoi ? Faire participer une secrétaire médicale ! Et d'abord, elle est comment la secrétaire médicale ? Et comment va-t-il faire pour la convaincre de se livrer à ce genre de reconstitution burlesque ? Bon, c'est décidé, je n'irais pas !

 

Je reçu deux jours après, un petit carton signé du psy, où celui-ci me confirmait le rendez-vous du jeudi. Il en profitait pour me rappeler que j'avais oublié de le régler, que ce n'était pas grave, et pour m'informer que par "commodité", il serait bien que j'emporte du liquide pour ce faire !

 

Il m'emmerde, je lui enverrais un chèque par la poste, histoire d'être régulier, mais pour la seconde séance, c'était niet, c'était nada, c'était pas question...

 

Le lendemain :

 

...à moins que j'y aille juste pour voir, mais juste pour voir...

 

Le jeudi suivant dans le cabinet du psy :

 

- Entrez, donc Etienne, vous permettez que je vous appelle par votre prénom, nos rapports n'en seront que plus simples, vous pouvez d'ailleurs faire la même chose, je me prénomme Sylvain…

 

Le flash ! Je me foutais un peu de ce qu'il me racontait, n'ayant d'yeux que pour la créature féminine assise au bout de la pièce et qui me dévisageait tout sourire ! C'était donc elle la secrétaire médicale ! Quand je pense que j'avais failli ne pas revenir...

 

Grande brune, le teint légèrement mat, les yeux noirs, le nez finement dessiné, de belles lèvres entourant une bouche délicatement ouverte, elle était vêtue d'une sorte de débardeur rouge mettant en valeur de belles épaules luisantes. Le vêtement semblait assez collant, mais je quelque peu contrarié de constater que la poitrine n'était guère volumineuse... On ne peut pas tout avoir !

 

- Voilà donc, Barbara, une consœur, il nous arrive de travailler ensemble quand nous tombons sur des cas intéressants et complexes.

 

Une consœur ? Ah bon ? Il me semblait qu'il m'avait parlé d'une assistante, amis ma mémoire me joue peut-être des tours ?

 

La nana me fit une espèce de petit bonjour de la tête, sans me tendre la main ! Bêcheuse !

 

- Bien Etienne, autant commencer tout de suite, nous allons reconstituer votre visite chez la prostituée ! Barbara va donc jouer ce rôle. Vous allez essayer de refaire tous les gestes que vous avez faits, de redire toutes les paroles importantes.

 

J'étais un peu embêté, le fait d'aller raconter mes petites perversions devant cette femme ne me disait rien. J'essayais d'atermoyer...

 

- Mais vous savez, j'ai rien fait de spécial, juste une petite passe avec deux ou trois fantaisies ! Tentais-je de temporiser.

- Allez faites-nous confiance ! Reprit le psy, donc vous êtes dans la rue et vous abordez une fille ? Vous l'avez choisi comment ? Vous avez mis longtemps à faire votre choix ?

- Mais non, je suis monté avec une fille que je connaissais et avec qui je monte de temps en temps...

- Ah ! Reprend le psy ! Et elle était sur le trottoir ?

- Oui !

- Donc vous l'avez abordé ! Vous allez vous adresser à Barbara de la même façon que vous êtes adressé à cette personne !

- Mais je ne lui ai rien dit d'extraordinaire.

- Peu importe, quand ce sera fini, nous trierons ce qui est important ou pas, et parfois on a des surprises

 

N'importe quoi, on me fait faire n'importe quoi ! Je m'approche de Barbara !

 

- Bonjour ! Ça va ?

- Qu'est-ce qu'elle vous a répondu ? Intervient Barbara dont je découvre la voix pour la première fois

- Elle a dû dire ! " Bonjour, je t'emmène ? et j'ai répondu "oui" et on est monté !

- Bonjour je t'emmène ? Répète Barbara.

- Oui !

- Vous avez discuté dans l'escalier ! Demande le psy

- De la pluie et du beau temps, je ne me rappelle pas bien...

- OK : Don vous êtes dans la chambre ! Qu'est ce qui se passe alors ? Reprend-il

- Ben je sors l'argent, je le dépose sur la petite table et je commence à me déshabiller, elle aussi !

 

Je suis curieux de savoir comment le psy va nous faire mimer une chose pareille. Il ne va tout de même pas nous demander de nous foutre à poil ?

 

- OK ! Faites comme vous avez fait et sortez l'argent !

- Je dois sortir l'argent ?

- Oui, on répète les mêmes gestes, Monsieur Etienne...

 

C'était donc pour cela qu'il m'avait demandé du liquide ! Je pose le fric sur un coin du bureau. Barbara anticipe alors et va pour le ramasser !

 

- Non, elle ne ramasse l'argent que quand c'est fini ! C'est exprès, c'est pour éviter les contestations... et puis le client n'a pas besoin de savoir où elle range tous ses sous !

 

Barbara qui ignorait ce détail repose l'argent sans discuter...

 

- Le déshabillage, il y a un rite ? Demande-t-elle. Elle enlève tout ?

 

Elle va donc vraiment le faire ! Je lui réponds que ça doit dépendre des clients, mais qu'en ce qui nous concerne on se déshabille chacun de son côté tout en parlant de banalité... Lesquelles banalités, j'ai beau faire un effort je ne m'en rappelle pas, Une banalité, c'est une banalité quoi !

 

Toujours est-il que pendant que je me déshabille j'ai la vision sublime de Barbara s'effeuillant en me tournant le dos dans un geste de pudeur quelque peu incongru. Elle se met d'abord torse nu, avant de retirer son pantalon, puis sa petite culotte. Elle a de superbes jolies fesses bien rebondies. Elle se tourne, comme je le pressentais ses seins ne sont pas très gros, par contre les pointes le sont ! Le rêve va-t-il se continuer jusqu'à me permettre de les sucer ! Rien que de l'envisager me voici en érection. Elle est superbe cette femme, elle a un petit ventre, une petite toison épilée en maillot ! Craquante !

 

- Vous avez oublié de retirer vos chaussettes, me fait remarquer le psy !

- Je ne les retire jamais !

 

Il découvre un tas de choses, le mec, ce soir !

 

- Donc après vous avez été sur le lit... on va dire que le divan fera l'affaire !

- Non pas tout de suite, j'aime bien d'abord l'enlacer quand on est debout. Je lui pelote un peu les fesses, je lui fais des bisous sur les seins !

- Ah ! Reprend le psy qui soudain à l'air ennuyé ! Barbara doit-on continuer ?

- Il est trop tard pour reculer mon cher Sylvain ! Répond-elle ! Allez-y Monsieur Etienne, venez me peloter les fesses et me sucer les seins. Mais attention, n'en faites pas plus que ce que vous avez fait avec cette personne. Il faut absolument rester dans le jeu !

 

Je me colle carrément contre Barbara, ma bite dressée se retrouve coincée contre son ventre. Elle a un petit mouvement de recul qu'elle surmonte vite, je lui caresse les fesses sans brutalité. Elle ne sait pas trop quoi faire de ses mains

 

- Je suppose qu'elle vous caresse aussi ?

- Oui, oui !

 

Elle m'effleure timidement le dos. Je me recule un tout petit peu, puis penche la tête, ce gros téton m'attire comme si je venais de découvrir une fraise des bois dans un fourré, j'y porte la langue, le titille, puis referme mes lèvres. Barbara pousse un soupir, je fais subir le même traitement au second et ne voulant pas abuser de la situation, j'annonce moi-même la suite des événements.

 

- Après elle m'a posé un préservatif et m'a demandé ce que je souhaitais qu'on fasse aujourd'hui.

 

Je commence à m'amuser, me rendant à présent compte des avantages que je pouvais tirer de la situation. Quelque chose cependant me retiens, j'ai l'impression que si ces deux-là s'aperçoivent que je sors de leur jeu, tout s'arrêtera, alors finalement je prends le parti inverse et évite de les embarrasser, ainsi je passe sous silence le fait que ma petite pute préférée me plaçait le préservatif en se servant de sa bouche. De toute façon ce détail, n'influera probablement pas sur l'analyse psychanalytique que ne manquera pas de faire ce bien curieux docteur... Barbara m'enfile donc le condom sans difficultés particulières puis me demande :

 

- Que souhaitez-vous qu'on fasse aujourd'hui ?

- Euh, en principe on se tutoie ! Rectifiai-je

- Que... que... que souhaite tu que l'on fasse aujourd'hui ? Corrige-t-elle alors !

 

On dirait presque que de me tutoyer est pour elle plus contraignant que de se laisser peloter les fesses. Les gens sont curieux parfois !

 

- Je voudrais que tu t'occupes de mon petit cul, tu vas me donner un peu le martinet, et après tu me mettras un doigt... Et pour finir tu me feras une pipe.

 

Echanges de regards entre le psy et Barbara.

 

- Pouce ! Dit Barbara...

 

Ça y est, elle se dégonfle ! Me dis-je. Mais non, elle s'inquiète simplement du fait qu'elle n'a pas de martinet et se demande par quoi on pourrait bien le remplacer

 

- Une ceinture ! Suggérais-je

- Sylvain, prête-moi ta ceinture ! Demande-t-elle

 

Tiens, ils se tutoient ces deux-là ! Je me rends compte que ça risque d'être n'importe quoi, on ne s'improvise pas fouetteuse. Ou bien elle va me faire mal, ou bien je ne vais rien sentir du tout ! Le premier coup claque ! Limite.

 

- Comme ça, pas plus fort !

- Je t'en donne combien ?

- 20 !

 

Barbara continue de frapper, elle s'en sort pas mal et moi je suis tout excité, aussi bien par la prestation que par la situation. Le psy lui regarde la scène avec des yeux exorbités, il a l'air passionné, je suis sûr qu'il bande comme un cerf. Le 20ème coup donné, elle s'inquiète de ne pas avoir de gant en latex pour la suite. Je lui précise que ma petite pute préfère pratiquer la chose le doigt nu ! Elle n'insiste pas et après l'avoir humecté de sa salive m'introduit son index dans le troufignon. Puis se livre à une série d'allers et retours ! C'est trop bon, le frottement sur ma prostate commence à faire son effet. Quant au psy le voilà soudain occupé à griffonner un paragraphe entier sur son cahier. Facile, j'ai compris, il va me sortir une théorie disant que ma recherche du plaisir anal est aussi une façon d'affirmer mes tendances homosexuelles. N'importe quoi, et quand je lui ai sucé les tétons à la Barbara, c'était quoi comme tendance ?

 

- Je continue ? demande Barbara !

- Non, c'est bon ! Tu peux me sucer maintenant ?

 

Elle va pour s'accroupir. Je lui indique qu'il est dans mes habitudes de faire ça allongé et je m'installe sur le canapé... Pour l'instant je n'avais pas encore dit à ce joyeux couple de psy la façon dont j'avais joui, je n'osais pas. Mais l'excitation étant à son maximum et avant qu'elle ne dirige sa bouche vers ma verge j'interviens.

 

- Au moment de la pipe, elle a voulu me faire plaisir et s'est souvenue que parfois j'aimais bien qu'elle me pisse dans la bouche, alors on s'est mis en 69 et elle m'a envoyé quelques gouttes dans le gosier, après je lui ai sucé la chatte pendant qu'elle me faisait jouir.

 

Nouvel échange de regards entre Barbara et le psy

 

- On peut peut-être simplifier cette séquence ? Avance timidement Sylvain.

- Vu l'état dans lequel je suis, je n'ai pas envie de simplifier, par contre je me demande si je vais pouvoir faire ça...

 

Barbara s'est donc mise sur moi en soixante-neuf ! Je m'apprête à lui lécher la chatte !

 

- Non, attends que je me concentre, sinon je ne vais jamais y arriver !

 

Je ne bouge pas, elle non plus se contentant de me masturber mollement la verge afin de maintenir son érection.

 

- Je crois que ça vient ! Dit-elle au bout d'un moment !

 

J'ai la bouche ouverte, j'attends, quelques gouttes atterrissent au fond de ma gorge, puis un petit filet, puis ça va bien trop vite, elle ne sait pas pisser par à-coup, alors évidemment j'en fous partout, mais elle ne s'en rend pas compte et lorsqu'elle sait avoir fini elle se précipite vers ma bite afin de la sucer par-dessus le revêtement de latex. De mon côté, je lape sa vulve, la nettoie de l'urine qui en est encore imprégnée, mais déjà le goût a changé et tire vers le sucré, Barbara mouille telle une fontaine. Elle ne tient plus en place, se trémousse, pousse des petits cris, je redouble d'ardeur, concentrant le travail de ma langue sur son clitoris. Et alors que je ne m'y attendais pas (du moins pas si vite) la voici qui pousse un cri fulgurant, elle vient de jouir, elle se raidit un moment, puis retombe comme un soufflé. Sa bouche a abandonné ma bite, elle continue néanmoins avec la main, je sens que ça vient. Je le lui dis. Bonne fille elle replonge alors vers ma verge et l'engloutit tandis que je jouis dans la capote.

 

- Ben alors Barbara ? S'inquiète le psy

- C'est malin, je suis complètement entrée dans le trip !

- Je croyais que les prostituées ne jouissaient pas ? Remarque Sylvain.

- Disons qu'elles jouissent très rarement... du moins pendant le travail... mais ça arrive.

- Je vois ça ! Qu'est ce qui s'est passé après, Monsieur Etienne ?

- Ben elle m'a retiré le préservatif, j'ai été me rincer, puis on s'est rhabillé en parlant de choses et d'autres, puis je lui ai fait un petit bisou et je suis parti...

- Oui, ben on arrête de jouer, je suis crevée ! Prévient Barbara.

- Tu ne veux pas qu'on fasse la suite ?

- Si on va la faire, mais sert-nous un verre de flotte.

 

Moi je suis là comme un con, je ne sais même pas si je dois me rhabiller. On a la bonté de me servir un verre d'eau que j'engloutis prestement.

 

- Et puis, j'ai faim, moi, on pourrait commander des pizzas pour tous les trois et on fera la suite après ! Intervient de nouveau Barbara

 

La suite ? Quelle suite ?

 

- Ecoute, Barbara, je ne peux plus tenir, me fait pas attendre plus longtemps, après si tu veux, on ira au restau et si tu veux et si Monsieur Etienne veut bien, on l'emmène aussi.

- Bon alors c'est parti pour l'acte 3 ! Concède Barbara !

 

La voici qui se rhabille ! Je vais pour l'imiter !

 

- Non, en ce qui vous concerne, nous allons vous demander de rester nu et de vous asseoir sur le divan. Me dit-elle

 

Je ne cherche pas à comprendre. Et d'ailleurs Barbara ne remet que ses sous-vêtements.

 

- Etienne, nous allons jouer une scène complètement improvisée, quoiqu'il arrive je vous demande de jouer le jeu ! Précise Sylvain. Barbara, on y va ?

- C'est parti !

- Toc, toc, toc ! Fait le psy en tapant sur une porte imaginaire !

 

Ça y est, il a pété les plombs !

 

- C'est quoi ?

- C'est un client, on m'a recommandé vos prestations. Répond Sylvain

- Attendez un peu à la porte, je viens juste de finir un client, attendez qu'il se rhabille !

- Si vous pouviez entrouvrir la porte, je souhaiterais juste une précision.

 

On se croirait au théâtre, Barbara fait semblant d'ouvrir un peu une porte.

 

- Bonjour mademoiselle ! On ne m'a pas trompé sur votre personne, vous êtes ravissante !

- Merci, c'est quoi la précision dont vous avez besoin ?

- Mon truc ce serait de faire une séance à trois, avec vous et un autre homme. comment faut-il procéder ? Faut prendre rendez-vous ?

- Effectivement, à moins que ça intéresse mon client du moment, je vais lui demander, on ne sait jamais...

 

Barbara vient vers moi !

 

- Dis-moi, ça te dirait de faire des trucs avec moi et avec un autre homme ?

 

C'était donc ça le jeu ! Mais tout bitophile que je suis, si j'ai répondu oui, ce n'était pas pour la pine de Sylvain mais pour retrouver la peau douce de Barbara. Elle fait donc semblant de faire entrer le psy et lui demande de se déshabiller.

 

- Euh ! Faut que je garde mes chaussettes ou que je les enlève ?

- Mais, enfin, tu fais ce que tu veux ! Rigole Barbara. Par contre, tu as oublié de me payer !

- Te payer ?

- Ben, oui, tu ne crois pas que je vais te faire ça gratuitement !

- OK, je te payerai tout à l'heure !

- Non, c'est tout de suite !

 

Sylvain à l'air étonné que son "assistante" ou sa consœur (je ne sais plus) entre à ce point dans le jeu, mais il va chercher quelques billets dans son portefeuille et les lui tend

 

Le psy et moi sommes debout plus ou moins face à face, Barbara se met entre nous, à genoux et entreprend de nous masturber en même temps, une bite dans chaque main. Au bout de quelques instants tout cela est bien raide. Elle nous fait rapprocher davantage et se débrouille pour positionner les deux pines l'une sur l'autre tête bêche pour pouvoir les masturber ensemble d'une seule main. Ce n'est pas si évident que cela mais quelle sensation de sentir un autre membre collé au sien !

 

- Ça vous excite ce que je vous fais ? Hein ? Vous n'êtes vraiment que des pédés tous les deux !

- Ben Barbara... Intervient Sylvain

- Je ne suis pas Barbara, pour l'instant, je suis une pute, et ça me plait de jouer la pute et ça me plait aussi de vous voir jouer les pédés. Et puis ça m'amuse de vous le dire, alors silence, les mecs, laissez-vous faire...

 

Elle engloutit la bite du psy dans sa bouche, mais sans insister, juste pour la lubrifier, puis passe à la mienne. Elle essaie un autre truc et nous fais mettre gland contre gland en ligne de prolongement, ça non plus ce n'est pas évident car nous ne faisons pas la même taille, le psy est donc obligé de se baisser un petit peu. Barbara passe alors la langue sur ce double cylindre de plaisir, elle s'amuse comme une folle.

 

- Sylvain, couche-toi sur le divan, sur le dos, et Etienne tu lui grimpes dessus, en 69...

 

Oh ! Oh ! Alors là, c'est super, me voici avec la bite de Sylvain dans la bouche, alors que lui me rend la politesse. C'est la première fois que je fais un soixante-neuf avec un homme. Quelle sensation de sucer tout en étant sucé, en coordonnant nos mouvements, on peut quelque part s'imaginer qu'on est en train de se sucer soi-même. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, d'autant que Barbara en profite pour m'introduire un doigt dans le cul.

 

- Je vous interdis de jouir dans cette position, les mecs ! Putain que vous êtes raides ! Bon on passe à autre chose. Sylvain, met toi une capote ! Et toi Etienne tu vas te mettre à quatre pattes, comme çà, non écarte mieux les jambes...

 

Et oui, fallait bien que ça arrive un jour, voilà que je vais me faire enculer ! Mais qui aurait dit que ce serait par le psy chez qui j'avais décidé de consulter ? Et en présence et sous la direction de son assistante en plus ! Je ne proteste pas, on verra bien !

 

- Regarde-moi ce petit cul de pédé ! Dit la femme.

- C'est vrai qu'il est mignon ! Répond le psy

 

Tu parles d'une discussion !

 

- Bon, je veux que ce soit toi qui lui demandes ! Me précise Barbara !

- Il faut que je lui demande de m'enculer ?

- Ben oui !

- Bon, ben d'accord, encule moi !

 

bisex99a.jpg

 

Il aurait fallu du gel, le préservatif est bien lubrifié mais sa verge ripe à l'entrée de mon anus.

 

- Ouvre-toi mieux, pousse !

 

Je fais ce que je peux, le gland s'efforce de passer.

 

- Encore un peu, on y est presque !

- Han !

- Oui !

- Aie !

 

Ça y est, c'est entré, enfin juste un peu !

 

- Encore !

- Han !

 

Il ne va pas tout rentrer quand même ! Ben on dirait bien que si, ça fait drôle, une impression de gêne, ce n'est pas trop agréable. Je leur dis. On me répond d'attendre un peu. J'attends. Le psy fait maintenant coulisser son membre d'avant en arrière. La sensation devient un peu plus agréable. Beaucoup plus agréable même. Je suis en train de réaliser que là tout de suite je suis en train de me faire enculer et que j'aime ça !

 

- C'est bon, continue ! M'entendais-je crier

- Ça te plait de te faire enculer par la bonne bite de mon mari ! Ironise Barbara !

 

Comment ça son mari ? Mais laissons ce détail, pour l'instant ça va ! Ça va pas mal aussi pour le psy qui finit par exploser dans sa capote et qui s'écroule sur mon dos. Il est lourd ce con !

 

Il décule ! Drôle de sensation, j'ai l'impression que mon anus a du mal à se refermer !

 

- Merci Etienne, vous avez été très bien ! Tient à me dire Barbara !

 

Elle va me faire rougir, "l'assistante" mais est-ce bien son assistante ?

 

- On vous paie le restau, Etienne ! Vous acceptez, bien sûr ?

- Volontiers !

- On pourrait peut-être prendre une douche avant ? Propose la femme.

- Et on va la prendre où ? Et puis on n'est pas si sale que ça, et il est déjà tard, allez zou !

 

Epilogue !

 

Un très bon restaurant chinois, le patron nous offre l'apéritif maison. On trinque !

 

- A vous Etienne ! On vous doit bien ça ? Dit Sylvain en levant son verre.

- A la vôtre ! Répondis-je ne comprenant pas bien ce que voulait dire mon interlocuteur.

- Voyez-vous, Monsieur Etienne, j'ai en fait les mêmes fantasmes que vous, ça ne m'empêche pas d'aimer les femmes et la mienne est adorable. Ah oui au fait, Barbara est mon épouse. La seule différence c'est que je n'avais jamais concrétisé, alors je ne sais pas ce qui s'est passé, quand vous m'avez raconté votre histoire de cinéma, j'ai flippé et c'est à ce moment-là que j'ai eu l'idée de la reconstitution. ! Et je vais vous dire, je ne regrette pas !

- Il faut toujours essayer de vivre ses fantasmes ! Rajoute, Barbara. Je veux dire quand ce sont des fantasmes entre gens qui sont d'accord !

- Mais ce n'est pas tout ! Reprend le psy. Avec Barbara on se dit nos fantasmes, on joue à des petits jeux de rôles parfois, et l'un de ses trucs c'est de jouer la pute, alors quand à la fin de la première séance vous m'avez dit que vous aviez été en voir une, j'ai tout de suite pensé que je pourrais impliquer ma femme dans le trip !

- Et ça a marché super ! Conclût-elle.

 

Je suis abasourdi, abasourdi, mais content.

 

- Et ma psychothérapie, alors ?

- Mais vous n'en avez pas besoin, vous êtes parfaitement normal !

 

Je ne dis rien ! Je savais bien qu'en fait de thérapie, le psy me jouait un scénario qui n'avait rien de conventionnel, mais je ne m'attendais pas à ces explications. Le pire c'est qu'elles me conviennent parfaitement.

 

- Vous ne dites plus rien, Etienne !

- Je ne sais plus quoi dire !

- J'ai l'impression que vous vouliez nous demander quelque chose ?

- Oui, la permission d'embrasser Barbara, si elle est d'accord bien évidement !

 

Alors Barbara fait un clin d'œil à son mari, approche ses lèvres des miennes et me roule un patin

 

FIN

 

Estonius (août 2003)

 

estonius@hotmail.com

 

 

 

 

  

Mer 20 aoû 2003 Aucun commentaire